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max gallo

  • Max Gallo, le Patrimoine et... l'identité nationale !

                Il n'en parle pas, Max Gallo, de l'identité nationale, dans sa première réponse à la question « Qu’est-ce qu’être français ? », posée par l’hebdomadaire La Vie, le 5 novembre 2009. Du moins, il n'en parle pas directement. Mais il faudrait être singulièrement sourd et aveugle, ne pas savoir lire entre les lignes, pour ne pas comprendre ce que ses phrases hurlent:

                « Être Français, pour moi, c’est d’abord aimer le paysage de la France. J’entends, tout ce qui est inscrit dans l’espace, aussi bien le paysage rural que le paysage urbain ou monumental : une église, un château fort, c’est un paysage.

                Nous sommes un pays qui a été façonné à la fois dans les sillons et dans les constructions par la main de l’homme depuis plus de deux millénaires.

                Être français c’est ensuite aimer la manière dont les hommes s’inscrivent dans ce paysage : comment ils le modèlent, le préservent, le prolongent. En d’autre termes, le patrimoine est un élément important du rapport à l’homme français avec le paysage de son pays. »

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    dans le Gers...
  • Il trace son sillon: le Prince va à la rencontre des gens.... et cela finit par faire du monde !....

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    On sait l'enthousiasme communicatif de Lorant Deutsch pour le Prince Jean et ce qu'il représente. Le 6 novembre, à Paris, c'est Jean Piat qui viendra s'entretenir avec le Prince de son ouvrage. Tout récemment, alors que Michel Fields l'invitait dans Historiquement show, Jean Sévillia a eu la très heureuse idée de faire se rencontrer, pour dialoguer, le Prince et Max Gallo: la raison en était que l'un et l'autre sortent en cet automne un ouvrage chacun (les premiers Capétiens, pour Gallo, et -bien sûr- Un prince français, pour le prince Jean). Et cela nous a valu le très intéressant entretien que nous reproduisons ci-après (même s'il faut une loupe ! nous avons voulu montrer le bon boulot qu'avait fait -une fois de plus...- Jean Sévillia). Et, à l'occasion du véritable tour de France qu'il a commencé, le Prince rencontre des journalistes de la presse écrite et parlée (à Béziers et à Senlis, ses deux premières étapes, Le Midi Libre et FR3 Picardie...).
     
    Mais il ne s'en tient pas qu'à ces célébrités. Le Prince rencontre aussi tout le monde, tous les gens de France, et pas seulement les académiciens, les acteurs, les journalistes. Vient qui veut, évidemment, mais le Prince veut -et il le fait très bien- se rendre proche, se montrer disponible, être au contact du maximum de personnes possibles, de tous âges, de toutes conditions et situations sociales. Ceux qui étaient aux Baux ont bien vu les deux Princes, Jean et Eudes, passer au milieu de tout le monde, et rester de longs moments, sans se dérober -bien au contraire- avec toutes celles et tous ceux qui souhaitaient leur toucher un mot, comme on le dit familièrement.
     
    Cette volonté d'entrer en contact avec les gens est une constante chez le Prince. Et le public le sent, le comprend, et n'y est pas insensible: il suffit de voir, par exemple, le succès de l'appel de fonds pour le cadeau de mariage de Jean et Philoména: il est clair que les donateurs ont largement dépassé ce que l'on pourrrait appeler nos cercles habituels, et leur nombre, d'une part, leur générosité, d'autre part, sont des signes qui ne trompent pas. Le prince reçoit, en retour de sa simplicité et de sa disponibilité, une réelle affection, non feinte et de bon aloi, et ce n'est que justice.
     
    Pour l'instant, on n'en est qu'au début de ce tour de France: deux étapes (Béziers, Senlis), deux succès. La soirée de Paris devrait être un coup d'accélérateur puissant, avant les soirées de Nice, de Marseille-Aix, de Versailles, Lyon et Grenoble (pour ne parler que de celles de novembre....).
     
    On le voit, le Prince travaille, avec sérieux, constance et régularité: le rôle de chacun est de seconder ses efforts, de pousser à la roue avec lui, de tout faire pour amplifier au maximum le mouvement qui se dessine, afin que ce tour de France, à la rencontre des gens de France, soit plus qu'un succès: une vraie dynamique, porteuse d'espoir(s)...        
      
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  • Rastignac est parmi nous...

              Sous ce titre, Max Gallo publie un très intéressant article dans Le Monde du 12 Septembre. Un peu noir, un peu cynique aussi; un peu politique...; bref, à lire (extraits) :

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  • Jacques Bainville sur France Info....

    Pour écouter l'intégralité de la chronique, cliquez ci-dessous.

    podcast
  • Max Gallo, nouvel immortel...

              L'élection de Max Gallo à l'Académie est bien méritée, "pour l'ensemble de son oeuvre" selon la formule consacrée.

              Nous en sommes sincèrement heureux pour lui, car l'homme est sympathique; et aussi pour l'Académie, qui continue ainsi d'accueillir en son sein des gens de qualité, qui veulent réfléchir et penser, et qui savent aussi écrire: elle reste ainsi fidèle à son rôle... 

              Un autre élément, plus politique, se mêle à notre contentement après cette élection:  Max Gallo est un esprit libre, qui a eu et qui a encore le courage des remises en questions. Tel un Furet ou un Camus, il a démarré fort loin de nous, au Parti Communiste, mais l'amour de la France prime tout chez lui. "Fier d'être français" n'est-il pas le titre d'un de ses derniers ouvrages ?

              Cela nous promet encore, peut-être, certaines surprises, dans l'évolution intellectuelle de cette personnalité attachante, qui nous est de plus en plus proche....

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