Ainsi va le monde: De "Touche pas à mon pote!" à "Cogne la potesse !"...
Lu dans "Marianne" du 16 février, sous la plume de Alain Léauthier (instructif !...) :
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Lu dans "Marianne" du 16 février, sous la plume de Alain Léauthier (instructif !...) :
Nous n'avons pas vu le film, mais l'éditorial que lui a consacré Jacques Duquesne dans "Ouest-France", le 7 mars, suffit à nous le rendre sympathique. Ne serait-ce que pour la tonalité générale, et les dernières lignes de conclusion de cet édito, on pourrait déjà se réjouir qu'un tel film, s'il nous vaut un tel article, ait été produit....
Et tant pis pour ceux qui, comme Michel Wievorka, ne l'ont pas aimé: "...pas de sexe à tout va, pas de vulgarité, pas de sang, pas de repentance. Il est donc tout à fait normal que, dans l'émission "Cdans l’air" du 5 mars, le sociologue Michel Wievorka ait voulu l'écraser sous l'accusation la plus grave: il est trop franchouillard et ne s'ouvre pas au multiculturalisme !.....(1). Voici le texte de l'édito de Jacques Duquesne.
À Villiers-le-Bel, Adama K., père de trois enfants, employé dans une société de sécurité, est décrit comme «très respecté par les jeunes» : son arrestation a surpris tout le monde. Un élu confirme :
Dédié a Jacques Chirac et à son immortelle déclaration "Ce sont les enfants de la République". C'est sa folle politique de "regroupement familial" qui a fait venir chez nous des voyous pareils.......(1)
Notre commentaire du livre de Grégoire TIROT "France anti jeunes" sous-titré "Comment la société française exploite sa jeunesse" a surpris certains de nos lecteurs, en particulier la conclusion de cet ouvrage sur « les grandes lignes de ce qui pourrait devenir un contrat social équitable entre les générations, pourvu que les politiques aient le courage de s'attaquer aux privilèges de la vraie classe dominante : "les plus de 50 ans et les retraités"...
On a pu voir le succès de l'appel à témoin après les violences de Villiers le Bel:
Nous ne sommes pas les seuls à poser régulièrement la question: A quand le procès de Nuremberg du marxisme-léninisme ?...
Soupçonnés de liens avec le grand banditisme corse, six hommes dont Jacques Mariani et son père François comparaissent depuis le 25 février devant la Cour d'assises d'Aix en Provence pour l'assassinat, en septembre 2001 à Bastia d'un jeune nationaliste corse, Nicolas Montigny. Âgé de 42 ans, Jacques Mariani est accusé, avec Alexandre Vittini, 35 ans, d'avoir tué Montigny le 5 septembre 2001, de onze balles de pistolet automatique dans un cybercafé de Bastia!...
A l'annonce de son décès, Max Gallo a rendu dans " Le Figaro " un bel et émouvant hommage à Lazare Ponticelli :
"... Il est le fils de la misère. Entre 1880 et 1914, des millions d'Italiens quittent leur pays et se répandent dans le monde entier, et d'abord en France et aux États-Unis. La vie de Lazare Ponticelli est ainsi exemplaire de cette fin du XIXe siècle. Pas de pain. Pas de chaussures. Pas d'école. Pas de travail. La mère dans les rizières de la vallée du Pô. Riz amer. Les sept enfants faméliques.. Puis le départ de la mère pour la France, "ce paradis où l'on mange".... Lazare, enfant presque abandonné, se met seul en route pour la France et débarque à 9 ans à la Gare de Lyon...
On sait l'usage, sinon immodéré du moins fréquent, que François Bayrou aime à faire d'Henri IV, et du symbole de paix et de réconciliation qu'il représente. Il n'est pas jusqu'au choix de la ville de Pau qui ne vienne, dans cette "vision", renforcer le message destiné aux Français: avec moi, Bayrou, ce sera la fin des clivages, une nouvelle façon de faire de la politique, et donc un grand bol d'air frais dans une classe politique et des moeurs politiques passablement sclérosées....
Ségolène Royal a bien tapé sur Sarko, après l'affaire du Salon de l'Agriculture.
Sous-titré: "Comment la société française exploite sa jeunesse", par Grégoire Tirot (1).....
Autrefois il y avait l'Action Française, qui proposait quotidiennement une critique politique de la république et proposait l'alternative Royale. Depuis 1945, et l'éviction de fait des médias de notre courant de pensée, il manque cet organe de presse quotidien qui répondrait à toutes celles et à tous ceux qui - comme le fait aujourd'hui Grégoire Tirot - pointent un problème, dressent un constat, mais réagissent tels la mouche dans le bocal, ou derrière une vitre, et qui ne trouve pas sa sortie.... Ils voient juste, mais sans jamais oser, ou pouvoir, ou savoir remonter à la cause; et "remettre en cause" dans le but de "remettre en ordre".....
Ou quand certains, à gauche, manifestent une indignation à sens unique....
le prix citron: à Arlette Laguiller, qui semble définitivement n'avoir rien oublié ni rien appris, tout simplement parcequ'elle ne veut rien oublier, ni rien apprendre. Le vendredi 29 février, elle a déclaré, lors d'un meeting a la Mutualité:
Le 14 février, sur KTO, le thème du débat était "La présence de Dieu dans l'Ecole catholique".