UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité France - Page 5

  • Chute scandaleuse des effectifs dans le secteur automobile français ! par Marc Rousset

    Chomagelongueduree.jpg

    Les effectifs en France de Stellantis sont passés respectivement de 126 000 employés en 2005 à 47 000 fin 2022 et ceux de Renault , pendant la même période ,sont passés de 70 000 à 38 160 ! Et ce n’est pas fini : la dégringolade va encore continuer de plus belle de 2022 à 2030 !

    La tendance des effectifs dans l’hexagone est structurellement à la baisse tous azimuts dans le secteur automobile qui était, depuis 1920, le fleuron de l’industrie française ! Rien qu’en 2022, Renault a supprimé 3 450 postes ! Selon les derniers chiffres publiés en 2021 par le CCFA (Comité des constructeurs français), les effectifs de la filière auto tricolore liés à la production ont perdu globalement en 5 ans la bagatelle de 100 000 emplois, pour atteindre le chiffre en forte diminution de 431 000.

    Lire la suite

  • Droite/Gauche confondues, c'est le Système qui veut "ça", qui fait "ça", qui impose "ça"... Alors, révoltez-vous, défendez-vous, dénoncez ce Système et...soyez royalistes, ou ne vous plaignez pas !

  • SOS Éducation a dénoncé la désinformation de la CAF sur la transidentité, et a gagné !

     
    Idéologie trans : la CAF modifie son texte !

    Chère amie, Cher ami,

    L’action de l’Observatoire de la Petite Sirène auprès du ministre de la Santé, à laquelle je nous ai associés, a porté ses fruits : à la suite de notre lettre pour dénoncer la désinformation de la CAF sur la transidentité, l’article en question a été modifié !

    C’est une victoire importante pour protéger les enfants ! Nous devons continuer à être vigilants, et sensibiliser le plus largement possible sur les risques des transitions de genre rapides chez les mineurs.

    Pour rappel, la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) avait publié un article intitulé « Mon enfant est transgenre, comment bien l’accompagner ? », qui prenait fait et cause pour l’idéologie d’affirmation du genre ressenti, quel que soit l’âge.

    Nous avons été 80, professionnels de santé, intellectuels, universitaires... à réagir immédiatement en signant la lettre adressée par l’Observatoire de la Petite Sirène au ministre de la Santé, François Braun.

    J’ai signé cette lettre au nom de SOS Éducation, pour demander au ministre de transmettre aux parents une information neutre, objective et utile sur cette question cruciale qui touche de plus en plus d’adolescents fragiles.

    Mon nom apparaissait aux côtés de personnalités comme Élisabeth Badinter, Jean-François Braunstein, et les deux fondatrices de l’Observatoire de la Petite Sirène, Caroline Eliacheff et Céline Masson... Toutes engagées pour préserver l’intérêt de santé des enfants.

    À la suite de notre action, l’article de la CAF explique maintenant les conséquences irréversibles d'une transition de genre, et rappelle qu’il faut proposer en premier lieu un accompagnement psychologique :

    « À souligner que les changements médicaux ne sont bien entendu pas à prendre à la légère avec des impacts potentiellement lourds au-delà des changements sur l'appareil génital externe »

    Cette mention est également suivie d'un renvoi à l'avis rendu le 25 février 2022 par l'Académie nationale de médecine, qui invite à la plus grande prudence sur le sujet des transitions de genre (retrouvez le communiqué de l’Académie de médecine ici).

    C’est une grande avancée. Les services publics comme la CAF doivent aux parents une information juste et neutre sur le sujet des transitions de genre !

    Découvrez l’article du journaliste Paul Sugy pour Le Figaro, qui revient en détail sur notre action auprès du ministre de la Santé, et sur la modification en catimini par la CAF de son texte :

     

    Aperçu article Le Figaro CAF

     

    J'accède à l'article

    Après avoir lu l’article, n’hésitez pas à me faire part de vos retours, toujours très riches et constructifs !

    Priorité à l'Éducation !

    Signature Sophie Audugé

    Sophie Audugé,
    Déléguée Générale de SOS Éducation

     

     

     

    Aperçu lettre au ministre de la Santé

     
     
     
     
     
  • Hyperinflation et effondrement : point Oméga des crises du Système depuis 2008, par Marc Rousset

     

    Les Bourses européennes ont fini dans le rouge ce vendredi par crainte d’un effet domino sur les banques. L’ensemble du secteur bancaire est touché. Le CAC 40 a perdu 1,74 % à 7015,10. Après la quasi-faillite du Crédit Suisse, l’attention s’est portée sur Deutsche Bank, première banque allemande, dont les actions ont été massivement vendues (-8,53 %) tandis que le rendement des obligations subordonnées (Additional Tier 1 ) et le coût d’assurance contre le risque de défaut de paiement (« Credit Default Swap ») de Deutsche Bank ont fortement augmenté.

    Le CDS à 5 ans de Deutsche Bank a grimpé à plus de 2,2 %. Les instruments financiers de couverture indiquent une probabilité de défaut de Deutsche Bank de 27,4 % dans les cinq prochaines années et de 19,3 % pour Commerzbank. Pour Barclays et Société Générale, la probabilité moins élevée se situe autour de 13 %. Signe de nervosité, l’indice de volatilité aux États-Unis s’affichait à 22,76, tandis que l’indice européen a fait un bond à 24,88. Les banques centrales doivent résoudre le problème contradictoire de la stabilité monétaire et de la stabilité financière des banques, de l’inflation ou du krach bancaire et boursier.

    Lire la suite

  • Communiqué de l'Action française...

    Tout va bien pour Jupiter

    La décision de l’exécutif de se passer du vote parlementaire pour imposer la réforme des retraites en usant de l’article 49.3 de la Constitution, après avoir créé une crise sans précédent dans le pays, achève la mise en œuvre du chaos déjà engagée brutalement depuis le début du second quinquennat Macron. Il convient toutefois d’admettre que l’agitation pitoyable du Parlement du fait de l’absence de majorité absolue montre à l’envi les faiblesses du régime parlementaire sous une Ve république ayant perdu toute sa raison d’être.

    Estimons-nous heureux que le même Président, qui avait enchaîné illégalement la Nation pendant la crise du COVID se soit encore, dans ce dernier accès d’autorité, appuyé sur la Constitution, dont la pandémie a montré qu’il avait une conception très personnelle.

    Que la réforme des retraites soit rejetée par le pays réel et l’Assemblée nationale ne compte pas aux yeux de l’enfant gâté de l’Élysée, qui a décidé que ce qu’il trouvait stupide en 2019, devenait nécessaire en 2023.

    C’est en pariant sur le coup de massue de la répression sauvage contre les Gilets jaunes, ainsi que sur la puissante dose de morphine injectée au pays durant la pandémie, que le pouvoir pense se sortir sans trop de dommage de ce passage en force, d’autant que le Président pourra faire sauter quelques fusibles, voire tout le gouvernement, dans la mesure où il ne fait qu’appliquer le cahier des charges de Bruxelles.

    L’Action française ne voit dans ce tableau que l’effondrement de la France, laquelle est en réalité et de façon de plus en plus claire l’obstacle à abattre pour enfin avancer vers l’Europe fédérale et anti sociale comme première marche vers un nouvel ordre mondial.

    Nous appelons au réveil du pays réel pour faire échouer cette entreprise de suicide national par tous les moyens même légaux.

    You are currently viewing Communiqué de l’Action Française

  • La question des retraites n'est pas soluble dans le 49.3 ! (L'avis d'un royaliste social), par Jean-Philippe Chauvin

    1A.jpg

    Ces derniers jours ont été bien agités dans les villes de France, et les slogans des manifestants n’ont pas suffi à étancher la colère qui, sur les lieux de travail ou de convivialité, s’exprime de façon de plus en plus imagée et, en définitive, de moins en moins tranquille : autant dire que le 49.3 a jeté une immense bassine d’huile sur un feu qui ne demandait qu’à se transformer en incendie ! Est-ce de la maladresse de la part d’un président qui paraît de plus en plus absent à la France ou du cynisme, une façon de provoquer une opinion publique qui, malgré les manifestations syndicales des dernières semaines, tendait pourtant à se résigner à cette mesure impopulaire du recul de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans ?
    Il est étonnant de constater que ce président qui emploie souvent le vocabulaire de l’audace et du courage se réfugie, à la fois craintif et arrogant, derrière un article qui, tout constitutionnel et démocratique qu’il soit, n’en reste pas moins, dans le cas présent, comme un soufflet aux parlementaires, à ce pays légal (de l’Assemblée nationale mais aussi du Sénat) qui d’ordinaire se plie aux apparences de la dispute politique au sein des assemblées et sur les plateaux de télévision et qui, aujourd’hui, se trouve frustré par le Chef de l’Etat de son occupation principale : car, que reste-t-il aux parlementaires d’opposition, par exemple, si ce n’est la seule voie du courage suicidaire ? Si la motion de censure la plus réaliste (1), celle des centristes, réussissait à renverser le gouvernement d’une Madame Borne déjà condamnée au départ prochain, l’Assemblée nationale serait immédiatement dissoute et de nouvelles élections législatives, si l’on en croit les derniers sondages, ne changeraient pas fondamentalement les équilibres actuels, au risque de verser un peu plus dans une sorte de retour à feue la Quatrième République et, donc, à une ingouvernabilité qui serait la pire des politiques pour une France qui, en fait, a besoin d’une direction claire, affirmée et, surtout, volontaire et indépendante, en un mot : souveraine !
    En fait, à moins d’une grande surprise (2), le gouvernement ne tombera pas, et la réforme des retraites de 2023, qui entrera alors en vigueur dès cette année, n’est que le prélude à celle de 2027 (déjà annoncée par quelques prétendants au siège élyséen et voulue par les instances européennes comme par les milieux financiers) destinée à aligner l’âge légal de départ à la retraite sur les recommandations de la Commission européenne (3), soit 67 ans…
    Alors, que faire ? Il m’apparaît nécessaire de continuer à dénoncer un report désormais toujours plus loin de l’âge de départ à la retraite, particulièrement injuste pour les classes laborieuses (au sens fort du qualificatif) et populaires, ouvrières, paysannes et d’employés, sans négliger néanmoins que certains peuvent vouloir poursuivre leur profession au-delà de l’âge légal de départ à la retraite et qu’il faut aussi leur ouvrir cette possibilité : un peu de souplesse dans le système d’accès à la retraite est évidemment nécessaire, ce que la réforme Borne, mal ficelée et fort incomplète en plus de ne pas être socialement juste, n’évoque même pas, preuve de son caractère purement technocratique et financier… Mais il faut aller plus loin dans la réaction et rappeler qu’il ne pourra y avoir de pérennité du système de retraites par répartition que s’il s’accompagne d’autres formes d’épargne en prévision du temps de l’après-travail, qu’elles soient corporatives ou socio-professionnelles (cela existe déjà pour certains secteurs d’activité et professions, et parfois depuis fort longtemps), ou qu’elles soient constituées par une « épargne sur les bénéfices des entreprises », dont les formes peuvent varier selon le moment ou l’activité, et selon les profits réalisés eux-mêmes. De plus, il y a trois éléments qu’il ne faut pas négliger pour équilibrer le système de solidarité intergénérationnelle (qui, d’ailleurs, doit fonctionner dans les deux sens et sur des synergies entre générations, entre autres) : 1. Une politique démographique qu’il n’est pas abusif de qualifier de nataliste ; 2. Une politique de l’emploi destinée à garantir, autant que faire se peut, une continuité de celui-ci durant le temps professionnel, y compris pour les travailleurs âgés (je rappelle que ce qualificatif d’âge ne s’applique pas forcément de la même manière selon la profession et la charge de travail, mais aussi selon les forces physiques et la santé des personnes : un ouvrier du bâtiment vieillit plus vite qu’un professeur d’université, en général) ; 3. Une politique de création de valeur (de richesses, si l’on préfère) qui peut être soutenue par une stratégie d’incitation et d’impulsion de l’Etat, et qui doit permettre aux entreprises, quelles que soient leur taille et leur puissance, de valoriser leur activité et d’exploiter intelligemment les atouts français (espaces ; potentialités énergétiques, agricoles ou industrielles ; savoir-faire et matière grise, etc.).
    La République actuelle peut-elle mener cette politique sociale juste et nécessaire dont le pays et ses habitants ont besoin pour envisager l’avenir sans le poids trop lourd de l’inquiétude ? Au regard des blocages qu’elle semble se créer elle-même, il est logique de douter de ses capacités… A bien y regarder, cette crise sociale et désormais politique (mais ne l’a-t-elle pas toujours été, en fait ?) peut être l’occasion de réfléchir sur les institutions politiques elles-mêmes et leur rapport avec le monde du travail, rapport qui, pour être constructif et crédible, doit largement reposer sur une bonne compréhension de la justice sociale et sur la concertation permanente avec les corps sociaux productifs, partie prenante d’une économie dont ils sont aussi les acteurs incontournables…
    Notes : (1) : Quand j’écris que la motion de censure présentée par les centristes est la plus réaliste, cela ne signifie pas qu’elle soit la plus satisfaisante mais qu’elle est simplement en mesure de rassembler des voix de tous les bords de l’Assemblée sans être accusée de servir les intérêts des uns ou des autres et, donc, qu’ de mobiliser le maximum des voix possible et nécessaire pour arriver à ses fins, communes à des groupes politiques qui, d’ordinaire, se détestent et s’excommunient rageusement les uns les autres…
    (2) : Qui sait ? Après tout, n’est-il pas bien connu que « le désespoir en politique est une sottise absolue » ?
    (3) : Depuis janvier 2011, la Commission européenne recommande de retarder l’âge légal de départ à la retraite à 67 ans, et certains pays ont déjà cédé à cette insistante demande, et cela même s’ils étaient dirigés par des partis de gauche, voire de gauche dite radicale : en Espagne, pour 2027 ; au Portugal, c’est 66 ans et 7 mois, mais avec une possibilité d’élévation prochaine en fonction de l’espérance de vie des retraités eux-mêmes ; en Italie, en Allemagne, en Belgique, c’est aussi officiellement 67 ans, à plus ou moins long terme…
  • Au Système !

    Le 49.3 a bien fait rire les caricaturistes....

     

    1A.jpg

  • Krach bancaire : vers l’effondrement, la Révolution et l’or à 3000 $ l’once !, par Marc Rousset

    Le CAC 40 a dévissé ce mercredi de 3,58 % à 6885,71. Tout cela à cause d’un battement d’ailes de papillon en Californie !

    C’est en fait la banque centrale des États-Unis qui est à l’origine de la faillite de la banque californienne Silicon Valley Bank (SVB), car elle a été obligée de remonter les taux d’intérêt pour combattre l’inflation.

    SVB, la dix-neuvième banque américaine en matière d’actifs, avec 170 milliards de dollars de dépôts, était une banque honnête finançant de nombreuses « start-up » en Californie et de nombreux domaines viticoles. Cette faillite n’a donc rien à voir avec la crise des crédits hypothécaires « subprimes » pourris à hauts risques qui ont conduit en 2008 à la faillite de Lehman Brothers.

    Lire la suite

  • Rions un peu, avec Philippe Kaminski...

    Philippe Kaminski est le Président de Les Amis de la Bastide du Chemin de Paradis, association aux activités de laquelle participe lafautearousseau et à laquelle nous conseillons vivement de s'inscrire, afin de lui donner les moyens et la force de mener à bien son combat et ses objectifs...

    Il m'envoie ce petit "divertissement", savoureux, dont je tiens à vous faire profiter (avec son accord, bien entendu) !

    François Davin, Blogmestre

    1A.jpg

    Vous avez certainement entendu parler de ChatGPT (un câble...), ce système d'intelligence artificielle capable de faire des devoirs sans fautes à la place des étudiants. Eh bien croyez-moi, il coulera encore beaucoup d'eau sous les ponts et beaucoup de vin dans nos verres avant que ce Chat nous apprenne quelque chose sur Maurras. Je lui ai posé deux questions innocentes sur Martigues, et vous trouverez ci-après ses réponses, aussi convenues que consternantes...

    Bonne lecture !
    -----

    • Quels sont les grands hommes qui ont marqué la ville de MARTIGUES ?

    Martigues est une ville française située dans les Bouches-du-Rhône, et elle a connu plusieurs personnalités importantes au fil des siècles. Cependant, il n'y a pas de liste exhaustive de ces personnalités, car cela dépendra des critères d'importance utilisés. Voici cependant quelques personnes qui ont marqué Martigues :
    • Léopold Massoni : il était un peintre et sculpteur français né à Martigues en 1865. Il est connu pour son style unique qui combinait des éléments de l'art nouveau et de l'art déco.
    • Léon Sari : il était un peintre français né à Martigues en 1910. Il est surtout connu pour ses peintures à l'huile et à l'aquarelle représentant des scènes de la vie quotidienne en Provence.
    • Jean-Luc Roudaut : il est un écrivain français né à Martigues en 1949. Il est surtout connu pour ses romans sur la vie en Provence, qui ont été largement salués par la critique.
    Ce ne sont là que quelques exemples, et il y a certainement d'autres personnalités importantes qui ont marqué Martigues dans d'autres domaines, tels que la politique, les sciences, etc.

    • Quels sont les monuments et bâtiments les plus remarquables de MARTIGUES ?

    Martigues est une ville située dans le sud de la France qui abrite plusieurs monuments et bâtiments intéressants. Voici quelques-uns des plus remarquables :
    1. Église Saint-Pons : Cette église gothique est située au cœur du vieux Martigues et est un exemple de l'architecture médiévale de la région.
    2. Le Château d'eau : Ce bâtiment emblématique est situé sur les bords du canal de Caronte et est considéré comme l'un des plus beaux exemples d'architecture industrielle de la ville.
    3. Le Musée de Martigues : Ce musée est dédié à l'histoire et à la culture de Martigues et abrite des collections d'art, d'archéologie et d'ethnologie.
    4. Le Jardin des Sens : Ce jardin botanique est situé sur les bords du canal de Caronte et offre une vue panoramique sur la ville.
    5. Le Port de Martigues : Ce port de plaisance est un lieu de promenade populaire pour les habitants et les touristes, et offre une vue imprenable sur le canal de Caronte et les montagnes environnantes.
    Ces monuments et bâtiments sont des témoins importants de l'histoire et de la culture de Martigues, et sont incontournables pour les visiteurs de la ville.


    • Quels écrivains ont été marqués par MARTIGUES ?


    Plusieurs écrivains ont été marqués par Martigues, une commune du sud de la France située sur la côte méditerranéenne. Parmi eux, on peut citer André Suarès, qui est né à Marseille mais a passé une partie de sa jeunesse à Martigues, ainsi que Blaise Cendrars, qui a séjourné dans cette ville et y a situé une partie de son roman "La main coupée". D'autres écrivains comme Henri Bosco, Philippe Jaccottet et René Char ont également mentionné ou évoqué Martigues dans leurs œuvres.


    • Et Maurras ?

    Charles Maurras, un écrivain et homme politique français, est né à Martigues en 1868 et y a passé son enfance. Il a notamment évoqué la ville et ses souvenirs d'enfance dans son ouvrage "Mes idées politiques" et a écrit des poèmes sur la région de Martigues. Toutefois, il est important de noter que Charles Maurras a été une figure controversée de la vie politique française en raison de ses positions nationalistes et de son engagement en faveur de l'extrême droite

     

    À TOUT ? VRAIMENT ?

    lfar ane.jpg

  • J’AI VU « VAINCRE OU MOURIR, par P.P. Blancher (Groupe d'action royaliste)

    Enfin un film sur les Guerres de Vendée, pourrions-nous dire. Un film français qui met en exergue des héros de notre histoire, ce n’est pas vraiment ce qui court les salles obscures du monde cinématographique « français » républicain. On se souvient du film de Luc Besson traitant d’une grande héroïne de notre histoire, et pas des moindres, puisqu’il s’agissait de notre très Sainte Jeanne d’Arc. Ce film, qui date déjà de 1999, est un véritable navet grotesque qui s’acharne à faire ce que les Anglais n’avaient su faire à cette époque, à savoir, rendre folle notre Sainte héroïne. Héroïne incarnée par l’hystérique Milla Jovovitch. Bref ! Une vraie bouse insultant notre histoire et notre religion, mais qu’attendre de plus de la part d’un anti-français comme Besson ?

    Avec « Vaincre ou mourir » c’est doublement surprenant. Car, non seulement il s’agit d’un film retraçant d’une manière assez fidèle, les péripéties d’un de nos grands héros de notre histoire, mais qui plus est, un héros en lutte contre les forces révolutionnaires, et donc par extension, contre la république ! Double crime au regard du monde moderne républicain, américanisé et wokiste !

    Sortie le 25 janvier, ce film a déjà fait l’objet de quelques critiques dans les colonnes (infernales) du « journal » Libération. C’est une certaine Elisabeth Franck-Dumas, journaliste de ce torchon, qui nous a fait part de son incroyable maîtrise de la bêtise et de l’ignorance. Les républicains de Libération sont exaspérés par l’existence même de ce film, qui représente à leurs yeux tout ce qu’ils détestent le plus au monde : la France ! En tant que royaliste, il était donc tout naturel pour ma part que j’aille voir ce film qui suscite autant de dégoût chez l’anti-France, mais surtout parce qu’il s’agit du général Charette.

    « Vaincre ou mourir » est la première production de « Puy du Fou Films » avec pour réalisateurs Paul Mignot et Vincent Mottez (Vinsorus) pour ceux qui ont connu… On comprend déjà mieux l’origine de l’existence même de ce film. Le parc du Puy du Fou qui est déjà à lui seul une véritable vitrine à la gloire de notre histoire mais aussi, en partie, de la contre-révolution ! Après le parc, voici qu’arrive maintenant un film ! De quoi donner la jaunisse à nos chers républicains…

    Au premier abord, la présence de quelques acteurs m’avait un peu gêné, entre autres, l’acteur Jean-Hugues Anglade qui n’est pas vraiment réputé pour son côté patriote ! C’est peut-être pour cela d’ailleurs qu’ils l’ont cantonné à jouer le rôle du conventionnel Albert Ruelle (1754-1805) chargé de diriger la lutte contre les Vendéens.

    Néanmoins, je paie mon billet comme tout le monde et m’installe sur un strapontin du cinéma. Le film commence par une intervention de l’historien Reynald Secher. Oui ! Celui qui, de par ses travaux, a mis en évidence le fait que ce qui s’était passé en Vendée durant la révolution, relevait du génocide ! Ça commence bien ! Je comprends mieux pourquoi cette chère Elisabeth Franck-Dumas s’est sentie dans l’obligation de nous pondre une incroyable analyse digne d’une télé-réalité.

    Sans vouloir divulguer le contenu du film, par respect pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, voici quelles sont mes impressions. Certes, c’est un film qui dispose malheureusement de beaucoup moins de moyens que le « Jeanne d’Arc » de Besson. Cela se ressent quelque peu, mais dans l’ensemble, c’est une jouissance ! Voir un film au cinéma, avec des drapeaux « Pour Dieu et le Roi », entendre Charette dire à ses hommes, tous flanqués d’un sacré-coeur : « Nous sommes le dernier rempart d’un royaume de mille ans » chose qui caractérise toujours les Royalistes d’aujourd’hui. Voir enfin, le vrai visage des armées républicaines de cette époque, leur férocité dans le carnage et leur fanatisme ! Ça change des récits imaginaires de l’Éducation dite « Nationale » sur ce sujet.

    Dans ce film, les répliques du général Charette sont assez percutantes, même si l’acteur a tendance à s’exprimer sur un ton uniforme. Dommage quand même de lui avoir fait dire que nous étions la jeunesse du « monde » ! Dans la citation d’origine, il dit à ses hommes que nous sommes la jeunesse de Dieu, et pas celle du monde, ce qui religieusement fait toute la différence ! Jean-Hugues Anglade tient la route dans son rôle, les autres acteurs aussi. Les scènes de combat sont assez bien réalisées dans l’ensemble.

    Bref ! C’est un film qu’il faut impérativement aller voir, ne serait-ce pour s’abreuver du courage et du sacrifice consenti de la part de tous ces combattants contre-révolutionnaires. Cela fait du bien de voir un film qui fait la part belle au panache français et au sens de l’honneur, dans un monde qui est l’aboutissement des idéaux révolutionnaires. Un grand merci à toute l’équipe du Puy du Fou pour tout ce travail. Espérons que « Vaincre ou mourir » n’est que le premier d’une longue série à la gloire de notre histoire et de nos glorieux ancêtres.

    Plus que jamais, aujourd’hui comme en 1793, pour Dieu, la France et le Roi !

    P-P Blancher

  • 21/01/1793... Vingt et Un Janvier Dix Sept Cent Quatre Vingt Treize, par Guy Adain

    1AA.jpg

     
     
    21/01/1793.
    Vingt et Un Janvier Dix Sept Cent Quatre Vingt Treize.
     
    Qui connaît encore cette date aujourd’hui ?
    Plus grand monde, c’est sûr !
    Et pourtant, ce jour là, la France a assassiné son Roi !
    Assassinat légal certes, car ordonné par la Convention Nationale, mais assassinat quand même !!! Ou peut-être pire encore : 
    « Suicide crapuleux » !  La France s’est donné la mort ce jour là !
    Et pourtant elle continue de marcher comme une poule à la tête coupée, et voilà 230 ans que ça dure.
    L’on pourrait s’en contenter, voire même s’en féliciter puisque le poulailler caquette encore et fait illusion avec un chapon à sa tête.
    Mais le poulailler est grand ouvert, les renards entrent et sortent à leur gré, dévorent nos poules à leur guise !
    Poussins, poulettes, poulets « d’origine France » souffrent encore, 230 ans après ce 21 du mois de janvier 1793.
    Je porterai le deuil, prierai en mémoire de ce triste jour, et surtout, je demanderai aux puissances du Ciel d’accorder le pardon à la France pour cet ignoble assassinat dont le sang n’arrête pas de ruisseler sur nos têtes.
    L’Espoir est là, l’Espérance est immense, les signes sont nombreux, qui montrent que les temps changent et se profilent plus : 
    « à hue, qu’à dia » …

    1AAA.jpg

    Feu Monseigneur Henri, Comte de Paris, rappelé à Dieu le 21 Janvier 2019 intercède pour nous ; Il est dans nos coeurs, nos prières et notre souvenir. Je sais combien il est là, présent pour la France et tous les Français. Toutes nos prières pour notre Roi Louis XVI sont aussi à l’attention de feu Monseigneur Henri.
    Tous deux, et c’est une certitude, prient et inspirent le Prince Jean de France, l’actuel Comte de Paris. Il est l’âme de la France ; puissent les Français en être persuadés, la France mérite un Roi, les Français méritent l’amour d’un Roi.
     
    21 Janvier 1793 Louis XVI,
    21 Janvier 2019 Henri d’Orléans…
     
    En ce 21 Janvier 2023, rappelons nous ces dates et offrons notre amour filial à Monseigneur Jean de France, Comte de Paris.

    1A.jpg

  • Carte blanche à Marc Rousset : La filière gaz et pétrole de schiste français doit être testée de façon urgente !

     

    L’hiver énergétique 2024 sera beaucoup plus difficile à surmonter que l’hiver 2023 car les températures seront probablement moins clémentes et parce que les stocks de gaz n’auront pas été remplis, comme en 2022, avec du gaz russe bon marché de Nordstream.

    « The Shift project », groupe de réflexion français sur la transition énergétique, présidé par le polytechnicien Jean-Marc Jancovici, s’inquiète sur la situation difficile pour la France et l’UE, après 2023. Il prévoit des déficits structurels à venir en matière de gaz. Dans une étude conduite pour le ministère des Armées, le « Shift Project » estime qu’en cas d’arrêt durable des livraisons russes, 40 % des besoins de l’UE ne seraient pas couverts par des contrats d’importation déjà identifiés.

    Lire la suite

  • À propos de cette Grande mosquée de Paris, qui veut "porter plainte" contre Houellebecq et Onfray...

    1A.jpg

    Rien à rajouter, rien à retrancher dans ce court billet que nous avoins publié ici-même le 7 avril 2017 :

    Mieux vaudrait créer un jardin public à la place de la Grande Mosquée de Paris, si on devait la céder à l'Algérie !