Solidarité Kosovo !
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Au cœur du Kosovo, le peuple serbe vit une nouvelle épreuve.
Sous prétexte de “l’application stricte de la loi”, les autorités de Pristina veulent imposer une « loi sur les étrangers » qui ferait des Serbes, habitants historiques du Kosovo, de simples visiteurs sur leurs propres terres.
À partir du 1er novembre, ces mesures imposeront aux habitants serbes de demander un permis de séjour pour pouvoir continuer à vivre chez eux.
Ce n’est pas une réforme administrative : c’est une expulsion déguisée, une pression politique pour effacer peu à peu la présence serbe et chrétienne au Kosovo.
Il y a un siècle, les Serbes étaient majoritaires dans cette région, qui est pourtant le berceau de leur foi et de leur culture. Aujourd’hui, ils sont devenus minoritaires sur leur propre terre, sous la pression politique et démographique albanaise.
Ainsi, des familles entières risquent de perdre leur liberté de circuler, d’étudier ou de se soigner.
Les écoles, hôpitaux et universités du système serbe sont menacés de fermeture.
C’est une politique d’asphyxie, une volonté d’en finir avec la dernière communauté chrétienne historique du Kosovo.
Pourtant, malgré ces injustices, le peuple serbe du Kosovo reste debout.

https://www.solidarite-kosovo.org/
À Martigues, le Maire et la gauche semblent paniquer.
Pourquoi ?
Sur la Page facebook de Jean-Luc DI Maria :
Sur RTL-info
La célèbre mosquée-cathédrale de Cordoue "est sauvée" : les pompiers ont éteint l’incendie lors d’une intervention "magnifique"...
La cathédrale de Cordoue est consacrée à Notre-Dame de l'Assomption.
Pas plus qu'à Paris, Notre-Dame n'a voulu quitter les siens.
Il faut y voir un signe, comme à Paris...
Il faut savoir lire les signes...



« C’est vrai que l’idée qu’il y ait des cathos de gauche est spontanément bizarre : cela ne colle pas avec le cliché des serre-têtes, avec cette confusion, si bêtement française, entre catholicisme et maurrassisme », a écrit Aurélien Bellanger dans une chronique. Régulièrement, la question revient : Jésus était-il de gauche ou de droite ? Si l’interrogation est évidemment anachronique, quid des fidèles de l’Église catholique en France et en Europe ? Ils existent encore les « cathos de gauche » ?

L’UE vient de montrer sa couardise face à Donald Trump, von der Leyen souhaitant garder son sang-froid, et la nullité Stéphane Séjourné, vice-président de la Commission, nommé par Macron, écrivant sur X : « Aux entreprises, je veux dire une chose, restons calmes et prudents ». Nous voilà donc très mal partis car l’UE a finalement décidé de ne pas répliquer à l’augmentation des droits de douane par Trump. Cette décision de la suspension des surtaxes ne fait d’ailleurs pas l’unanimité au sein du comité des représentants permanents des Vingt-Sept car l’Europe est soumise à trois surtaxes douanières : 25 % sur l’acier, l ’aluminium, les automobiles et 10 % pour tous autres produits. La fermeté de la Commission, c’est donc du « bidon » ! L’UE « se couche » d’autant plus qu’elle insistait sur la nécessité de riposter…

Le Figaro du mercredi 9 avril, page 17, a eu l’honnêteté de présenter sur la même page deux thèses opposées, celles d’une personne intelligente et réaliste, madame Julie Girard, avec son article intitulé « Trump, le président du peuple contre l’élite financière ?» et un autre article écrit par Bertille Bayart, journaliste de la pensée unique, ayant pour titre : « Pourquoi la Chine risque de gagner la guerre commerciale », alors qu’il est plus que certain que l’Empire du milieu va la perdre !

Les expressions « Vieille Europe » et « Nouveau monde » n’auront malheureusement jamais été aussi actuelles. En observant les tourmentes incessantes provoquées par les initiatives de Donald Trump, Elon Musk et maintenant le discours de J.D. Vance prononcé à Munich, l’Europe semble très âgée. Nos dirigeants, même les plus jeunes d’entre eux, paraissent sortir de l’âge de pierre face au tourbillon provoqué par un homme de 78 ans.
Avec d’autres septuagénaires, l’Indien Modi, le Chinois Xi Jinping et le Russe Vladimir Poutine, Donald Trump met fin aux structures multilatérales en place depuis 1945 pour discuter en direct avec ceux qu’il estime devoir rencontrer ou appeler au téléphone. La France, l’Angleterre et l’Allemagne sont reléguées aux oubliettes de l’histoire. Les dirigeants de ces pays parlent beaucoup, agissent peu et mal. Ils sont plus jeunes pourtant mais beaucoup plus vieux en réalité.

Câlin Georgescu
Les élections présidentielles roumaines du 24 novembre 2024 ont stupéfié et consterné les dirigeants et stratèges occidentaux. Le très atlantiste premier ministre social-démocrate Marcel Ciolacu a été éliminé à l’issue du premier tour avec 19,15% des suffrages. Le libéral, non moins atlantiste, Nicolae Ciuca a fait pire : 8,79%.
Bien dommage pour deux partis, l’un de gauche modérée, l’autre de droite modérée, mais aux idées presque similaires, qui se partagent le pouvoir depuis 1989. Ils sont atlantistes et pro-européens c’est l’essentiel et l’OTAN peut s’appuyer sur ce socle fidèle.
Site officiel : Solidarité Kosovo
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Prince Jean de France : La question de la République est posée
- Les Conversations n° 51 - TVL
13 octobre 2024
Eté 2024 : à la faveur d’une dissolution improvisée, éclate l’un des plus lourds nuages qui assombrissent depuis des années le sort de la France, l’aporie nos institutions. Si la Constitution de la Ve République est solide, elle n’échappe pas à une contradiction majeure, qu’avait bien comprise son créateur : comment faire que le président de la République, clef de voute de notre architecture institutionnelle, soit à la fois président de tous les Français (remplissant la triple fonction d’assurer notre continuité historique, de garantir l’impartialité de l’Etat et d’arbitrer en cas de crise) et cependant élu au suffrage universel, c’est à dire par une partie de Français contre une autre ? Longtemps la question fut masquée par l’ombre gaullienne. Mais la tragédie se révèle avec les successeurs, chaque fois plus cruelle quand les Français se rendent compte que chacun des chefs d’Etat issu de l’élection est plus éloigné de ses missions fondamentales. Le pire étant atteint avec Emmanuel Macron, destructeur déclaré de notre continuité historique et si partial qu’il en devient minoritaire, son étiage tombant même, lors des européennes de juin, au dessous de 15%. Peu après, se fissurait le bien nommé front républicain, tandis que chacun peut observer que, constitué après des mois de crise, le gouvernement ne tient que par l’habile abstention du parti que ledit Front républicain visait précisément à exclure
« Bref, la mère c’est une femme, le père c’est un homme et laissez nos enfants tranquilles ! Point final ! Fin de discussion. »
Être obligé de rappeler ces vérités élémentaires et en vigueur depuis que Dieu créa l’homme en dit long sur l’état de déliquescence des sociétés occidentales. C’est Viktor Orban, premier ministre hongrois depuis 2010, qui a tenu ces propos en 2020 devant le Parlement. C’était à l’occasion de l’adoption d’un texte sur la protection de l’enfance contre de « possibles interférences idéologiques ou biologiques ». Naturellement ce vote fut réduit à une « offensive anti-LGBT » dans la presse française.

Les difficultés de la coopération franco-allemande en matière de défense et d’armements pour le plus grand bénéfice des seuls États-Unis...
L’Allemagne et la France s’opposent en matière de défense européenne.
La France, même avec son armée d’échantillons et son budget militaire ridicule de 2 % du PIB, dispose, avec sa force nucléaire, de la première Armée d’Europe, car motivée, organisée et bien commandée. La Bundeswehr, elle, ne vaut pas grand-chose à ce jour, avec en outre, de très grandes difficultés à recruter, d’où une inclination naturelle à s’en remettre aux États-Unis pour les problèmes de défense. L’Allemagne préfère être commandée par les États-Unis et acheter américain plutôt que d’être n°2 en Europe, derrière la France, dans le cadre d’une défense européenne forte et indépendante !