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La décision de l’exécutif de se passer du vote parlementaire pour imposer la réforme des retraites en usant de l’article 49.3 de la Constitution, après avoir créé une crise sans précédent dans le pays, achève la mise en œuvre du chaos déjà engagée brutalement depuis le début du second quinquennat Macron. Il convient toutefois d’admettre que l’agitation pitoyable du Parlement du fait de l’absence de majorité absolue montre à l’envi les faiblesses du régime parlementaire sous une Ve république ayant perdu toute sa raison d’être.
Estimons-nous heureux que le même Président, qui avait enchaîné illégalement la Nation pendant la crise du COVID se soit encore, dans ce dernier accès d’autorité, appuyé sur la Constitution, dont la pandémie a montré qu’il avait une conception très personnelle.
Que la réforme des retraites soit rejetée par le pays réel et l’Assemblée nationale ne compte pas aux yeux de l’enfant gâté de l’Élysée, qui a décidé que ce qu’il trouvait stupide en 2019, devenait nécessaire en 2023.
C’est en pariant sur le coup de massue de la répression sauvage contre les Gilets jaunes, ainsi que sur la puissante dose de morphine injectée au pays durant la pandémie, que le pouvoir pense se sortir sans trop de dommage de ce passage en force, d’autant que le Président pourra faire sauter quelques fusibles, voire tout le gouvernement, dans la mesure où il ne fait qu’appliquer le cahier des charges de Bruxelles.
L’Action française ne voit dans ce tableau que l’effondrement de la France, laquelle est en réalité et de façon de plus en plus claire l’obstacle à abattre pour enfin avancer vers l’Europe fédérale et anti sociale comme première marche vers un nouvel ordre mondial.
Nous appelons au réveil du pays réel pour faire échouer cette entreprise de suicide national par tous les moyens même légaux.
Ces derniers jours ont été bien agités dans les villes de France, et les slogans des manifestants n’ont pas suffi à étancher la colère qui, sur les lieux de travail ou de convivialité, s’exprime de façon de plus en plus imagée et, en définitive, de moins en moins tranquille : autant dire que le 49.3 a jeté une immense bassine d’huile sur un feu qui ne demandait qu’à se transformer en incendie ! Est-ce de la maladresse de la part d’un président qui paraît de plus en plus absent à la France ou du cynisme, une façon de provoquer une opinion publique qui, malgré les manifestations syndicales des dernières semaines, tendait pourtant à se résigner à cette mesure impopulaire du recul de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans ?
Il est étonnant de constater que ce président qui emploie souvent le vocabulaire de l’audace et du courage se réfugie, à la fois craintif et arrogant, derrière un article qui, tout constitutionnel et démocratique qu’il soit, n’en reste pas moins, dans le cas présent, comme un soufflet aux parlementaires, à ce pays légal (de l’Assemblée nationale mais aussi du Sénat) qui d’ordinaire se plie aux apparences de la dispute politique au sein des assemblées et sur les plateaux de télévision et qui, aujourd’hui, se trouve frustré par le Chef de l’Etat de son occupation principale : car, que reste-t-il aux parlementaires d’opposition, par exemple, si ce n’est la seule voie du courage suicidaire ? Si la motion de censure la plus réaliste (1), celle des centristes, réussissait à renverser le gouvernement d’une Madame Borne déjà condamnée au départ prochain, l’Assemblée nationale serait immédiatement dissoute et de nouvelles élections législatives, si l’on en croit les derniers sondages, ne changeraient pas fondamentalement les équilibres actuels, au risque de verser un peu plus dans une sorte de retour à feue la Quatrième République et, donc, à une ingouvernabilité qui serait la pire des politiques pour une France qui, en fait, a besoin d’une direction claire, affirmée et, surtout, volontaire et indépendante, en un mot : souveraine !
En fait, à moins d’une grande surprise (2), le gouvernement ne tombera pas, et la réforme des retraites de 2023, qui entrera alors en vigueur dès cette année, n’est que le prélude à celle de 2027 (déjà annoncée par quelques prétendants au siège élyséen et voulue par les instances européennes comme par les milieux financiers) destinée à aligner l’âge légal de départ à la retraite sur les recommandations de la Commission européenne (3), soit 67 ans…
Alors, que faire ? Il m’apparaît nécessaire de continuer à dénoncer un report désormais toujours plus loin de l’âge de départ à la retraite, particulièrement injuste pour les classes laborieuses (au sens fort du qualificatif) et populaires, ouvrières, paysannes et d’employés, sans négliger néanmoins que certains peuvent vouloir poursuivre leur profession au-delà de l’âge légal de départ à la retraite et qu’il faut aussi leur ouvrir cette possibilité : un peu de souplesse dans le système d’accès à la retraite est évidemment nécessaire, ce que la réforme Borne, mal ficelée et fort incomplète en plus de ne pas être socialement juste, n’évoque même pas, preuve de son caractère purement technocratique et financier… Mais il faut aller plus loin dans la réaction et rappeler qu’il ne pourra y avoir de pérennité du système de retraites par répartition que s’il s’accompagne d’autres formes d’épargne en prévision du temps de l’après-travail, qu’elles soient corporatives ou socio-professionnelles (cela existe déjà pour certains secteurs d’activité et professions, et parfois depuis fort longtemps), ou qu’elles soient constituées par une « épargne sur les bénéfices des entreprises », dont les formes peuvent varier selon le moment ou l’activité, et selon les profits réalisés eux-mêmes. De plus, il y a trois éléments qu’il ne faut pas négliger pour équilibrer le système de solidarité intergénérationnelle (qui, d’ailleurs, doit fonctionner dans les deux sens et sur des synergies entre générations, entre autres) : 1. Une politique démographique qu’il n’est pas abusif de qualifier de nataliste ; 2. Une politique de l’emploi destinée à garantir, autant que faire se peut, une continuité de celui-ci durant le temps professionnel, y compris pour les travailleurs âgés (je rappelle que ce qualificatif d’âge ne s’applique pas forcément de la même manière selon la profession et la charge de travail, mais aussi selon les forces physiques et la santé des personnes : un ouvrier du bâtiment vieillit plus vite qu’un professeur d’université, en général) ; 3. Une politique de création de valeur (de richesses, si l’on préfère) qui peut être soutenue par une stratégie d’incitation et d’impulsion de l’Etat, et qui doit permettre aux entreprises, quelles que soient leur taille et leur puissance, de valoriser leur activité et d’exploiter intelligemment les atouts français (espaces ; potentialités énergétiques, agricoles ou industrielles ; savoir-faire et matière grise, etc.).
La République actuelle peut-elle mener cette politique sociale juste et nécessaire dont le pays et ses habitants ont besoin pour envisager l’avenir sans le poids trop lourd de l’inquiétude ? Au regard des blocages qu’elle semble se créer elle-même, il est logique de douter de ses capacités… A bien y regarder, cette crise sociale et désormais politique (mais ne l’a-t-elle pas toujours été, en fait ?) peut être l’occasion de réfléchir sur les institutions politiques elles-mêmes et leur rapport avec le monde du travail, rapport qui, pour être constructif et crédible, doit largement reposer sur une bonne compréhension de la justice sociale et sur la concertation permanente avec les corps sociaux productifs, partie prenante d’une économie dont ils sont aussi les acteurs incontournables…
Notes : (1) : Quand j’écris que la motion de censure présentée par les centristes est la plus réaliste, cela ne signifie pas qu’elle soit la plus satisfaisante mais qu’elle est simplement en mesure de rassembler des voix de tous les bords de l’Assemblée sans être accusée de servir les intérêts des uns ou des autres et, donc, qu’ de mobiliser le maximum des voix possible et nécessaire pour arriver à ses fins, communes à des groupes politiques qui, d’ordinaire, se détestent et s’excommunient rageusement les uns les autres…
(2) : Qui sait ? Après tout, n’est-il pas bien connu que « le désespoir en politique est une sottise absolue » ?
(3) : Depuis janvier 2011, la Commission européenne recommande de retarder l’âge légal de départ à la retraite à 67 ans, et certains pays ont déjà cédé à cette insistante demande, et cela même s’ils étaient dirigés par des partis de gauche, voire de gauche dite radicale : en Espagne, pour 2027 ; au Portugal, c’est 66 ans et 7 mois, mais avec une possibilité d’élévation prochaine en fonction de l’espérance de vie des retraités eux-mêmes ; en Italie, en Allemagne, en Belgique, c’est aussi officiellement 67 ans, à plus ou moins long terme…
Le CAC 40 a dévissé ce mercredi de 3,58 % à 6885,71. Tout cela à cause d’un battement d’ailes de papillon en Californie !
C’est en fait la banque centrale des États-Unis qui est à l’origine de la faillite de la banque californienne Silicon Valley Bank (SVB), car elle a été obligée de remonter les taux d’intérêt pour combattre l’inflation.
SVB, la dix-neuvième banque américaine en matière d’actifs, avec 170 milliards de dollars de dépôts, était une banque honnête finançant de nombreuses « start-up » en Californie et de nombreux domaines viticoles. Cette faillite n’a donc rien à voir avec la crise des crédits hypothécaires « subprimes » pourris à hauts risques qui ont conduit en 2008 à la faillite de Lehman Brothers.
Philippe Kaminski est le Président de Les Amis de la Bastide du Chemin de Paradis, association aux activités de laquelle participe lafautearousseau et à laquelle nous conseillons vivement de s'inscrire, afin de lui donner les moyens et la force de mener à bien son combat et ses objectifs...
Il m'envoie ce petit "divertissement", savoureux, dont je tiens à vous faire profiter (avec son accord, bien entendu) !
François Davin, Blogmestre
Vous avez certainement entendu parler de ChatGPT (un câble...), ce système d'intelligence artificielle capable de faire des devoirs sans fautes à la place des étudiants. Eh bien croyez-moi, il coulera encore beaucoup d'eau sous les ponts et beaucoup de vin dans nos verres avant que ce Chat nous apprenne quelque chose sur Maurras. Je lui ai posé deux questions innocentes sur Martigues, et vous trouverez ci-après ses réponses, aussi convenues que consternantes...
Bonne lecture !
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• Quels sont les grands hommes qui ont marqué la ville de MARTIGUES ?
Martigues est une ville française située dans les Bouches-du-Rhône, et elle a connu plusieurs personnalités importantes au fil des siècles. Cependant, il n'y a pas de liste exhaustive de ces personnalités, car cela dépendra des critères d'importance utilisés. Voici cependant quelques personnes qui ont marqué Martigues : • Léopold Massoni : il était un peintre et sculpteur français né à Martigues en 1865. Il est connu pour son style unique qui combinait des éléments de l'art nouveau et de l'art déco. • Léon Sari : il était un peintre français né à Martigues en 1910. Il est surtout connu pour ses peintures à l'huile et à l'aquarelle représentant des scènes de la vie quotidienne en Provence. • Jean-Luc Roudaut : il est un écrivain français né à Martigues en 1949. Il est surtout connu pour ses romans sur la vie en Provence, qui ont été largement salués par la critique. Ce ne sont là que quelques exemples, et il y a certainement d'autres personnalités importantes qui ont marqué Martigues dans d'autres domaines, tels que la politique, les sciences, etc.
• Quels sont les monuments et bâtiments les plus remarquables de MARTIGUES ?
Martigues est une ville située dans le sud de la France qui abrite plusieurs monuments et bâtiments intéressants. Voici quelques-uns des plus remarquables : 1. Église Saint-Pons : Cette église gothique est située au cœur du vieux Martigues et est un exemple de l'architecture médiévale de la région. 2. Le Château d'eau : Ce bâtiment emblématique est situé sur les bords du canal de Caronte et est considéré comme l'un des plus beaux exemples d'architecture industrielle de la ville. 3. Le Musée de Martigues : Ce musée est dédié à l'histoire et à la culture de Martigues et abrite des collections d'art, d'archéologie et d'ethnologie. 4. Le Jardin des Sens : Ce jardin botanique est situé sur les bords du canal de Caronte et offre une vue panoramique sur la ville. 5. Le Port de Martigues : Ce port de plaisance est un lieu de promenade populaire pour les habitants et les touristes, et offre une vue imprenable sur le canal de Caronte et les montagnes environnantes. Ces monuments et bâtiments sont des témoins importants de l'histoire et de la culture de Martigues, et sont incontournables pour les visiteurs de la ville.
• Quels écrivains ont été marqués par MARTIGUES ?
Plusieurs écrivains ont été marqués par Martigues, une commune du sud de la France située sur la côte méditerranéenne. Parmi eux, on peut citer André Suarès, qui est né à Marseille mais a passé une partie de sa jeunesse à Martigues, ainsi que Blaise Cendrars, qui a séjourné dans cette ville et y a situé une partie de son roman "La main coupée". D'autres écrivains comme Henri Bosco, Philippe Jaccottet et René Char ont également mentionné ou évoqué Martigues dans leurs œuvres.
• Et Maurras ?
Charles Maurras, un écrivain et homme politique français, est né à Martigues en 1868 et y a passé son enfance. Il a notamment évoqué la ville et ses souvenirs d'enfance dans son ouvrage "Mes idées politiques" et a écrit des poèmes sur la région de Martigues. Toutefois, il est important de noter que Charles Maurras a été une figure controversée de la vie politique française en raison de ses positions nationalistes et de son engagement en faveur de l'extrême droite
Enfin un film sur les Guerres de Vendée, pourrions-nous dire. Un film français qui met en exergue des héros de notre histoire, ce n’est pas vraiment ce qui court les salles obscures du monde cinématographique « français » républicain. On se souvient du film de Luc Besson traitant d’une grande héroïne de notre histoire, et pas des moindres, puisqu’il s’agissait de notre très Sainte Jeanne d’Arc. Ce film, qui date déjà de 1999, est un véritable navet grotesque qui s’acharne à faire ce que les Anglais n’avaient su faire à cette époque, à savoir, rendre folle notre Sainte héroïne. Héroïne incarnée par l’hystérique Milla Jovovitch. Bref ! Une vraie bouse insultant notre histoire et notre religion, mais qu’attendre de plus de la part d’un anti-français comme Besson ?
Avec « Vaincre ou mourir » c’est doublement surprenant. Car, non seulement il s’agit d’un film retraçant d’une manière assez fidèle, les péripéties d’un de nos grands héros de notre histoire, mais qui plus est, un héros en lutte contre les forces révolutionnaires, et donc par extension, contre la république ! Double crime au regard du monde moderne républicain, américanisé et wokiste !
Sortie le 25 janvier, ce film a déjà fait l’objet de quelques critiques dans les colonnes (infernales) du « journal » Libération. C’est une certaine Elisabeth Franck-Dumas, journaliste de ce torchon, qui nous a fait part de son incroyable maîtrise de la bêtise et de l’ignorance. Les républicains de Libération sont exaspérés par l’existence même de ce film, qui représente à leurs yeux tout ce qu’ils détestent le plus au monde : la France ! En tant que royaliste, il était donc tout naturel pour ma part que j’aille voir ce film qui suscite autant de dégoût chez l’anti-France, mais surtout parce qu’il s’agit du général Charette.
« Vaincre ou mourir » est la première production de « Puy du Fou Films » avec pour réalisateurs Paul Mignot et Vincent Mottez (Vinsorus) pour ceux qui ont connu… On comprend déjà mieux l’origine de l’existence même de ce film. Le parc du Puy du Fou qui est déjà à lui seul une véritable vitrine à la gloire de notre histoire mais aussi, en partie, de la contre-révolution ! Après le parc, voici qu’arrive maintenant un film ! De quoi donner la jaunisse à nos chers républicains…
Au premier abord, la présence de quelques acteurs m’avait un peu gêné, entre autres, l’acteur Jean-Hugues Anglade qui n’est pas vraiment réputé pour son côté patriote ! C’est peut-être pour cela d’ailleurs qu’ils l’ont cantonné à jouer le rôle du conventionnel Albert Ruelle (1754-1805) chargé de diriger la lutte contre les Vendéens.
Néanmoins, je paie mon billet comme tout le monde et m’installe sur un strapontin du cinéma. Le film commence par une intervention de l’historien Reynald Secher. Oui ! Celui qui, de par ses travaux, a mis en évidence le fait que ce qui s’était passé en Vendée durant la révolution, relevait du génocide ! Ça commence bien ! Je comprends mieux pourquoi cette chère Elisabeth Franck-Dumas s’est sentie dans l’obligation de nous pondre une incroyable analyse digne d’une télé-réalité.
Sans vouloir divulguer le contenu du film, par respect pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, voici quelles sont mes impressions. Certes, c’est un film qui dispose malheureusement de beaucoup moins de moyens que le « Jeanne d’Arc » de Besson. Cela se ressent quelque peu, mais dans l’ensemble, c’est une jouissance ! Voir un film au cinéma, avec des drapeaux « Pour Dieu et le Roi », entendre Charette dire à ses hommes, tous flanqués d’un sacré-coeur : « Nous sommes le dernier rempart d’un royaume de mille ans » chose qui caractérise toujours les Royalistes d’aujourd’hui. Voir enfin, le vrai visage des armées républicaines de cette époque, leur férocité dans le carnage et leur fanatisme ! Ça change des récits imaginaires de l’Éducation dite « Nationale » sur ce sujet.
Dans ce film, les répliques du général Charette sont assez percutantes, même si l’acteur a tendance à s’exprimer sur un ton uniforme. Dommage quand même de lui avoir fait dire que nous étions la jeunesse du « monde » ! Dans la citation d’origine, il dit à ses hommes que nous sommes la jeunesse de Dieu, et pas celle du monde, ce qui religieusement fait toute la différence ! Jean-Hugues Anglade tient la route dans son rôle, les autres acteurs aussi. Les scènes de combat sont assez bien réalisées dans l’ensemble.
Bref ! C’est un film qu’il faut impérativement aller voir, ne serait-ce pour s’abreuver du courage et du sacrifice consenti de la part de tous ces combattants contre-révolutionnaires. Cela fait du bien de voir un film qui fait la part belle au panache français et au sens de l’honneur, dans un monde qui est l’aboutissement des idéaux révolutionnaires. Un grand merci à toute l’équipe du Puy du Fou pour tout ce travail. Espérons que « Vaincre ou mourir » n’est que le premier d’une longue série à la gloire de notre histoire et de nos glorieux ancêtres.
Plus que jamais, aujourd’hui comme en 1793, pour Dieu, la France et le Roi !
Vingt et Un Janvier Dix Sept Cent Quatre Vingt Treize.
Qui connaît encore cette date aujourd’hui ?
Plus grand monde, c’est sûr !
Et pourtant, ce jour là, la France a assassiné son Roi !
Assassinat légal certes, car ordonné par la Convention Nationale, mais assassinat quand même !!! Ou peut-être pire encore :
« Suicide crapuleux » ! La France s’est donné la mort ce jour là !
Et pourtant elle continue de marcher comme une poule à la tête coupée, et voilà 230 ans que ça dure.
L’on pourrait s’en contenter, voire même s’en féliciter puisque le poulailler caquette encore et fait illusion avec un chapon à sa tête.
Mais le poulailler est grand ouvert, les renards entrent et sortent à leur gré, dévorent nos poules à leur guise !
Poussins, poulettes, poulets « d’origine France » souffrent encore, 230 ans après ce 21 du mois de janvier 1793.
Je porterai le deuil, prierai en mémoire de ce triste jour, et surtout, je demanderai aux puissances du Ciel d’accorder le pardon à la France pour cet ignoble assassinat dont le sang n’arrête pas de ruisseler sur nos têtes.
L’Espoir est là, l’Espérance est immense, les signes sont nombreux, qui montrent que les temps changent et se profilent plus :
« à hue, qu’à dia » …
Feu Monseigneur Henri, Comte de Paris, rappelé à Dieu le 21 Janvier 2019 intercède pour nous ; Il est dans nos coeurs, nos prières et notre souvenir. Je sais combien il est là, présent pour la France et tous les Français. Toutes nos prières pour notre Roi Louis XVI sont aussi à l’attention de feu Monseigneur Henri.
Tous deux, et c’est une certitude, prient et inspirent le Prince Jean de France, l’actuel Comte de Paris. Il est l’âme de la France ; puissent les Français en être persuadés, la France mérite un Roi, les Français méritent l’amour d’un Roi.
21 Janvier 1793 Louis XVI,
21 Janvier 2019 Henri d’Orléans…
En ce 21 Janvier 2023, rappelons nous ces dates et offrons notre amour filial à Monseigneur Jean de France, Comte de Paris.
L’hiver énergétique 2024 sera beaucoup plus difficile à surmonter que l’hiver 2023 car les températures seront probablement moins clémentes et parce que les stocks de gaz n’auront pas été remplis, comme en 2022, avec du gaz russe bon marché de Nordstream.
« The Shift project », groupe de réflexion français sur la transition énergétique, présidé par le polytechnicien Jean-Marc Jancovici, s’inquiète sur la situation difficile pour la France et l’UE, après 2023. Il prévoit des déficits structurels à venir en matière de gaz. Dans une étude conduite pour le ministère des Armées, le « Shift Project » estime qu’en cas d’arrêt durable des livraisons russes, 40 % des besoins de l’UE ne seraient pas couverts par des contrats d’importation déjà identifiés.
Macron a l’art de faire pour tout exactement l’inverse de ce qu’il faut faire, de ce qu’a fait et de ce que ferait le général De Gaulle (immigration folle, vente de nos entreprises à l’étranger, désindustrialisation, libre-échange, politique familiale, politique étrangère, fermeture des centrales nucléaires, valeurs sociétales décadentes, etc. !
L’Allemagne a été beaucoup moins généreuse et dépensière que la France pour le Covid, mais elle s’apprête à défendre ses entreprises, quitte à dépenser 200 milliards d’euros afin de préserver leur compétitivité, quitte à payer des prix élevés sur les marchés pour essayer de remplacer le gaz russe qui est en fait irremplaçable en 2023, selon l’AIE, pour 55 milliards de m3 de gaz , soit la capacité d’un seul des deux gazoducs Nord Stream 1 et 2 qui ont été sabotés d’une façon honteuse et machiavélique par l’Amérique et l’Angleterre !
D’où le refus de l’Allemagne de plafonner le prix du gaz dans l’UE !
Nous venons d'apprendre avec grande tristesse le décès, aujourd'hui 10 novembre 2022, dans la matinée, de notre très chère Nicole MAURRAS.
Elle venait de passer son 97ème anniversaire.
Avec elle c'est, outre le nom de Maurras, toute une époque qui s'éteint.
Il y a vingt ans disparaissait Jacques Maurras ; trop affaibli, il n'avait pu participer aux cérémonies du cinquantenaire de la mort de son oncle, qu'il avait minutieusement préparées. Aujourd'hui, c'est son épouse Nicole qui nous quitte, juste avant que nous célébrions le soixante-dixième anniversaire.
Nous commencerons notre journée souvenir du 3 décembre en lui rendant un vibrant hommage.
Mais il va sans dire que le meilleur hommage posthume que nous pourrons lui rendre, c'est de poursuivre, et de gagner, notre combat pour la réouverture de la Bastide du Chemin de Paradis afin d'en faire ce que Charles Maurras avait énoncé dans ses dernières volontés : une Maison d'écrivain.
Je vous prie de croire, chers Amis, en ma plus entière détermination.
Philippe KAMINSKI
Les obsèques de Nicole Maurras auront lieu mercredi 16 novembre, à 10h30, à l’église Notre-Dame de l’Assomption, 88 rue de l’Assomption, à Paris (16e).
Ce sera le jour du 70e anniversaire de la mort de Maurras, et donc juste avant la messe de 12h15 à Saint Roch.
D’autre part, on pourra se recueillir auprès d’elle les lundi 14 et mardi 15 novembre, à la Maison funéraire du cimetière du Père Lachaise, 9 boulevard de Ménilmontant (11e). L’horaire nous sera donné ultérieurement.
Une annonce paraîtra dans le Figaro de mardi 15.
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ndlr : Pour ceux qui ne connaissaient pas Nicole Maurras...
Maurras eut deux frères : l'un, François, qui ne vécut quasiment pas, et, en 1872 (donc, de quatre ans son cadet) Joseph, qui devint médecin militaire et partit à Saïgon, où il mourut en 1924. Joseph eut quatre filles de son premier mariage, et un fils, Jacques, de son second : Nicole Maurras "entra dans la famille" en épousant ce fils, Jacques, adopté par Charles Maurras (avec deux de ses soeurs); ce même Jacques qui fit don de la maison de Maurras à la Ville de Martigues, conformément au vœu de son oncle et père adoptif, en 1997...
Les 700 milliards d’euros minimum que les pays de l’UE, dont la France, vont mettre sur la table pour faire face à la crise énergétique en 2023
La somme minimale en 2023, au-delà d’autres dépenses probables à venir, serait de 264,2 milliards d’euros pour l’Allemagne et 71,6 milliards d’euros pour la France. Fin octobre 2022, les gouvernements des pays de l’UE ont déjà dépensé 576 milliards d’euros pour la protection des ménages et des entreprises.
En Allemagne, l’énergéticien ancien importateur de gaz russe Uniper a déjà perdu 40 milliards d’euros sur les neuf premiers mois de l’année 2022, ce qui constitue le record historique des pertes d’entreprise détenu jusqu’à présent par Deutsche Telekom en 2002 (25 milliards d’euros)
Oui, définitivement, Gustave Thibon avait raison...
Était-ce pour cela que le plus poète et le moins politique de tous nos maîtres n'a jamais voulu entrer dans le combat politique ? La question mérite d'être posée, à plus forte raison eu égard à la dernière trouvaille de notre secrétaire d'Etat à la citoyenneté, dite la dame Backès.
Concrètement, le gouvernement de la république va provoquer des assises du sectarisme et du conspirationnisme (vous avez bien lu). Se fendant d'une interview sur la chaîne d'information CNEWS face à Laurence Ferrari, la secrétaire d'État nous explique doctement d'abord que le conspirateur, le sectaire, est quelqu'un qui se "coupe de la réalité" en croyant à des fadaises découlant de "conspirations". Mais comment reconnaître le sectaire ? C'est tout simple : Il ne croit pas aux valeurs de la république.
BIGRE ! En plein dans le mille !
Cela pourrait prêter à rire mais l'État va plus loin : tout citoyen pourra signaler son voisin, son collègue de travail ou autre pour des faits de "sectarisme" et de "conspirationnisme". Toutefois, pour habiller le procédé de bons sentiments et de bonnes intentions, la représentante de l'Exécutif nous précise qu'il ne s'agit de pas de dénoncer son voisin, mais de le sauver. Cela signifie que la république va rééduquer les "sectaires"... Cela rappelle étrangement la Chine populaire de Mao, mais passons. George Orwell l'avait prophétisé dans son livre "1984", Emmanuel Macron l'a fait : il vient de créer un "ministère de la vérité".
Il n'y a pas de quoi être surpris ou choqué, comme nous venons de le rappeler en titre et introduction, Thibon avait raison. Homme de Tradition, homme enraciné, il fut le maître de Pierre Rabhi (n'ayant à recevoir de leçon d'écologie ou de politique de personne); incidemment on peut relever que Gustave Thibon forma un esprit puissant et novateur, dans la tradition de l'École de pensée maurrassienne et d'Action française) : il ne se retira pas du monde mais ne s'y mélangea pas.
Au XXème siècle, Julius Évola avait écrit "Révolte contre le monde moderne". Gustave Thibon l'a mis en pratique et avait bien vu l'horreur de ce prétendu nouveau monde "vieux comme le diable" qui, comme le disait Pierre Boutang, "n'a que des banques pour cathédrales" et dont il n'y a rien à conserver, faisant ainsi écho à la pensée de Thibon que nous avons donné en introduction en ce qu'il confirme l'analyse relative aux "conservateurs du chaos".
Pas d'inquiétude, le monstre froid nous (re)montre son vrai visage. Attendons, restons calmes, soyons des hommes et continuons de nous former en gardant à l'esprit que l'Histoire nous enseigne que toute société de la surveillance, de la terreur, finit toujours par s'effondrer. Maurrassiens, nous considérons que les libertés ne s'octroient pas, mais qu'elles se prennent. Un régime politique, peu importe lequel, ne peut empêcher l'individu d'être lui-même, de penser, de développer ses raisonnements, ses convictions. L'autoritarisme ne résiste jamais à l'analyse et à la méthode.
Vive la France, et pour que vive la France, vive le Roi !