UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

République ou Royauté ?

  • Sur TV Libertés Paul-Marie Coutaux reçoit le Prince Jean...

     

    Prince Jean de France : La question de la République est posée

    - Les Conversations n° 51 - TVL

    13 octobre 2024

    Eté 2024 : à la faveur d’une dissolution improvisée, éclate l’un des plus lourds nuages qui assombrissent depuis des années le sort de la France, l’aporie nos institutions. Si la Constitution de la Ve République est solide, elle n’échappe pas à une contradiction majeure, qu’avait bien comprise son créateur : comment faire que le président de la République, clef de voute de notre architecture institutionnelle, soit à la fois président de tous les Français (remplissant la triple fonction d’assurer notre continuité historique, de garantir l’impartialité de l’Etat et d’arbitrer en cas de crise) et cependant élu au suffrage universel, c’est à dire par une partie de Français contre une autre ? Longtemps la question fut masquée par l’ombre gaullienne. Mais la tragédie se révèle avec les successeurs, chaque fois plus cruelle quand les Français se rendent compte que chacun des chefs d’Etat issu de l’élection est plus éloigné de ses missions fondamentales. Le pire étant atteint avec Emmanuel Macron, destructeur déclaré de notre continuité historique et si partial qu’il en devient minoritaire, son étiage tombant même, lors des européennes de juin, au dessous de 15%. Peu après, se fissurait le bien nommé front républicain, tandis que chacun peut observer que, constitué après des mois de crise, le gouvernement ne tient que par l’habile abstention du parti que ledit Front républicain visait précisément à exclure  

  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Sociaux parce que royalistes !

    1784 : Naissance d'Alban de Villeneuve Bargemon

    1A.jpg

     

    Il est sans conteste l'un des pionniers du magnifique mouvement des royalistes sociaux au XIXème siècle :

     

     (le scripte de cette vidéo ici : https://www.actionroyaliste.fr/le-precurseur-de-la-justice-sociale-alban-de-villeneuve-bargemont/)

     

     

    Avec Albert de Mun, voir l'Éphéméride du 6 octobre), La Tour du Pin (voir l'Éphéméride du 1er avril), Le Play (voir l'Éphéméride du 5 avril) et d'autres, il fait partie de ces Légitimistes trop souvent ignorés aujourd'hui, et injustement traités, à qui Michel Mourre a rendu justice, dans son Dictionnaire encyclopédique d’Histoire, article Légitimistes (page 2624, extrait) :

    "…Ce serait faire une caricature que de représenter tous les légitimistes comme des nostalgiques du passé, fermés aux problèmes de leur temps ; bien au contraire, ils furent les premiers, avec les socialistes, à dénoncer les méfaits du capitalisme sauvage. Villeneuve-Bargemon, dans son Traité d’économie politique chrétienne (1834) et Villermé, dans sa grande enquête de 1840 sur la condition ouvrière, furent les précurseurs du catholicisme social. Bénéficiant de la confiance d’une grande partie des masses rurales, les légitimistes firent campagne, souvent en liaison avec les républicains, contre le régime électoral censitaire de la Monarchie de Juillet. Leur force électorale se manifesta après la Révolution de 1848, avec 100 élus à l’Assemblée constituante (avril 1848) et 200 à l’Assemblée législative (mai 1849). Cédant à l’affolement suscité par l’émeute socialiste de juin 1848, la plupart des députés légitimistes se réunirent avec les orléanistes dans le "parti de l’Ordre" . Fermement hostiles au coup d’Etat du 2 décembre et au second Empire, ils apparurent, après les défaites de 1870, comme les hommes de l’ordre et de la paix et eurent de nouveau près de 200 élus à l’Assemblée nationale élue en février 1871.

    Ils incarnaient toujours la vieille France rurale, mais, avec Albert de Mun et La Tour du Pin, ils continuaient aussi à affirmer leurs préoccupations sociales et leur soucis de défendre les ouvriers contre les abus du capitalisme..."

  • Autonomie en Corse : la revanche de Maurras, par Benoit Vaillot, historien...

    Merci à Philippe Kaminski, pour nous avoir transmis ce texte, que nous avions "laissé passer" : il y ajoute ce court "commentaire" :  "L'hommage du Vice à la Vertu... Peu importe que ce soit en bien ou en mal, l'essentiel c'est qu'on en parle..."

    MAURRAS 11.jpg

    Tribune publiée dans l'Humanité du 28 mars 2024

    Le projet visant à inscrire un statut d’autonomie pour la Corse dans la Constitution, porté par Gérald Darmanin, met au jour la vraie nature de toute la politique territoriale entreprise par Emmanuel Macron depuis son arrivée au pouvoir : une conception maurrassienne de l’identité, de l’État et de la France. Nous avions déjà pu apprécier les propos du président de la République en 2020, lorsqu’il distinguait un « pays légal » et un « pays réel ».

    Devant les élus corses, en septembre 2023, il évoquait la reconnaissance en Corse d’une « communauté historique, linguistique, culturelle ayant développé un lien singulier à sa terre ». Des paroles, Emmanuel Macron est passé aux actes, sa déclaration constituant mot pour mot le premier alinéa de l’article proposé par Gérald Darmanin aux élus corses pour inscrire l’autonomie de la Corse dans la Constitution, dans la perspective de sa révision.

    La classe politique française ne saisit pas la revanche historique de Charles Maurras à laquelle nous assistons. L’intellectuel réactionnaire défendait en effet un « nationalisme intégral » en opposant un « pays réel », enraciné dans la religion, les traditions et les langues régionales, à un « pays légal », incarné par la raison, l’égalité entre les citoyens et les institutions républicaines, dominé par les quatre « États confédérés des protestants, juifs, francs-maçons et métèques ».

    Selon Charles Maurras, « la loi doit se plier aux variétés physiques et morales du pays, ou plutôt découler de ces variétés » afin d’abattre le « pays légal ». L’un des principes fondamentaux de la pensée maurrassienne a ainsi trait à la question de l’organisation territoriale, et prône une organisation politique et administrative différente pour chaque territoire. L’autonomie de la Corse n’est ainsi rien d’autre que le triomphe de la conception ethnique de l’identité des « nationalistes intégraux » corses contre la République.

    Le président de la République et le ministre de l’Intérieur ne sont pas les seuls à céder au maurrassisme ambiant, plusieurs élus régionaux, comme des vautours autour du cadavre de la République, se sont empressés de réclamer à leur tour, non pas les moyens d’assurer les compétences dont ils ont la charge – ce qui s’entend –, non pas des prérogatives supplémentaires dans le cadre d’un nouvel acte de décentralisation – ce qui se discute –, mais rien moins que la même chose que pour la Corse.

    La différenciation territoriale mise en œuvre par Emmanuel Macron depuis son arrivée au pouvoir transpire une vision maurrassienne de la France remaniée à la sauce néolibérale. En a-t-il même conscience ? Ne nous y trompons pas, accorder l’autonomie à la Corse ou à un quelconque autre territoire aujourd’hui, c’est adhérer à une vision ethnique de l’identité, participer à la destruction des services publics et préparer les sécessions territoriales, demain.

    Cette conception de l’organisation territoriale de la France, même l’État de Vichy n’avait pas osé la mettre en œuvre. La prochaine étape sera sans nul doute l’abolition des départements et l’abandon pur et simple de certains territoires ; cela a déjà commencé outre-mer. Rappelons que cette différenciation territoriale, dans toutes ses variantes, a été refusée par les Français chaque fois qu’on les a interrogés. On ne prend plus le risque de les consulter, et pour cause !

    Les Corses interrogés par référendum en 2003 ont explicitement refusé la création d’une collectivité unique : elle a été créée de manière insidieuse à travers la loi NOTRe. Les Alsaciens, eux aussi, ont écarté par référendum en 2013 la fusion des conseils généraux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin : non seulement la collectivité européenne d’Alsace leur a été imposée, mais on l’a aussi dotée de pouvoirs exorbitants de droit commun.

    C’est plus de services publics, plus d’État et plus de République que réclament les Français, et non la destruction des premiers, le désengagement du deuxième et la dissolution de la dernière. La crise du logement en Corse est-elle une question d’autonomie ou la conséquence d’une absence de politique de logement ? L’existence de déserts administratifs et médicaux est-elle une affaire de compétence législative ou d’abandon des services publics par l’État ?

    Emmanuel Macron répond par la différenciation territoriale à toutes les conséquences de sa politique antisociale. Voilà, là encore, une constante des héritiers de Charles Maurras, de répondre par l’identité à une question sociale et politique. Le formidable travail de soi sur soi, où la France, pendant mille ans, a constitué son unité, où la République, pendant deux cents ans, l’a rendue indivisible, est en train d’être brisé par ceux-là mêmes qui devaient en être les protecteurs.

  • Trois mille milliards : les secrets d'un État en faillite | Le film choc de Contribuables Associés...

    Sur un rythme enlevé et dans une démarche didactique, mêlant analyses, témoignages d’experts et graphiques, le documentaire 3.000 milliards : les secrets d’un État en faillite a pour objectif d’expliquer aux Français l’engrenage de la dette et comment nous en sommes arrivés là.

    Mais aussi de pousser les responsables politiques à agir, tant l’heure est grave.

    SOMMAIRE

    00:00 Introduction

    11:28 Chapitre 1 : Impôt, élus, service public

    24:47 Les collectivités locales

    37:35 Chapitre 2 : Le contrôle des dépenses

    53:46 La gestion de l'Etat

    1:08:33 Chapitre 3 : La matrice de la dépense publique

    1:18:46 Le système de santé Français

    1:27:48 Chapitre 4 : La dette

    1:36:58 Les conséquences du non-paiement de la dette

     

    INTERVENANTS :

    Jean-Marc Daniel - Économiste et essayiste - Professeur à l'ESCP

    Christian Saint-Etienne - Économiste et essayiste - Professeur au CNAM

    Marc Touati - Économiste et essayiste - Directeur ACEDFI

    François Ecalle - Ancien rapporteur général de la Cour des comptes - Président de FIPECO

    Édouard Balladur – Ancien Premier ministre (1993-1995)

    Benoît Perrin – Directeur de Contribuables Associés

    Virginie Pradel - Avocate fiscaliste - Présidente de l'Institut Vauban

    Olivier Babeau - Économiste et essayiste - Président de l'Institut Sapiens

    Jean-Michel Fourgous - Maire d'Élancourt, ancien député

    François Facchini – Professeur de sciences économiques à l'Université Paris-Sorbonne

    François Lainée – Consultant, Data Expert

    Jean-Baptiste Leon – Directeur des publications de Contribuables Associés

    Benoîte Taffin - Ancien maire du 2e arrondissement de Paris

    Paul-Antoine Martin – Ingénieur et essayiste

    Hervé Novelli - Ancien ministre, député et maire

    Charles Prats - Ancien magistrat de la Délégation Nationale à la lutte contre la Fraude (DNLF)

    Pr. Michaël Peyromaure - Chef du service d'Urologie à l'hôpital Cochin et essayiste

    Lisa Kamen-Hirsig - Enseignante et essayiste Auteur-

    Réalisateur : Charles Thimon -

    Producteur : Charles Guillemin

  • L'Action française communique :  Moins d'UE = plus d'heureux !

    Image

    Alors que nous traversons une crise énergétique spectaculaire, le gouvernement a encore annoncé une énième augmentation du prix de l'électricité.  

    La faute à un marché européen de l'électricité qui désavantage la #France, pays du #nucléaire.

    L'#UE mine depuis des années notre industrie nucléaire, nous menant dans une léthargie profonde ayant pour conséquence une perte astronomique de compétences.  Bien que nous sortions peu à peu de cette léthargie, la France continue de subir les assauts de cette UE dont le maître-mot est la libre concurrence du marché. Ouverture du marché de l'électricité et du gaz à la concurrence, projet Hercule, la privatisation toujours plus intrusive de nos barrages, deuxième source d'électricité en France et la seconde moins polluante. Tout est mis en place par l'UE pour casser l'exception #française.  

    Image

    Pourtant les chiffres sont là, la France produit une des électricités les moins carbonées au monde et une des moins chères d'#Europe, si nous étions libérés du carcan européiste !  

    En conséquence, notre fleuron #EDF vend à perte à des fournisseurs privés n'apportant aucune plus-value. Nos artisans, commerçants et TPE/PME payent des factures d'électricité toujours plus exorbitantes. Le gouvernement ne proposant que des solutions court-termistes dont les #Français paieront les frais !  

    C'est pour cela que l'Action française appelle le gouvernement à prendre la mesure de la situation, et au-delà des belles paroles à acter concrètement la relance de notre industrie nucléaire, à poser les premières pierres des nouveaux EPR2, à se concentrer sur le regain de compétences.

    Mais également à nous sortir du marché européen de l'énergie qui est funeste pour notre pays et notre peuple !  

    Pour que vive la France, vive le roi ! 

    Image

    Image

  • Sur le site du GAR : LES BANLIEUES, UN CHAOS TYPIQUEMENT RÉPUBLICAIN

    Lors d’un entretien fait pour le Figaro en mars 1888, voici ce qu’Émile Zola disait de la république en France :

    « Je n’en veux pas chercher d’autre preuve que dans le spectacle d’erreurs, de bêtises et d’impuissances que nous ont offert ces dix-huit dernières années et qui est bien fait pour désespérer un observateur, même indifférent et patient, bien fait surtout pour désespérer la foule. » (Émile Zola – Figaro le 29 mars 1888)

    Il s’agissait à cette époque de la toute jeune Troisième république. Celle qui est née de défaite de 1870 pour finir dans la poche de Dunkerque en 1940 ! Qu’en est-il à ce jour de ce spectacle d’erreurs, de bêtises et d’impuissances ? Force est de constater que 135 ans après les propos d’Emile Zola, la république, qui arbore sa cinquième version, nous offre toujours ce même spectacle en bien pire…

    Depuis quelques jours, la France revit le chaos qu’elle a connu en 2005, après le soulèvement des banlieues suite à la mort de deux adolescents, Zyed et Bouna, électrocutés dans l’enceinte d’un poste électrique, alors qu’ils cherchaient à échapper à un contrôle de police. Les banlieues s’embrasèrent un peu partout en France du 8 au 17 novembre 2005. Ce fut l’une des plus belles démonstrations de l’échec d’intégration des populations immigrées, mais également la conséquence du laxisme de la pseudo justice républicaine.

    Qu’ont retenu les élites républicaines depuis ? Tout simplement RIEN ! Dix-huit ans plus tard, avec la mort du jeune Nahel, la république replonge la France dans le même chaos qu’en 2005, parce que l’oligarchie républicaine incarne toujours à ce jour, ce même spectacle d’erreurs, de bêtises et d’impuissances !

    Imprégné de toutes ces idéologies néfastes, comme ce pseudo antiracisme qui empêche aux hommes politiques d’appeler un chat, un chat ! Toutes ces années à pratiquer un stockage de population immigrée (si possible africaine) dans des tours de cités, et les laisser pour compte, en y laissant s’y développer une délinquance qui est la seule à s’y être enracinée. Toutes ces années à interdire aux policiers d’intervenir dans ces cités, devenues des zones de non-droits pour la plupart. Toutes ces années à pratiquer un laxisme sans faille à l’égard des délinquants qui, au fil du temps, ont très vite compris qu’ils n’avaient plus rien à craindre, ni de la Police, encore moins de la « justice ».

    Toutes ces années à financer des rappeurs qui chantent leur haine de la France. Toutes ces années à s’abstenir d’assimiler ces populations immigrées et leur enseigner l’amour de la France… Mais qu’attendre à ce niveau de la part d’une élite qui, elle-même, déteste la France et n’a de cesse de vouloir la détruire ?

    Ce qui se passe à l’heure actuelle en France a été voulu. C’est le fameux Ordo ab Chao si cher aux mondialistes. Il ne faut rien attendre de la république en France. Les émeutes des banlieues n’ont rien à voir avec un phénomène qui se joue au détriment de la république. Ces émeutes, sont le résultat de ce que sont la république et ses élites. La haine anti-française qui s’exprime dans la violence des casseurs n’est que l’expression concrète de celle qui s’exprime dans la pensée de l’oligarchie, qui n’a que le mot « république » à la bouche, à défaut de la France.

    Ils nous parlent d’« ordre républicain », hissant cet oxymore comme le fer de lance de la reconquête républicaine, d’une paix future, qui ne sera qu’une énième accalmie pour préparer le terrain à des futures émeutes, qui seront de plus en plus virulentes au fil des années.

    Non ! Pour que cesse définitivement ce spectacle d’erreurs, de bêtises et d’impuissances qui se joue sur tous les niveaux de la politique, il faut mettre un terme définitif à la Vè république. De toutes les républiques que la France dut subir depuis l’avènement de ce régime en 1792, la Cinquième est de loin, la plus destructrice de notre civilisation multiséculaire. Destruction de notre agriculture, de notre système d’éducation, de notre indépendance, de notre identité, de la famille et du mariage, de notre architecture, du monde du travail, de notre histoire et même de notre futur !

    Nous devons mettre un terme à cette Vè république destructrice de notre civilisation. Hors de question d’envisager une VIè ou VIIè ou VIIIè république, car tant que le système de valeurs sur lequel repose ce régime ne changera pas, le résultat sera toujours le même : la destruction de la France et des Français !

    Nous avons conscience que l’avenir n’est pas serein avec un tel régime destructeur. Nous ne pouvons que souhaiter vivement son abolition, et tout faire dans la mesure de notre possible pour doter la France de son seul régime viable et salvateur. Agissons plus que jamais, pour Dieu, la France et le Roi !

    P-P Blancher

  • "Les .... ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît !"

    UNE PETITE MUSIQUE AU CHÂTEAU…
     
    POURQUOI PAS UNE TROISIÈME FOIS ?
     
    IL EN RÊVE !

    1A.jpg

     
     
     
     
    Ils osent en parler, y penser, en rêver !
    Pourquoi pas nous ?
    Une fois, c’est une erreur !
    Deux fois, c’est une faute vénielle
    Trois fois, c’est un péché mortel !

    Ce n’est même pas une galéjade !
    Bien sûr l’on était pas dupe et nous pensions à cette éventualité !
    Certes c’est incroyable mais comme incroyable n’est plus Français à l’instar de bien d’autres locutions...
    Pourquoi-pas ?
    Pas besoin d’être devin pour imaginer qu’il se verrait bien en Président de l’Europe ou à défaut, bisser une troisième fois !
    Et j’entends déjà : d’accord, d’accord ce n’est pas vraiment normal, mais qui mettre à sa place ?
    On pourrait bien proposer une autre chose, mais ce n’est pas encore totalement dans l’air du temps !
    Oui, pourquoi pas une autre personnalité bien plus crédible et qui serait à même d’incarner La France bien plus légitimement ! ! ! 
    Nous aussi, osons en parler, osons émettre l’idée d’un retour du Royaume !
    Après tout nous ne serions pas plus ridicules que nos voisins qui osent tout : (monnaie, Brexit, Royaume…)
     «  C’est mème à ça qu’on les reconnaît... » (Sic)  Osons donc, et… À force d’en parler, ça finira bien par arriver !
     

    1A.jpg

     
    LA VALSE À TROIS TEMPS !
  • DÉCIVILISATION ou DÉFRANCISATION ? par Guy Adain

     
    Sommes-nous à l'ère de la «dé-civilisation»?
     
    Le Président de « RENAISSANCE » pense que nous sommes entrés dans un « processus de décivilisation » .
    Déjà, l’Académie ne semble pas retenir ce vocable… Et si d’aventure il existait, on peut mettre en doute ce soi-disant processus !
    Encore que, dans les rangs de certains l’on puisse ressentir 
    ce mal-être, et cette impression de perte d’identité, cette certitude de ne plus être dans notre civilisation d’origine, mais où est donc passée la France ?
    Rassurez-vous citoyens politiciens, si elle n’est plus dans vos rangs de Sans-culottes, elle est bien à l’abri dans les nôtres. Vous la cherchez partout au point de fonder une coterie « Renaissance ! »
    Nous n’avons nul besoin de renaître, nous sommes bien présents et audibles… Oyez, oyez le chant des casseroles, elles vous chantent le « Chant du départ » !
    Les Français mettent à leur tête celles et ceux qu’ils estiment les plus valeureux, les plus…civilisés ! N’est-il pas vrai ?
    Décivilisation ? Vous avez dit décivilisation ; comme c’est bizarre !
     
    Dans nos rangs, chez les Français moyens, ceux qui ne savent toujours pas traverser la rue…La question ne se pose pas, nous nous trouvons assez civilisés !  
    Sans doute, les séides du Président se sentent « décivilisés voire défrancisés, ils peuvent comprendre le désarroi de leur chef et le partager.
    Nous, nous sommes « Gens de France » fiers et heureux, nous avons l’Honneur en partage, la Courtoisie et tout l’esprit de Chevalerie qui va avec, nous avons la Foi, nous avons un Roi (même s’il n’est ni sacré ni couronné) ; mais nous l’avons dans notre cœur.
    Nous voyons notre France « telle que nous désirons qu’elle soit, et pas toujours comme elle est. » (Sic)
    Les horribles exactions qui nous frappent actuellement et celles qui motivent l’emploi d’un vocabulaire de l’effroi, ne nous terroriseraient pas si nous étions en charge du Royaume car en lieu et place de décivilisation, nous remettrions en place un code de Chevalerie, et le ferions respecter…strictement.
    Hors de question de nous défranciser ! 
    Si nous avons nécessité d’entamer une Reconquista, osons appeler les choses par leur nom, et n’utilisons pas des circonlocutions alambiquées pour masquer des menaces qui mettraient en péril l’identité profonde de la France. 
    Non il n’y a pas de processus de décivilisation, mais plutôt un délitement certain de notre société par abandon de principes et de valeurs morales qui sont l’ossature et le squelette d’une société choisie.
    Ci-après :
    La vision royale, du Comte de Paris, celle qu’il affiche pour la France et au service des Français.
     
    La notion de royauté n’a rien perdu de son actualité dans nos démocraties occidentales. En Europe, ce sont pas moins de dix États dont le chef est un prince héréditaire. Dans des régimes maintenant démocratiques, la fonction princière a pleinement trouvé sa place, au service des populations et du bien commun.
    Au-delà des partis, la présence d’un roi garantit en effet la continuité dans le destin d’un pays : le respect de son identité profonde, la préservation de ses principes fondamentaux, la défense de sa langue et son rayonnement dans le monde entier. Elle permet également de se détacher de la pression des lobbies, des media, des biais du système électoral pour exprimer d’une voix forte la protection des plus faibles, la défense de l’environnement, ou celle du patrimoine matériel et spirituel.
    Une vision de long terme
    Avec à peine deux siècles et demi d’existence, notre jeune démocratie française est parfois aveuglée par l’idéologie du progrès, le mythe de la mondialisation heureuse, et l’attrait des profits immédiats. Héritier de mille ans d’histoire de la royauté, le comte de Paris est le garant d’un projet d’ensemble dont la vision politique n’est pas à l’horizon d’un quinquennat mais des générations futures. Du côté non pas de l’action qu’on achète et qu’on revend quelques secondes plus tard, mais de l’arbre que l’on plante pour ses petits-enfants.
    Jean de France Comte de Paris.
     
     
    Nous voilà loin de la décivilisation, notre optimisme reste au beau fixe, chez les Gens de France, nos racines sont profondes, bien ancrées dans la terre de France, toute notre histoire (celle de la France) nous montre et nous prouve que quand : 
    « Tout est perdu fors l’honneur » !
    Tout reste possible, et notre confiance en la Divine Providence est absolue.

  • Droite/Gauche confondues, c'est le Système qui veut "ça", qui fait "ça", qui impose "ça"... Alors, révoltez-vous, défendez-vous, dénoncez ce Système et...soyez royalistes, ou ne vous plaignez pas !

  • Des fleurs de Lys dans les escarpins de la République... par Frédéric de Natal

    Des monarchistes français rêvent toujours d’un retour de l’Ancien régime !

    Des fleurs de Lys dans les escarpins de la République

    Jean d'Orléans © Kévin Guillot

    (article paru dans Causeur, le 2 février dernier)

    Descendant direct de Louis-Philippe Ier, dernier roi des Français, le prince Jean d’Orléans est l’actuel chef de la Maison royale de France. Régulièrement interviewé par les médias, cet héritier des Capétiens se pose naturellement en alternative.

    Lors de ses vœux aux Français, il a appelé au retour «d’un modèle politique équilibré».

    Pour 17% des Français, la restauration de la monarchie est la solution aux nombreuses crises qui secouent la France.

    Lire la suite

  • J’AI VU « VAINCRE OU MOURIR, par P.P. Blancher (Groupe d'action royaliste)

    Enfin un film sur les Guerres de Vendée, pourrions-nous dire. Un film français qui met en exergue des héros de notre histoire, ce n’est pas vraiment ce qui court les salles obscures du monde cinématographique « français » républicain. On se souvient du film de Luc Besson traitant d’une grande héroïne de notre histoire, et pas des moindres, puisqu’il s’agissait de notre très Sainte Jeanne d’Arc. Ce film, qui date déjà de 1999, est un véritable navet grotesque qui s’acharne à faire ce que les Anglais n’avaient su faire à cette époque, à savoir, rendre folle notre Sainte héroïne. Héroïne incarnée par l’hystérique Milla Jovovitch. Bref ! Une vraie bouse insultant notre histoire et notre religion, mais qu’attendre de plus de la part d’un anti-français comme Besson ?

    Avec « Vaincre ou mourir » c’est doublement surprenant. Car, non seulement il s’agit d’un film retraçant d’une manière assez fidèle, les péripéties d’un de nos grands héros de notre histoire, mais qui plus est, un héros en lutte contre les forces révolutionnaires, et donc par extension, contre la république ! Double crime au regard du monde moderne républicain, américanisé et wokiste !

    Sortie le 25 janvier, ce film a déjà fait l’objet de quelques critiques dans les colonnes (infernales) du « journal » Libération. C’est une certaine Elisabeth Franck-Dumas, journaliste de ce torchon, qui nous a fait part de son incroyable maîtrise de la bêtise et de l’ignorance. Les républicains de Libération sont exaspérés par l’existence même de ce film, qui représente à leurs yeux tout ce qu’ils détestent le plus au monde : la France ! En tant que royaliste, il était donc tout naturel pour ma part que j’aille voir ce film qui suscite autant de dégoût chez l’anti-France, mais surtout parce qu’il s’agit du général Charette.

    « Vaincre ou mourir » est la première production de « Puy du Fou Films » avec pour réalisateurs Paul Mignot et Vincent Mottez (Vinsorus) pour ceux qui ont connu… On comprend déjà mieux l’origine de l’existence même de ce film. Le parc du Puy du Fou qui est déjà à lui seul une véritable vitrine à la gloire de notre histoire mais aussi, en partie, de la contre-révolution ! Après le parc, voici qu’arrive maintenant un film ! De quoi donner la jaunisse à nos chers républicains…

    Au premier abord, la présence de quelques acteurs m’avait un peu gêné, entre autres, l’acteur Jean-Hugues Anglade qui n’est pas vraiment réputé pour son côté patriote ! C’est peut-être pour cela d’ailleurs qu’ils l’ont cantonné à jouer le rôle du conventionnel Albert Ruelle (1754-1805) chargé de diriger la lutte contre les Vendéens.

    Néanmoins, je paie mon billet comme tout le monde et m’installe sur un strapontin du cinéma. Le film commence par une intervention de l’historien Reynald Secher. Oui ! Celui qui, de par ses travaux, a mis en évidence le fait que ce qui s’était passé en Vendée durant la révolution, relevait du génocide ! Ça commence bien ! Je comprends mieux pourquoi cette chère Elisabeth Franck-Dumas s’est sentie dans l’obligation de nous pondre une incroyable analyse digne d’une télé-réalité.

    Sans vouloir divulguer le contenu du film, par respect pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, voici quelles sont mes impressions. Certes, c’est un film qui dispose malheureusement de beaucoup moins de moyens que le « Jeanne d’Arc » de Besson. Cela se ressent quelque peu, mais dans l’ensemble, c’est une jouissance ! Voir un film au cinéma, avec des drapeaux « Pour Dieu et le Roi », entendre Charette dire à ses hommes, tous flanqués d’un sacré-coeur : « Nous sommes le dernier rempart d’un royaume de mille ans » chose qui caractérise toujours les Royalistes d’aujourd’hui. Voir enfin, le vrai visage des armées républicaines de cette époque, leur férocité dans le carnage et leur fanatisme ! Ça change des récits imaginaires de l’Éducation dite « Nationale » sur ce sujet.

    Dans ce film, les répliques du général Charette sont assez percutantes, même si l’acteur a tendance à s’exprimer sur un ton uniforme. Dommage quand même de lui avoir fait dire que nous étions la jeunesse du « monde » ! Dans la citation d’origine, il dit à ses hommes que nous sommes la jeunesse de Dieu, et pas celle du monde, ce qui religieusement fait toute la différence ! Jean-Hugues Anglade tient la route dans son rôle, les autres acteurs aussi. Les scènes de combat sont assez bien réalisées dans l’ensemble.

    Bref ! C’est un film qu’il faut impérativement aller voir, ne serait-ce pour s’abreuver du courage et du sacrifice consenti de la part de tous ces combattants contre-révolutionnaires. Cela fait du bien de voir un film qui fait la part belle au panache français et au sens de l’honneur, dans un monde qui est l’aboutissement des idéaux révolutionnaires. Un grand merci à toute l’équipe du Puy du Fou pour tout ce travail. Espérons que « Vaincre ou mourir » n’est que le premier d’une longue série à la gloire de notre histoire et de nos glorieux ancêtres.

    Plus que jamais, aujourd’hui comme en 1793, pour Dieu, la France et le Roi !

    P-P Blancher

  • 21/01/1793... Vingt et Un Janvier Dix Sept Cent Quatre Vingt Treize, par Guy Adain

    1AA.jpg

     
     
    21/01/1793.
    Vingt et Un Janvier Dix Sept Cent Quatre Vingt Treize.
     
    Qui connaît encore cette date aujourd’hui ?
    Plus grand monde, c’est sûr !
    Et pourtant, ce jour là, la France a assassiné son Roi !
    Assassinat légal certes, car ordonné par la Convention Nationale, mais assassinat quand même !!! Ou peut-être pire encore : 
    « Suicide crapuleux » !  La France s’est donné la mort ce jour là !
    Et pourtant elle continue de marcher comme une poule à la tête coupée, et voilà 230 ans que ça dure.
    L’on pourrait s’en contenter, voire même s’en féliciter puisque le poulailler caquette encore et fait illusion avec un chapon à sa tête.
    Mais le poulailler est grand ouvert, les renards entrent et sortent à leur gré, dévorent nos poules à leur guise !
    Poussins, poulettes, poulets « d’origine France » souffrent encore, 230 ans après ce 21 du mois de janvier 1793.
    Je porterai le deuil, prierai en mémoire de ce triste jour, et surtout, je demanderai aux puissances du Ciel d’accorder le pardon à la France pour cet ignoble assassinat dont le sang n’arrête pas de ruisseler sur nos têtes.
    L’Espoir est là, l’Espérance est immense, les signes sont nombreux, qui montrent que les temps changent et se profilent plus : 
    « à hue, qu’à dia » …

    1AAA.jpg

    Feu Monseigneur Henri, Comte de Paris, rappelé à Dieu le 21 Janvier 2019 intercède pour nous ; Il est dans nos coeurs, nos prières et notre souvenir. Je sais combien il est là, présent pour la France et tous les Français. Toutes nos prières pour notre Roi Louis XVI sont aussi à l’attention de feu Monseigneur Henri.
    Tous deux, et c’est une certitude, prient et inspirent le Prince Jean de France, l’actuel Comte de Paris. Il est l’âme de la France ; puissent les Français en être persuadés, la France mérite un Roi, les Français méritent l’amour d’un Roi.
     
    21 Janvier 1793 Louis XVI,
    21 Janvier 2019 Henri d’Orléans…
     
    En ce 21 Janvier 2023, rappelons nous ces dates et offrons notre amour filial à Monseigneur Jean de France, Comte de Paris.

    1A.jpg

  • La Cinquième, ce n'est pas la Monarchie ! par le Groupe d'action royaliste

    Peut être une image de texte
     
    Soyons clairs : la Cinquième République, ce n’est pas la Monarchie et le président n’est pas le roi, comme l’a signalé avec justesse le philosophe Marcel Gauchet il y a quelques années :
     
    "Mais [Macron] s’est trompé sur ce que l’on attendait d’un roi. Un roi, ce n’est pas un manager, pas un patron de start-up qui secoue ses employés pour qu’ils travaillent dix-huit heures par jour pour que les Français, par effet d’entraînement, deviennent tous milliardaires ! Dans la tradition française, un roi, c’est un arbitre. Quelqu’un qui est là pour contraindre les gouvernants à écouter les gouvernés. Quand les gens accusent Macron d’être le président des riches, ils lui reprochent surtout de ne pas être l’arbitre entre les riches et les pauvres. (1)"
     
    En quelques lignes, le philosophe fait litière de la confusion savamment entretenue par certains doctrinaires d’une Gauche qui se veut républicaine façon Révolution française pour éviter de se pencher sur les limites de leur modèle idéologique, souvent plus idéalement fantasmé que réellement convaincant, au regard de l’histoire comme de la promesse du lendemain…
    Dans le même temps, Marcel Gauchet peut nous permettre de préciser ce qu’il ébauche de la nature et de la forme de la Monarchie royale en France, qui ne peut être confondue avec la « monocratie » (2), qui est sans doute un terme plus exact pour définir la Cinquième République fondée par le général de Gaulle. Quand la monocratie est le pouvoir d’un seul sans contre-pouvoirs effectifs et efficaces, nous sommes bien loin d’une Monarchie royale à la française où le pouvoir central ne peut s’émanciper complètement des pouvoirs locaux (provinciaux et communaux) ou sociaux (socioprofessionnels, corporatifs et syndicaux, entre autres).
    En Monarchie, le pouvoir royal « ordonne » l’ensemble, il n’intervient pas forcément dans le fonctionnement et les décisions des organes et des corps intermédiaires : il est, d’abord, un arbitre, et il laisse « jouer les ordres et libertés » selon le principe de subsidiarité, rappelé régulièrement par Maurras, reprenant la vieille formule héritée des légistes médiévaux, « Sous le Roi, les Républiques » : ce qu’il faut bien entendre ici, ce n’est pas un rapport de soumission des républiques locales, professionnelles ou universitaires à l’État central, mais le fait qu’elles se trouvent à l’abri de l’État royal, leurs libertés étant garanties par cet État qui les surplombe sans les plomber. Tout l’inverse de cette République qui, en se disant aujourd’hui inclusive, se fait de plus en plus intrusive, au risque d’étouffer toute initiative libre ou non-conforme aux dogmes de l’idéologie dominante.
     
    Notes :
    (1) : Marcel Gauchet (Entretien à Le Soir du 25 décembre 2018).
    (2) : La monocratie, qui vient du grec monos (le seul) et kratein (l’emporter sur, dominer), c’est le pouvoir, la domination sans partage d’un seul, sans contre-pouvoirs (au contraire de la tradition monarchique française et de ses lois fondamentales) et sans légitimité autre que celle de Créon...

  • Le terrorisme d'État, c'est la Révolution et la République idéologique qui l'ont inventé...

    Patrick Buisson sur France Inter : "En matière de terrorisme d'État, la Terreur, c'est nous qui l'avons inventée"

    http://annesofi-bijoux.marcadet.fr/blog/wp-content/uploads/2011/07/caricature-marianne.jpg

  • Oui, définitivement, Gustave Thibon avait raison...

    lfar flamme.jpgOui, définitivement, Gustave Thibon avait raison...

    Était-ce pour cela que le plus poète et le moins politique de tous nos maîtres n'a jamais voulu entrer dans le combat politique ? La question mérite d'être posée, à plus forte raison eu égard à la dernière trouvaille de notre secrétaire d'Etat à la citoyenneté, dite la dame Backès.

    Concrètement, le gouvernement de la république va provoquer des assises du sectarisme et du conspirationnisme (vous avez bien lu). Se fendant d'une interview sur la chaîne d'information CNEWS face à Laurence Ferrari, la secrétaire d'État nous explique doctement d'abord que le conspirateur, le sectaire, est quelqu'un qui se "coupe de la réalité" en croyant à des fadaises découlant de "conspirations". Mais comment reconnaître le sectaire ? C'est tout simple : Il ne croit pas aux valeurs de la république.

    BIGRE ! En plein dans le mille !

    Cela pourrait prêter à rire mais l'État va plus loin : tout citoyen pourra signaler son voisin, son collègue de travail ou autre pour des faits de "sectarisme" et de "conspirationnisme". Toutefois, pour habiller le procédé de bons sentiments et de bonnes intentions, la représentante de l'Exécutif nous précise qu'il ne s'agit de pas de dénoncer son voisin, mais de le sauver. Cela signifie que la république va rééduquer les "sectaires"... Cela rappelle étrangement la Chine populaire de Mao, mais passons. George Orwell l'avait prophétisé dans son livre "1984", Emmanuel Macron l'a fait : il vient de créer un "ministère de la vérité".

    Il n'y a pas de quoi être surpris ou choqué, comme nous venons de le rappeler en titre et introduction, Thibon avait raison. Homme de Tradition, homme enraciné, il fut le maître de Pierre Rabhi (n'ayant à recevoir de leçon d'écologie ou de politique de personne); incidemment on peut relever que Gustave Thibon forma un esprit puissant et novateur, dans la tradition de l'École de pensée maurrassienne et d'Action française) : il ne se retira pas du monde mais ne s'y mélangea pas.

    Au XXème siècle, Julius Évola avait écrit "Révolte contre le monde moderne". Gustave Thibon l'a mis en pratique et avait bien vu l'horreur de ce prétendu nouveau monde "vieux comme le diable" qui, comme le disait Pierre Boutang, "n'a que des banques pour cathédrales" et dont il n'y a rien à conserver, faisant ainsi écho à la pensée de Thibon que nous avons donné en introduction en ce qu'il confirme l'analyse relative aux "conservateurs du chaos".

    Pas d'inquiétude, le monstre froid nous (re)montre son vrai visage. Attendons, restons calmes, soyons des hommes et continuons de nous former en gardant à l'esprit que l'Histoire nous enseigne que toute société de la surveillance, de la terreur, finit toujours par s'effondrer. Maurrassiens, nous considérons que les libertés ne s'octroient pas, mais qu'elles se prennent. Un régime politique, peu importe lequel, ne peut empêcher l'individu d'être lui-même, de penser, de développer ses raisonnements, ses convictions. L'autoritarisme ne résiste jamais à l'analyse et à la méthode.

    Vive la France, et pour que vive la France, vive le Roi !

    La Rédaction

    LFAR FLEURS.jpg