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*Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France

  • Sur TV Libertés Paul-Marie Coutaux reçoit le Prince Jean...

     

    Prince Jean de France : La question de la République est posée

    - Les Conversations n° 51 - TVL

    13 octobre 2024

    Eté 2024 : à la faveur d’une dissolution improvisée, éclate l’un des plus lourds nuages qui assombrissent depuis des années le sort de la France, l’aporie nos institutions. Si la Constitution de la Ve République est solide, elle n’échappe pas à une contradiction majeure, qu’avait bien comprise son créateur : comment faire que le président de la République, clef de voute de notre architecture institutionnelle, soit à la fois président de tous les Français (remplissant la triple fonction d’assurer notre continuité historique, de garantir l’impartialité de l’Etat et d’arbitrer en cas de crise) et cependant élu au suffrage universel, c’est à dire par une partie de Français contre une autre ? Longtemps la question fut masquée par l’ombre gaullienne. Mais la tragédie se révèle avec les successeurs, chaque fois plus cruelle quand les Français se rendent compte que chacun des chefs d’Etat issu de l’élection est plus éloigné de ses missions fondamentales. Le pire étant atteint avec Emmanuel Macron, destructeur déclaré de notre continuité historique et si partial qu’il en devient minoritaire, son étiage tombant même, lors des européennes de juin, au dessous de 15%. Peu après, se fissurait le bien nommé front républicain, tandis que chacun peut observer que, constitué après des mois de crise, le gouvernement ne tient que par l’habile abstention du parti que ledit Front républicain visait précisément à exclure  

  • POUR LE BIEN DE LA FRANCE, message du Comte de Paris

    29 août 2024

    Notre monde n’est pas parfait, ni nous d’ailleurs. Chacun de nous, à sa façon, essaie de le rendre meilleur. Dans nos sociétés, le facteur humain est central, dans nos réflexions comme dans nos actions. C’est pourquoi notre mode de gouvernement doit se faire d’abord pour les autres et non pour soi, comme nous le voyons trop souvent aujourd’hui.

    En effet, le pour-soi et l’entre-soi remplissent nos espaces de vie, privés comme publics ; la carrière, l’argent, le pouvoir, les passions parfois les plus sombres. Avec plus ou moins de force, aucune structure humaine n’y échappe. Les fractures multiples qui caractérisent notre société sont entretenues, ravivées comme nous avons pu le voir lors des élections européennes et législatives ou à l’occasion des Jeux Olympiques. Nos souverainetés sont abandonnées et nos libertés confisquées par ceux-là même qui devraient nous protéger et qui, au lieu de cela, jouent les apprentis sorciers. Nous le vivons malheureusement de plus en plus.

    Est-ce là l’aboutissement de 70 000 ans d’humanité, de 2 000 ans de chrétienté et de 1 500 ans d’histoire commune ? Devons-nous nous résigner à cette situation ? Je ne le crois pas.

    Plus que par nos passions, nous nous caractérisons par notre raison. Descartes avait vu juste en disant que « le bon sens » était « la chose du monde la mieux partagée ». Mais encore faudrait-il qu’elle soit droite ! Et dans sa recherche d’idéal, pourquoi l’homme de raison ne s’attacherait-il pas à poursuivre le bien ! Et dans ses relations, pourquoi l’homme social ne miserait-il pas plus sur la confiance ! Et dans sa gouvernance, pourquoi l’homme de responsabilité ne s’appuierait-il plus sur les corps intermédiaires ! Cela rétablirait peut-être le sens du service, un service individuel et collectif exercé dans la solidarité, la justice et la liberté. Cela rendrait nos sociétés plus humaines, unies et paisibles, facilitant ainsi l’exercice d’une charité bien ordonnée.

    Et par quels moyens politiques pourrions-nous y arriver ? Peut-être faudrait-il privilégier le long terme ; ce pourrait être par exemple en revenant au septennat. Peut-être faudrait-il favoriser une meilleure représentativité de nos concitoyens et de ce qu’ils expriment ; ce pourrait être par exemple en réintroduisant une dose de proportionnelle dans nos modes de scrutin. Peut-être faudrait-il reconnecter nos politiques à la réalité du terrain ; ce pourrait être par exemple en ré-autorisant le cumul d’un mandat local et d’un mandat national ? Ces moyens politiques devraient être recherchés dans un état d’esprit qui remplacerait les « calculs politiques » par une vraie réflexion stratégique, pour la défense des intérêts vitaux de notre pays et de nos concitoyens, dans une Europe respectueuse des richesses et particularités de chaque nation.

    Et pourquoi ne pas aller chercher l’original plutôt que de se contenter de la copie ? Les monarchies sont nombreuses en Europe. Sans avoir la prétention d’être le remède miracle, la monarchie, en s’appuyant sur ces piliers, mettrait en place une dynamique « vertueuse », solide et souple à la fois. Un système plus responsable et vivant, où les libertés fondamentales sont respectées, où le bien, le beau et le vrai restent des belles choses à accomplir pour une vie sociale meilleure et pleine d’avenir.

     

  • Sur la page facebook du Prince...

     
    La Famille de France a assisté hier soir à un spectacle de chevalerie dans le magnifique cadre de la cité médiévale de Rochemaure, en Ardèche.
     Pour le plus grand plaisir des enfants, le claquement des lames des chevaliers résonnent dans la cour du château de Rochemaure tous les mardis de l'été.
     Monseigneur le comte de Paris adresse ses sincères félicitations à toute l'équipe ayant mis en œuvre ce spectacle qui fait vivre l'histoire au présent.

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  • Sur la page facebook du Comte de Paris...

    Ce 13 juin sort dans toutes les bonnes librairies de France "Supplément philosophique à l'intention des managers" aux éditions Eyrolles.
    Monseigneur le comte de Paris fait partie des 9 dirigeants philosophes qui ont participé à la rédaction de cet ouvrage sous la direction de Xavier Tandonnet.
    Le chapitre écrit par la plume du Prince revient sur le management capétien, ou comment les rois de France capétiens ont gouverné notre nation, d'un point de vue philosophique.
     
    Supplément philosophique à l'intention des managers
     
    176 pages, 22 euros
     

    Résumé

    Neuf dirigeants philosophes s'expriment sur l'impact de la philosophie sur le management, ou sur les entreprises plus généralement. Ces articles sont courts et percutants, tout en étant le fruit de recherches approfondies. Ils répondent à une certaine urgence de manifester du sens dans notre travail, tant quémandé par les acteurs du business aujourd'hui. Ce livre aborde le management authentique en milieu multiculturel, la cohérence, les enseignements que le management peut tirer de la philosophie, la raison d'être de l'entreprise... Le livre donne la parole à des dirigeants aujourd'hui actifs dans de belles entreprises ou à des entrepreneurs qui s'expriment avec une vision philosophique acquise lors de leur formation universitaire et de leur expérience.

  • Jean-Claude Gaudin vient de nous quitter...

    Nous nous souviendrons toujours que, par une belle journée ensoleillée, il avait reçu le Prince Jean, actuel Comte de Paris mais alors seulement Duc de Vendôme, dans son Hôtel de Ville de Marseille, sur la façade duquel, dominant le Vieux Port et en face de Notre-Dame de la Garde, trône le buste de Louis XIV.

    Dans un Album consacré au Prince Jean, nous avions écrit alors, en légende d'une des photos illustrant cette visite :

    Marseille: sur le balcon d'honneur de la mairie de Puget, sous le buste de Louis XIV et face à la Bonne Mère, Jean-Claude GAUDIN remet au Prince la médaille de la ville.

    Il lui déclare : "Ce sont mes deux sources d'inspiration".

    Buste de Louis XIV au fronton de la Mairie de Marseille Photos | Adobe Stock

  • Du Prince Jean, Comte de Paris...

     
     
    Monseigneur le Comte de Paris a accordé une interview à Point de Vue où il revient sur son rôle de président d'honneur de la Fondation Saint-Louis. Toute la Famille de France participe ainsi à la valorisation de ce patrimoine.
    Cet entretien fut l'occasion de la réalisation de magnifiques portraits pris à Bourbon-l'Archambault, Dreux et Amboise.
     

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  • Il y a quinze ans...

    Il y a 15 ans, Monseigneur le comte de Paris et Madame la comtesse de Paris se mariaient en la cathédrale de Senlis.
    En ce jour anniversaire, ils souhaitent remercier tous ceux qui les ont toujours soutenus dans leurs engagements et leur vie de famille.
     
    Peut être une image de 2 personnes et personnes souriantes

  •  L’AMOUR DÉCOULE DE LA BEAUTÉ, par Guy Adain

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    L’AMOUR DÉCOULE DE LA BEAUTÉ.
     
    La Beauté vient du Ciel !
    Toutes les créations divines sont belles, on ne sait pas toujours les regarder …les yeux ne suffisent pas !!!
    La Beauté valeur suprême !
    Si nous admettons cela, nous sommes sauvés.
    Aime ton prochain comme toi même ! As-tu seulement essayé de discerner sa beauté ? Elle n’est pas forcément apparente et visible… 
    Mais comme tous les trésors elle se cache au plus profond, dans un coffre… Cherche bien  tu la trouveras, mais peut-être chercher c’est déjà trouver; penses-y !
    Nous enfants gâtés de la France… Royalistes, Manants du Roi, Officiers de la Couronne… Etc... etc...
    Quel est notre rôle autour de la Famille Royale ?
    Tout d’abord l’aimer la soutenir et la servir dans la mesure de nos moyens et :
    • Ne rien n’en attendre en retour !
    • Et tout en attendre !
    Aimons le Roi et sa Famille et disons le à tous les Français qui sont en attente mais ne savent plus de qui ni de quoi !
    Qu’attend-t-on de sa mère ?
    Tout et rien bien sûr, c’est un personnage sacré !
    Et nous, Royalistes, Sûrs de rien mais Croyants en tout avec la Foi du Charbonnier, nous proclamons : 
    • Le Roi est mort, Vive le Roi !
    Redonnons une tête à notre pays, et un coeur à notre Royaume !
    Les Présidents de la République :
    Ils se le disent eux-mêmes, ils n’ont pas le monopole du coeur !
     
    Mon coeur a bondit de joie quand samedi 28 janvier 2024, sur un marché d’Aix en Provence j’ai été témoin d’une joute verbale entre trois jeunes hommes et une Dame qui contestait leur présence à cet endroit. L’un d’eux s’et écrié : Je suis Royaliste, Madame !
    Entendre cela un 29 janvier 2024, voilà qui réjouit le coeur…Et justifie l’adage ancien : 
    « On a tant chanté, tant crié Noël, qu’à la fin il est venu ! »
     
    Les temps meilleurs arrivent ! 
    La monarchie reviendra par le coeur, d’un baiser, le Prince Charmant  réveillera la Princesse France endormie depuis 235 ans. 
    D’aucuns nous demandent : en quoi serions-nous meilleurs ?
    Mais nous ne serions pas meilleurs ; juste naturels !
    Notre famille n’est pas un modèle mais une espérance de vertu.
    C’est une Sainte Famille comme toutes les familles bâties avec Amour et Fidélité comme références.
    Symbole de Beauté, notre Famille Royale est magnifique, aimons la, et disons le ; les Français ont envie d’aimer…
    Mais ils ne savent plus qui !
  • Dans Dreux officiel...

    [COMTE DE PARIS]
     
    Pierre Frédéric Billet et le Prince Jean, Comte de Paris ont profité de la soirée des Vœux du Maire pour souhaiter que l’année 2024 et les suivantes confirmeront l’apaisement entre la famille d’Orléans et la Fondation Saint-Louis.
    Le Comte de Paris et la fondation ont en effet signé, quelques jours plus tôt, un protocole d'accord pour clore leurs différents qu’ils avaient mis entre les mains de la justice.
    Le Comte de Paris retrouve le conseil d’administration de la Fondation Saint-Louis et pourra revenir plus sereinement loger dans la Maison Philidor.
    La bâtisse de briques se trouve dans le parc du Domaine royal géré par la Fondation Saint-Louis.
    Pierre-Frédéric Billet s’est souvent impliqué ces dernières années dans ce souci de réconciliation :
     
    "Les Drouais tiennent beaucoup à la famille d’Orléans qui, elle, a toujours su montrer son attachement à notre ville. La Fondation Saint-Louis a aussi une importance essentielle pour faire vivre notre patrimoine. Je suis très heureux que tous aient su œuvrer à ce rapprochement, et je resterai à l’écoute de chacun pour préserver cette paix retrouvée."
  • 21 Janvier 1793 / 21 Janvier 2019... Comment oublier ? par Guy Adain

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    21 Janvier 1793, la France est morte, assassinée !
    C’est un parricide, régicide, nous avons tué le père du Royaume de France.
    21 Janvier 2019 !
    Un rappel troublant, feu Monseigneur Henri d’Orléans, comte de Paris, quitte la scène élégamment en gentilhomme du « Savoir mourir » !

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    Aujourd’hui 21 janvier 2024, quelques âmes en peine prient en silence, quelques Français qui se sentent orphelins du Roi, se souviennent et commémorent !!!
    Quelques Français qui se sentent Sujets royaux, rêvent de beauté, de bonté, d’honneur et d’amour …
     

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    Mais,

    « Les Dieux s’en sont allés,
    Et tout ce qui était beau,
    Tout ce qui était noble,
    Ils l’ont emporté avec eux ! ».
    (Sic) Shiller  poèmes philosophiques

    L’Espérance est là, notre Famille Royale rayonne et la venue du dernier petit Prince Alphonse est une magnifique nouvelle !
    La Providence est là, elle nous soutient et nous entoure de sa divine protection.
     

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  • Dans Paris Match, à propos du Comte de Paris et de la Fondation Saint Louis...

    https://www.parismatch.com/.../entre-le-comte-de-paris-et...

    Peut être une image de 1 personne et château

  • Dans notre Éphéméride de ce jour... : les représentants actuels de notre Famille de France...

    1867 : Mort de Jean-Auguste-Dominique Ingres
     
    • Le Musée Ingres de Montauban, sa ville natale, mérite le détour :

    http://www.musees-midi-pyrenees.fr/musees/musee-ingres/ 

     
             
    Le 31 janvier 2006, grâce au mécénat d'AXA, son très beau Portrait du duc d'Orléans est entré au Louvre : il s'agit du prince Ferdinand, l'un des cinq fils de Louis-Philippe, mort prématurément et accidentellement en 1842, dont descendent tous les représentants actuels de la Famille de France jusqu'à nos jours.
     

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    Ferdinand avait deux fils : Louis-Philippe et Robert, duc de Chartres.

    Louis-Philippe Albert deviendra Philippe VII à la mort du Comte de Chambord, lorsque la fusion sera réalisée entre les légitimistes et les orléanistes ("...Les Orléans sont mes fils...").  Il fut le père de Louis-Philippe Robert, devenu Philippe VIII, mort sans héritier.

    À la mort de Philippe VIII, son cousin Jean, duc de Guise devint Jean III : Jean III était le fils de Robert, duc de Chartres, le deuxième fils de Ferdinand.

    C'est donc du seul Ferdinand, et non de l'un ou l'autre des quatre autres fils de Louis-Philippe, que descendent les représentants actuels de la Famille de France.

    Jean III est le père d'Henri VI, lui-même père d'Henri VII, à son tour père du prince Jean, actuel Comte de Paris (Jean IV), et de son frère Eudes, duc d'Angoulême. Le prince Jean a six enfants (trois garçons et trois filles), dont le premier, Gaston, est Dauphin de France...

     

     
    Pour une vision d'ensemble et plus détaillée des origines de l'actuelle Famille de France, voir l'Éphéméride du 21 septembre
     
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    Feu le Comte de Paris et son fils, le Prince Jean, devenu comte de Paris, Chef de la Maison de France au décès de son père le 21 janvier 2019. Ici lors de la naissance du prince Gaston, aujourd’hui Dauphin de France. Des générations, et, depuis mille ans, une même Famille qui a fait la France et reste à sa disposition, pour la servir.
  • Le Comte et la Comtesse de Paris présentent le Prince Alphonse de France, baptisé le 6 janvier, fête de l’Épiphanie, en la basilique des Saints Nazaire et Celse de Carcassonne

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    (Photos David Niviere)

    Prince Jean, Comte de Paris.  

    Monseigneur le Comte de Paris et Madame la Comtesse de Paris sont heureux de vous présenter Son Altesse Royale le Prince Alphonse de France.
     
    Ce samedi 6 janvier, en la fête de l’Épiphanie, la Famille de France s’est rassemblée en la basilique des Saints Nazaire et Celse de Carcassonne pour le baptême du petit Prince Alphonse célèbre par son recteur, Monseigneur Bertrand de La Soujeole, prélat de Sa Sainteté.