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Idées, débats... - Page 4

  • PAYS OU…ROYAUME, par Guy Adain

     

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    Le Pays dénombre 67.000.000 d’individus recensés ; 
    le Royaume compte soixante sept millions d’âmes ; 
    et « La Vieille âme du Roi » !  
    Le Pays est administré, géré comme une entreprise, alors que l’on règne sur le Royaume.
    Le Pays, ou République dans notre cas, est conduit à l’aveuglette, au gré des circonstances ; l’important est de tenir autant que l’on « peut », autant que possible un mandat de 5 ans, et voire un second pour tenir la décennie !
    Dans un Royaume, il ne convient pas de tenir autant que l’on peut, mais autant que l’on « doit » !
    Le Devoir comme l’Honneur passent avant toutes choses, tant pis si cela conduit sous le couteau de la guillotine…
    Le fils prendra la suite !
    La République n’en exige pas tant.
     
    Quant aux petites gens de France, ils ne sont que veaux et moutons à qui l’on ne demande que de maintenir les Conventionnels au pouvoir.
    Le Peuple des bonnes âmes dépourvu de toute intelligence artificielle, ne comprend rien aux élucubrations et vociférations de la Convention réputée nationale…
    La grande ministresse, elle, parle de retraitement des gens usés, des sexagénaires de quatre ans d’âge et d’autres choses toutes aussi absconses ; tandis que notre VRP (Voyageur Président Républicain) visite les forêts équatoriales anciennement d’AEF !
    Il y a quelque chose d’incongru dans le Pays de France ! Et sans doute, le mode royal serait plus adapté. Du pays d’élections revenons au pays d’état !
    Au Royaume !
    Il manque une âme à la France, non pas qu’il n’y en ait point, mais elle n’a pas droit d’existence légale dans notre pays. 
    Et pourtant en 2023, dans un pays tout proche de nous, les Anglais, vont sacrer  un Roi pour leur Royaume Uni !
    Ils ont quitté l’Europe, conservé leur monnaie nationale, imposé leur langue à travers le Monde, mais gardé, et en Français s’il vous plait, leur devise : « Dieu et mon droit » et osent chanter jusque dans nos stades : « God save the King » !
    Alors tous les espoirs sont permis, le Royalisme reviendra chez nous, c’est de Londres que le Général De Gaulle a déclaré :  
    « La France a perdu une bataille ! Mais la France n’a pas perdu la guerre ! »
    A quand le couronnement de Jean IV ?
    Montjoie Saint-Denis et Vive le Roi !
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  • Triste anniversaire, ce 16 février : premier acte de la capitulation en rase campagne de l'Eglise catholique face à la Nouvelle religion républicaine...

    1892 : Léon XIII prône le Ralliement dans son encyclique Inter innumeras sollicitudines...
     
     
    Le souhait de Léon XIII n'était évidemment pas de se rallier lui-même à "la République", ni de pousser les catholiques français à se rallier aux idéaux révolutionnaires en tant que tels. Il s'agissait simplement, dans l'esprit du pape, après l'échec de la restauration monarchique en France, et alors que la jeune république se montrait très agressive envers le catholicisme, de renoncer à une opposition systématique au régime en place, et même d'accepter la Constitution pour combattre "par tous les moyens honnêtes et légaux" les lois anti-chrétiennes, en permettant aux catholiques de peser de tout leur poids sur les nouvelles institutions...
     
    Le pape - ingénument - pensait que, les catholiques étant majoritaires en France, cela suffirait à leur faire gagner les élections, et donc à diriger ou - si l'on peut dire... - cornaquer le16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologies gouvernements :
     
    "Accepter la constitution, fait accompli, mais pas la législation, fait réformable, et pour cela, par les élections sous étiquette républicaine, s'insérer dans le régime républicain et y faire de bonnes lois." disait le pape...

    Trois mois après l'encyclique, le Pape s'adressait aux cardinaux français : "Acceptez la République, c'est-à-dire le pouvoir constitué... respectez-le, soyez-lui soumis, comme représentant le pouvoir venu de Dieu... Inutile de rappeler que tous les individus sont tenus d'accepter ces gouvernements et de ne rien tenter pour les renverser ou pour en changer la forme."

    S'adressant au Baron de Montagnac, qui refusait le Ralliement, Léon XIII s'exclama : "Faites-vous républicain d'une bonne république. Vous comprenez ? Je veux que tous les catholiques entrent, comme une cohue dans la République... Les traditions doivent céder pour un moment... vous les retrouverez après l'œuvre accomplie...  il faut abandonner les traditions pour le moment, un petit moment seulement."


    Le pape avait "simplement" oublié les paroles de Saint Cyprien, au IIIème siècle : "Il existe un mal pire et plus meurtrier que la persécution, c'est l'empoisonnement perfide de la mentalité."
     
    Sa vision, purement théorique, était une grave erreur au plan des principes, comme au plan de la tactique : descendre sur le terrain de l'adversaire en utilisant sa doctrine et ses pratiques, cela relevait d'un angélisme profond, qui, pour être sincère, n'en témoignait pas moins d'une incompré16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologiehension fondamentale de ce qu'était la république idéologique française, fondée sur les dogmes de la Révolution : cette république, cette Révolution, ces dogmes étaient - et restent - une nouvelle religion, dont le but premier et essentiel est de remplacer l'autre, la chrétienne, la traditionnelle, et de la détruire, par tous les moyens; en détruisant également toutes les racines historiques et culturelles d'un pays millénaire, l'expression "l'an 1 de la République" étant - à cet égard - parfaitement révélatrice de cette nouvelle France, de cette nouvelle société que la république idéologique - comme l'a si justement dit Jules Ferry - voulait bâtir "sans roi et sans dieu".
     
     
    Méconnaître cette haine destructrice et cette volonté farouche d'effacer tout ce qui a fait une Nation pendant mille ans - y compris et surtout ses racines chrétiennes - témoignait d'une incompréhension politique dramatique à ce niveau. La rupture avec un siècle d'opposition aux thèses révolutionnaires était brutale, et l'Eglise renonçait à combattre son ennemi mortel : le Ralliement fut à la fois un stupéfiant marché de dupes - comme les choses devaient très vite le montrer - et une non moins stupéfiante capitulation idéologique en rase campagne, pourrait-on dire...
     
    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologieLe cardinal français Pitra, qui s'opposait fermement à cette rupture dans la politique vaticane, se vit réprimander par Léon XIII lors d'une audience très pénible de trois quart d'heure, durant laquelle, debout et tête nue, il reçut les plus aigres reproches d'un Léon XIII en l'occurrence fort peu compréhensif. Le cardinal accepta, par obéissance, de ne plus s'opposer au pape, et se retira dans une abbaye, où il mourut en 1889, soit trois ans avant la publication de l'encyclique : il se contenta de déclarer "Hora est potestas tenebrarum", reprenant les paroles du Christ à ceux qui venaient l'arrêter (citées par Luc - 22) : "Haec est hora vestra et potestas tenebrarum" ("C'est ici votre heure et la puissance des ténèbres")...
     
    Le Ralliement fut peu suivi par les catholiques français, à de rares exceptions près, notamment celle de ce grand royaliste social que fut le comte Albert de Mun - qui ne tarda pas à le regretter amèrement. Mais, comme le note Michel Mourre", "se heurtant à la majorité des catholiques et du clergé français... c'est cependant dans la ligne du ralliement que put commencer à se développer, au début du XXème siècle, le mouvement de démocratie chrétienne."
     
    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologieEt, surtout, 34 ans après, les sanctions vaticanes contre l'Action française orientèrent définitivement la structure et la mentalité même de l'Eglise-institution, en la vassalisant au pouvoir républicain, qu'elle reconnaissait, de fait, comme la norme suprême, le cadre obligé dans lequel toute organisation - y compris elle-même, l'Eglise - devait agir; mais à la condition de reconnaître les lois et règles de la république idéologique comme la loi et la norme supérieure, s'imposant à tous. Et bien sûr, a fortiori, en s'interdisant de les combattre en tant que tels.
     
    C'est à ce marché de dupe, à cette capitulation en rase campagne qu'il faut sans cesse revenir; et à partir desquels on peut marquer, dater l'origine profonde et essentielle des destructions méthodiques et continues de tout ce qui faisait l'essence même de la société française...
     
     

    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologie

     

    Quatre de nos Ephémérides traitent des rapports entre l'Eglise et la République idéologique française, en général, et des rapports entre l'Eglise et l'Action française en particulier :

     pour les rapports entre l'Eglise et la République idéologique française, en plus de celle-ci sur le "Ralliement", voir notre Ephéméride du 18 novembre - sur le "toast d'Alger", qui préparait les esprits à ce "ralliement";

     pour les rapports entre l'Eglise et l'Action française, voir notre Ephéméride du 29 décembre, sur les sanctions vaticanes contre l'Action française, et notre Ephéméride du 10 juillet, sur la levée de ces sanctions par Pie XII...
     
     
     
  • LE SENS DE… L’HORREUR, par Guy Adain

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    Penser LA retirer au Tsar, et l’offrir à un humoriste en Tee-shirt ne manque ni d’humour ni d’aplomb !
    « Tout est perdu fors l’horreur » !
    Je ne LA nommerai pas, mais tous comprendront !
    Décorer de cet ordre prestigieux, sur le front des troupes, en opérations, c’est quand même autre chose que de l’octroyer sans le décorum qui lui donne toute sa prestance, sur un coussin, pourquoi pas un polochon ?
    Mais si l’Honneur est perdu, que nous reste-t-il ?
    • L’Horreur ?
    • La Retraite…de Russie ?
    • La mer s’étant retirée aussi… Il ne reste que la Grève !

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    Pour nous, Camelots du Roi, voilà qu’il nous revient en mémoire un 18 mai 2009 où au Palais de l’Élysée, le Président de la République, Monsieur Nicolas Sarkozy faisait « Chevalier de la Légion d’Honneur » Monseigneur Henri d’Orléans, le défunt Comte de Paris.
    En ces termes, il disait : « En ces temps de crise économique, où tant de gens se tournent vers l’État, la République n’oublie pas ce que l’État doit à vos ancêtres.
    Ce sont eux qui les premiers, en firent le socle de la Nation.Ce sont eux qui le dotèrent d’une administration et de principes fondamentaux. La France a connu beaucoup de régimes politiques depuis 1789, mais jamais elle n’a renié cet État patiemment construit au long des siècles.
    La France n’a pas davantage renié l’immense héritage intellectuel, culturel, politique, artistique, qu’ont légué à la Nation ces quarante rois qui, en 1000 ans firent la France et qui, de loin ont dominé l’histoire de la monarchie française.
    Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si votre fils, le Prince Jean, s’est marié il y a quelques jours, là-même où Hugues Capet fut choisi comme Roi en 987, avant d’être sacré à Noyon. » (Sic)
     
    Voilà nos références, aujourd’hui notre Prince Jean est Comte de Paris, et j’en terminerai avec la phrase d’accueil du Président Nicolas Sarkozy lors de cette cérémonie :  « C’est un plaisir, mais plus encore un Honneur, de vous accueillir ce soir au Palais de l’Élysée, ainsi que votre famille, pour vous remettre, Monseigneur, les insignes de Chevalier de la Légion d’Honneur à titre militaire. »
     
    Vive le Prince Jean.
    Vive le Roi.
    Montjoie Saint Denis !

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  • De la « GAULLE » à la FRANCE ! par Guy Adain

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    La France a perdu des batailles, mais jamais totalement la guerre qui l’aurait fait disparaître…
    • Grâce à Astérix, les Français connaissent un peu la Gaule !
    • Grâce au Général De Gaulle, les Français ont renoué avec la grandeur : 1,96 m ce n’est pas rien !
    • Grâce à quelques autres, la France s’est effacée devant la République…Qui elle est…en marche !
    Et les Français, devenus citoyens républicains, suivent jusqu’au fond de la scène, que nous donne, «  Le joueur de pipeau, l’hidalgo de la ratatouille » !
    Côté Jardin bien sûr !
     
    La « Gaulle », la République des Miracles…
     
    Mais demain nous pourrions retrouver la France, le Royaume de France, et côté Cour cette fois !
    Rien n’est impossible pour nous Français, nous avons un magnifique pays, la Providence en fit un jour un Royaume, « Le plus beau Royaume après celui du Ciel » (Sic) Grotius.
    Et, bénédiction du Ciel, nous avons mieux qu’un glorieux Général, mieux qu’un Président en CDD ;
    nous avons un Roi en CDI, héréditaire !!!
    Le Prince Jean de France, Comte de Paris, descendant du dernier Roi des Français, Louis Philippe, notre dernier Roi ayant effectivement régné sur la France de 1830 à 1848.
    Le Prince Jean Comte de Paris et le Prince Gaston d’Orléans, son fils, Dauphin de France sont les âmes de la France éternelle et héréditaire qui ne meurt jamais.
     
    Vous lecteur qui me faites la grâce de bien vouloir me lire, vous vous dites certainement : « les royalistes, ils ne représentent rien ni personne, ils ne sont qu’une petite poignée d’hurluberlus nostalgiques, une secte adepte d’un très ancien régime à la fleur de lys…
    Certes !
    Et pourtant : 
    • « Il n’y a plus de France, vous le savez bien !
    • Je le sais.
    • Mais non : 
    • Si elle n’existait que dans un coeur, la France existerait encore » !
                    (d’après Montherlant, Le Maître de Santiago)
     
    Alors, Courage et Espérance…Il faut Vaincre ou Mourir !  (Sic)
  • RETRAITE, par Guy Adain

    Prêtre à la retraite, un régime très spécial
     
    - C’est surtout les images de la Retraite de Russie qui nous assaillent. 
    Et nous avons en ces moments Russie et Retraite qui saturent nos petits écrans…
    Personne ne veut revivre ces temps là ! 
    Retraite, c’est aussi EHPAD ; les images ne sont pas plus attirantes !
    La troisième vidéo qui pourrait apparaître à nos yeux serait plus alléchante : 
    « du temps libre, et diverses activités de loisirs et reposantes… »
    Mais, qui dit RETRAITE, dit aussi TRAVAIL, c’est juste le temps d’avant, le temps de la jeunesse, celui qui justement prépare la retraite. Aujourd’hui il faut fixer les limites de l’un pour accéder à l’autre.
    64 printemps disent les uns, 62 hivers disent les autres !
    Les premiers, pour arriver à 64 voudraient bien compter, 49 étés, 3 automnes et une petite douzaine d’années supplémentaires… de la bricole quoi !
    Les seconds trouvent que 62 hivers, c’est déjà pas mal !
    La question est difficile et les Français sont partagés, dans les deux cas, l’affaire reste complexe et la décision dure à prendre.
    Mais une chose, néanmoins me chiffonne, une grande partie des Français se rangerait dans le camp des 62 hivers, et les tenants des 64 printemps ne veulent rien entendre, ils sont sûrs d’avoir raison, et ne perçoivent qu’un son de cloches ! 
    Pourtant le Peuple est souverain dans la Démocratie et la République, mais nos élites sont bornées… 
    Leurs propositions qui n’en sont pas, leurs impositions donc ne sont pas négociables !
    L’Égalité n’y trouve pas son compte, la Fraternité guère plus, quant à la Liberté, elle n’a qu’un côté, à la cote 64 !
     
    Peut-être existe t-il une autre manière de gouverner ?
    Peut-être écouter le Peuple serait une solution ?
    Peut-être pourrait-on négocier ce qui est inacceptable ?

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  • Vaincre ou mourir, par Guy Adain

     

    VAINCRE OU MOURIR

    Vaincre ou mourir, c’était sa devise, il n’a pas vaincu, et il est mort !
    Peut être pas complètement puisque 227 ans après, on en parle encore, accusé de fourberie, il agace, met en fureur et fait naître la haine.
    Et pourquoi tant de hargne envers ce qui n’est plus qu’une simple Image d’Épinal jaunie par le temps ?
    Je n’ai pas vu le film faute de programmation dans ma ville, mais je suis déjà convaincu puisque « Brigand de coeur » moi même, j’ai toutes les raisons d’exciter la Terreur des « Abelicides ».
    Les Bleus ont gagné, les Bleus gouvernent notre pays, le Royaume de France s’est enfoncé dans la nuit de l’oubli et c’est la « Républilaïque » qui règne monarchiquement sur la France !
    Les Bleus pourraient sans crainte laisser passer « La Charette » !
    Le risque que nos coeurs se révulsent n’est pas bien grand.
    Laissez nous rêver !
    Vous avez vaincu, nous savons mourir ! Ressusciter est plus difficile…
    Pas impossible… pour des Français, que quelques « Gilets jonquilles » nostalgiques du… Temps jadis, puissent émouvoir le Peuple de France…
    Le Roi ne reviendra pas par la force, ni la par la…reconquête.
    Il pourrait revenir, par amour, par amour de son Peuple aimant.
    Les Caïn Bleus finalement seront tristes et malheureux, ils voudront le pardon et la rédemption.
    Ils ne seront plus éblouis et fascinés par les Lumières, mais ils laisseront leur coeur se faire éclairer par la flamme de l’amour.
    Laissons ce film vaincre ou mourir et le Peuple de France souvent plein de bon sens jugera !

  • J’AI VU « VAINCRE OU MOURIR, par P.P. Blancher (Groupe d'action royaliste)

    Enfin un film sur les Guerres de Vendée, pourrions-nous dire. Un film français qui met en exergue des héros de notre histoire, ce n’est pas vraiment ce qui court les salles obscures du monde cinématographique « français » républicain. On se souvient du film de Luc Besson traitant d’une grande héroïne de notre histoire, et pas des moindres, puisqu’il s’agissait de notre très Sainte Jeanne d’Arc. Ce film, qui date déjà de 1999, est un véritable navet grotesque qui s’acharne à faire ce que les Anglais n’avaient su faire à cette époque, à savoir, rendre folle notre Sainte héroïne. Héroïne incarnée par l’hystérique Milla Jovovitch. Bref ! Une vraie bouse insultant notre histoire et notre religion, mais qu’attendre de plus de la part d’un anti-français comme Besson ?

    Avec « Vaincre ou mourir » c’est doublement surprenant. Car, non seulement il s’agit d’un film retraçant d’une manière assez fidèle, les péripéties d’un de nos grands héros de notre histoire, mais qui plus est, un héros en lutte contre les forces révolutionnaires, et donc par extension, contre la république ! Double crime au regard du monde moderne républicain, américanisé et wokiste !

    Sortie le 25 janvier, ce film a déjà fait l’objet de quelques critiques dans les colonnes (infernales) du « journal » Libération. C’est une certaine Elisabeth Franck-Dumas, journaliste de ce torchon, qui nous a fait part de son incroyable maîtrise de la bêtise et de l’ignorance. Les républicains de Libération sont exaspérés par l’existence même de ce film, qui représente à leurs yeux tout ce qu’ils détestent le plus au monde : la France ! En tant que royaliste, il était donc tout naturel pour ma part que j’aille voir ce film qui suscite autant de dégoût chez l’anti-France, mais surtout parce qu’il s’agit du général Charette.

    « Vaincre ou mourir » est la première production de « Puy du Fou Films » avec pour réalisateurs Paul Mignot et Vincent Mottez (Vinsorus) pour ceux qui ont connu… On comprend déjà mieux l’origine de l’existence même de ce film. Le parc du Puy du Fou qui est déjà à lui seul une véritable vitrine à la gloire de notre histoire mais aussi, en partie, de la contre-révolution ! Après le parc, voici qu’arrive maintenant un film ! De quoi donner la jaunisse à nos chers républicains…

    Au premier abord, la présence de quelques acteurs m’avait un peu gêné, entre autres, l’acteur Jean-Hugues Anglade qui n’est pas vraiment réputé pour son côté patriote ! C’est peut-être pour cela d’ailleurs qu’ils l’ont cantonné à jouer le rôle du conventionnel Albert Ruelle (1754-1805) chargé de diriger la lutte contre les Vendéens.

    Néanmoins, je paie mon billet comme tout le monde et m’installe sur un strapontin du cinéma. Le film commence par une intervention de l’historien Reynald Secher. Oui ! Celui qui, de par ses travaux, a mis en évidence le fait que ce qui s’était passé en Vendée durant la révolution, relevait du génocide ! Ça commence bien ! Je comprends mieux pourquoi cette chère Elisabeth Franck-Dumas s’est sentie dans l’obligation de nous pondre une incroyable analyse digne d’une télé-réalité.

    Sans vouloir divulguer le contenu du film, par respect pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, voici quelles sont mes impressions. Certes, c’est un film qui dispose malheureusement de beaucoup moins de moyens que le « Jeanne d’Arc » de Besson. Cela se ressent quelque peu, mais dans l’ensemble, c’est une jouissance ! Voir un film au cinéma, avec des drapeaux « Pour Dieu et le Roi », entendre Charette dire à ses hommes, tous flanqués d’un sacré-coeur : « Nous sommes le dernier rempart d’un royaume de mille ans » chose qui caractérise toujours les Royalistes d’aujourd’hui. Voir enfin, le vrai visage des armées républicaines de cette époque, leur férocité dans le carnage et leur fanatisme ! Ça change des récits imaginaires de l’Éducation dite « Nationale » sur ce sujet.

    Dans ce film, les répliques du général Charette sont assez percutantes, même si l’acteur a tendance à s’exprimer sur un ton uniforme. Dommage quand même de lui avoir fait dire que nous étions la jeunesse du « monde » ! Dans la citation d’origine, il dit à ses hommes que nous sommes la jeunesse de Dieu, et pas celle du monde, ce qui religieusement fait toute la différence ! Jean-Hugues Anglade tient la route dans son rôle, les autres acteurs aussi. Les scènes de combat sont assez bien réalisées dans l’ensemble.

    Bref ! C’est un film qu’il faut impérativement aller voir, ne serait-ce pour s’abreuver du courage et du sacrifice consenti de la part de tous ces combattants contre-révolutionnaires. Cela fait du bien de voir un film qui fait la part belle au panache français et au sens de l’honneur, dans un monde qui est l’aboutissement des idéaux révolutionnaires. Un grand merci à toute l’équipe du Puy du Fou pour tout ce travail. Espérons que « Vaincre ou mourir » n’est que le premier d’une longue série à la gloire de notre histoire et de nos glorieux ancêtres.

    Plus que jamais, aujourd’hui comme en 1793, pour Dieu, la France et le Roi !

    P-P Blancher

  • Français de souche ou Français de coeur ? par Guy Adain

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    Je n’aime pas cette appellation « Français de souche », je lui préfère « Français de coeur » !
    Dans Français de souche il y a ségrégation, les uns plus Français que les autres, à contrario, Français de coeur tout le monde peut en être, seul L’Amour fait la différence.
    On ne voit bien qu’avec le coeur affirmait Antoine de Saint Exupéry.
    Alors fermons les yeux, ouvrons grand nos coeurs, et observons amoureusement qui doit on laisser entrer chez nous, voire s’y installer. Le coeur ne se trompe pas, il n’aime que ce qui doit être aimé.
    Ainsi, quelques Français nostalgiques, sentimentaux, amoureux, qui ne sont ni à droite, ni à gauche, ni même au milieu, se disent : 
    « Royalistes ».
    Et j’en suis !   
     
    C’est uniquement le Parti (le mot est impropre, mais c’est pour tenter d’être très clair), oui le Parti des amoureux.
    Ne me demandez pas pourquoi ni comment, je veux juste faire part d’un sentiment.
    Comme j’aime Ma Famille, j’aime en plus avoir une Famille Royale  à aimer !
    Voilà qui dépasse et de haut la politique.

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    Le Roi de France est un porte-bonheur, il n’y a rien à justifier ou expliciter. Il est là, présent, il règne et protège la France par sa seule présence ; et celles et ceux des Françaises et des Français qui l’aiment, sont protégés et ont bien de la chance…
    Il porte bonheur, et nous sommes plus heureux que nos frères et soeurs qui ne bénéficient pas de ce bouclier sentimental.
    Je ne veux ni ne peux convaincre personne, je dis seulement ma vérité.
    Les Français s’apprêtent à manifester leur mécontentement et à chanter « Ah ça ira, ça ira, ça ira…
    Je préfère Douce France !!!
    Observons donc les jours à venir : que veulent les Français de coeur  ? Plus de compréhension, plus d’attention, plus d’Amour !
    Mais sans Roi de coeur, il ne reste que des amours mortes ; et vous, les politiciens n’avez que des chiffres à la bouche, vous pensez pouvoir tout régler en payant ou en achetant. Vos valeurs sont vénales, le banquier ne sait que compter, vendre ou acheter, et l’on veut faire croire à tous que le remède à tout, n’est que financier !
     
    Ils nous ont masqué un grand nombre de vérités avec le Covid et c’est l’heure aujourd’hui de sonner la Retraite…
    Mais la France se meurt d’Amour manqué !
    Et si l’on essayait de parler à coeur ouvert d’Amour Royal ?
  • Vous ne connaissez pas Charles Maurras ? Ou, vous aimeriez mieux le connaître ? Ce Feuilleton/Album est fait pour vous...

    Voilà : notre feuilleton "Une visite chez Charles Maurras" est terminé. Nous en avons commencé la publication le jeudi 3 novembre dernier, en vue de célébrer, à notre manière, le jour du 70ème anniversaire de l'entrée de Maurras dans la Vie, le 16 novembre 1952. Et nous l'avons poursuivie jusqu'à hier, samedi 28 janvier 2023 (avec une seule interruption : le jour de Noël, puisque, c'est bien connu, et "racines chrétiennes obligent !", lafautearousseau fait relâche, trois fois par an, les jours de Noël, précisément, de Pâques et du 15 Août).

    Nous espérons, ainsi, avoir contribué à faire connaître et, si possible, aimer, notre Maître de Martigues. Car, bien entendu, nous avons, chaque jour, "partagé" la livraison quotidienne de ce feuilleton dans chacun des 36 "groupe privés" qui nous ont invités à les rejoindre. Certes, nous ne sommes pas assez naïfs pour croire que la totalité des lecteurs potentiels ainsi touchés auront, tous, lu ce feuilleton; encore moins, si tel était le cas, pour croire que tous auront été d'accord avec nos textes. Néanmoins, il s'agit ainsi d'autant de "bouteilles à la mer", jetées dans toutes les directions et, surtout, touchant des publics parfois très loin de nos cercles habituels.

    Il suffit de voir les réactions des membres de ces groupes pour voir que de très nombreuses personnes, dans tous les "groupes", ont apprécié notre envoi quotidien : soit en mettant un "j'aime" ou un "j'adore"; soit en mettant un commentaire; soit, et c'est le cas le plus intéressant, en "partageant" le feuilleton sur leur page fb; nous disons "intéressant" car, parmi ces personnes, si quelques une ont  relativement peu de "suiveurs/abonnés" (quelques centaines) d'autres en ont plusieurs milliers : et, là, à chaque fois, c'est autant de "bouteilles à la mer" supplémentaires qui sont lancées, dans toutes les directions, et là où nous n'aurions sans doute jamais été ni lus ni entendus... 

    Pour être tout à fait francs, il y a bien eu quelques réactions négatives, mais vraiment très peu, et qui ne sont rien comparées au très grand nombre de nouveaux lecteurs touchés : les hostiles, inintéréssés ou indifférents sont, justement, restés indifférents. Peu importe : "Le semeur sorti pour semer...", dit la parabole. Nous pensons avoir semé, le reste, maintenant, ne dépend plus de nous...

    Nous allons nous contenter, dès demain, lundi, de proposer quotidiennement ce feuilleton sur la page d'accueil de notre Blog, juste après notre protestation calme et tranquille "Défendez Maurras ! Sauvez sa maison !". Un troisième document, en cours d'achèvement, et toujours sur Maurras, viendra très prochainement former - juste après les deux premiers - une trilogie quotidienne sur cette page d'accueil, permettant à ceux qui ne connaissent pas Maurras, ou qui ont été intoxiqués par la des-information du Système à son égard, de se faire leur opinion...

    Bonne lecture, donc, dès maintenant, et dans très peu de temps !...

    François Davin, Blogmestre

     

    EN FEUILLETON : UNE VISITE CHEZ

    CHARLES MAURRAS...

     

    Avec, en prime, à la fin de ce feuilleton et pour ceux qui le souhaitent : François DAVIN vous guide dans le jardin de la maison de Charles Maurras, en vous expliquant le sens et les symboles de ce jardin... 

    Première partie, 15'49 :

    Deuxième partie, 16'12 :

  • REMISES EN CAUSE SUR LE CORAN, par Annie Laurent

    Annie_Laurent.jpgLe Coran est-il réellement ce livre « incréé », émanant tout entier d’une dictée divine comme marque de l’unique religion inscrite dans la nature humaine et agréée comme telle par Adam ? Cette certitude, érigée en dogme au IXème siècle et sur laquelle repose jusqu’à nos jours la croyance des musulmans, non seulement quant à ses fondements religieux et spirituels mais aussi ses principes anthropologiques, juridiques et sociaux, pourrait-elle être remise en cause par la science ? Telle est la perspective ouverte au milieu du XIXème siècle grâce aux travaux de savants européens qualifiés.

    Aujourd’hui, l’intérêt pour le sujet ne cesse de croître, au point de susciter une abondance inédite de publications consacrées au contexte historique, avec ses diverses influences (religieuses, culturelles, linguistiques, politiques), qui a entouré l’émergence de l’islam au VIIème siècle. Il en résulte de solides remises en cause du schéma jusque-là universellement tenu pour acquis. « À partir de 1977, toute une série de recherches ont tendu à démontrer que l’histoire des débuts de l’islam, racontée par la tradition savante arabo-musulmane, était une reconstruction tardive, éloignée de la vérité et même mensongère », remarque Christian-Julien Robin, directeur de recherches honoraire au CNRS, co-auteur du livre Histoire du Coran. Contexte, origine, rédaction, publié récemment sous la direction de Mohammad-Ali Amir-Moezzi et Guillaume Dye (1).

    Marqué par la liberté intellectuelle, l’audace du jugement et l’absence de tout présupposé idéologique de ses vingt-et-un contributeurs, cet épais volume apporte sur le sujet des éclairages novateurs et incontestables. L’ensemble permet de mieux appréhender les sources originelles de l’islam, de son inspiration à sa rédaction et à sa composition jusqu’à sa canonisation. Il offre les critères ouvrant la voie à une lecture intelligible du Coran, jusqu’ici gênée par bien des obstacles, dont l’absence de repères historiques crédibles.

    Celle-ci se manifeste entre autres à travers des allusions imprécises sur les événements et personnages évoqués. Ainsi, le classement choisi n’est pas chronologique ; il obéit à un ordre de longueur décroissant, les 114 sourates mélangeant sans explication les deux périodes supposées de la prédication de Mahomet : La Mecque (610-622) et Médine (622-632). « Le Coran est malheureusement d’une pertinence très limitée pour reconstruire la vie de Mahomet et les divers événements relatifs à sa carrière prophétique », assure Stephen J. Shoemaker, professeur à l’Université d’Oregon (États-Unis). Par ailleurs, la version coranique officialisée sous le califat sunnite d’Abdel Malik (685-705) entretient une profonde discorde au sein de l’islam. Les chiites la considèrent comme ayant été censurée pour effacer le nom d’Ali, cousin et gendre de Mahomet, que Dieu aurait désigné comme son successeur et auquel ils se réfèrent.

    Dans sa contribution, G. Dye constate le caractère « décousu, désordonné, déconcertant et obscur » du Coran, « texte polémique, fonctionnant par slogans » et dépourvu de « cadre narratif » lorsqu’il « met en scène des controverses entre le messager coranique et un groupe d’adversaires, dont l’identité reste dans l’ombre ». « Profondément anhistorique », le Coran est un corpus avant d’être un livre, en conclut-il.

    Comment comprendre les autres étrangetés d’un texte attribué à Dieu, telles que ses nombreuses contradictions, mais aussi sa « divinisation » de la langue arabe, décrite comme « pure » alors qu’elle côtoie des variantes et emprunte à d’autres lexiques sémitiques, notamment ceux des juifs et des chrétiens, y compris dans leur terminologie religieuse, cultuelle et juridique ? 

    Sur cet aspect, plusieurs études substantielles consacrées au contexte religieux de l’Orient pré-islamique (Arabie, Palestine, Byzance, Perse, Éthiopie) font ressortir l’influence des hérésies chrétiennes sur le Coran. Muriel Debié, titulaire de la chaire « Christianismes orientaux » à l’École pratique des hautes études, et Vincent Déroche, professeur au Collège de France, soulignent les erreurs de jugement de leurs adeptes, lorsqu’au moment de la conquête arabe une partie d’entre eux ont adopté « une nouvelle religion qui n’était pas toujours perçue comme fondamentalement différente, surtout dans les débuts ». Une leçon pour notre temps rongé par les confusions ?

    Ces multiples découvertes aboutiront-elles à une reconnaissance du Coran comme une construction humaine ? Telle pourrait être la perspective ouverte par une authentique exégèse historico-critique,dans le sillage de M-A. Amir-Moezzi, président du conseil scientifique du tout nouvel Institut français d’islamologie inauguré à la Sorbonne le 22 novembre dernier.

     

    (Article paru dans La Nef n° 354 – Janvier 2023)

     _____

    1. du Cerf, 2022, 1092 p., 34 €. Cet ouvrage reprend une partie des textes parus dans Le Coran des historiens (Cerf, 2020, 3 vol.) et en ajoute d’autres.

  • Passagers du Vent, de Jean-Jacques de Saint Antoine, présenté par Guy Adain

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    Passagers du Vent de Jean-Jacques de Saint Antoine.
    Où quand l’île de France ne faisait pas forcément référence au « Neuf-Trois » !!!
    C’est l’histoire d’une perle rare du Royaume de France où j’ai trouvé cette citation de l‘auteur : 
     
    Et finalement, quelle est l’invention qui a permis le développement de la botanique ?
    - Le microscope ! Répondit avec enthousiasme un jeune Français à cheveux bouclés.
    - Mais oui ! Bravo ! Comment vous appelez-vous ?
    - François-Ferdinand d’Orléans.
    - Cela ressemble à un nom de Prince.
    - Yes sir, beaucoup de personnes le pensent. (Il était en réalité, le petit-fils du Roi Louis-Philippe.)  (Sic)
    C’est un roman charmant qui mérite un coup de pouce.
    Le livre est disponible sur Amazon.
     
  • Comte, Maurras, Houellebecq : trois agnostiques catholiques, par Stéphane Blanchonnet

    Comte, Maurras, Houellebecq : trois agnostiques catholiques

    Ce n’est un mystère pour personne, Michel Houellebecq est un admirateur d’Auguste Comte, qu’il convoque sans surprise dans son entretien avec Michel Onfray. Mais récemment, c’est à Charles Maurras, disciple du fondateur du positivisme qu’il s’est intéressé, en allant à la rencontre des royalistes de l’Action française, le 1er juillet dernier à Paris. Comte, Maurras, Houellebecq : y a-t-il une filiation possible ? Nous avons demandé à un spécialiste de la pensée de Charles Maurras, Stéphane Blanchonnet, agrégé de lettres modernes et auteur en 2017 du Petit Dictionnaire maurrassien (éd. Nouvelle Marge), de se pencher sur cette question.

    Lire la suite

  • L’HONNEUR DE VIVRE ! par Guy Adain

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    Dieu, roi du monde va donner un Roi à la France !
    On ne l’attend pas, on ne l’attend plus, l’avenir de la France est glauque, sordide, misérable et sans espoir pour les uns, radieux, woke, vegan, écolo, nunuche et petites bougies
    Pour les autres :
    Dieu, France, Roi, Fidélité, Honneur, Courage, Chevalerie, Graal sont des mots disparus.
    À quand le Royal, le Divin et par-dessus tout l’Honneur !
    On peut perdre tout le reste…
    Dieu va redonner à ses enfants le goût de l’Honneur :
    La plus belle des vertus, le principe essentiel, la qualité indispensable à toutes créations divines !
    Sans honneur de vivre et de servir notre terre n’est plus qu’un astre mort.
    Par la Beauté des Dames, des fleurs et du reste, la nature entière fait honneur à son créateur !
    Sans royauté la beauté s’étiole et disparaît.
    Le roi Soleil fait resplendir notre univers, tout s’embellit autour de lui.
    Aimer, Servir toujours avec un honneur sans tache : voilà la règle qu’il nous faut suivre, pour retrouver le sens de l’honneur et le chemin de la voie royale.
    La France fille aînée de l’Église est une personne royale sous la protection de la divine Providence ! C’est notre reine de cœur, notre Roi de cœur père du Peuple de France est le guide paternel de Sujets de France…
    Tout semble facile à dire, plus difficile à réaliser.
    Et pourtant : où sont les impossibilités ?
    Le Roi, nous l’avons, c’est le Prince Jean de France, Comte de Paris,
    La reine nous l’avons aussi, c’est la Princesse à la rose Philomèna,
    La descendance est assurée par le Prince Gaston.
    Les Français seraient ils d’accord ?
    La question mériterait de leur être posée.
    L’exactitude est la politesse des rois, l’heure royale est arrivée :
    Peuple de France, il est temps !
    Monseigneur, il est temps !
    C’est notre honneur à tous qui est en jeu !!!
    Alors ?
    Vive le Roi !
  • Le terrorisme d'État, c'est la Révolution et la République idéologique qui l'ont inventé...

    Patrick Buisson sur France Inter : "En matière de terrorisme d'État, la Terreur, c'est nous qui l'avons inventée"

    http://annesofi-bijoux.marcadet.fr/blog/wp-content/uploads/2011/07/caricature-marianne.jpg