Actualité France - Page 3
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Des "européennes", hier, aux "Législatives", demain : la position de lafautearousseau...
...exprimée dès le lendemain du vote, en entame de notre Revue de Presse et d'actualité du Lundi 9 Juin :Nous sommes - forcément - "dans" le Système, même si, évidemment, nous ne sommes pas "du" Système. Nous ne nous intéressons donc pas aux jeux politiciens de ce Régime à bout de souffle, mais, pourtant, nous ne pouvons ni ne devons nous désintéresser de ce qui se passe autour de nous, car c'est, tout simplement, la vie des Français, et la nôtre. Et si "nous n'y sommes pas", nous n'existons pas...
Persuadés que ce n'est pas par des changements de majorités que l'on sauvera la France de l'état calamiteux dans lequel l'a mis la République idéologique depuis un siècle - depuis son instauration en 1875 - nous considérons avec scepticisme les alliances, jeux, rejets ou embrassades diverses et variées qui ponctuent notre vie politique, et, surtout, notre décadence, inéluctable et continue depuis 1875...
Et pourtant, il nous faut bien "faire avec" ce que nous avons, c'est-à-dire la France, dans l'état où elle est aujourd'hui.
Nous nous contenterons donc de dresser un constat rapide de la situation, et de dire, malgré tout, ce qui pourra peut-être sortir de moins mauvais du cataclysme d'hier soir...
1. Le deuxième quinquennat de Macron est terminé, de fait, et c'est tant mieux. Aussi désastreux que le premier (hausse vertigineuse de la Dette, de l'invasion étrangère et de son corollaire, l'insécurité...), voilà son "chef" (?) condamné, au mieux, à de la cohabitation, pour le temps qu'il lui reste à sévir, contre la France et les Français...
2. Trois "zones politiques" apparaissent, pour les prochaines Législatives, dans trois semaines (entre parenthèse, Macron aurait pu attendre la fin des JO : dissoudre, avec un calendrier aussi précipité, n’est-ce pas prendre un gros risque pour l’ordre public ?...) :
• à gauche et à l'extrême-gauche, guerre civile entre les plus "enragés" (LFI, les "revenants de la section des piques de 1793") qui veulent ramener à la vie leur Nupes terroriste et proposent riens moins qu'un Front populaire : on en a déjà eu un, en 36, on a déjà donné, et on a vu, justement, ce que cela a donné ! Alors, un nouveau Front popu ? Merci, mais... non merci ! Heureusement, beaucoup, là-bas, ne peuvent plus voir Mélenchon en peinture, si l'on nous passe l'expression...
• dans l'extrême-centre, ou l'extrême n'importe quoi, tant on ne sait plus comment nommer cette sorte de magma, cette "chose" qui est tout sauf "politique" et qui a tout en tête, sauf l'intérêt et la défense de la France et des Français, c'est "panique à bord" et "le bateau coule" : on voit très mal qui va pouvoir surnager (nous parlons d'élus) dans ce cataclysme et cette démoralisation générale de ce qui n'est même plus un "camp"...
• enfin, reste le camp des Patriotes, des souverainistes, de ceux qui raisonnent en terme de "Nation française" et pas d'Europe fédérale ou on ne sait trop quelle niaiserie aussi vaine que dangereuse et mortifère. Ce camp, les journaleux du "sévice public", la gauche, les terroristes et les bobos l'appellent, jouant à se faire peur, "l'extrême droite". Les pauvres... Laissons les à leur inculture, leur mauvaise foi et leur malhonnêteté indécrottables... Et revenons-en à ce que nous avons dit en commençant : si les Patriotes (Rassemblement national, Reconquête, Debout la France et autres) s'entendent et forment un Front de réaction à la chute accélérée du pays, on peut avoir une bonne Chambre, à la fin du mois, comme on a eu la bonne "Chambre bleu horizon", en 1919.
Ce sera, ce serait, évidemment, moins pire que ce que l'on a aujourd'hui. Mais n'oublions pas que la Chambre bleu horizon n'a eu qu'un temps, et que le Cartel des Gauches, qui l'a remplacé, à défait ce qu'elle avait fait...
Alors, souhaiter une victoire des patriotes/souverainistes pour dans trois semaines, oui, bien sûr. Mais sans la moindre illusion sur le fond des choses : ce dont la France est malade, et peut mourir, c'est du Système, de la République idéologique, et ce n'est pas un changement de Chambre qui la sauvera, mais un changement de Régime.
Donc, si les Patriotes/souverainistes ont la sagesse de s'entendre et de s'allier, nous les soutiendrons et voterons pour eux, mais, en parallèle, nous continuerons de mener la seule action qui vaille :
"étant réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du régime..." (Léon Daudet)
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Européennes : Martigues désavoue largement ses élus communistes...
Notre ami Philippe Kaminski nous écrit :"Martigues désavoue largement ses élus communistes : 7.22% contre SIX FOIS PLUS pour le RN. Encourageant pour nous ???Et maintenant ? Quel parti en tirer ?"Nous lui répondons que, certes, cela est encourageant (car le séisme touche aussi les villes anciennement ultra communistes, comme Port Saint Louis du Rhône et toute cette "ceinture rouge" de la Martigues anciennement "tout rouge", aujourd'hui "ville union de la gauche" (?), avec seulement le Maire qui est communiste .Et, certes, la lente érosion du communisme et de la gauche se poursuit, à Martigues comme ailleurs : mais on partait, là, de tellement haut !Le problème est que "les européennes" ne sont pas "transposables" aux Municipales : là, le taux d'abstention est moins élevé, et tous les envahisseurs, nombreux et choyés par la Mairie, votent "coco/à gauche"...Quoi qu'il en soit, pour les Législatives à Martigues, dans trois semaines, lafautearousseau appelle d'ores et déjà à voter pour le candidat Patriote/Souverainiste. ..Résultats européennes à Martigues : le RN arrive en tête avec 41,69%, suivi par LFI avec 11,93%
À Martigues, Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement National, remporte le plus de suffrage avec 41,69%.
À Martigues, le Rassemblement National, avec Jordan Bardella comme tête de liste, arrive en première position des élections européennes, recueillant 41,69% des suffrages. Il est suivi par Manon Aubry, de La France insoumise avec 11,93%, puis de Raphaël Glucksmann (PS - Place publique) qui comptabilise 9,53% des voix.
Retrouvez les résultats des huit principales têtes de liste à Martigues :
Jordan Bardella (Rassemblement national) : 41,69%
Manon Aubry (La France insoumise) : 11,93%
Raphaël Glucksmann (PS - Place publique) : 9,53%
Valérie Hayer (Renaissance) : 8,97%
Léon Deffontaines (PCF - Gauche unie) : 7,22%
Marion Maréchal (Reconquête !) : 5,56%
Marie Toussaint (Les Écologistes) : 3,52%
François-Xavier Bellamy (Les Républicains) : 3,43%
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Des Européennes, hier, aux Législatives, demain : la position de lafautearousseau...
...exprimée dès le lendemain du vote, en entame de notre Revue de Presse et d'actualité du Lundi 9 Juin :Nous sommes - forcément - "dans" le Système, même si, évidemment, nous ne sommes pas "du" Système. Nous ne nous intéressons donc pas aux jeux politiciens de ce Régime à bout de souffle, mais, pourtant, nous ne pouvons ni ne devons nous désintéresser de ce qui se passe autour de nous, car c'est, tout simplement, la vie des Français, et la nôtre. Et si "nous n'y sommes pas", nous n'existons pas...
Persuadés que ce n'est pas par des changements de majorités que l'on sauvera la France de l'état calamiteux dans lequel l'a mis la République idéologique depuis un siècle - depuis son instauration en 1875 - nous considérons avec scepticisme les alliances, jeux, rejets ou embrassades diverses et variées qui ponctuent notre vie politique, et, surtout, notre décadence, inéluctable et continue depuis 1875...
Et pourtant, il nous faut bien "faire avec" ce que nous avons, c'est-à-dire la France, dans l'état où elle est aujourd'hui.
Nous nous contenterons donc de dresser un constat rapide de la situation, et de dire, malgré tout, ce qui pourra peut-être sortir de moins mauvais du cataclysme d'hier soir...
1. Le deuxième quinquennat de Macron est terminé, de fait, et c'est tant mieux. Aussi désastreux que le premier (hausse vertigineuse de la Dette, de l'invasion étrangère et de son corollaire, l'insécurité...), voilà son "chef" (?) condamné, au mieux, à de la cohabitation, pour le temps qu'il lui reste à sévir, contre la France et les Français...
2. Trois "zones politiques" apparaissent, pour les prochaines Législatives, dans trois semaines (entre parenthèse, Macron aurait pu attendre la fin des JO : dissoudre, avec un calendrier aussi précipité, n’est-ce pas prendre un gros risque pour l’ordre public ?...) :
• à gauche et à l'extrême-gauche, guerre civile entre les plus "enragés" (LFI, les "revenants de la section des piques de 1793") qui veulent ramener à la vie leur Nupes terroriste et proposent riens moins qu'un Front populaire : on en a déjà eu un, en 36, on a déjà donné, et on a vu, justement, ce que cela a donné ! Alors, un nouveau Front popu ? Merci, mais... non merci ! Heureusement, beaucoup, là-bas, ne peuvent plus voir Mélenchon en peinture, si l'on nous passe l'expression...
• dans l'extrême-centre, ou l'extrême n'importe quoi, tant on ne sait plus comment nommer cette sorte de magma, cette "chose" qui est tout sauf "politique" et qui a tout en tête, sauf l'intérêt et la défense de la France et des Français, c'est "panique à bord" et "le bateau coule" : on voit très mal qui va pouvoir surnager (nous parlons d'élus) dans ce cataclysme et cette démoralisation générale de ce qui n'est même plus un "camp"...
• enfin, reste le camp des Patriotes, des souverainistes, de ceux qui raisonnent en terme de "Nation française" et pas d'Europe fédérale ou on ne sait trop quelle niaiserie aussi vaine que dangereuse et mortifère. Ce camp, les journaleux du "sévice public", la gauche, les terroristes et les bobos l'appellent, jouant à se faire peur, "l'extrême droite". Les pauvres... Laissons les à leur inculture, leur mauvaise foi et leur malhonnêteté indécrottables... Et revenons-en à ce que nous avons dit en commençant : si les Patriotes (Rassemblement national, Reconquête, Debout la France et autres) s'entendent et forment un Front de réaction à la chute accélérée du pays, on peut avoir une bonne Chambre, à la fin du mois, comme on a eu la bonne "Chambre bleu horizon", en 1919.
Ce sera, ce serait, évidemment, moins pire que ce que l'on a aujourd'hui. Mais n'oublions pas que la Chambre bleu horizon n'a eu qu'un temps, et que le Cartel des Gauches, qui l'a remplacé, à défait ce qu'elle avait fait...
Alors, souhaiter une victoire des patriotes/souverainistes pour dans trois semaines, oui, bien sûr. Mais sans la moindre illusion sur le fond des choses : ce dont la France est malade, et peut mourir, c'est du Système, de la République idéologique, et ce n'est pas un changement de Chambre qui la sauvera, mais un changement de Régime.
Donc, si les Patriotes/souverainistes ont la sagesse de s'entendre et de s'allier, nous les soutiendrons et voterons pour eux, mais, en parallèle, nous continuerons de mener la seule action qui vaille :
"étant réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du régime..." (Léon Daudet)
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Européennes : Martigues désavoue largement ses élus communistes...
Notre ami Philippe Kaminski nous écrit :"Martigues désavoue largement ses élus communistes : 7.22% contre SIX FOIS PLUS pour le RN. Encourageant pour nous ???Et maintenant ? Quel parti en tirer ?"Nous lui répondons que, certes, cela est encourageant (car le séisme touche aussi les villes anciennement ultra communistes - comme Port Saint Louis du Rhône et toute cette "ceinture rouge" de la Martigues anciennement "tout rouge", aujourd'hui "ville union de la gauche" (?), dont seul le Maire est communiste.Et, certes, la lente érosion du communisme et de la gauche se poursuit, à Martigues comme ailleurs : mais on partait, là, de tellement haut !Le problème est que "les européennes" ne sont pas "transposables" aux Municipales : là, le taux d'abstention est moins élevé, et tous les envahisseurs, nombreux et choyés par la Mairie, votent "coco/à gauche"...Quoi qu'il en soit, pour les Législatives à Martigues, dans trois semaines, lafautearousseau appelle d'ores et déjà à voter pour le candidat Patriote/Souverainiste. ..Résultats européennes à Martigues : le RN arrive en tête avec 41,69%, suivi par LFI avec 11,93%
À Martigues, Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement National, remporte le plus de suffrage avec 41,69%.
À Martigues, le Rassemblement National, avec Jordan Bardella comme tête de liste, arrive en première position des élections européennes, recueillant 41,69% des suffrages. Il est suivi par Manon Aubry, de La France insoumise avec 11,93%, puis de Raphaël Glucksmann (PS - Place publique) qui comptabilise 9,53% des voix.
Retrouvez les résultats des huit principales têtes de liste à Martigues :
Jordan Bardella (Rassemblement national) : 41,69%
Manon Aubry (La France insoumise) : 11,93%
Raphaël Glucksmann (PS - Place publique) : 9,53%
Valérie Hayer (Renaissance) : 8,97%
Léon Deffontaines (PCF - Gauche unie) : 7,22%
Marion Maréchal (Reconquête !) : 5,56%
Marie Toussaint (Les Écologistes) : 3,52%
François-Xavier Bellamy (Les Républicains) : 3,43%
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Hommage à Marie-France Garaud, qui a aimé la France et sa grandeur, et a toujours bien servi l'une et l'autre...
Posté par Gaullisme, sur tweeter :
"1981, candidate à l'élection présidentielle, Marie-France Garaud lit la lettre qu'elle a adressée à Valéry Giscard d'Estaing qui a conduit les Français à douter de la France et d'eux-mêmes. Constat sévère qui peut s'appliquer presque mot à mot à la situation actuelle du pays" :
(extrait vidéo 5'25)
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Nouvelle-Calédonie : Reprenons le contrôle.
Lire sur le site de l'Action française
Paris, le 18 mai 2024
Nouvelle-Calédonie
La Nouvelle Calédonie est de nouveau livrée à un déchaînement de violence, qui a fait plusieurs morts, dont, déjà, deux gendarmes. Voici le témoignage d’un habitant membre de l’Alliance Champlain (Nouméa).
« Nous vivons des moments éprouvants. Des évènements difficiles à vivre se sont déroulés au cours des derniers jours. Des hordes de jeunes de 10 à 20 ans à peine, alcoolisées et « cannabisées », commandités par des leaders indépendantistes ont brulé et pillé à tout va. La raison politique est un élargissement du corps électoral étendu à dix ans de résidence ; il faut savoir qu’actuellement ce corps électoral est gelé depuis 1998 soit 26 ans. Il n’était pas envisageable qu’il le soit éternellement. Les indépendantistes s’y opposent absolument car ils perdraient définitivement le contrôle du pays vu que les Kanaks ne représentent que 41% de la population. Le gouvernement actuel est indépendantiste par le jeu d’alliances contre nature.
Le calme revient progressivement avec l’état d’urgence. Mais il y a de nombreuses conséquences pour le vivre ensemble. Les dégâts sont incommensurables. Nous avons passé plusieurs nuits à protéger notre quartier avec des barrages de fortune dans les rues l’avoisinant ce qui a permis de limiter les conséquences. On était plusieurs centaines de personnes à se relayer 24 heures sur 24.
Voilà ce que je peux dire. Je suis épuisé par ces derniers jours. »
Le chef de l’État, ici comme ailleurs, obsédé par la soumission de la France à Bruxelles où se dessine le gouvernement du nouvel empire, est impuissant devant une situation prévisible.
Nous condamnons bien sûr cette violence, mais aussi l’incapacité d’un État qui ne croit pas en la France comme nation souveraine et qui gère les situations critiques qu’il génère lui-même par une politique hésitante et au doigt mouillé. Nous réaffirmons également la souveraineté de la France sur ce territoire qui a choisi par trois fois de rester dans son giron.
Reprenons le contrôle.
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La Nouvelle Calédonie, c'est la France !
Action FrançaiseFace aux ingérences étrangères qui suscitent un mouvement anti français et anti blanc en Nouvelle-Calédonie, nous répétons :la Nouvelle-Calédonie c’est la France !Les pillards et les assassins doivent être punis et l’ordre restauré. -
La République idéologique est tombée bien bas...
Si la devise de Fouquet était "Quo non ascendam ?" (jusqu'où ne monterai-je pas ?), celle de la République idéologique (en latin de cuisine) est certainement : "Quo non descendet ?" (jusqu'où ne descendra-t-elle pas ?)
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Tellement vrai !...
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Élections européennes : à défaut de Souverain, votons souverainiste !
Paris, le 22 avril 2024
Élections européennes : à défaut de Souverain, votons souverainiste !
Les élections européennes sont pour tous les Français soucieux de l’intérêt national une occasion, certes incomplète et imparfaite, d’infléchir le projet européen. Ce projet – la suppression des souverainetés nationales au profit d’une entité supranationale fondée sur les principes de libre circulation des biens, des personnes, des capitaux et des marchandises –, que nous dénonçons depuis son origine, est non seulement une aberration en soi, mais elle a, de plus, largement fait la preuve de son caractère inutile, voire néfaste, notamment en matière d’économie, d’agriculture ou d’immigration.
L’Action française redit haut et fort son opposition à l’Union européenne, dirigée par une Commission autocratique et un Parlement sans légitimité réelle puisqu’il n’existe pas de peuple européen. Elle redit sa volonté d’œuvrer à l’abolition de cette structure technocratique au profit d’une union libre et circonstanciée des nations (gardant chacune sa souveraineté), qui du reste ne serait pas limitée au continent européen.
Aussi, à quelques semaines des élections législatives européennes, il nous semble important de soutenir la dynamique souverainiste, afin de donner à ses représentants les moyens de défendre les intérêts de la France. Cette dynamique a l’avantage d’envoyer un message clair au gouvernement et à tous les acteurs politiques et économiques qui se sont soumis à l’UE par conviction, par faiblesse ou par calcul : les Français veulent plus de France et moins d’Europe.
C’est pourquoi, il nous paraît important que les voix souverainistes ne se dispersent pas inutilement et s’inscrivent dans une recherche d’efficacité politique plutôt que de témoignage en se portant sur la liste patriote qui semblera la plus à même de peser au Parlement européen.
Indépendants de tous partis ou formations électorales, c’est librement que nous faisons cette recommandation. Seul l’intérêt de la France nous guide. C’est pourquoi le mot d’ordre de l’Action française n’a pas varié : par-delà toutes les élections, européennes ou nationales, elle rappelle qu’il n’y aura pas de souveraineté réelle sans Souverain.
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LA RÉPUBLIQUE INSTITUTIONNALISE LA MORT ! (communiqué du GAR, Groupe d'action royaliste)
Quelle gloire pour la république maçonnique d’inscrire dans sa constitution le droit pour toutes les femmes de pouvoir tuer leurs enfants à naître en leur sein. Et gare à celui qui s’y oppose ! Celui-là n’est que l’incarnation d’un obscurantisme Moyen Âgeux, un retour en arrière honteux, un arriéré qui n’a rien compris à la femme et à son rôle dans la société moderne.
Les républicains nous présentent l’avortement comme un progrès pour la femme. Mais en quoi le fait de pouvoir tuer son fils ou sa fille impunément, sur le simple motif qu’elle n’en a pas envie, est-il un progrès ? Ces avorteuses ne voient dans le futur bébé à naître qu’un simple fardeau à porter. Un peu à la façon d’un parasite qui a pris possession de son corps, et dont il est préférable de s’en débarrasser. Sauf que ce « parasite » en question n’est pas un être étranger au corps de la femme, étant donné qu’il est fait avec la moitié du sang de sa génitrice. L’autre moitié étant le père. Mais peu importe ! Une décision émanant d’un simple caprice est désormais suffisant pour que les femmes décident de tuer leur enfant en plein développement dans leur ventre. Un peu à l’instar de la Sparte païenne qui faisait tuer par des oracles, les enfants nés avec une apparence trop chétive ou malformé.
Et pour être sûr que cet acquis du « progrès » de la femme ne soit surtout pas remis en cause, les républicains l’inscrivent dans leur constitution à la gloire de leur chère Simone Veil, qui doit voir défiler de là-Haut les 230 000 âmes des bébés qui sont tués chaque année, sur l’autel du féminisme et de la déesse Marianne.
Bref ! La mort est une valeur consubstantielle à la république. Que ce soit l’avortement, l’euthanasie ou les suicides qu’elle déclenche chez beaucoup de personnes, il n’y a rien à attendre de la république et de ses pseudos valeur ! L’histoire et l’avenir nous imposent une seule chose : abolir la république en France et instituer un régime qui porte la vie comme valeur haute de la société, incarnée dans l’épanouissement d’une fleur de lys au soleil ! Criez « Victoire » chers républicains, avec la mort comme socle de vos idéaux. Si vous n’êtes pas faits pour la vie, alors vous n’êtes pas faits pour l’avenir ! Le futur nous appartient, parce que la vie est le moteur de nos idéaux !
Notre jour viendra !
P-P Blancher
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Communiqué de l’Action Française – Le prince des huées...
Emmanuel Macron a de nouveau été copieusement conspué à son arrivée au Salon de l’Agriculture. Ce nouvel épisode de huées est amplement justifié.
Devant la mobilisation paysanne, le Salon de l’Agriculture a été envahi par les CRS et les gardes mobiles, une façon de souhaiter un bon accueil de la part de l’Élysée.
Certains observateurs spécialistes du salon on fait ce constat :
« Cette année, nous avons droit à un Salon de l’Agriculture remarquable. Dans les filières d’exception, du jamais vu, nous pouvons admirer un éventail de poulets qui nous rend fiers !
Par croisements successifs, nous avons enfin des gallinacés bottés, casqués, pouvant porter visière et bouclier pour se protéger contre les intempéries et à même de résister au réchauffement climatique. »
Les Gaulois réfractaires ont gardé le sens de l’humour, même si pour beaucoup d’agriculteurs les temps sont tragiques.
Ce n’est pas le simulacre de débat que le président, qui est coutumier du fait, a ensuite tenu à huis clos avec quelques représentants des syndicats agricoles qui apaisera la colère des agriculteurs tant ce « seul en scène », qui mit fin au combat des gilets jaunes, fut un modèle de cuistrerie.
Ce n’est pas non plus le débat improvisé qui a suivi ou il a cru opportun d’employer un langage de charretier que le président fera illusion sur sa proximité avec le monde paysan : le respect et la qualité des propos tenus par les agriculteurs présents n’avaient d’égal que la vulgarité, l’arrogance et l’autosatisfaction dont il a fait preuve. Il ne suffit pas non plus de répéter à l’envie être « aux côtés des agriculteurs » pour effacer sept ans d’exercice du pouvoir pendant lesquels il a organisé avec Ursula von der Layen la détresse du monde paysan et poursuivi la déconstruction de l’agriculture française. Il ne suffit pas, enfin, de déambuler dans les allées du Salon de l’Agriculture, entouré de dizaines de gardes du corps, pour faire oublier qu’il est le promoteur assumé d’une politique européenne laquelle, fondée sur le principe de libre échange, ne permettra jamais la mise en place du protectionnisme minimum nécessaire que les agriculteurs appellent de leurs vœux et qui est le préalable à la résolution de la crise agricole.
Emmanuel Macron a, une fois encore, usé du subterfuge du débat improvisé pour tenter d‘apaiser, voire d’endormir, les esprits par un enfumage en règle. Ce faisant, il risque fort d’ajouter la frustration à la colère des paysans qui lui ont signifié que le temps du discours était révolu. La sauvegarde de l’agriculture française réclame des actes qu’il est incapable de mettre en œuvre tant il a placé notre pays sous la suzeraineté de Bruxelles.
Mais quand le pouvoir politique refuse de passer à l’acte, c’est bien souvent le peuple qui s’en charge… S’il veut éviter d’en arriver là, il doit d’abord rompre avec les règles européennes et le modèle mondialiste, quoi qu’il en coûte, et probablement en coûtera-t-il moins cher si le pays réel reprend le contrôle. Avec le scrutin qui vient, il faudra choisir : L’UE ou la France…
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Reçu de nos amis de GAR / INFOS...
LES RAISONS DE LA COLÈRE PAYSANNE.
Cela a commencé, cet automne, par des panneaux de communes retournés, et nombre de nos concitoyens ont d’abord cru à quelque plaisanterie d’adolescents… Puis, ce furent les échos, encore lointains, des manifestations d’agriculteurs d’Outre-Rhin ; et, tout d’un coup, un tronçon d’autoroute bloquée dans le Sud-Ouest, et des tracteurs que l’on entend plus près, plus insistants ; des ronds-points dans les campagnes à nouveau centres de toute l’attention des politiques et du gouvernement ; la grande peur du pays légal d’une nouvelle saison de Gilets colorés, cette fois verts…
« On marche sur la tête », voulaient signifier les panneaux retournés par des agriculteurs agacés avant que d’être véritablement en colère et en révolte : « pressés par des normes contradictoires, des taxes innombrables et une réglementation passablement complexe, – fruits de la nouvelle politique agricole commune (PAC) en vigueur depuis début 2023 – ils ont le sentiment de ne plus s’en sortir », écrit l’écrivain russe Olga Lossky dans les colonnes du Pèlerin (1), sage journal catholique dans lequel la question sociale n’est pourtant jamais oubliée au fil des numéros… N’est-ce qu’un sentiment, d’ailleurs ? Il me semble, à la lecture des témoignages des intéressés eux-mêmes, des analyses des économistes et des journalistes agricoles, et des chiffres nombreux qui accompagnent les articles de la presse (autant locale que nationale), que c’est plus encore une réalité, triste, vécue et subie surtout par des cultivateurs et des éleveurs français victimes d’un véritable système dont on ne sait plus trop où est le cœur (pour autant qu’il en ait un…).
La république e(s)t le drame paysan :
VISIONNER LA VIDEO -
Dans Valeurs, le bel et émouvant hommage de Zemmour à Patrick Buisson...
https://www.valeursactuelles.com/societe/exclu-va-eric-zemmour-patrick-buisson-un-ami-de-trente-ans