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Idées, débats...

  • Pour votre Valentine, dites le avec Maurras ! 

    La Saint Valentin…
     
    Nous entendons d’ici les Polpotiens de niveau olympique nous dire : « Mais nous vous prenions pour des gens sérieux ! ». Nous leurs répondons qu’un Camelot triste serait un bien triste Camelot. 
     
    Cette réponse étant posée, il est vrai qu’à première vue, on se demande bien pourquoi des Maurrassiens auraient leur idée sur la Saint Valentin. 
     
    Avant toute chose, il serait bon de rappeler qu’à l’instar de Charles Maurras (notre Maître, et c’est un As !) que nous sommes des Latins, pétris par la civilisation gréco-romaine. Pour les puristes, ou ceux qui veulent parfaire leur culture sur le sujet, ouvrez le premier Tome des Œuvres Capitales de Charles Maurras…
     
    La Saint Valentin s’appuie, il n’est pas inutile de le rappeler sur la fête romaine et païenne dite des Lupercales. L’Ecole Française de Rome (parce que Wokipedia, c’est mignon, mais ça n’avance pas à grand chose) s’accorde avec certitude sur la Grotte du Lupercal, là où la Louve légendaire aurait, si l’on en croit le récit de la fondation de Rome, allaité Remus et Romulus (et pas Raimus et Rémoulade selon le bon mot de Desproges). 
     
    De nombreux auteurs de l’Antiquité Romaine ont écrit sur le sujet de cette fête, sa portée symbolique : Ciceron, Tite Live, Plutarque… mais hélas les sources ne donnent pas de signification une, absolument satisfaisante. L’on retrouve concrètement trois grandes symboliques : la première serait le rituel de la purification, le deuxième serait l’initiation des jeunes hommes devenant des guerriers et la troisième la libération des forces de la fécondité. 
     
    Visiblement, notre système en folie a retenu la troisième hypothèse, tout en confondant libération des forces et rodéo organisé à grand renfort de publicité. 
     
    Cela dit, l’Ecole Française de Rome analyse avec justesse que sous l’Empire comme sous la République, le rituel et la fête des Lupercales sont parfaitement révélateurs du lien évident et total entre identité religieuse et identité politique, c’est à dire l’appartenance à la Cité, à l’Empire. C’est ce constat conforme au « politique d’abord ! » qui a mené Charles Maurras à cette conclusion quant au catholicisme dans la monarchie en France avant d’être combattu et injustement sanctionné par la Papauté pour être réhabilité par Pie XII. 
     
    On ne fera pas l’injure à nos lecteurs de rappeler l’histoire de Valentin de Terni (pour les initiés connaisseurs de l’œuvre du Dr. Destouches prodiguant ses conseils au « bon Paraz », nous dirons « d’un Valentin, l’autre… »). 
     
    Aujourd’hui, non sans une influence américaine certaine, la « Saint Valentin », c’est la fête des amoureux. Ou plutôt celui du règne de la quantité et le signe des temps pour reprendre le titre d’un ouvrage célèbre de René Guénon au sujet duquel un article sera publié prochainement. 
     
    Mais revenons au titre de ce billet, dites le avec Maurras ! Avec beaucoup d’humour et de second degré, pour le peu de respect que cette « fête » plus proche des soldes sentimentales qu’un « je t’aime » sorti des tripes avant d’aller risquer sa vie, fleur de lys sur la veste à 10 contre 30, nous vous proposons ce mot d’amour : « Laisse moi te renverser, avant la république ! ». 
     
    Si Madame ne rit pas, barrez vous. 
     
    Pour vous, Mesdames, souvenez vous d’Ezra Pound : « Si un homme n’est pas prêt à mourir pour ses idées, soit ses idées ne valent rien, soit c’est lui qui ne vaut rien. ».
     
    La Rédaction 

  • Á propos de notre classe politique peu reluisante d'aujourd'hui...

    Ou : la fertilité du Peuple français, et la stérilité de la classe politique du Système, du Pays légal, de la République idéologique...

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  • Retour sur la notion de laïcité, dénaturée et dévoyée par la République idéologique...

    Notre lecture exhaustive de la collection de L'Action française nous fait découvrir, chaque semaine, des documents fort intéressants.

    Ainsi, par exemple, sur le thème de la laïcité, détournée en laïcisme par la République idéologique pour en, faire une arme redoutable dans le combat sans merci qu'elle livre à la religion chrétienne traditionnelle de la France, depuis deux mille ans (avant même que cette terre que nous habitons ne soit même devenue "la France"...).

    Nous avions déjà trouvé deux manchettes excellentes, concises et percutantes : dans les numéros du 19 Mars 1924 et du 19 Juillet suivant :

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    Nous sommes en train d'achever la lecture de l'année 1925, et voici que nous trouvons cette troisième manchette, dans le numéro du 25 Juillet 1925 (tirée du journal catholique La Croix, ce qui est savoureux lorsqu'on sait ce qui se passera un an et demi plus tard, du côté du "pape d'enfer", Pie XI...)

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  • Aujourd'hui : Ionesco...

    1970 : Eugène Ionesco est élu à l'Académie française
     
    Il reçoit 18 voix contre 9 à Jules Roy, et occupera le fauteuil de Jean Paulhan.
     
    Fils d'un Roumain et d'une Française, il s'installe en France en 1942 et écrit sa première œuvre dramatique, La Cantatrice chauve, sous-titrée "anti-pièce", en 1950.        
     
    Autre consécration, Ionesco sera le premier auteur à être publié de son vivant dans la prestigieuse bibliothèque de la Pléiade.
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    Article intitulé "Nos contemporains, les Gaulois", paru dans Le Figaro littéraire du 23 juin 1969 et repris dans l'ouvrage d'Eugène Ionesco intitulé Antidotes (Gallimard, 1977)
  • "Nous sommes France", nous n'avons jamais été et ne serons jamais "Charlie"...

     

    Nous ne sommes pas tous Charlie, nous sommes tous la France

     

    • 2. :

    « Je suis France » : c'est ce que diront - et rien d'autre - les patriotes français qui n'accepteront pas le lancinant formatage médiatique des dernières heures ...

     

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    Source : Action française Provence

     

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : 1792 : Quand les royalistes, en Martinique, ont battu les révolutionnaires...

    Tous nos lecteurs connaissent bien Antoine de Lacoste, qui nous offre très régulièrement ses chroniques moyen orientales. Qui nous offre aussi ses très intéressants et précieux conseils de lecture, que nous "passons" chaque vendredi dans notre Chronique "Littérature"  : Les livres d'Antoine.

    Aujourd'hui, c'est sa soeur, Odile, qui a les honneurs de notre quotidien, dans notre Éphéméride du jour. Celle-ci relate un fait d'arme évidemment passé sous silence par la vérité officielle, qui n'est qu'un grossier mensonge; et, pour rédiger cette "entrée", nous nous sommes basés sur la très intéressante monographie d'Odile de Lacoste : Vendée créole - La chouannerie en Martinique, dont nous conseillons la lecture à tous...

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    Page facebook : https://www.facebook.com/pages/category/Book/Les-livres-dAntoine-1636571 566438413/

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  • Novembre Résistance, par un double "NON" !

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    • Non au remplacement de la façon de vivre française par une pseudo et "anti" fête début novembre ("à l'eau, ouine !), puis par un matraquage mercantile poussant à la sur-consommation souvent inutile, source de gaspillage anti-écologique et souvent prétexte à des arnaques en tous genres fin novembre...

    • Non à l'imposition de la sous-culture en plastoc des états-désunis, et à l'anglo-ricanisation forcée par les intérêts strictement matériels du "fric", "la Fortune anonyme et vagabonde" dont parlait l'Action française...

    • Non à la dé-francisation, si bien menée par ce Système, cette République idéologique qui s'est construite, sans nos Racines historiques, culturelles et chrétiennes, en dehors d'elles et contre elles...

    NON À CES DEUX IMPORTATIONS FORCÊES !

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

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    Elle vous expliquera le puissant poème politique de Frédéric Mistral, La Coumtesso, dans lequel, sous une forme cryptée - très en vogue à l'époque... - l'auteur prône un sain régionalisme, un sain fédéralisme, face au centralisme jacobin réducteur et destructeur des libertés locales; et promoteur d'une désolante uniformité, aussi stérile qu'impolitique...

    Écrit par un Provençal, cette charge furieuse contre le Jacobinisme qui nous ampute de nos Racines concerne aussi bien un Basque qu'un Breton, un Corse qu'un Catalan, un Alsacien qu'un Flamand etc...

    Il concerne tous ceux qui sont fiers et heureux de leur patrie première, leur petite patrie, et veulent vivre un bi-linguisme et un bi-culturalisme enrichissant.

    lafautearousseau

  • De la splendeur à l'horreur, les JO "PARIS 2024", une parfaite allégorie de la France sous le poids du Système...

    De la beauté, des moments magnifiques et inoubliables, qui ont séduit et stupéfait la France entière et une grande partie du monde, il y en a eu, et en quantité, dès le début des JO "PARIS 2024"...

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    1. Dès l'arrivée du Belem à Marseille, l'émerveillement a commencé : les images aériennes de la retransmission télévisée ont bien montré la grande beauté du site naturel de notre Phocée, sous son magnifique soleil, lorsque le Belem se dirigeait vers l'entrée du Lacydon des Grecs : devant lui, à droite et à gauche, les deux forts voulus par Louis XIV :

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  • De la splendeur à l'horreur, les JO "PARIS 2024", une parfaite allégorie de la France sous le poids du Système...

    De la beauté, des moments magnifiques et inoubliables, qui ont séduit et stupéfait la France entière et une grande partie du monde, il y en a eu, et en quantité, dès le début des JO "PARIS 2024"...

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    1. Dès l'arrivée du Belem à Marseille, l'émerveillement a commencé : les images aériennes de la retransmission télévisée ont bien montré la grande beauté du site naturel de notre Phocée, sous son magnifique soleil, lorsque le Belem se dirigeait vers l'entrée du Lacydon des Grecs : devant lui, à droite et à gauche, les deux forts voulus par Louis XIV :

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Sociaux parce que royalistes !

    1784 : Naissance d'Alban de Villeneuve Bargemon

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    Il est sans conteste l'un des pionniers du magnifique mouvement des royalistes sociaux au XIXème siècle :

     

     (le scripte de cette vidéo ici : https://www.actionroyaliste.fr/le-precurseur-de-la-justice-sociale-alban-de-villeneuve-bargemont/)

     

     

    Avec Albert de Mun, voir l'Éphéméride du 6 octobre), La Tour du Pin (voir l'Éphéméride du 1er avril), Le Play (voir l'Éphéméride du 5 avril) et d'autres, il fait partie de ces Légitimistes trop souvent ignorés aujourd'hui, et injustement traités, à qui Michel Mourre a rendu justice, dans son Dictionnaire encyclopédique d’Histoire, article Légitimistes (page 2624, extrait) :

    "…Ce serait faire une caricature que de représenter tous les légitimistes comme des nostalgiques du passé, fermés aux problèmes de leur temps ; bien au contraire, ils furent les premiers, avec les socialistes, à dénoncer les méfaits du capitalisme sauvage. Villeneuve-Bargemon, dans son Traité d’économie politique chrétienne (1834) et Villermé, dans sa grande enquête de 1840 sur la condition ouvrière, furent les précurseurs du catholicisme social. Bénéficiant de la confiance d’une grande partie des masses rurales, les légitimistes firent campagne, souvent en liaison avec les républicains, contre le régime électoral censitaire de la Monarchie de Juillet. Leur force électorale se manifesta après la Révolution de 1848, avec 100 élus à l’Assemblée constituante (avril 1848) et 200 à l’Assemblée législative (mai 1849). Cédant à l’affolement suscité par l’émeute socialiste de juin 1848, la plupart des députés légitimistes se réunirent avec les orléanistes dans le "parti de l’Ordre" . Fermement hostiles au coup d’Etat du 2 décembre et au second Empire, ils apparurent, après les défaites de 1870, comme les hommes de l’ordre et de la paix et eurent de nouveau près de 200 élus à l’Assemblée nationale élue en février 1871.

    Ils incarnaient toujours la vieille France rurale, mais, avec Albert de Mun et La Tour du Pin, ils continuaient aussi à affirmer leurs préoccupations sociales et leur soucis de défendre les ouvriers contre les abus du capitalisme..."

  • Rémi Soulié communique...

    Nouvelle émission des Idées à l’endroit, @tvlofficiel, consacrée à Maurice Barrès. Merci à Sarah Vajda, Axel Tisserand, Jérémy Baneton et Jean-Luc Gagneux.

    Rémi Soulié

     

     
  • Autour de Jacques Bainville...

    Proposé par Alexandre - Newsletter Histoire, sur tweeter :
     

    https://www.moraledelhistoire.com/p/jacques-bainville-prophete-histoire?r=49x0e&utm_campaign=post&utm_medium=web

  • Autonomie en Corse : la revanche de Maurras, par Benoit Vaillot, historien...

    Merci à Philippe Kaminski, pour nous avoir transmis ce texte, que nous avions "laissé passer" : il y ajoute ce court "commentaire" :  "L'hommage du Vice à la Vertu... Peu importe que ce soit en bien ou en mal, l'essentiel c'est qu'on en parle..."

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    Tribune publiée dans l'Humanité du 28 mars 2024

    Le projet visant à inscrire un statut d’autonomie pour la Corse dans la Constitution, porté par Gérald Darmanin, met au jour la vraie nature de toute la politique territoriale entreprise par Emmanuel Macron depuis son arrivée au pouvoir : une conception maurrassienne de l’identité, de l’État et de la France. Nous avions déjà pu apprécier les propos du président de la République en 2020, lorsqu’il distinguait un « pays légal » et un « pays réel ».

    Devant les élus corses, en septembre 2023, il évoquait la reconnaissance en Corse d’une « communauté historique, linguistique, culturelle ayant développé un lien singulier à sa terre ». Des paroles, Emmanuel Macron est passé aux actes, sa déclaration constituant mot pour mot le premier alinéa de l’article proposé par Gérald Darmanin aux élus corses pour inscrire l’autonomie de la Corse dans la Constitution, dans la perspective de sa révision.

    La classe politique française ne saisit pas la revanche historique de Charles Maurras à laquelle nous assistons. L’intellectuel réactionnaire défendait en effet un « nationalisme intégral » en opposant un « pays réel », enraciné dans la religion, les traditions et les langues régionales, à un « pays légal », incarné par la raison, l’égalité entre les citoyens et les institutions républicaines, dominé par les quatre « États confédérés des protestants, juifs, francs-maçons et métèques ».

    Selon Charles Maurras, « la loi doit se plier aux variétés physiques et morales du pays, ou plutôt découler de ces variétés » afin d’abattre le « pays légal ». L’un des principes fondamentaux de la pensée maurrassienne a ainsi trait à la question de l’organisation territoriale, et prône une organisation politique et administrative différente pour chaque territoire. L’autonomie de la Corse n’est ainsi rien d’autre que le triomphe de la conception ethnique de l’identité des « nationalistes intégraux » corses contre la République.

    Le président de la République et le ministre de l’Intérieur ne sont pas les seuls à céder au maurrassisme ambiant, plusieurs élus régionaux, comme des vautours autour du cadavre de la République, se sont empressés de réclamer à leur tour, non pas les moyens d’assurer les compétences dont ils ont la charge – ce qui s’entend –, non pas des prérogatives supplémentaires dans le cadre d’un nouvel acte de décentralisation – ce qui se discute –, mais rien moins que la même chose que pour la Corse.

    La différenciation territoriale mise en œuvre par Emmanuel Macron depuis son arrivée au pouvoir transpire une vision maurrassienne de la France remaniée à la sauce néolibérale. En a-t-il même conscience ? Ne nous y trompons pas, accorder l’autonomie à la Corse ou à un quelconque autre territoire aujourd’hui, c’est adhérer à une vision ethnique de l’identité, participer à la destruction des services publics et préparer les sécessions territoriales, demain.

    Cette conception de l’organisation territoriale de la France, même l’État de Vichy n’avait pas osé la mettre en œuvre. La prochaine étape sera sans nul doute l’abolition des départements et l’abandon pur et simple de certains territoires ; cela a déjà commencé outre-mer. Rappelons que cette différenciation territoriale, dans toutes ses variantes, a été refusée par les Français chaque fois qu’on les a interrogés. On ne prend plus le risque de les consulter, et pour cause !

    Les Corses interrogés par référendum en 2003 ont explicitement refusé la création d’une collectivité unique : elle a été créée de manière insidieuse à travers la loi NOTRe. Les Alsaciens, eux aussi, ont écarté par référendum en 2013 la fusion des conseils généraux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin : non seulement la collectivité européenne d’Alsace leur a été imposée, mais on l’a aussi dotée de pouvoirs exorbitants de droit commun.

    C’est plus de services publics, plus d’État et plus de République que réclament les Français, et non la destruction des premiers, le désengagement du deuxième et la dissolution de la dernière. La crise du logement en Corse est-elle une question d’autonomie ou la conséquence d’une absence de politique de logement ? L’existence de déserts administratifs et médicaux est-elle une affaire de compétence législative ou d’abandon des services publics par l’État ?

    Emmanuel Macron répond par la différenciation territoriale à toutes les conséquences de sa politique antisociale. Voilà, là encore, une constante des héritiers de Charles Maurras, de répondre par l’identité à une question sociale et politique. Le formidable travail de soi sur soi, où la France, pendant mille ans, a constitué son unité, où la République, pendant deux cents ans, l’a rendue indivisible, est en train d’être brisé par ceux-là mêmes qui devaient en être les protecteurs.

  • LA RÉPUBLIQUE INSTITUTIONNALISE LA MORT ! (communiqué du GAR, Groupe d'action royaliste)

     

    Quelle gloire pour la république maçonnique d’inscrire dans sa constitution le droit pour toutes les femmes de pouvoir tuer leurs enfants à naître en leur sein. Et gare à celui qui s’y oppose ! Celui-là n’est que l’incarnation d’un obscurantisme Moyen Âgeux, un retour en arrière honteux, un arriéré qui n’a rien compris à la femme et à son rôle dans la société moderne.

    Les républicains nous présentent l’avortement comme un progrès pour la femme. Mais en quoi le fait de pouvoir tuer son fils ou sa fille impunément, sur le simple motif qu’elle n’en a pas envie, est-il un progrès ? Ces avorteuses ne voient dans le futur bébé à naître qu’un simple fardeau à porter. Un peu à la façon d’un parasite qui a pris possession de son corps, et dont il est préférable de s’en débarrasser. Sauf que ce « parasite » en question n’est pas un être étranger au corps de la femme, étant donné qu’il est fait avec la moitié du sang de sa génitrice. L’autre moitié étant le père. Mais peu importe ! Une décision émanant d’un simple caprice est désormais suffisant pour que les femmes décident de tuer leur enfant en plein développement dans leur ventre. Un peu à l’instar de la Sparte païenne qui faisait tuer par des oracles, les enfants nés avec une apparence trop chétive ou malformé.

    Et pour être sûr que cet acquis du « progrès » de la femme ne soit surtout pas remis en cause, les républicains l’inscrivent dans leur constitution à la gloire de leur chère Simone Veil, qui doit voir défiler de là-Haut les 230 000 âmes des bébés qui sont tués chaque année, sur l’autel du féminisme et de la déesse Marianne.

    Bref ! La mort est une valeur consubstantielle à la république. Que ce soit l’avortement, l’euthanasie ou les suicides qu’elle déclenche chez beaucoup de personnes, il n’y a rien à attendre de la république et de ses pseudos valeur ! L’histoire et l’avenir nous imposent une seule chose : abolir la république en France et instituer un régime qui porte la vie comme valeur haute de la société, incarnée dans l’épanouissement d’une fleur de lys au soleil ! Criez « Victoire » chers républicains, avec la mort comme socle de vos idéaux. Si vous n’êtes pas faits pour la vie, alors vous n’êtes pas faits pour l’avenir ! Le futur nous appartient, parce que la vie est le moteur de nos idéaux !

    Notre jour viendra !

    P-P Blancher