LAFAUTEAROUSSEAU
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LA ROYAUTÉ ? L'IDÉE NEUVE POUR LA FRANCE ! BIENVENUE SUR LAFAUTEAROUSSEAU !
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
La pourriture morale,
la pourriture tout court,
au coeur du Gouvernement (et du Système)...
Caroline Parmentier, Députée Rassemblement national, dénonce la présence, au Palais de Tokyo, d'un soi-disant tableau de Miriam Cahn, présentant une scène de pédo-criminalité.
Écoutez la réponse "dégueulasse" de la soi-disant Ministre de la Culture, en fait ministre militante de la pourriture : pardon pour le mot, mais il y a des moments où il faut parler français et c'est pourquoi nous employons ici ce mot de "dégueulasse", comme on pourrait prendre "infect" ou - pour parler "djeun" - "gerbique"...
Comme le disait notre grand Chateaubriand : "Il est des temps où il ne faut dispenser le mépris qu'avec parcimonie, vu le grand nombre de nécessiteux..."
(extrait vidéo 4'24)
https://twitter.com/christineboutin/status/1638225479818780672?s=20
DEHORS,
LA SOI-DISANT
MINISTRE !
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Rire ou sourire un peu...
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Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (32)
(retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)
Aujourd'hui : Aux bourreaux Turreau et Amey, l'Arc de Triomphe !
Voici une très brève présentation de François-Pierre Amey, dont le nom - inscrit sur le pilier est de l'Arc de Triomphe, comme celui de cet autre criminel de guerre qu'est Turreau - souille et dénature ce monument...
(Extrait du n° 151 -juillet 1985 de la revue du Souvenir Vendéen):
"Pierre-François-Joseph Amey, général de division, était né à Sélestat (Bas-Rhin), le 2 octobre 1768, de François-Pierre Amey, chirurgien-major de la Légion Suisse, et de Ursule Collignon. Mort à Sélestat le 16 novembre 1850. Entra comme cadet dans le régiment de Vigier, le 2 octobre 1783, promu sous-lieutenant au dit régiment le 17 juillet 1788. Arriva rapidement en passant par tous les grades à celui de général de brigade, le 8 frimaire an II. Il avait servi à l'armée des Côtes de La Rochelle sous Duhoux, puis Menou, qui combattirent contre les vendéens.
Blessé en Vendée, le 25 juin 1793, il avait été nommé provisoirement adjudant-général, le 23 juin précédent, et fut confirmé dans son grade le 30 septembre 1793 ; servit sous Kléber et Marceau et fut nommé général de brigade, le 28 novembre 1793. Blessé à la bataille du Mans, le 12 décembre 1793.
Il commande une Colonne infernale et en février 1794, brûle la petite ville des Herbiers. après s'être sinistrement distingué en brûlant les femmes des Épesses et des environs dans des fours allumés. Suspendu de ses fonctions, le 6 août 1794, il fut réintégré, le 4 septembre 1794. Pris part ensuite à toutes les guerres de la Révolution et de l'Empire dont il fut nommé baron, le 19 mars 1808…
Après les Cent jours, il fit sa soumission à Louis XVIII, fut admis à la retraite le 9 septembre 1815 et se retire dans sa ville natale, Sélestat, dont il est nommé maire, de 1820 à 1830. Présente les clés de sa ville à Charles X, lors de son voyage en Alsace en 1828. Il réside à Strasbourg à partir de 1830 et y décède le 16 novembre 1850."Deux témoignages sur ses atrocités :
• En janvier 1794, l'officier de police Gannet l'accuse de laisser ses soldats tuer des civils en les jetant dans des fours :
"Amey fait allumer des fours et lorsqu'ils sont bien chauffés, il y jette les femmes et les enfants. Nous lui avons fait des représentations; il nous a répondu que c'était ainsi que la République voulait faire cuire son pain. D'abord on a condamné à ce genre de mort les femmes brigandes et nous n'avons trop rien dit; mais aujourd'hui les cris de ces misérables ont tant diverti les soldats et Turreau qu'ils ont voulu continuer ces plaisirs. Les femelles de royalistes manquant, ils s'adressent aux épouses des vrais patriotes. Déjà, à notre connaissance, vingt-trois ont subi cet horrible supplice et elles n'étaient coupables que d'adorer la nation. La veuve Pacaud, dont le mari a été tué à Chatillon par les Brigands lors de la dernière bataille, s'est vue, avec ses 4 petits enfants jetée dans un four. Nous avons voulu interposer notre autorité, les soldats nous ont menacés du même sort..."
• "…il avait même fait fusiller des municipalités entières, revêtues de leurs écharpes" (Mariteau, maire de Fontenay-le-Comte).Le quatrième en partant du bas...
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Éphéméride du 23 mars
1821 : Découverte de la Bauxite, qui tire son nom du village des Baux-de-Provence
1594 : Première partie de Jeu de Paume pour Henri IV, un jour après son entrée dans Paris
La veille, le roi a fait son entrée dans Paris (voir l'Éphéméride du 22 mars), la ville qu'il assiégeait depuis le 30 juillet 1589 (presque cinq ans !...) et qui se refusait obstinément à lui...
Pourquoi donc, car cela paraît surprenant plusieurs siècles après, commencer en quelque sorte ses activités dans une capitale si chèrement et si longuement convoitée par... une partie de Jeu de Paume ? On le comprendra mieux si l'on se replonge quelques instants dans la mentalité, les moeurs et les goûts de l'époque...
Ancêtre direct du Tennis, mais aussi de la Pelote basque et, plus généralement de tous les jeux de raquette, le Jeu de Paume était extraordinairement populaire sous la Royauté (le mot anglais "tennis" vient du français "tenez !", mot que dit le joueur à son partenaire en lançant le service).
La paume consistait à se renvoyer une balle, appelée éteuf, au-dessus d'un filet; on jouait en individuel (1 contre 1) ou en double (2 contre 2).
Très vite (XIIIème siècle) les joueurs portèrent un gant de cuir, afin de protéger la main qui frappait la balle; au début, la paume se pratiquait en plein air, mais à partir du XIVème siècle on se mit à jouer dans des terrains de jeu couverts : les salles de jeu de paume, également appelées tripots...
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Un rendez-vous à ne pas manquer...
En hommage au grand Charette et à tous les "Géants" des guerres de Vendée, on nous permettra de profiter de l'occasion pour signaler la parution de notre Feuilleton, qui leur rend hommage et dénonce le Génocide/mémoricide :
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Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...
Elle est consacrée, entre autre, à notre ami Jean-François Mattéi, décédé brutalement, et trop tôt, ce triste 24 mars 2014...
lafautearousseau
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Axel Tisserand à Levallois-Perret, ce vendredi 24 mars...
La section des Hauts-de-Seine de l'Action française vous convie à un dîner-débat sur « La Voie capétienne », en présence d'Axel Tisserand, ancien élève de Pierre Boutang, agrégé des lettres classiques et docteur en sciences religieuses de l'École Pratique des Hautes Études.• Métro 3 - Bus 174 : Anatole France• Tarif normal : 30 € / Étudiants, chômeurs : 20 €• Réservation obligatoire et renseignements : levallois@actionfrancaise.net -
Une exclusivité lafautearousseau : les Éphémérides de chaque jour de l'année...
Aimer la France, la servir, c'est d'abord connaître son Histoire et ceux qui l'ont faite : artistes, savants, hommes de guerre et d'Église, inventeurs, architectes, maçons et jardiniers...
Chaque jour, au milieu de notre série d'articles, vous trouvez l'Éphéméride quotidienne, mais vous pouvez retrouver ici, d'un coup, toutes les Éphémérides de l'année, ainsi que la musique qui les accompagne souvent, et l'Album "L'aventure France racontée par les Cartes..." :
Éphémérides de lafautearousseau
Nos Éphémérides : non pas une millionième Histoire de France, mais bien plutôt une Balade dans notre Culture...
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MARTIGUES/MAISON MAURRAS : NON ASSISTANCE À MONUMENT EN DANGER !
AUJOURD'HUI, APRÈS PLUSIEURS ANNÉES DE FERMETURE, 2.354ème JOUR "D'ABANDON DE FAIT" DE LA BASTIDE MALGRÉ LE VOTE "POUDRE AUX YEUX" DU CONSEIL MUNICIPAL PROMETTANT DES TRAVAUX...
Jamais ouverte, aérée, ventilée; jamais chauffée depuis plusieurs hivers; exposée sans aucun entretien aux intempéries et à l'humidité, ici plus qu'ailleurs, dans cette ville "bâtie non pas au bord de l'eau mais dans l'eau" (Alexandre Dumas) : tel est l'état pitoyable dans lequel la très riche Mairie de Martigues laisse la très belle bastide de Maurras, au Chemin de Paradis, l'un des deux seuls édifices civils du XVIIème siècle que possède la Ville, et que celle-ci, par sectarisme haineux, laisse littéralement, pourrir sur pied...
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Vous ne connaissez pas Charles Maurras ? Ou, vous aimeriez mieux le connaître ? Ce Feuilleton/Album est fait pour vous...
Nous avons commencé la publication de ce feuilleton "Une visite chez Charles Maurras" le jeudi 3 novembre dernier, en vue de célébrer, à notre manière, le jour du 70ème anniversaire de l'entrée de Maurras dans la Vie, le 16 novembre 1952. Et nous l'avons poursuivie jusqu'à son yerme, le samedi 28 janvier 2023 (avec une seule interruption : le jour de Noël, puisque, c'est bien connu, et "racines chrétiennes obligent !", lafautearousseau fait relâche, trois fois par an, les jours de Noël, précisément, de Pâques et du 15 Août).
Nous espérons, ainsi, avoir contribué à faire connaître et, si possible, aimer, notre Maître de Martigues. "Le semeur sorti pour semer...", dit la parabole. Nous pensons avoir semé, le reste, maintenant, ne dépend plus de nous...
Nous allons nous contenter de proposer quotidiennement ce feuilleton sur la page d'accueil de notre Blog, juste après notre protestation calme et tranquille "Défendez Maurras ! Sauvez sa maison !". Un troisième document, en cours d'achèvement, et toujours sur Maurras, viendra très prochainement former - juste après les deux premiers - une trilogie quotidienne sur cette page d'accueil, permettant à ceux qui ne connaissent pas Maurras, ou qui ont été intoxiqués par la des-information du Système à son égard, de se faire leur opinion...
François Davin, Blogmestre
EN FEUILLETON : UNE VISITE CHEZ
Avec, en prime, à la fin de ce feuilleton et pour ceux qui le souhaitent : François DAVIN vous guide dans le jardin de la maison de Charles Maurras, en vous expliquant le sens et les symboles de ce jardin...
Première partie, 15'49 :
Deuxième partie, 16'12 :
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Maurras est ostracisé, "interdit" par le Système, pour cause d'antisémitisme. Bon, mais tous ceux-ci, qui ont écrit des propos très durs sur les Juifs, ne le sont pas : pourquoi ?
Petite et rapide anthologie de propos hostiles (parfois, des horreurs...) écrites sur les Juifs et "Israël" par des "personnalités" qui ont pignon sur rue, qui ont droit à tous les honneurs (enterré au Panthéon ou aux Invalides, leur nom donné à des rues et places ou à des lycées et autres édifices publics...).
Nous dédions cette petite compilation (non exhaustive, loin de là, très loin de là…) à celles et ceux qui accusent Maurras - avec indignation - d’antisémitisme, et le rayent pour cela de la liste des penseurs dont on peut parler; qui le néantisent, en quelque sorte, alors qu’ils ne font que manifester par là leur ignorance de ce que certaines autres personnes, qu’ils admirent, et dont ils pensent qu’on peut parler, ont dit, et qui est souvent très largement pire que ce qu’a pu dire Maurras…..
Pourquoi un tel "deux poids deux mesures" ?
Pourquoi une telle hypocrise, une telle Tartuferie ?
Tout simplement parce que Maurras n'est pas dangereux, pour le Système : il est
LE SEUL DANGEREUX !
et le système en a donc fait M. le Maudit, en cherchant contre lui une accusation infâmante, et croyant l'avoir trouvée en l'accusant... d'antisémitisme, et en l'interdisant donc, purement et simplement, sous ce fallacieux prétexte : et le tour est joué !
C'est cette malhonnêteté intellectuelle, ce mensonge permanent, cette escroquerie/tartuferie/hypocrisie que nous dénonçons ici, en laissant au lecteur le soin de juger, en lisant les extraits qui suivent...
"L'antisémitisme est un mal si l'on entend par là cet antisémitisme
de "peau" qui aboutit au pogrom et qui refuse de considérer dans le Juif
une créature humaine pétrie de bien et de mal, dans laquelle le bien peut
dominer. On ne me fera pas démordre d'une amitié naturelle pour les Juifs
bien nés."(Charles Maurras, L'Action française, 18 février 1937)
Libé, vous avez dit "antisémite" ? Alors, allons-y gaiement !...
Anti-sémitisme de Maurras ? Ou : l’ "hénaurme" mensonge sur lequel le Système est assis, sans complexe….
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NOTRE COMBAT : LE SYSTÈME CHANGE LE PEUPLE, CHANGEONS DE SYSTÈME ! (2/2)
Bien que fausse, la croyance en l'aptitude de la salamandre à pouvoir vivre dans le feu est largement répandue. A l'inverse, et à l'image de cet animal dans l'inconscient collectif, la République idéologique, elle, totalitarisme née des nuées des Encyclopédistes et des Révolutionnaires, vit fort bien dans l'Argent et de l'Argent.
Que l'on peut appeler aussi, dans un langage plus châtié, "la Fortune anonyme et vagabonde" (comme le faisait L'Action française) ou, plus prosaïquement, "la Finance, le fric".
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(1/2) Ces mots qu'il nous faut "reprendre", et auxquels il faut rendre leur vrai sens : l'alter-révolution passe aussi par la sémantique...
"Faites-leur avaler le mot, ils avaleront la chose" disait Clémenceau, et il avait raison. Nous acceptons trop souvent - pour ne pas dire toujours - le vocabulaire de nos adversaires, nous parlons avec leurs mots : nous avons perdu d'avance, si nous faisons et continuons comme cela...
• on parle de République et de Démocratie, mais nous ne sommes ni en République ni en Démocratie (les Suisses, par exemple, eux, le sont...) : nous sommes dans une république idéologique, une démocratie idéologique, l'une et l'autre totalitaires et qui se pensent comme une Religion : la Nouvelle Religion Républicaine, dont le but premier est la disparition par extermination de la religion traditionnelle, depuis deux mille ans, sur cette terre de Gaule, devenue France, qui "n'est pas un terrain vague" (Maurras)...
L'une des meilleurs preuves que nous ne sommes ni en république ni en démocratie est ce 13 décembre 2007, jour de la signature du Traité de Lisbonne. Ce traité reprend les points essentiels de la constitution européenne rejetée par référendum en 2005. Les 27 pays de l'Union Européenne le signent enterrant par la même occasion la volonté populaire... Bravo Sarkozy, chef du Système à l'époque, pour ce tour de passe-passe ! Et merci de montrer à tous que nous avons raison...
Oui, la "République française", sa "démocratie" sont une imposture...
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(2/2) Ces évènements historiques qu'il nous faut "reprendre", et qu'il faut re-nommer correctement : l'alter-révolution passe aussi par la sémantique...
"Faites-leur avaler le mot, ils avaleront la chose" disait Clémenceau, et il avait raison. De même que nous acceptons trop souvent - pour ne pas dire toujours - le vocabulaire de nos adversaires, que nous parlons avec leurs mots, de même nous nous laissons imposer - pire : nous les reprenons - les "appellations" choisies par nos adversaires menteurs, calomniateurs, traficoteurs et falsificateurs de l'Histoire : et, comme pour les mots du combat politique, nous avons perdu d'avance, si nous faisons et continuons comme cela...
• on parle de "prise de la Bastille" : c'est - du point de vue chronologique - le premier exemple de falsification historique par les révolutionnaires, aussi ignoble qu' "hénaurme" et mensonger. Il n'y avait que sept prisonniers, en 89, dans cette forteresse promise à la démolition : seul le manque d'argent était cause du report des travaux d'urbanisme prévus par Louis XVI, qui devaient la remplacer. Et il n'y avait qu'une petite centaine de gardes, à l'intérieur, commandés par le gouverneur de Launay. Le peuple de Paris ne s'élança pas à l'assaut de la forteresse (il ne s'agissait, comme toujours, que d'une infime partie de la population qui vociférait, là) et les canons ne tonnèrent pas, pas plus que les fusils ne tirèrent sur la prétendue "foule". Le gouverneur, dépassé, parlementa avec les émeutiers/énergumènes et obtint d'eux la promesse que ses soldats auraient la vie sauve s'il ouvrait les portes : il ouvrit, et les terroristes révolutionnaires massacrèrent tout le monde, promenant les têtes au bout de piques ! François Furet l'affirme : dès cet épisode, la Terreur est en gestation, "la culture politique qui peut conduire à la Terreur est présente dans la révolution française dès l'été 1789", et la prise de la Bastille inaugure "le spectacle de sang, qui va être inséparable de tous les grands épisodes révolutionnaires"... En parler comme d'un haut fait d'armes, c'est participer à la diffusion du mensonge révolutionnaire d'État et des "ridicules légendes de la Bastille" (Jacques Bainville)...