Le Président de « RENAISSANCE » pense que nous sommes entrés dans un « processus de décivilisation » .
Déjà, l’Académie ne semble pas retenir ce vocable… Et si d’aventure il existait, on peut mettre en doute ce soi-disant processus !
Encore que, dans les rangs de certains l’on puisse ressentir
ce mal-être, et cette impression de perte d’identité, cette certitude de ne plus être dans notre civilisation d’origine, mais où est donc passée la France ?
Rassurez-vous citoyens politiciens, si elle n’est plus dans vos rangs de Sans-culottes, elle est bien à l’abri dans les nôtres. Vous la cherchez partout au point de fonder une coterie « Renaissance ! »
Nous n’avons nul besoin de renaître, nous sommes bien présents et audibles… Oyez, oyez le chant des casseroles, elles vous chantent le « Chant du départ » !
Les Français mettent à leur tête celles et ceux qu’ils estiment les plus valeureux, les plus…civilisés ! N’est-il pas vrai ?
Décivilisation ? Vous avez dit décivilisation ; comme c’est bizarre !
Dans nos rangs, chez les Français moyens, ceux qui ne savent toujours pas traverser la rue…La question ne se pose pas, nous nous trouvons assez civilisés !
Sans doute, les séides du Président se sentent « décivilisés voire défrancisés, ils peuvent comprendre le désarroi de leur chef et le partager.
Nous, nous sommes « Gens de France » fiers et heureux, nous avons l’Honneur en partage, la Courtoisie et tout l’esprit de Chevalerie qui va avec, nous avons la Foi, nous avons un Roi (même s’il n’est ni sacré ni couronné) ; mais nous l’avons dans notre cœur.
Nous voyons notre France « telle que nous désirons qu’elle soit, et pas toujours comme elle est. » (Sic)
Les horribles exactions qui nous frappent actuellement et celles qui motivent l’emploi d’un vocabulaire de l’effroi, ne nous terroriseraient pas si nous étions en charge du Royaume car en lieu et place de décivilisation, nous remettrions en place un code de Chevalerie, et le ferions respecter…strictement.
Hors de question de nous défranciser !
Si nous avons nécessité d’entamer une Reconquista, osons appeler les choses par leur nom, et n’utilisons pas des circonlocutions alambiquées pour masquer des menaces qui mettraient en péril l’identité profonde de la France.
Non il n’y a pas de processus de décivilisation, mais plutôt un délitement certain de notre société par abandon de principes et de valeurs morales qui sont l’ossature et le squelette d’une société choisie.
Ci-après :
La vision royale, du Comte de Paris, celle qu’il affiche pour la France et au service des Français.
La notion de royauté n’a rien perdu de son actualité dans nos démocraties occidentales. En Europe, ce sont pas moins de dix États dont le chef est un prince héréditaire. Dans des régimes maintenant démocratiques, la fonction princière a pleinement trouvé sa place, au service des populations et du bien commun.
Au-delà des partis, la présence d’un roi garantit en effet la continuité dans le destin d’un pays : le respect de son identité profonde, la préservation de ses principes fondamentaux, la défense de sa langue et son rayonnement dans le monde entier. Elle permet également de se détacher de la pression des lobbies, des media, des biais du système électoral pour exprimer d’une voix forte la protection des plus faibles, la défense de l’environnement, ou celle du patrimoine matériel et spirituel.
Une vision de long terme
Avec à peine deux siècles et demi d’existence, notre jeune démocratie française est parfois aveuglée par l’idéologie du progrès, le mythe de la mondialisation heureuse, et l’attrait des profits immédiats. Héritier de mille ans d’histoire de la royauté, le comte de Paris est le garant d’un projet d’ensemble dont la vision politique n’est pas à l’horizon d’un quinquennat mais des générations futures. Du côté non pas de l’action qu’on achète et qu’on revend quelques secondes plus tard, mais de l’arbre que l’on plante pour ses petits-enfants.
Jean de France Comte de Paris.
Nous voilà loin de la décivilisation, notre optimisme reste au beau fixe, chez les Gens de France, nos racines sont profondes, bien ancrées dans la terre de France, toute notre histoire (celle de la France) nous montre et nous prouve que quand :
« Tout est perdu fors l’honneur » !
Tout reste possible, et notre confiance en la Divine Providence est absolue.