Des monarchistes français rêvent toujours d’un retour de l’Ancien régime !
Jean d'Orléans © Kévin Guillot
(article paru dans Causeur, le 2 février dernier)
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Jean d'Orléans © Kévin Guillot
(article paru dans Causeur, le 2 février dernier)
Enfin un film sur les Guerres de Vendée, pourrions-nous dire. Un film français qui met en exergue des héros de notre histoire, ce n’est pas vraiment ce qui court les salles obscures du monde cinématographique « français » républicain. On se souvient du film de Luc Besson traitant d’une grande héroïne de notre histoire, et pas des moindres, puisqu’il s’agissait de notre très Sainte Jeanne d’Arc. Ce film, qui date déjà de 1999, est un véritable navet grotesque qui s’acharne à faire ce que les Anglais n’avaient su faire à cette époque, à savoir, rendre folle notre Sainte héroïne. Héroïne incarnée par l’hystérique Milla Jovovitch. Bref ! Une vraie bouse insultant notre histoire et notre religion, mais qu’attendre de plus de la part d’un anti-français comme Besson ?
Avec « Vaincre ou mourir » c’est doublement surprenant. Car, non seulement il s’agit d’un film retraçant d’une manière assez fidèle, les péripéties d’un de nos grands héros de notre histoire, mais qui plus est, un héros en lutte contre les forces révolutionnaires, et donc par extension, contre la république ! Double crime au regard du monde moderne républicain, américanisé et wokiste !
Sortie le 25 janvier, ce film a déjà fait l’objet de quelques critiques dans les colonnes (infernales) du « journal » Libération. C’est une certaine Elisabeth Franck-Dumas, journaliste de ce torchon, qui nous a fait part de son incroyable maîtrise de la bêtise et de l’ignorance. Les républicains de Libération sont exaspérés par l’existence même de ce film, qui représente à leurs yeux tout ce qu’ils détestent le plus au monde : la France ! En tant que royaliste, il était donc tout naturel pour ma part que j’aille voir ce film qui suscite autant de dégoût chez l’anti-France, mais surtout parce qu’il s’agit du général Charette.
« Vaincre ou mourir » est la première production de « Puy du Fou Films » avec pour réalisateurs Paul Mignot et Vincent Mottez (Vinsorus) pour ceux qui ont connu… On comprend déjà mieux l’origine de l’existence même de ce film. Le parc du Puy du Fou qui est déjà à lui seul une véritable vitrine à la gloire de notre histoire mais aussi, en partie, de la contre-révolution ! Après le parc, voici qu’arrive maintenant un film ! De quoi donner la jaunisse à nos chers républicains…
Au premier abord, la présence de quelques acteurs m’avait un peu gêné, entre autres, l’acteur Jean-Hugues Anglade qui n’est pas vraiment réputé pour son côté patriote ! C’est peut-être pour cela d’ailleurs qu’ils l’ont cantonné à jouer le rôle du conventionnel Albert Ruelle (1754-1805) chargé de diriger la lutte contre les Vendéens.
Néanmoins, je paie mon billet comme tout le monde et m’installe sur un strapontin du cinéma. Le film commence par une intervention de l’historien Reynald Secher. Oui ! Celui qui, de par ses travaux, a mis en évidence le fait que ce qui s’était passé en Vendée durant la révolution, relevait du génocide ! Ça commence bien ! Je comprends mieux pourquoi cette chère Elisabeth Franck-Dumas s’est sentie dans l’obligation de nous pondre une incroyable analyse digne d’une télé-réalité.
Sans vouloir divulguer le contenu du film, par respect pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, voici quelles sont mes impressions. Certes, c’est un film qui dispose malheureusement de beaucoup moins de moyens que le « Jeanne d’Arc » de Besson. Cela se ressent quelque peu, mais dans l’ensemble, c’est une jouissance ! Voir un film au cinéma, avec des drapeaux « Pour Dieu et le Roi », entendre Charette dire à ses hommes, tous flanqués d’un sacré-coeur : « Nous sommes le dernier rempart d’un royaume de mille ans » chose qui caractérise toujours les Royalistes d’aujourd’hui. Voir enfin, le vrai visage des armées républicaines de cette époque, leur férocité dans le carnage et leur fanatisme ! Ça change des récits imaginaires de l’Éducation dite « Nationale » sur ce sujet.
Dans ce film, les répliques du général Charette sont assez percutantes, même si l’acteur a tendance à s’exprimer sur un ton uniforme. Dommage quand même de lui avoir fait dire que nous étions la jeunesse du « monde » ! Dans la citation d’origine, il dit à ses hommes que nous sommes la jeunesse de Dieu, et pas celle du monde, ce qui religieusement fait toute la différence ! Jean-Hugues Anglade tient la route dans son rôle, les autres acteurs aussi. Les scènes de combat sont assez bien réalisées dans l’ensemble.
Bref ! C’est un film qu’il faut impérativement aller voir, ne serait-ce pour s’abreuver du courage et du sacrifice consenti de la part de tous ces combattants contre-révolutionnaires. Cela fait du bien de voir un film qui fait la part belle au panache français et au sens de l’honneur, dans un monde qui est l’aboutissement des idéaux révolutionnaires. Un grand merci à toute l’équipe du Puy du Fou pour tout ce travail. Espérons que « Vaincre ou mourir » n’est que le premier d’une longue série à la gloire de notre histoire et de nos glorieux ancêtres.
Plus que jamais, aujourd’hui comme en 1793, pour Dieu, la France et le Roi !
P-P Blancher
Oui, définitivement, Gustave Thibon avait raison...
Était-ce pour cela que le plus poète et le moins politique de tous nos maîtres n'a jamais voulu entrer dans le combat politique ? La question mérite d'être posée, à plus forte raison eu égard à la dernière trouvaille de notre secrétaire d'Etat à la citoyenneté, dite la dame Backès.
Concrètement, le gouvernement de la république va provoquer des assises du sectarisme et du conspirationnisme (vous avez bien lu). Se fendant d'une interview sur la chaîne d'information CNEWS face à Laurence Ferrari, la secrétaire d'État nous explique doctement d'abord que le conspirateur, le sectaire, est quelqu'un qui se "coupe de la réalité" en croyant à des fadaises découlant de "conspirations". Mais comment reconnaître le sectaire ? C'est tout simple : Il ne croit pas aux valeurs de la république.
BIGRE ! En plein dans le mille !
Cela pourrait prêter à rire mais l'État va plus loin : tout citoyen pourra signaler son voisin, son collègue de travail ou autre pour des faits de "sectarisme" et de "conspirationnisme". Toutefois, pour habiller le procédé de bons sentiments et de bonnes intentions, la représentante de l'Exécutif nous précise qu'il ne s'agit de pas de dénoncer son voisin, mais de le sauver. Cela signifie que la république va rééduquer les "sectaires"... Cela rappelle étrangement la Chine populaire de Mao, mais passons. George Orwell l'avait prophétisé dans son livre "1984", Emmanuel Macron l'a fait : il vient de créer un "ministère de la vérité".
Il n'y a pas de quoi être surpris ou choqué, comme nous venons de le rappeler en titre et introduction, Thibon avait raison. Homme de Tradition, homme enraciné, il fut le maître de Pierre Rabhi (n'ayant à recevoir de leçon d'écologie ou de politique de personne); incidemment on peut relever que Gustave Thibon forma un esprit puissant et novateur, dans la tradition de l'École de pensée maurrassienne et d'Action française) : il ne se retira pas du monde mais ne s'y mélangea pas.
Au XXème siècle, Julius Évola avait écrit "Révolte contre le monde moderne". Gustave Thibon l'a mis en pratique et avait bien vu l'horreur de ce prétendu nouveau monde "vieux comme le diable" qui, comme le disait Pierre Boutang, "n'a que des banques pour cathédrales" et dont il n'y a rien à conserver, faisant ainsi écho à la pensée de Thibon que nous avons donné en introduction en ce qu'il confirme l'analyse relative aux "conservateurs du chaos".
Pas d'inquiétude, le monstre froid nous (re)montre son vrai visage. Attendons, restons calmes, soyons des hommes et continuons de nous former en gardant à l'esprit que l'Histoire nous enseigne que toute société de la surveillance, de la terreur, finit toujours par s'effondrer. Maurrassiens, nous considérons que les libertés ne s'octroient pas, mais qu'elles se prennent. Un régime politique, peu importe lequel, ne peut empêcher l'individu d'être lui-même, de penser, de développer ses raisonnements, ses convictions. L'autoritarisme ne résiste jamais à l'analyse et à la méthode.
Vive la France, et pour que vive la France, vive le Roi !
La Rédaction
1784 : Naissance d'Alban de Villeneuve Bargemon
Il est sans conteste l'un des pionniers du magnifique mouvement des royalistes sociaux au XIXème siècle :
(le scripte de cette vidéo ici : https://www.actionroyaliste.fr/le-precurseur-de-la-justice-sociale-alban-de-villeneuve-bargemont/)
Avec Albert de Mun, voir l'Éphéméride du 6 octobre), La Tour du Pin (voir l'Éphéméride du 1er avril), Le Play (voir l'Éphéméride du 5 avril) et d'autres, il fait partie de ces Légitimistes trop souvent ignorés aujourd'hui, et injustement traités, à qui Michel Mourre a rendu justice, dans son Dictionnaire encyclopédique d’Histoire, article Légitimistes (page 2624, extrait) :
"…Ce serait faire une caricature que de représenter tous les légitimistes comme des nostalgiques du passé, fermés aux problèmes de leur temps ; bien au contraire, ils furent les premiers, avec les socialistes, à dénoncer les méfaits du capitalisme sauvage. Villeneuve-Bargemon, dans son Traité d’économie politique chrétienne (1834) et Villermé, dans sa grande enquête de 1840 sur la condition ouvrière, furent les précurseurs du catholicisme social. Bénéficiant de la confiance d’une grande partie des masses rurales, les légitimistes firent campagne, souvent en liaison avec les républicains, contre le régime électoral censitaire de la Monarchie de Juillet. Leur force électorale se manifesta après la Révolution de 1848, avec 100 élus à l’Assemblée constituante (avril 1848) et 200 à l’Assemblée législative (mai 1849). Cédant à l’affolement suscité par l’émeute socialiste de juin 1848, la plupart des députés légitimistes se réunirent avec les orléanistes dans le "parti de l’Ordre" . Fermement hostiles au coup d’Etat du 2 décembre et au second Empire, ils apparurent, après les défaites de 1870, comme les hommes de l’ordre et de la paix et eurent de nouveau près de 200 élus à l’Assemblée nationale élue en février 1871.
Ils incarnaient toujours la vieille France rurale, mais, avec Albert de Mun et La Tour du Pin, ils continuaient aussi à affirmer leurs préoccupations sociales et leur soucis de défendre les ouvriers contre les abus du capitalisme..."
Entretien accordé le 8 juillet 2015 au journal Le 1 Hebdo...
Président de la Restauration nationale (Action française), Henri Bec est l’invité de TVLibertés en compagnie d’Hilaire de Crémiers, ancien directeur et fondateur de Politique Magazine.
Alors que l’Action Française s’apprête à organiser son importante université d’été (du 21 au 28 août), les responsables politiques du mouvement entendent profiter de la désastreuse situation du pays pour prôner le retour du Roi !
Ils dénoncent avec virulence une "république qui pourrit sur pied" et une fracture béante entre le pays réel et le pays légal. Mais face à ce système que chacun juge à bout de souffle, que propose l’Action française en dehors de défendre l’héritage millénaire de la France ?
Faut-il appliquer le "compromis nationaliste" ? S’entendre sur le nom de l’héritier ? Mettre en cause la démocratie française ?
Henri Bec et Hilaire de Crémiers apportent des réponses claires et précises aux questions posées.
Oui, renversez ce Pouvoir nauséabond et vénal, c’est lui qui nous entraine à la ruine, à l’insatisfaction permanente, à la tristesse…
Je parle du « Pouvoir d’Achat », bien sûr !
Les Politiciens en ont fait l’axe principal des revendications du Peuple de France, la seule préoccupation de tous les Français. Comme si nous n’avions en tête qu’une idée, qu’un besoin vital « Pouvoir acheter » !
C’est une insulte que de nous réduire à cela !
Certes, les Français, comme tous les autres humains de cette Terre, ont besoin du nécessaire pour vivre et faire vivre leur famille et même d’un grand peu de superflu pour agrémenter la vie de tous les jours. Mais faire de nous des enragés cupides, insatiables et goinfres… C’est inacceptable !
Encore une fois, vous parlez pour vous mesdames, messieurs les politiciens, c’est vous qui voulez le « Pouvoir », c’est vous qui pensez que tout est à vendre, et que l’on peut tout acheter.
Mais non, les Français ne sont pas à vendre !
Français, Gens de France, on vous trompe en vous faisant croire que seul le « Pouvoir d’Achat » est ce qui vous manque le plus.
Quelle tristesse d’en faire l’Espérance de tout notre Peuple.
Ce « Pouvoir » satanique est un leurre qui vise à nous forcer à n’être que des acheteurs,des consommateurs ; comme si on pouvait acheter le Bonheur : achetez, vous serez heureux !
Mais le bon sens populaire dit : « l’argent ne fait pas le bonheur » !
Pourtant, nous, politiciens vendeurs de promesses frelatées,
nous allons vous donner ce Pouvoir !
Nous allons vous faire accéder au suprême Bonheur et à la Félicité !
Ces mauvais marchands vous entraînent vers les marchés de la honte où tout est à vendre et à acheter, les Âmes comme le reste :
« Loyauté, Courage, Service, Don de soi, Amour et Beauté » !
Rejetons au loin ces usuriers, balançons aux orties ce sale
« Pouvoir d’Achat » vorace et avide de tout.
Nous valons bien mieux que ça !
Si nous voulons tout de même posséder un pouvoir, que ce soit le Pouvoir d’Aimer, et mieux encore que le Pouvoir :
« Le Devoir d’Aimer » !
Et bien sûr d’aimer la France et tous les Gens de France.
Pour que… Vive la France !
Cette enquête porte sur des faits de "blanchiment aggravé de fraude fiscale". Un rapport sénatorial a accusé d’évasion fiscale le cabinet de conseil américain, auquel le gouvernement Macron a fait largement appel pour des missions au cours du quinquennat mais qui n’a pas payé d’impôt sur les sociétés entre 2011 et 2020, alors qu’il a réalisé en France un chiffre d’affaires annuel de plusieurs centaines de millions d’euros (329 millions en 2020).
En clair :
• des milliards encaissés,
• zéro euro d'impôts payés !
La République idéologique, le Système, "vend" la France, la "remet" entres des mains étrangères, avec toutes les conséquences ce que cela comporte.
Nous irons voter dimanche - CONTRE MACRON - mais sans nous faire la moindre illusion : même meilleurs (ou moins pires) que Macron, ou Hollande, ou Sarkozy etc... ce n'est pas par un changement de personnes que la France sera sauvée : il faut arracher l'arbre pourri (le Système) qui donne des fruits pourris.
Il faut mener la seule action politique qui vaille d'être menée : une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)
VIVE LA FRANCE !
ET SURTOUT, SUR TOUT,
POUR QUE VIVE LA FRANCE, VIVE LE ROI !