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*Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France - Page 5

  • Nos voeux pour la France, le Prince et vous, amis et lecteurs...

    Nos voeux s'adressent d'abord à la France, bien sûr, que le Système a mis dans un si triste état, lui qui la déconstruit méthodiquement depuis son instauration en 1875, elle qui était, selon le mot du Hollandais Grotius, "le plus beau royaume après celui du Ciel"... Qu'elle se débarrasse de ce Système qui la déclasse inexorablement, l'efface et la conduit à sa perte, selon la prémonition de Bonald : "La France, premier-né de la civilisation européenne, sera la première à renaître à l'ordre ou à périr"... 

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    Cette renaissance a et aura un serviteur : le Prince chrétien, et sa Famille, au service de nos Héritages, de nos Traditions, de tout ce qui constitue notre Être profond. Ouvert à toutes les nouveautés et à tous les progrès qui viendront enrichir ce passé fécond, et fidèle à ce qui ne meurt pas mais qui, au contraire, constitue le terreau fertile sur lequel on pourra "poser tout ce qui est sur tout ce qui fut" (Paul Bourget)...

    Nos voeux vous accompagnent, enfin, chers amis et sympathisants, lecteurs et donateurs de France métropolitaine, des Outre mer et de l'étranger. D'une façon plus amicale et affectueuse, encore, cette année, avec les nombreuses marques de sympathie que vous nous avez manifestées après l'épreuve que lafautearousseau a traversée : si l'humour était de mise pour un tel sujet, nous déclinerions le thème "Covid nous a "toucher" mais pas "couler"...". Par pudeur, nous n'avons pas voulu faire état du bouleversement que ce sinistre virus a causé dans notre quotidien début octobre (mais pas sur nos pages facebook ni sur notre compte tweeter, où nos responsables sont restés en place) : de toutes façons, chacun a compris ce qui se passait, ou ne se passerait plus. Pour parler de notre passé et futur proches, nous préférons employer la magnifique devise du chevalier de Charette :

    "Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais !" 

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    Malgré le vent mauvais qui a soufflé sur nous, et a causé bien des dégâts, l'essentiel a "tenu" et tiendra encore car, c'est bien connu, "ce qui ne me tue pas me rend plus fort"...

    Vous nous trouverez donc toujours à vos côtés, tout au long de l'année, sur ce Blog quotidien, sur Facebook, Tweeter et Telegram, dans le combat sans relâche que nous menons tous depuis si longtemps. Et nous poursuivrons encore longtemps, jusqu'au sacre de Reims, le combat pour lequel nous a convoqué Léon Daudet : mener une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime"

    VIVE LA FRANCE !

    ET, POUR QUE VIVE LA FRANCE,

    VIVE LE ROI !

     

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  • Aujourd'hui, célébration de saint Jean l'évangéliste...

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    Avec ce vitrail du XIVème siècle, qui se trouve dans la Chapelle Saint-Vincent-de-Paul de la cathédrale de Beauvais, lafautearousseau souhaite une bonne fête au Prince Jean, Comte de Paris

  • Jean, Comte de Paris : Recevez tous mes vœux pour un joyeux Noël et une bonne nouvelle année 2022

    Recevez tous mes vœux pour un joyeux Noël et une bonne nouvelle année 2022

    Il y a quelques années, j’avais été invité pour les 60 ans du débarquement en Normandie. J’avais été ému de voir défiler la poignée de combattants restants, grâce à qui la France avait pu rester un pays libre. Ils s’inscrivaient dans la longue lignée des hommes et des femmes qui ont permis à notre pays de garder son âme.

    Aujourd’hui avec la COVID 19, nos vies sont transformées, conditionnées au passe sanitaire et bientôt, à l’instar de l’Italie ou de l’Allemagne, elles le seront à la vaccination. On le voit bien, nous sommes de plus en plus sujets à la contrainte, quel que soit le prétexte, au mépris de nos libertés individuelles et collectives, pourtant garanties par notre constitution. Comment pouvons-nous, Français, avancer en oubliant ce principe inscrit partout sur nos frontons ? Où sont passés nos héros défenseurs de la liberté et de la vie, du droit et de la justice ? Peut-être ne regardons-nous plus la liberté que comme « une vieillerie tombée en désuétude avec l’honneur » (Chateaubriand) ?

    Dans notre société, les idéologies prennent des formes diverses (wokisme, anti-spécisme, genre, écriture inclusive, etc.). Parfois en provenance d’autres pays, elles sont relayées par les oligarchies en vue. Elles ont en commun de diriger leurs premiers coups vers la liberté des consciences, avec une violence verbale, psychologique et physique à laquelle nous nous sommes malheureusement habitués.

    Cette pente, souvent habillée du nom de progrès, nous dirige insidieusement vers l’arbitraire. Ces idées répandent une mémoire revue et corrigée, vidée de son vrai sens et déconnectée de la réalité des êtres et des choses. « Une idéologie est précisément ce que son nom indique, elle est la logique d’une idée, l’émancipation de la pensée à l’égard de l’expérience » (Hannah Arendt). Elles brandissent une justice sociale qui n’est ni juste ni sociale. Elles promeuvent une société aseptisée où nous ne « vivons » plus mais où nous nous « accomplissons » !

    Il est temps de nous réveiller. Nous devons défendre les intérêts de notre pays pour le bien de ceux qui y vivent.

    Il faut pour cela nous appuyer d’abord sur une vision de l’homme comme « être doué de raison ». Encore faut-il que cette raison ne soit pas folle. Soljénitsyne l’explique bien : « si durant des dizaines d’années d’affilée on ne permet pas de dire les choses comme elles sont, la cervelle des hommes se met à battre la campagne irrémédiablement et il devient plus facile de comprendre un martien que son propre concitoyen ». Comment alors nous accorder, comment trouver une base commune de réflexion, un dénominateur commun de vie en société ?
    Il faut ensuite regarder l’homme dans sa dimension d’ « animal politique ». Un homme naturellement enclin à vivre avec les autres, en famille, en entreprise et enfin en société, loin de ce monde de distanciation qui nous est proposé. Une humanité au service d’un bien commun et dans une relation de confiance, loin de la vision moderne où « l’homme est un loup pour l’homme » (Hobbes).

    Enfin, il est nécessaire de promouvoir une vraie justice quae suum cuique distribuit, qui rende à chacun son dû, que la personne ait agit pour le bien ou qu’elle ait commis un acte répréhensible. Le contraire du concept actuel de justice sociale qui ne cherche en fait qu’à promouvoir la satisfaction des désirs d’individus ou de groupes particuliers à un moment donné.

    Nous devons résister à cette lame de fond qui brise la pensée. Il nous faut chercher, en conscience, dans l’homme et dans la société ce qui enrichit, ce qui unit, avec équilibre et responsabilité. Il faut « voir pour agir » avec une solidarité particulière envers les plus humbles, en recherchant la charité dans la vérité sans occulter les difficultés : « Les défaites sont nécessaires aux peuples comme les souffrances et les malheurs à l’individu ; ils vous obligent à approfondir votre vie intérieure, à vous élever spirituellement » (Soljenystine). Cette verticalité, qui correspond à notre morphologie, loin de la société déstructurée et liquide qui nous est proposée, nous est indispensable.

    A l’approche de Noël, le chrétien que je suis, avec ses imperfections mais aussi son espérance, dépose la France et les Français aux pieds de la Sainte-Famille réunie dans la crèche pour qu’avec grandeur d’âme nous continuions à forger notre destin dans cette liberté chèrement acquise. C’est le vœu que je forme, car la vérité rend libre de voir et de faire le bien.

    Jean, comte de Paris

  • Sur la page facebook de Guy Adain...

    Ils veulent tous redresser la France, sauver la France !
    La France disent-ils est moribonde, en grand danger de disparition, elle pourrait être remplacée bien qu’insoumise !
    La France se meurt, d’aucuns disent qu’elle est morte et pas loin d’être enterrée...
    Ne les croyez pas ! La France va bien, elle est là !
    Et qu’est-ce qu’elle est belle !

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  • Le Comte de Paris appelle tous les Calédoniens à voter "OUI À LA FRANCE "

     
     
    L’avenir de la Nouvelle Calédonie passe par la France
     
    Ce dimanche, nos compatriotes de Nouvelle Calédonie vont à nouveau se prononcer, par référendum, sur l’avenir qu’ils souhaitent donner à leur territoire. Ce vote concerne tous les Français. Tous ceux qui sont attachés à notre histoire et à la liberté et qui se souviennent que la Nouvelle Calédonie fut parmi les premiers territoires à rallier, dès 1940, la France Libre. Tous ceux qui sont conscients du rôle que la France peut et doit continuer à jouer dans le Pacifique, au plan économique, au plan social, et pour contribuer à y maintenir la paix.
     
    Souvenons-nous à cette occasion des paroles du général de Gaulle lors de son discours de Nouméa en 1966 : « Vous avez un rôle français à jouer dans cette partie du monde. Vous êtes un morceau de la France, vous êtes la France Australe. Et vous devez, vous devez dans la paix, comme vous l’avez fait dans la guerre, être pour toute la communauté nationale, un exemple, un exemple d’effort, de fraternité et de progrès. »
     
    Grâce aux accords de Matignon de 1988, complétés par ceux de Nouméa de 1998, grâce au « pari de l’intelligence » fait à l’époque par Jacques Lafleur et Jean-Marie Tjibaou et confirmés par leurs successeurs, avec l’appui constant de l’Etat, la Nouvelle Calédonie s’est engagée dans un processus de pacification et d’autonomie salué par tous. Les communautés kanak et d’origine européenne, rejointes par d’autres peuples venus de tout le Pacifique, ont appris à vivre ensemble, à partager les responsabilités, à travailler côte à côte à un développement plus équilibré de l’archipel. La Nouvelle Calédonie a ainsi pu connaitre trente années de paix, dans une partie du monde où les tensions restent très vives, partout ailleurs. Elle a retrouvé le chemin de la prospérité.
     
    C’est fort de cette expérience réussie que j’appelle aujourd’hui nos compatriotes à continuer à faire confiance à la France et à se prononcer massivement pour le maintien de leur territoire dans la souveraineté française. C’est en gardant serrés les liens avec la France que la Nouvelle Calédonie a su retrouver un avenir, qu’elle a pu faire face, tout récemment, à la pandémie du Covid-19, et qu’elle pourra disposer demain des moyens d’un développement original et ambitieux.
     
    Si, comme je l’espère, le référendum du 12 décembre confirme la volonté des Néo-calédoniens de rester français, le processus ouvert par les accords de Matignon aura été à son terme. Il sera alors temps pour les forces politiques et pour les citoyens de rouvrir le dialogue et d’engager une nouvelle étape.
     
    Un nouveau mode de développement est sans doute à imaginer : même si les perspectives liées au secteur du nickel semblent prometteuses, d’autres activités méritent à l’évidence d’être mieux valorisées, à commencer par les immenses richesses liées à l’économie verte et bleue. Il en est de même des politiques d’équipements publics, de formation et d’emploi, afin de réduire plus rapidement les inégalités, sociales mais aussi territoriales, dont le niveau est encore trop élevé. La construction d’une identité partagée entre les différentes communautés est également à l’ordre du jour. Aux élus, aux citoyens de dire si cette étape doit s’accompagner d’une évolution des institutions du territoire, dans le sens d’une plus large autonomie. Leurs réflexions pourront d’ailleurs servir de modèle à l’ensemble de nos territoires d’Outre-mer.
     
    Je suis convaincu que l’avenir de la Nouvelle Calédonie est intimement lié au rôle que la France souhaite jouer dans la zone Indo-Pacifique, car c’est d’abord grâce à ses collectivités d’Outre-Mer qu’elle est présente dans cette partie du monde. Une coopération régionale plus intense, le renforcement des liens avec les pays voisins et amis, réunis dans le cadre du forum du Pacifique, font évidemment partie de cette stratégie. Elle doit également se traduire par une présence beaucoup plus affirmée de nos forces, et en particulier de notre marine, dans une zone qui excite les convoitises des grands Etats voisins. Il ne s’agit nullement de contribuer à des coalitions qui peuvent menacer la paix, car la France veut la paix et doit œuvrer pour la paix, mais de veiller à la sécurité et de défendre les intérêts des populations qui font confiance à la France dans tout le Pacifique.
     
    Jean d’Orléans, comte de Paris
     
    le 10 décembre 2021
  • Sur la page FB du Prince Jean, Comte de Paris : en cette rentrée 2021, le site internet du Comte de Paris devient dorénavant son principal canal de communication.

    N'hésitez pas à le consulter pour vous tenir au courant de ses dernières interventions.

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : Mgr le Comte de Paris se retire des réseaux sociaux.

    Absent des réseaux sociaux depuis plusieurs mois, le chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris, a pris la décision de se retirer progressivement de ses outils de communication sur les réseaux sociaux, afin de développer et booster son site internet officiel. Celui-ci devient donc le seul organe officiel du chef de la Maison royale de France.

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : 3ème anniversaire de la princesse Jacinthe de France.

    La princesse Jacinthe , troisième fille et cinquième enfant du Comte et de la Comtesse de Paris, célèbre aujourd’hui en famille son 3ème anniversaire. La princesse Jacinthe, qui vit désormais avec sa famille dans le sud de la France, aime jouer avec Léonora, le fidèle chien des cinq petits Princes.

    Le Courrier Royal souhaite donc un très joyeux anniversaire à notre petite princesse, S.A.R la princesse Jacinthe de France.

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  • Sur la page FB de nos amis du Courrier Royal : le prince Charles-Philippe d'Orléans au mariage du grand-duc George et de la princesse Victoria Romanovna de Russie à Saint-Pétersbourg.

    Le prince était à ce mariage le représentant officiel de Monseigneur le Comte de Paris et y portait ses décorations de l'ordre de Saint Lazare de Jérusalem.

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Sur le compte Instagram du Prince Jean, comte de Paris...

    Le @museeingresbourdelleoff de Montauban propose une magnifique exposition consacrée au Prince méconnu Ferdinand-Philippe d'Orléans.

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  • Sur la page FB de nos amis du Courrier Royal : la famille de France au mariage du duc de Noto en Sicile.

    La Princesse Anne de France a eu la joie de retrouver de nombreux membres de sa famille au mariage du Duc de Noto. Si la Princesse Chantal et son époux le baron François-Xavier de Sambucy de Sorgue avaient fait le déplacement depuis Paris, de nombreux neveux et nièces de la Princesse Anne s’y étaient donné rendez-vous.

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  • Comte de Paris/Fondation Saint Louis : "Faire la paix", le beau message de Paul de LA PANOUSE

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    La Fondation Saint Louis n'aurait-elle plus d'autre fonction à l'égard de la famille fondatrice que de recevoir les corps des descendants du Roi Louis Philippe pour leur seul repos éternel ?
    Avec l'expérience acquise au château et au parc animalier de Thoiry, qui ont reçu 26 millions de visiteurs en 53 ans, le fait que la famille fondatrice et animatrice historique habite le lieu de mémoire, peut être un supplément d'âme culturel attractif pour le public. 

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  • Sur la page FB de nos amis du Courrier Royal : le 15 septembre 1887, le comte de Paris propose aux français un pacte national.

    Durant l’été 1886, depuis sa résidence de Sheen House, à l’ouest de Londres, prêtée par un ami anglais, le comte de Paris (Philippe VII de France) forme un comité d’union royaliste, dit « conseil des Sept », composé à la fois de collaborateurs personnels, comme Émile Bocher, Ferdinand Duval et Lambert de Sainte-Croix, de personnalités proches de l’ancien orléanisme, comme les ducs d’Audiffret-Pasquier et de Broglie, et de légitimistes ralliés, comme Cazenove de Pradines, ancien collaborateur du « comte de Chambord », ou le duc de La Rochefoucauld-Bisaccia. Le prince demande à ce comité de l’aider à préparer un programme politique.

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  • Sur le blog ami du Courrier Royal : la princesse Marie de France à l’hommage aux régiments des chasseurs.

    Ce samedi 18 septembre, dans la cour d’Honneur du château de Vincennes, la Princesse Marie de France, Princesse Gundakar de Liechtenstein, a assisté au côté des officiers de l’armée française et des autorités civiles à la commémoration de la bataille de Sidi-Brahim et au 180e anniversaire de la remise du premier drapeau des chasseurs à pied par le Roi Louis-Philippe.

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  • Sur le blog ami du Courrier Royal : la princesse Hélène de France, fête aujourd’hui son 87ème anniversaire.

    S. A. R. la princesse Hélène de France célèbre ce jour son 87ème anniversaire. La seconde fille du Comte de Paris, Henri VI de France, est née le 17 septembre 1934 à 0h30 au manoir d’Anjou en Belgique, la demeure d’exil de ses grands-parents le Duc et la Duchesse de Guise.

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