Éphéméride du 15 mars

15 Mars 44 : Assassinat de Jules César, conquérant des Gaules
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15 Mars 44 : Assassinat de Jules César, conquérant des Gaules
1913 : Mort d'Auguste Desgodins, missionnaire et savant linguiste, spécialiste du Tibet (ci-dessus : le Palais du Potala, à Lhassa, VIIème siècle)
1369 : victoire de Bertrand du Guesclin à la bataille de Montiel
C'est à la suite de cette grande victoire que du Guesclin reçoit le titre de Connétable de France.
Ce mot de Connétable vient du latin "comes stabuli" (le "compagnon des étables", c'est-à-dire l'homme de confiance du seigneur, qui accompagne celui-ci lorsqu'il se rend dans ses écuries pour monter à cheval, partir à la guerre ou s'adonner aux plaisirs de la chasse...).
Par extension, le "comes" (d'où provient le mot "Comte") devient celui qui est chargé par le seigneur de s'occuper des écuries, donc, peu à peu, de la force militaire que représente la cavalerie; il sera nommé, finalement... Chef des armées.
C'est le troisième roi capétien, Henri 1er - époux d'Anne de Kiev - qui crée officiellement la charge de Connétable en 1060; à partir de 1191, celle-ci se transforme radicalement et son titulaire devient "Chef souverain des armées du roi".
Après la trahison du Connétable de Bourbon, en 1523, François premier se nommera lui-même "chef des armées", ôtant à la fonction toute substance réelle, et l'office de Connétable sera définitivement supprimé le .
https://www.herodote.net/14_mars_1369-evenement-13690314.php
À Paris, le Jardin des Tuileries de nos jours
Il y a treize jours, dans l’année, pendant lesquels il ne s’est pas passé grand-chose, ou bien pour lesquels les rares événements de ces journées ont été traités à une autre occasion (et plusieurs fois pour certains), à d'autres dates, sous une autre "entrée".
Nous en profiterons donc, dans notre évocation politico/historico/culturelle de notre Histoire, de nos Racines, pour donner un tour plus civilisationnel à notre balade dans le temps; et nous évoquerons, ces jours-là, des faits plus généraux, qui ne se sont pas produits sur un seul jour (comme une naissance ou une bataille) mais qui recouvrent une période plus longue.
Ces jours creux seront donc prétexte à autant d'Évocations :
• 1. Essai de bilan des Capétiens, par Michel Mourre (2 février)
• 5. Quand Le Nôtre envoyait à la France et au monde le message grandiose du Jardin à la Française (13 mars)
• 7. Quand Louis XIV a fait de Versailles un triple poème : humaniste, politique et chrétien (28 avril)
• 9. Quand la cathédrale Saint-Pierre de Beauvais a reçu, au XIIIème siècle, son extraordinaire vitrail du Miracle de Théophile (28 mai)
• 10. Quand Chenonceau, le Château des Dames, à reçu la visite de Louis XIV, âgé de douze ans, le 14 Juillet 1650 (26 juillet)
• 11. Le Mont Saint Michel (11 août)
• 12. Quand François premier a lancé le chantier de Chambord (29 septembre)
• 13. Quand Léonard de Vinci s'est installé au Clos Lucé (27 octobre)
Aujourd'hui : Quand Le Nôtre envoyait à la France et au monde le message grandiose du Jardin à la Française.
Francesco est né vers 1430, à Vrana, près de Zara (l'actuelle Zadar, en Croatie), ville qui s'appelait La Vrana à l'époque où elle était dominée par les Vénitiens : c'est la déformation de ce nom en Laurana qui a donné son patronyme à l'artiste, dont on ne connaît que le prénom.
Il commence son apprentissage à Naples, pour Alphonse V d'Aragon et, après le mort de celui-ci, en 1458, il est appelé en France, à la cour de René, duc d'Anjou, comte de Provence et roi de Naples.
Ensuite, de 1466 à 1471, il est en Sicile, à Palerme.
En 1471, il retourne à Naples, puis part à Urbino pour trois ans, et repart ensuite en France, où il introduit le travail à l'antique, c'est-à-dire le style de la Renaissance italienne.
Il se fixe à Marseille, où il passa la plus grande partie des dernières années de sa vie. Son atelier produit l'Autel Saint-Lazare à la Cathédrale de Marseille, le Tombeau de Jean Cossa à Sainte-Marthe de Tarascon, celui de Charles IV du Maine au Mans, et le Retable du Portement de Croix pour l'église des Célestins d'Avignon.
Sa fille épousa Jean de la Barre, peintre avignonnais, et Francesco vint s'installer en Avignon en 1498. Il y mourut en 1502, et fut inhumé dans la chapelle de Notre-Dame-la-Belle, qui jouxtait le couvent des Augustins.
À Marseille, dans l'ancienne cathédrale, Laurana édifia le superbe autel de Saint Lazare, en marbre de Carrare, de 1475 à 1481. Cet autel - non loin d'un autre chef d'oeuvre, de Della Robbia - est situé dans le croisillon nord du transept, et présente une arcature jumelée de style Renaissance; il est la première manifestation de ce mouvement en France :
On consultera avec profit l'étude suivante sur ce splendide travail, dans la cathédrale de La Major, où François 1er maria son fils, le futur Henri II, la cérémonie étant présidée par le Pape lui-même... :
http://provence-historique.mmsh.univ-aix.fr/Pdf/2015-65-259_2.pdf
et aussi ce lien, qui ne manque pas non plus d'intérêt :
http://cathedrale.marseille.free.fr/vieille/laza/laza.htm
Enfin, notre Éphéméride du 28 octobre, qui évoque le mariage "royal et papal" du futur Henri II donne d'autres renseignements sur cette splendeur mutilée qu'est la Vieille Major de Marseille...
1794 : Création de l'École Polytechnique par Lamblardie, Monge, Carnot et Prieur
L'adjectif "polytechnique", apparu pour la première fois dans un document publié par Claude Prieur - Programmes de l'enseignement polytechnique de l'École centrale des Travaux publics - a été choisi afin de symboliser la pluralité des techniques enseignées.
Elle est aujourd'hui installée à Palaiseau :
1814 : Bordeaux proclame Louis XVIII Roi de France...
Le désastre est total : déclarée en 1792, à l'instar des Girondins et de Brissot, dans le but exprès de faire chuter la monarchie, la folle "guerre à l'Europe" s'achève, 22 ans et un million et demi de morts après, par l'invasion du territoire national, inviolé depuis cent ans (deux vies d'homme...)...
Russes, Autrichiens, Prussiens, Anglais : c'est toute l'Europe, où régnait l'esprit, le goût, les moeurs, la civilisation et la langue française qui s'est liguée contre le bellicisme xénophobe révolutionnaire; la République, dont l'Empire et Napoléon ne sont que "le sabre", a réussi le prodige d'agréger à nos ennemis traditionnels nos anciens amis et alliés, ligués maintenant contre nous; elle a épuisé la France; elle a soulevé des forces qui retomberont lourdement sur elle et sur ses enfants en lançant le principe des nationalités, c'est-à-dire, dans les faits, l'unité allemande : 1870, 1914, 1939 sortiront de ces nuées révolutionnaires, créatrices de l'Allemagne unie... par nous-mêmes !...
lafautearousseau
1607 : Aux origines de la Place Dauphine
Espace triangulaire, dans l'ouest de l'Île de la Cité, la Place Dauphine fut ainsi nommée en l'honneur du Dauphin, futur Louis XIII, fils de Henri IV.
À ce grand roi bâtisseur on doit la Place Royale - aujourd'hui "des Vosges" -, la Galerie du Bord de l'eau, reliant le Louvre aux Tuileries, et le grandiose projet, hélas non réalisé du fait de son assassinat, de ce qui aurait été la superbe Place de France (voir l'Éphéméride du 5 avril).
Henri IV fit aménager la Place Dauphine sur l'emplacement de trois îlots alluvionnaires à fleur d'eau - l'île aux Bœufs, l'îlot de la Gourdaine et l'île aux Juifs, sur laquelle fut brûlé Jacques de Molay, le Grand maître des Templiers, le 18 mars 1314 (voir l'Éphéméride du 18 mars).
La construction du Pont neuf (de 1578 à 1607, voir l'Éphéméride du 16 mars), entreprise par Henri III avait entraîné, logiquement, l'unification des trois îlots et leur rattachement à l'Île de la Cité : Henri IV décida de faire aménager cette nouvelle "pointe ouest" de l’Île de la Cité en bel espace résidentiel, et en fit don - par un bail à cens et à rentes du 10 mars 1607 - à Achille de Harlay, premier Président à mortier du Parlement de Paris. Henri IV récompensait ainsi celui qui l'avait loyalement et fidèlement servi durant les troubles de la Ligue.
Achille de Harlay reçut donc l'autorisation de créer une place triangulaire, à charge pour lui de construire les nouveaux bâtiments dans l'esprit de la Place Royale et conformes au plan imposé par le roi et le Grand Voyer Sully : un "promenoir" entouré de maisons "d’un même ordre", comprenant deux étages, dont les trumeaux seraient décorés de tables de pierre se détachant sur la brique, et dont les arcades du rez-de-chaussée abriteraient les boutiques.
Achille de Harlay fit bâtir originellement trente-deux maisons identiques en chainage de pierre blanche, briques et combles en ardoise, de deux étages, avec un rez-de-chaussée à arcades pleines (comportant un rez-de-chaussée à galerie, deux étages carrés et un étage de comble), autour d'une place triangulaire quasiment fermée, ne s'ouvrant que par deux passages à ses extrémités, dont seul celui situé à l'ouest subsiste encore de nos jours, et débouche sur la statue équestre d'Henri IV.
Malheureusement - et à l'inverse de ce qui s'est passé Place Royale, qui a conservé intégralement son splendide ordonnancement originel - les propriétaires successifs défigurèrent la place, ne respectant pas l'uniformité primitive : des trente-deux maisons uniformes d'origine, il ne reste intacts que les deux pavillons d'angle sur le Pont Neuf, les autres bâtiments étant modifiés ou rehaussés.
Mais le pire devait arriver en 1874, à l'initiative de Viollet-le-Duc - qu'on avait connu mieux inspiré - qui fit démolir le côté pair de la rue De Harlay (la base du triangle de la place) pour dégager la façade arrière du Palais de Justice, construite à partir de 1854 ! Des arbres sont aujourd'hui plantés à l'espace qu'occupaient les maisons, jadis.
La Place Dauphine partage donc avec la Place des Victoires (voir l'Éphéméride du 26 mars) le triste privilège d'avoir été largement défigurée et mutilée, au point d'avoir perdu, sinon la totalité, du moins une très large part de sa splendeur d'antan.
Telles qu'elles nous apparaissent aujourd'hui, cependant, ces deux Places conservent assez d'éléments de leur beauté passée pour que l'on puisse se faire une idée assez précise de ce que fut cette très grande beauté.
1945 : Sortie du film Les enfants du paradis
1107 : Le Pape Pascal II consacre La Charité sur Loire
http://medieval.mrugala.net/Architecture/France,_Nievre,_La_Charite_sur_Loire,_Eglise_Notre-Dame
Pour avoir une idée de la diffusion de l'art roman et de l'art ogival (en France et en Europe) voir, dans notre album L'aventure France racontée par les cartes, les deux photos :
Expansion de l'Art roman et Expansion de l'Art ogival (ou Art français)
"Dans une couronne de feuilles de laurier d'argent, un écu tiercé au 1 vert, au 2 rouge et au 3 bleu frappé d'un soleil d'or entouré par la devise "NEC PLURIBUS IMPAR", posé sur deux sabres croisés, surmonté d'une grenade à sept flammes d'argent frappée du chiffre "1" et soutenue par une banderole d'argent portant l'inscription "HONNEUR FIDELITE" entourant les dates "1635" et "1921".
L'insigne a été dessiné en 1936 par le maréchal des logis Allnikine.1974 : Inauguration de l'Aéroport de Roissy Charles de Gaulle
1549 : Hugues Sambin est reçu Maître menuisier, à Dijon...
Porte du Parlement de Bourgogne, à Dijon, sculptée par Hugues Sambin en 1580.
https://beaux-arts.dijon.fr/sites/default/files/Collections/pdf/hugues_sambin.pdf
1875 : Naissance de Maurice Ravel
1274 : Mort de Saint Thomas d'Aquin
Âgé de quarante-neuf ans, il se rendait au Concile de Lyon, où il avait été convoqué comme expert.
Thomas avait fait trois séjours à Paris :
• D'abord, à partir de 1248, sous le règne de Louis IX (voir l'Éphéméride du 15 novembre);
• Puis il suivit son maître, Albert le Grand (dominicain lui aussi, et commentateur d'Aristote) à Cologne jusqu'en 1252 : en 1252, il revint à Paris, où il resta sept ans, prenant en charge la chaire de Bachelier en Écritures, pour continuer comme Bachelier Sentenciaire (il fut, à trente et un ans, maître d’une chaire pour laquelle il en fallait trente cinq, selon les statuts et l’approbation pontificale).
Au bout de ces sept années parisiennes, il fut appelé à Rome par le pape Alexandre IV, pour être incorporé à sa suite comme théologien pontifical;
• Enfin, il fit un troisième et dernier voyage à Paris, envoyé par le supérieur des Dominicains - avec le consentement du Pape - pour arbitrer et éteindre, dans l'université, de graves querelles doctrinales, grâce à son autorité et à son prestige. Après avoir brillamment accompli cette double mission, il retourna définitivement à Rome, au côté du pape. Mais c'est en se rendant une nouvelle fois en France, au Concile de Lyon, qu'il y mourut, en 1274.
https://www.notredamedeparis.fr/decouvrir/peintures/saint-thomas-d-aquin-fontaine-de-sagesse/
Saint Thomas d’Aquin par Antoine NICOLAS, 1648, Notre-Dame de Paris. Don du couvent dominicain de l’Annonciation du faubourg Saint-Honoré, en 1974, à l’occasion du septième centenaire de la mort de saint Thomas.
Avec ce tableau, Paris se souvient du "Docteur Angélique", de la "Fontaine de Sagesse", qui professa la théologie à la Sorbonne, et écrivit plusieurs ouvrages dont une partie de la "Somme" au couvent Saint-Jacques, et vint sûrement se recueillir à la cathédrale, dont il vit construire le transept au temps de saint Louis.
Sur saint Thomas d'Aquin et ses rapports avec la France, voir aussi l'Éphéméride du 28 janvier et l'Éphéméride du 7 mars.
Château-Gaillard, aujourd'hui
1204 : Chute de Château-Gaillard
Cinq ans après la mort de son adversaire, Richard Coeur de lion, Philippe Auguste s'empare de ce verrou stratégique et rattache la Normandie au Royaume.
Les Capétiens l'emportent sur les Plantagenêts, et terminent à leur avantage cette première Guerre de Cent ans.
Mais ce n'était pas écrit d'avance !
Plusieurs fois dans l'Histoire (comme avec Louis XI, opposé aux Ducs de Bourgogne...) le Roi de France finira par sortir vainqueur d'un duel engagé avec plus fort que lui au départ.
7 mars 1936 : L'Allemagne remilitarise la Rhénanie...
Dès l'Armistice de 1918, l'Action française et, en dehors d'elle, tous les patriotes lucides, demandèrent que l'on entrât en Allemagne, jusqu'à Berlin; que l'on détruisît son armée; et, surtout, que l'on détruisît son unité, follement pensée et voulue par la prussophilie et les nuées des Encyclopédistes, puis follement et systématiquement voulue, organisée et accomplie par Révolution, Républiques et Empires, associées dans un aveuglement insensé, travaillant directement contre l'intérêt national, et prenant le contre-pieds exact de la sage politique des Rois de France : organiser l'émiettement, la division des Allemagnes, pour assurer la paix à la France, à l'Europe et... aux Allemands eux-mêmes !
Mais Clemenceau et le Système firent passer leur idéologie sectaire, haineusement anticléricale, et leurs "nuées" avant l'intérêt national.
Ils démembrèrent bien l'un des deux Empires, celui qu'il fallait maintenir, l'Austro-Hongrois, car il était catholique. Pourtant, il maintenait une stabilité certaine dans cette poudrière qu'était l'Europe du centre et de l'Est...
Mais ils maintinrent intacte l'unité allemande - qui n'avait pas cinquante ans ! - et donc la puissance allemande, économique et démographique : il était facile de prévoir que les Allemands ne tarderaient pas à vouloir se venger des clauses théoriques et humiliantes du Traité de Versailles.
Bainville fit la prédiction d'une guerre pour dans vingt ans et d'un parti socialiste national : le Système resta sourd, aveugle, insensé, et nous eûmes les deux, conformément à la juste analyse de la situation...
Oui, ce sont bien Clemenceau et le Système qui nous ont "donné" la Seconde Guerre mondiale, le nazisme et toutes les catastrophes qu'il a entraînées avec lui...
lafautearousseau
1543 : Naissance de Louis Berton de Crillon de Balbe
Il est souvent appelé Crillon le brave ou le brave des braves.
Henri IV l'appelait "Le premier Capitaine du monde", et c'est à lui qu'il a écrit la phrase célèbre :
"Brave Crillon, pendez-vous de n'avoir été ici près de moi lundi dernier à la plus belle occasion qui se soit jamais vue et qui peut-être se verra jamais. Croyez que je vous y ai bien désiré."
Une phrase souvent rendue par "Pends-toi, brave Crillon, nous avons combattu à Arques et tu n'y étais pas !"
De Michel Mourre :
"Il s'illustra sous les règnes successifs de cinq rois, d'Henri II à Henri IV; il alla combattre à Lépante sous les ordres de Don Juan d'Autriche (1571), accompagna en Pologne le duc d'Anjou (futur Henri III) et le défendit plus tard contre la Ligue mais refusa de se prêter à l'assassinat du duc de Guise. Henri IV l'estimait beaucoup... Crillon fut le premier à recevoir le grade de colonel-général de l'infanterie française."
Ci dessus, sa statue sur la place principale de Crillon le brave (Vaucluse).
Cette petite fille d'Aliénor d'Aquitaine - qui aura causé tant de soucis à la Couronne de France (voir l'Éphéméride du 25 février) - sera l'épouse de Louis VIII, et la mère de Louis IX, le futur Saint Louis.
Elle est l'une des six femmes (dont quatre étrangères, ce qui était son cas) a avoir exercé la totalité du pouvoir en France, à l'occasion de Régences, avec :
• Anne de Beaujeu (pour Charles VIII);
• Louise de Savoie (pour François 1er);
• Catherine de Médicis (pour Charles IX);
• Marie de Médicis pour Louis XIII;
• Anne d'Autriche (pour Louis XIV)...
Blanche de Castille exercera même deux fois la Régence au nom de son fils Louis IX. Une première fois pendant la minorité de celui-ci (de 1226 à 1234). Puis, et jusqu'à sa propre mort, pendant le séjour du Roi en Terre Sainte (de 1249 à 1252).
Ci dessus, couronnement de Louis VIII et de Blanche de Castille.