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Actualité France

  • La seule riposte possible pour l’Europe : faire la même chose que Trump ! par Marc Rousset

     

    Le Figaro du mercredi 9 avril, page 17, a eu l’honnêteté de présenter sur la même page deux thèses opposées, celles d’une personne intelligente et réaliste, madame Julie Girard, avec son article intitulé « Trump, le président du peuple contre l’élite financière ?» et un autre article écrit par Bertille Bayart, journaliste de la pensée unique, ayant pour titre : « Pourquoi la Chine risque de gagner la guerre commerciale », alors qu’il est plus que certain que l’Empire du milieu va la perdre !

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  • La décision visant Marine Le Pen est infondée en Droit sur ce qui relève de l’exécution provisoire...

    Sur notre Compte "X" Lafautearousseau Royaliste - LFAR :

    "On salue Noëlle Lenoir, membre honoraire du Conseil Constitutionnel, soulignant que la décision visant @MLP_officiel est infondée en Droit sur ce qui relève de l’exécution provisoire. Cette analyse rejoint celle de la Rédaction de lfar !
     
    Noëlle Lenoire, membre honoraire du Conseil Constitutionnel, à propos de l'inéligibilité de Marine Le Pen : "Cette décision n'est pas fondée en droit... Les juges ont tué la monarchie, ils vont tuer la République."
     
    (extrait vidéo 2'01)
     
     

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  • Affaire Le Pen : "Ça finira mal !..." dit le perroquet, dans le Conte de Jacques Bainville...

    Thucydide a raison :  "l'Histoire est un perpétuel recommencement...".

    Sous Louis XV et Louis XVI les Juges et les Parlements sont sortis de leur rôle et, ne se contentant plus de la Magistrature, ils firent de la Politique (du moins, celle de leurs intérêts de caste, de privilégiés, qu'ils étaient). Louis XV les renvoya, faisant ainsi la vraie révolution qui s'imposait alors, mais Louis XVI commit l'erreur fatale de les rappeler, ce qui rendit inévitable la catastrophe nationale, européenne et planétaire que l'on connaît sous le nom de "la Révolution" (car, lorsqu'il voulut les renvoyer à son tour, en 1787, se rendant compte de l'erreur fatale du début de son règne, il était trop tard).

    Mitterand, qui fit un passage par l'Action française, ne disait-il pas : "Méfiez-vous des Juges : ils ont détruit la Monarchie, ils détruiront la République..."

    Nous en sommes là. Politisés (à gauche, bien entendu), les Juges ne se contentent plus de jouer leur rôle (rendre la Justice) mais veulent faire - et font - de la politique (de gauche, bien entendu).

    Hier, ils ont flingué Fillon : résultat, on a eu les deux quinquennats calamito/cataclysmiques de Macron.

    Aujourd'hui, ils se "payent" Marine Le Pen.

    Ce n'est plus de la Justice, mais de l'injustice politicarde, car - on l'a bien compris, en France, en Europe et dans le monde - le but de la manoeuvre est d'empêcher Marine Le Pen de se présenter à la prochaine Présidentielle.

    Quitte, pour cela, à tourner le dos à près de huit siècles de saine et bonne Justice royale, qui survécut même à la funeste révolution : c'est Saint Louis qui, dans son Ordonnance de 1258, imposa le fait que toute décision de Justice serait dorénavant susceptible d'appel.

    On ne peut ici noyer le lecteur sous de volumineux détails en langue du Moye-Âge; citons seulement ce très court passage de l'Ordonnance royale :

    "Se aucun vaut fausser jugement, ou païs, ou il appartient que jugement soit faussé, il n’i aura point de bataille, mès les clains, et les respons, et les autres destrains de plet seront apportez en nostre court, et selon les erremens du plet, len fera depécier le jugement, ou tenir, et cil qui sera trouvé en son tort, l’amendera selon la coutume de la terre..."

    Même le lecteur non juriste d'aujourd'hui comprend que cette principale mesure du texte n’emploie pas le terme "appel", mais le très féodal "faussement". 

    Or, aujourd'hui, quel appel peut faire Marine Le Pen ?

    Aucun !

    Il est donc bien clair qu'on n'est plus, là, dans "la Justice" mais dans l'injustice politisée la plus insupportable; et la plus rétrograde, la plus passéiste, qui nous ramène plus de huit siècles en arrière !

    Et par quoi est-elle "justifiée", cette injustice ?

    • Par la crainte de récidive ? Mais il y a belle lurette que Marine Le Pen n'est plus député européenne !

    • Par la crainte que la personne poursuivie ne se soustraie à la Justice ?  Qui peut oser affirmer, sans crainte du ridicule qui tue encore, que Marine Le Pen envisagerait un seul millième de seconde de quitter la France ?

    • Par la crainte de destruction de preuves ? Mais, depuis le temps que dure cette "affaire", quelle preuve craint-on qu'il soit encore possible de détruire ?

    N'étant ni le Rassemblement national, ni les fondés de pouvoir de Marine Le Pen, ce n'est pas à nous d'entrer dans le jeu de cette misérable querelle.

     Nous nous contenterons d'en tirer la leçon politique : un tel scandale sert nos idées et notre proposition de "révolution de la Révolution", car il montre bien la perversité intrinsèque du Système issu de la république idéologique, elle-même issue de la Révolution; et que nous ne sommes ni en république, ni en démocratie...

    Il achève de discréditer ce Système, dont une récente étude - qui a fait grand bruit - montre qu'il ne jouit plus de la confiance des Français, qui ne croient plus en lui

    Au fond, ce que Maurras et la magnifique école de pensée que regroupa l'Action française n'ont pas réussi à faire en leur temps (détruire ce Système maléfique), c'est peut-être le Système lui-même qui est en train de le faire sous nos yeux, par ses tares et ses défauts intrinsèques (Chateaubriand dirait "son imperfection en politique..."); en s'affaissant sur lui-même, en se décomposant sous nos yeux, en ayant perdu toute force de respectabilité, de conviction et d'adhésion du Peuple...

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  • Affaire Le Pen : "Ça finira mal !..." dit le perroquet, dans le Conte de Jacques Bainville...

    Affaire Le Pen : "Ça finira mal !..." dit le perroquet, dans le Conte de Jacques Bainville...

    Thucydide a raison :  "l'Histoire est un perpétuel recommencement...".

    Sous Louis XV et Louis XVI les Juges et les Parlements sont sortis de leur rôle et, ne se contentant plus de la Magistrature, ils firent de la Politique (du moins, celle de leurs intérêts de caste, de privilégiés, qu'ils étaient). Louis XV les renvoya, faisant ainsi la vraie révolution qui s'imposait alors, mais Louis XVI commit l'erreur fatale de les rappeler, ce qui rendit inévitable la catastrophe nationale, européenne et planétaire que l'on connaît sous le nom de "la Révolution" (car, lorsqu'il voulut les renvoyer à son tour, en 1787, se rendant compte de l'erreur fatale du début de son règne, il était trop tard).

    Mitterand, qui fit un passage par l'Action française, ne disait-il pas : "Méfiez-vous des Juges : ils ont détruit la Monarchie, ils détruiront la République..."

    Nous en sommes là. Politisés (à gauche, bien entendu), les Juges ne se contentent plus de jouer leur rôle (rendre la Justice) mais veulent faire - et font - de la politique (de gauche, bien entendu).

    Hier, ils ont flingué Fillon : résultat, on a eu les deux quinquennats calamito/cataclysmiques de Macron.

    Aujourd'hui, ils se "payent" Marine Le Pen.

    Ce n'est plus de la Justice, mais de l'injustice politicarde, car - on l'a bien compris, en France, en Europe et dans le monde - le but de la manoeuvre est d'empêcher Marine Le Pen de se présenter à la prochaine Présidentielle.

    Quitte, pour cela, à tourner le dos à près de huit siècles de saine et bonne Justice royale, qui survécut même à la funeste révolution : c'est Saint Louis qui, dans son Ordonnance de 1258, imposa le fait que toute décision de Justice serait dorénavant susceptible d'appel.

    On ne peut ici noyer le lecteur sous de volumineux détails en langue du Moye-Âge; citons seulement ce très court passage de l'Ordonnance royale :

    "Se aucun vaut fausser jugement, ou païs, ou il appartient que jugement soit faussé, il n’i aura point de bataille, mès les clains, et les respons, et les autres destrains de plet seront apportez en nostre court, et selon les erremens du plet, len fera depécier le jugement, ou tenir, et cil qui sera trouvé en son tort, l’amendera selon la coutume de la terre..."

    Même le lecteur non juriste d'aujourd'hui comprend que cette principale mesure du texte n’emploie pas le terme "appel", mais le très féodal "faussement". 

    Or, aujourd'hui, quel appel peut faire Marine Le Pen ?

    Aucun !

    Il est donc bien clair qu'on n'est plus, là, dans "la Justice" mais dans l'injustice politisée la plus insupportable; et la plus rétrograde, la plus passéiste, qui nous ramène plus de huit siècles en arrière !

    Et par quoi est-elle "justifiée", cette injustice ?

    • Par la crainte de récidive ? Mais il y a belle lurette que Marine Le Pen n'est plus député européenne !

    • Par la crainte que la personne poursuivie ne se soustraie à la Justice ?  Qui peut oser affirmer, sans crainte du ridicule qui tue encore, que Marine Le Pen envisagerait un seul millième de seconde de quitter la France ?

    • Par la crainte de destruction de preuves ? Mais, depuis le temps que dure cette "affaire", quelle preuve craint-on qu'il soit encore possible de détruire ?

    N'étant ni le Rassemblement national, ni les fondés de pouvoir de Marine Le Pen, ce n'est pas à nous d'entrer dans le jeu de cette misérable querelle.

     Nous nous contenterons d'en tirer la leçon politique : un tel scandale sert nos idées et notre proposition de "révolution de la Révolution", car il montre bien la perversité intrinsèque du Système issu de la république idéologique, elle-même issue de la Révolution; et que nous ne sommes ni en république, ni en démocratie...

    Il achève de discréditer ce Système, dont une récente étude - qui a fait grand bruit - montre qu'il ne jouit plus de la confiance des Français, qui ne croient plus en lui

    Au fond, ce que Maurras et la magnifique école de pensée que regroupa l'Action française n'ont pas réussi à faire en leur temps (détruire ce Système maléfique), c'est peut-être le Système lui-même qui est en train de le faire sous nos yeux, par ses tares et ses défauts intrinsèques (Chateaubriand dirait "son imperfection en politique..."); en s'affaissant sur lui-même, en se décomposant sous nos yeux, en ayant perdu toute force de respectabilité, de conviction et d'adhésion du Peuple...

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  • RIDICULE !

    (rédigé/publié en direct, au moment même où la nomination de Bayrou était annoncée, ce vendredi...)Ridicule
     
     

    OUI, RIDICULE !

     

    Tout le monde se souvient des promesses du "jeune" Macron, pour se faire élire, avant son premier calamiteux quinquennat (le second l'étant tout  autant, avec cette seule consolation que ce sera le dernier : ouf !) : "je ferai de la politique autrement", et "je tournerai le dos à l'ancien monde"...

    Résultat : après sept années cataclysmiques, durant lesquelles il a fait à lui tout seul, passer notre Dette de 2.000 à 3.300 milliards (le Covid a bon dos !...) Macron nous sort de son chapeau tout rapiécé de vieux saltimbanque de rue tout misérable... un nouveau (!) premier Ministre, nommé... Bayrou !

    On éclaterait de rire, on se roulerait par terre, si ce n'était la France qui payait, qui faisait les frais de la "folie Macron", et, à travers la France,

    NOUS TOUS !

    En somme, tourner le dos à l'ancien monde et faire de la politique autrement, c'était donc pour "ça", après sept années de descente aux enfers : 

    Le marigot et ses caïmans installés au coeur du gouvernement !

    Et faire du vieux avec du vieux...

    On notera que la caïmane Bachelot (tout un programme !) appelait cette nomination de ses voeux, juste avant la nomination du caïman ancêtre : c'est bien connu, les loups ne se mangent pas entre eux...

    Que conclure de cet épisode tragi-comique, risible et, nous le disons en titre, carrément ridicule ?

    Que le Système, la République idéologique est à bout, qu'elle n'a plus rien à proposer , qu'elle est totalement déconnectée des réalités et du Pays réel, qui commence à n'avoir plus que de l'indifférence - au mieux - du mépris - au pire - pour cette République idéologique, qui agonise sous nos yeux...

    Macron, chef pitoyable d'un Système ridicule, se moque ouvertement de nous, et le Système est bloqué.

    ALORS ?

    ALORS, À BAS CE SYSTÈME SCLÉROSÉ, ARCHAÎQUE ET QUI NE RÉPOND PLUS AUX "EXIGENCES NATURELLES DES RÉALITÉS DE CE TEMPS" (COMME LE DISAIT LE COMTE DE PARIS, GRAND-PÈRE DE L'ACTUEL).

    Mais, si le Système se meurt, si le Système est mort (comme dirait Bossuet), nous, la France et les Français, ne voulons pas mourir !

    La France a un incroyable talent, c'est bien connu; elle regorge de personnes compétentes et entreprenantes : elles sont simplement stérilisées, bloquées par le Système.

    Entre la fertilité du Peuple français - qui ne demande qu'à étonner le monde, de nouveau - et la stérilité du Système mort qui nous entraîne vers le fond, nous avons choisi :

     

    À BAS CE SYSTÈME MORTIFÈRE,

     

    CETTE RÉPUBLIQUE IDÉOLOGIQUE

     

    QUI NOUS TUE !

     

    VIVE LA FRANCE !

     

    MAIS, POUR QUE VIVE LA FRANCE, 

     

    VIVE LE ROI !

     

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  • Novembre Résistance, par un double "NON" !

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    • Non au remplacement de la façon de vivre française par une pseudo et "anti" fête début novembre ("à l'eau, ouine !), puis par un matraquage mercantile poussant à la sur-consommation souvent inutile, source de gaspillage anti-écologique et souvent prétexte à des arnaques en tous genres fin novembre...

    • Non à l'imposition de la sous-culture en plastoc des états-désunis, et à l'anglo-ricanisation forcée par les intérêts strictement matériels du "fric", "la Fortune anonyme et vagabonde" dont parlait l'Action française...

    • Non à la dé-francisation, si bien menée par ce Système, cette République idéologique qui s'est construite, sans nos Racines historiques, culturelles et chrétiennes, en dehors d'elles et contre elles...

    NON À CES DEUX IMPORTATIONS FORCÊES !

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  • Macron s’en va-t-en guerre…

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    Le système gouverne mal mais se défend très bien…Être maurrassien, c’est avoir raison avant tout le monde quitte à avoir raison contre le monde entier. 

    Ces deux aphorismes pourraient résumer ce à quoi nous assistons ces derniers jours sur le front ukrainien. 
     
    Vaincue, désavouée, éliminée par le peuple américain - qui n’a sans doute ni oublié ni  pardonné les circonstances douteuses et les nombreuses incohérences du processus électoral de Jo Biden - l’administration Biden-Harris a donné dans la précipitation la plus totale, nous faisant presque penser à ces décisions gravissimes prises dans les dernières heures d’une défaite inéluctable, l’autorisation au gouvernement ukrainien de frapper la Russie avec des missiles de longue portée américains. 
     
    Cette décision, lourde de conséquences, a tout de suite été applaudie par le Royaume (bientôt désuni ?) de Grande Bretagne et la République macroniste du Francistan, qui ont immédiatement emboîté le pas de Washington, scellant un peu plus leur renoncement et l’anéantissement de tout rôle diplomatique pour ces deux ex puissances désormais valets et télégraphistes de la (corrompue) administration Biden - Harris. 
     
    Immédiatement après cette décision britannique et « francistaise » d’autoriser des missiles de longue portée, le Kremlin faisait savoir qu’il se réservait le droit de frapper les pays directement impliquées dans ces frappes, rappelant sa récente doctrine nucléaire. 
     
    On passera sur les pseudo experts militaires nous expliquant que Poutine se livre à un numéro d’intimidation, l’Action française n’ayant pas pour habitude de commenter les racolages ou les âneries. 
     
    Toutefois, il n’échappera à personne que l’administration Biden - Harris a violé une coutume constitutionnelle américaine consistant à préparer toute transition et passation de pouvoir dans le calme et de ne pas engager le pays diplomatiquement ou militairement de façon grave comme c’est le cas en l’espèce. Il n’y a pas de quoi s’en offusquer, d’aucuns nous diront que nous enfonçons des portes ouvertes, mais la vérité n’a pas de prix, a fortiori lorsque l’on est intégralement de l’Ecole de pensée d’Action française. 
     
    Pour revenir à la France (La France seule, non pas au sens d’une France isolée mais au sens de SEULEMENT la France !), on relèvera que cette décision émanant de l’Elysée, strictement de l’Elysée, est clairement assimilable à un acte de guerre. 
     
    N’écoutant que l’agenda de ses maîtres, Foutriquet II (le premier ayant tenu le rôle selon l’ouvrage éponyme de notre Maître, après Maurras, Pierre Boutang, était feu VGE) nous reparle de « souveraineté militaire et stratégique européenne », envoyant le Corniaud (pardon, Lecornu !) nous expliquer sur les plateaux de télévision que bombarder la Russie permet de faire fonctionner l’industrie de l’armement français. Le Corniaud feint d’oublier que si un missile hypersonique russe (déjà utilisé en Ukraine depuis quelques jours) est déclenché sur Paris, il nous sera très difficile, voire impossible d’éviter cette catastrophe. 
     
    Le jour où les Français seront sous les bombes russes, l’industrie sera probablement le cadet de leur souci. Mais l’essentiel n’est pas là, l’essentiel est d’appliquer l’agenda. 
     
    Ce jour, Foutriquet II envisage sérieusement un envoi de troupes au sol sous bannière bruxelloise. On ne reparlera même pas de la violation de la Constitution laissée par De Gaulle sur les conditions de déclaration de guerre, l’envoi de troupes au sol étant en lui-même, en Droit international public, un acte de guerre. 
     
    Lors de son procès, en 1945, Charles Maurras dans sa défense (dont la lecture dura près de 7 heures !) avait magnifiquement et brillamment visé ces politiciens lâches et inconscients, pacifistes d’alors qui se révélèrent bellicistes ! Les troupes de « crosses en l’air et rompons les rangs ! » devinrent les premiers sergents recruteurs aux mains pleines du sang des innocents qu’ils envoyèrent à la mort en ayant sciemment refusé la préparation à la guerre pourtant réclamée par Charles Maurras et l’Action française. 
     
    Pendant ce temps, Donald Trump crie dans le désert en attendant d’être investi Président des États Unis d’Amérique, ayant affirmé à plusieurs reprises sa volonté inébranlable d’arrêter le massacre en Ukraine et le financement du corrompu et clownesque Zelensky et de sa clique. 
     
    Les anti Américains primaires en sont pour leurs frais. L’Etat profond n’a ni nationalité, ni colonne vertébrale, ni foi (sauf peut-être celle dans le prince de ce monde ?), ni loi sauf celle de ses propres intérêts financiers et de pouvoir. 
     
    Étrangement, c’est la même administration qui finance l’Ukraine et soutient les lobbys du « Big Pharma ». 
     
    Il est grand temps que les criminels en col blanc regagnent les abîmes d’où ils sont sortis pour mentir, séduire, duper les peuples afin de les mener au suicide. Ne nous y trompons pas, Pierre Debray nous avait prévenu : La troisième guerre mondiale est commencée. 
     
    Ainsi revient cet aphorisme de Pierre Boutang lorsqu’il écrit que le dépositaire de la véritable légitimité « le premier rebelle et serviteur de la légitimité révolutionnaire » sera le Prince Chrétien. 
     
    Du front de l’Est au Proche Orient, du vieux Royaume de Kiev qui nous donna notre Reine Anne aux Etats Latins de Jérusalem, le Prince Chrétien, ou rien. 
     
    La Rédaction 
  • "L'AFFAIRE LE PEN" : UN COUP D'ÉTAT JUDICIAIRE...

    Inéligibilité requise contre Marine Le Pen: "Le parquet est passé dans un  domaine qui n'est pas judiciaire, mais politique", estime Jean-Paul Garraud  (député européen RN)

     

    En 1771, Louis XV avait, sagement, "renvoyé" les Parlements, car ceux-ci sortaient constamment de leur rôle, qui était judiciaire, et se mêlaient de faire de la politique. Et, en plus, non pas une politique pour le Peuple, pour la Nation, et à leur service, mais une politique de classe et de caste, ne visant qu'à préserver leurs intérêts et privilèges.

    Par cette sage décision, Louis XV évitait la Révolution, et permettait à l'administration royale d'organiser et mettre en pratique toutes les réformes dont le Pays avait besoin.

    Louis XVI - l'un des rares adeptes du "l'homme naît bon..." de Rousseau... - commit l'erreur funeste de "rappeler" ces Parlements, les croyant "bons" et pensant que son grand-père avait commis une erreur : revenus hautains et pleins de morgue, bien décidés à se venger, au lieu de servir le Peuple et la Nation, les Parlementaires reprirent leur travail de blocage de la Société afin de ne se préoccuper que de la seule chose qui leur importait : le maintien et la défense de leurs intérêts personnels égoïstes de classe et de caste.

    C'est ce blocage de la révolution royale en cours, grâce à Louis XV, qui rendit la Révolution inévitable. Mitterand - qui côtoya l'Action française dans sa jeunesse... - savait cela. C'est le sens de son mot bien connu : "Méfiez-vous des Juges : ils ont détruit la Royauté, ils détruiront la République..."

    Aujourd'hui, nous sommes revenus à cette époque des Parlementaires sortant de leur rôle - judiciaire - pour faire de la politique. "Leur" politique, de gauche et d'extrême-gauche, bien entendu... Et "l'affaire Marine Le Pen" - qui nous occupe ici - n'en est que le dernier exemple : l'incroyable sévérité des réquisitions du Procureur, dans une affaire ancienne et dans laquelle il n'y a aucun enrichissement personnel, montre bien que le Parquet est sorti - comme sous Louis XVI - du champ judiciaire pour entrer dans le domaine politique.

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  • 11 NOVEMBRE 1918...

     

    Depuis plusieurs semaines déjà, lafautearousseau - à côté et en plus de ses Éphémérides - compose un second ouvrage, destiné à faire connaître l'histoire de l'Action française, en général, et de l'Union Royaliste Provençale en particulier.

    Il ne s'agit ni dans un cas ni dans l'autre de "livres", au sens habituel du terme; et, pourtant, le but poursuivi est le même, mais c'est la méthode, la manière de présenter le sujet qui diffère :

    • en montrant au jour le jour la vie de "ce" et de "ceux" qui "font" le Pays (dans nos Éphémérides), nous essayons de permettre à qui le veut de découvrir et, si possible, aimer, notre Culture, notre Civilisation. Présenter le tout sans ordre chronologique ne gêne pas; au contraire : aborder cet immense thème qu'est "la France" par bribes et morceaux (Montaigne dirait "à saut et à gambades...") apporte de l'inattendu et de la variété, permettant d'éviter, peut-être, l'ennui des longues énumérations...

    • nous avons essayé le même procédé dans nos "Documents pour servir à une Histoire de l'URP", et nos "Grandes "Une" de l'Action française" : à côté des traditionnelles histoire de l'Action française qui existent (plusieurs, excellentes...), présenter les combats du mouvement par thèmes et sujets permet de redonner de la vie à ces personnes maintenant entrées dans l'Histoire mais qui sont d'avantage montrées, de cette façon, "en chair et en os", "à chaud", les faisant peut-être mieux revivre qu'une présentation classique (forcément toujours un peu sèche, voire ennuyeuse...).

    En ce moment, nous sommes - justement - en plein dans la guerre de 14, et nos "Documents" rendent ainsi le plus bel hommage qui soit à nos glorieux aînés, en les ramenant, pour ainsi dire, sur le devant de la scène...

    En commençant, par exemple, avec le Commandant Dromard, notre premier Président :

    • en "Une" du numéro du Samedi 22 Juillet 1916 :

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    • en "Une" du numéro du Mercredi 7 Novembre 1917 :

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    Pour l'instant (mais nous avançons, évidemment, chaque jour), nous avons déjà terminée les deus premières séries suivantes, de quatre années chacune :

    • années 1908 à 1911 : Glané dans la rubrique "Ligue d'Action française" du quotidien (série proposée par François Davin, 1/9)...

    • années 1912 à 1915 : Glané dans la rubrique "Ligue d'Action française" du quotidien (série proposée par François Davin, 2/9)

    et nous achèverons vraisemblablement ce samedi la série en cours, qui couvre les quatre années 1916/1917/1918 /1919 :

    Glané dans la rubrique "Ligue d'Action française" du quotidien (de 1908 à 1944)... (série proposée par François Davin, 3/9)

    Une belle façon, nous l'espérons, de célébrer ce grand jour de la Victoire (que "la Gueuse" devait saboter puis perdre...) et de nous incliner devant l'héroïsme et le sacrifice de nos aînés...

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  • Maurras est mort, vive Maurras ! 

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    Nous avons constaté que la dernière demeure de Charles Maurras a été souillée par les « faux antifas mais vrais terroristes » qui, n’écoutant que leur courage et leur bravoure, se sont attaqués à de la pierre et à du marbre. L’histoire ne dit pas si la pierre et le marbre (forcément fascistes !) ont provoqué les courageux militants antifascistes…
     
    Il n’en demeure pas moins que les idiots utiles du système en ont profité pour faire étalage de leurs talents artistiques et pour taguer un subtil « À BAS L’AF ! ».
     
    À la Rédaction, cet atelier peinture niveau maternelle nous a rappelé les projets d’art des valeureux « antifas » à l’époque où l’Action française Marseille détenait son QG rue Navarin. 
     
    Le principe était simple : les antifas décoraient la porte d’entrée, les murs de la rue Navarin de délicates attentions. Les militants royalistes Marseillais découvraient, à leur retour, l’expression artistique « populaire » qui se faisait bien entendu de nuit ; officiellement pour des raisons d’inspiration artistique, officieusement pour ne pas se faire courser dans tout le quartier par les royalistes…
     
    On citera, pêle-mêle, des tags de menaces de mort aux militants, une grenade sur la porte du local, une balle d’AK-47 dans la boîte aux lettres, des slogans antifa ou encore la destruction de la porte du local d’à côté (comprenez les, ils ne sont pas tous capables de faire la différence entre le 12 et le 14 de la rue Navarin). 
     
    Comme dans les aventures d’Asterix et Obélix, les Romains attaquaient systématiquement le village gaulois d’Action française, et comme d’habitude, ce sont les antifas qui nous gratifiaient d’un sprint digne d’Usain Bolt en hurlant ensuite aux « violences fascistes ». 
     
    D’une anecdote à l’autre, on s’est souvenu de l’un de leurs chefs, ayant ses habitudes « en terrasse » déclarer à la presse : « Avec eux, la violence, on a essayé. Ça marche pas… ». 
     
    Il faut croire que les « antifa », déjà champions de 100 mètres, spécialistes d’arts plastiques, ont décidé de mener une action d’éclat tout en ménageant les hommes et le matériel. 
     
    Une tombe ne rend pas les coups, un militant royaliste, si. 
     
    C’est dire la couardise de l’acte…

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  • Jusqu'au 30 0ctobre, soutenons le combat de notre ami Guilhem de Tarlé contre les éoliennes...

    Guilhem de Tarlé termine sa chronique parue ce samedi dans lafautearousseau par ces mots : 

    "...Cette propagande tombait mal au moment où, à nouveau, dans mon village berrichon, on se bat contre ce fléau en subissant une « commission d’enquête » à laquelle j’invite tout le monde à répondre pour dire définitivement Non à la défiguration de notre pays et à la gabegie financière qu’elle représente :

    www.registre-dematerialise.fr/5564/  

    (jusqu’au 30 octobre).

    Merci à chacun et à tous de votre contribution."

    Puisque notre Ami nous invite, que personne ne se dérobe à son appel !

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  • Jusqu'au 30 0ctobre, soutenons le combat de notre ami Guilhem de Tarlé contre les éoliennes...

    Guilhem de Tarlé termine sa chronique parue ce samedi dans lafautearousseau par ces mots : 

    "...Cette propagande tombait mal au moment où, à nouveau, dans mon village berrichon, on se bat contre ce fléau en subissant une « commission d’enquête » à laquelle j’invite tout le monde à répondre pour dire définitivement Non à la défiguration de notre pays et à la gabegie financière qu’elle représente :

    www.registre-dematerialise.fr/5564/  

    (jusqu’au 30 octobre).

    Merci à chacun et à tous de votre contribution."

    Puisque notre Ami nous invite, que personne ne se dérobe à son appel !

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  • Il faut savoir lire les signes... Les cloches sont de retour à Notre-Dame !

    Le 8 décembre est la fête de l'Immaculée conception, célébrant la Vierge Marie. 

    • Même - et surtout ! - dans le Système qui se veut la Nouvelle Religion républicaine, pensée, voulue et imposée contre et en haine de la foi chrétienne traditionnelle de nos ancêtres, depuis 2.000 ans, sur cette vieille terre qui n'est pas un terrain vague"...

    • Même - et surtout - si c'est l'actuel chef de cette Nouvelle Religion anti-chrétienne - "Robespierre en costard" - qui a décidé de cette date...

    ...il faudrait être singulièrement mal-voyant ou mal-comprenant pour ne pas voir la douce ironie venue d'En-Haut dans ce signe qu'est le retour des cloches dans notre Notre-Dame, Notre-Dame de Paris, Notre-Dame de tous les Français...

    https://www.lexpress.fr/societe/chantier-de-notre-dame-de-paris-la-repose-des-huit-cloches-terminee-W3K6RO7TNNHWDCCOVB7MN4657Y/

  • Jean-Claude Dusse n'ira plus travailler "le planter de bâton"...

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    ...ni "boire un vin chaud" ensuite...

    https://www.programme-tv.net/news/cinema/362017-mort-de-michel-blanc-linoubliable-jean-claude-dusse-des-bronzes-a-72-ans/