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Actualité France - Page 5

  • Darmanin "interdit" à tort et à travers... Lui aussi, "trop fort dans ce qu'il a de faible (laxisme envers les "faux antifas/vrais terroristes", immigration...) trop faible dans ce qu'il a de fort" (quoi, au juste ?)...

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    Action Française
     Nous avons été notifiés par la Préfecture de Police de Paris que le préfet Nunez envisage d'interdire notre colloque du samedi 13 mai 2023.  Nous engageons immédiatement un référé liberté pour contrer cette action liberticide de la part de l'état qui cède aux élucubrations de l'extrême-gauche ! #tousalajeanne
  • DHIMMIGRATION, par Guy Adain

     

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    Dhimmi
    Le mot dhimmi est un terme historique du droit musulman qui désigne les sujets non musulmans d'un État sous gouvernance musulmane.
     
     
     
    DHIMMIGRATION.
     
    Repousser l’étude d’une loi sur l’immigration, c’est avouer la peur qui paralyse la simple approche d’un tel sujet. 
    Parler d’immigration est tabou; d’autant que nous sommes presque déjà en dhimmitude !
    Laissons donc cauchemarder les adeptes de l’immigration, « Chance pour la France »  ou ceux du « Grand Remplacement»  ; et nous, n’en parlons plus !
    Est-ce à dire qu’il n’y a pas de problème ?
    Certes non !  
     
    La France n’est plus ce qu’elle était ! 
    Les Français d’aujourd’hui ne ressemblent plus à nos grands-parents.
    Est-ce la faute de ces nouveaux « Touristes de masse », envahissants ou envahisseurs ?
    La France n’est plus « Fille ainée de l’Église », mais personne ne nous empêche de grenouiller dans nos bénitiers !
    Redevenons déjà Français par nous mêmes. 
    Espérons et croyons…à notre France telle que nous la voudrions.
    Nous n’arrêtons pas de nous plaindre et de critiquer les gouvernants que nous avons mis en place. Ils nous ressemblent et sont aussi mauvais que nous pouvions le prévoir. Ils font selon notre bon plaisir, et ne trahissent pas ce que nous demandions !
    Mais la vérité cachée est que nous n’osons pas demander ce que nous souhaitons vraiment ! Notre France, la vraie celle de nos coeurs, reste enfouie en nous, tant on nous a fait croire qu’elle était malséante.
    Dans le pays des « Droits de l’homme », on a supprimé la « Droite » !
    La France née en 1789 n’a plus qu’un seul coté : le Gauche !
    L’idéologie qui va avec veut tout transformer selon ses règles, quitte à se laisser emporter par la tempête et couler avec le Vaisseau France !
    Grâce à Dieu, cela ne se fera pas, et malgré qu’il soit un peu plouc le Français BCBG, (Baguette, Camembert, Béret, Gaulliste).
    Ce Français là existe bien ! 
    Juste un mot pour le qualificatif « Gaulliste » :
    N’y voyons pas une référence politique, c’est le représentant de la France qu’il faut y voir, le Grand Homme qui s’identifie à la France ; la France c’était Lui, c’était nous ! Le courage, l’aplomb, le charisme… 
    Qui sont-ils ses petits successeurs ?
     
    FRANCE ETERNELLE | UDPSHOP
     
     
    Nous avons perdu le goût de France, redevenons Français ! 
    Croyants et non laïques, Chrétiens et pratiquants, Nationalistes et non mondialistes, et Royalistes parce qu’à la France il faut une âme et donc un Roi ! 
    C’est cette France là qui peut éventuellement accueillir des candidats à la Francisation. Beaucoup le voient ainsi, ils veulent rejoindre la vraie France et pas cette République bananière que gauchement on leur propose.
    La France qu’on aime billante et ensoleillée comme Versailles, la France ou impossible n’est pas Français, la France de nos Jardins à la Française, celle de la Comédie Française, de la Mode, du Luxe, de la Gastronomie et de la « Furia Francese » !
     
    Voilà l’Esprit Français !
     
    C’est notre France…à prendre ou à laisser !
     
    Est-ce si difficile d’affirmer cela ?
     
    Gloire à notre France éternelle! - Gloire à ceux qui sont morts [...] -  Victor Hugo
     
  • LES CASSEROLES DE DON QUICHOTTE, par Guy Adain

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    Don Quichotte, le vrai, dans sa folie, affrontait des moulins à vent ! 
     
    Le nôtre veut combattre des moulins à légumes et des casseroles ! On a les moulins qu’on peut !
     
    Un préfet interdit les casseroles !!!
     
     
    Et la guerre s’intensifie, les casseroles seront réduites au silence et ne chanterons plus ! 
    Mieux encore, les séides de « Renaissance » sont appelés à la rescousse par « Le Jeune de la Colline »… Il faut faire taire le concert des casseroles qui ne joue que Le Chant du Départ…
    Drôle de République quand même, capable de dégainer et tirer à la 12,7…ou au 49,3, pour se faire entendre par delà le gazouillis des casseroles !
    Mais que dit donc ce chant séditieux des casseroles ?
    …Ah ça ira, ça ira, ça ira…
    Ou plutôt ça n’ira pas jusqu’à 64 printemps !
    …Pas de bassine à Sainte-Soline !
    …Pas d’autoroute A69 !
    …Occupons-nous de Mayotte !
     
    Et bien d’autres choses encore…
  • Sacré Zemmour ! par Guy Adain

    Sacré Zemmour !
     
    Il contemple la liste des Rois de France sacrés à Reims !
    Il est bien le seul qu’une telle épitaphe inspire !
    Il est bien le seul, hors de notre petit monde royaliste, bien sûr, à se souvenir que l’Histoire de France ne commence pas le 14 Juillet 1789 ! En glosant un peu, on pourrait presque dire qu’elle finit à cette date ! Mais bien sûr, la France n’est ni née en 1789, ni morte le 21 Janvier 1793 ! En revanche, elle est bien entrée dans sa morte-saison.
    A partir de l’affreux régicide de son Roi Louis XVI, de sa femme et du martyre de leur enfant le petit dauphin Louis XVII, la France somnole d’un sommeil de mort.
    Monsieur Eric Zemmour, sans doute entend-il des voix comme Jeanne d’Arc ? C’est le seul royalement inspiré qui se souvienne que la France était un Royaume !
    C’est un gentilhomme qui mérite nos royales amitiés.
     
    D'Éric Zemmour, sur tweeter :
     
    "Beaucoup d’émotion devant la splendeur de la cathédrale de Reims, lieu où étaient sacrés les rois de France. Notre patrimoine religieux est une richesse inestimable qui témoigne de notre grande histoire et du lien charnel entre la France et le christianisme. Préservons-le !"
     
     
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  • En réaction à la condamnation d'Hubert Falco par la Justice...

    À nos correspondants du Var
     
    Voilà qui devrait modifier la donne pour les prochaines élections MUNICIPALES à Toulon : Séisme politique dans le Var : Hubert Falco démis de ses mandats par la justice...
     
    L'association des maires du Var va sans doute prendre position et pas forcément pour un candidat macro compatible.
    Lors de l'organisation des manifestations d'août 2022 au Mont FARON en l'honneur des tirailleurs sénégalais  des contacts ont été noués avec certains élus et personnalités locales pas forcément décidés aujourd'hui... à sombrer avec Hubert Falco qui, notons-le, ne nous a pas particulièrement aidé pour donner de l'ampleur à cet évènement, pas plus d'ailleurs que pour d'autres manifestations mémorielles dans le Var ou ailleurs.
     
    Cordialement,
    Joël Broquet
    Président du Partenariat Eurafricain

  • Chute scandaleuse des effectifs dans le secteur automobile français ! par Marc Rousset

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    Les effectifs en France de Stellantis sont passés respectivement de 126 000 employés en 2005 à 47 000 fin 2022 et ceux de Renault , pendant la même période ,sont passés de 70 000 à 38 160 ! Et ce n’est pas fini : la dégringolade va encore continuer de plus belle de 2022 à 2030 !

    La tendance des effectifs dans l’hexagone est structurellement à la baisse tous azimuts dans le secteur automobile qui était, depuis 1920, le fleuron de l’industrie française ! Rien qu’en 2022, Renault a supprimé 3 450 postes ! Selon les derniers chiffres publiés en 2021 par le CCFA (Comité des constructeurs français), les effectifs de la filière auto tricolore liés à la production ont perdu globalement en 5 ans la bagatelle de 100 000 emplois, pour atteindre le chiffre en forte diminution de 431 000.

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  • Droite/Gauche confondues, c'est le Système qui veut "ça", qui fait "ça", qui impose "ça"... Alors, révoltez-vous, défendez-vous, dénoncez ce Système et...soyez royalistes, ou ne vous plaignez pas !

  • SOS Éducation a dénoncé la désinformation de la CAF sur la transidentité, et a gagné !

     
    Idéologie trans : la CAF modifie son texte !

    Chère amie, Cher ami,

    L’action de l’Observatoire de la Petite Sirène auprès du ministre de la Santé, à laquelle je nous ai associés, a porté ses fruits : à la suite de notre lettre pour dénoncer la désinformation de la CAF sur la transidentité, l’article en question a été modifié !

    C’est une victoire importante pour protéger les enfants ! Nous devons continuer à être vigilants, et sensibiliser le plus largement possible sur les risques des transitions de genre rapides chez les mineurs.

    Pour rappel, la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) avait publié un article intitulé « Mon enfant est transgenre, comment bien l’accompagner ? », qui prenait fait et cause pour l’idéologie d’affirmation du genre ressenti, quel que soit l’âge.

    Nous avons été 80, professionnels de santé, intellectuels, universitaires... à réagir immédiatement en signant la lettre adressée par l’Observatoire de la Petite Sirène au ministre de la Santé, François Braun.

    J’ai signé cette lettre au nom de SOS Éducation, pour demander au ministre de transmettre aux parents une information neutre, objective et utile sur cette question cruciale qui touche de plus en plus d’adolescents fragiles.

    Mon nom apparaissait aux côtés de personnalités comme Élisabeth Badinter, Jean-François Braunstein, et les deux fondatrices de l’Observatoire de la Petite Sirène, Caroline Eliacheff et Céline Masson... Toutes engagées pour préserver l’intérêt de santé des enfants.

    À la suite de notre action, l’article de la CAF explique maintenant les conséquences irréversibles d'une transition de genre, et rappelle qu’il faut proposer en premier lieu un accompagnement psychologique :

    « À souligner que les changements médicaux ne sont bien entendu pas à prendre à la légère avec des impacts potentiellement lourds au-delà des changements sur l'appareil génital externe »

    Cette mention est également suivie d'un renvoi à l'avis rendu le 25 février 2022 par l'Académie nationale de médecine, qui invite à la plus grande prudence sur le sujet des transitions de genre (retrouvez le communiqué de l’Académie de médecine ici).

    C’est une grande avancée. Les services publics comme la CAF doivent aux parents une information juste et neutre sur le sujet des transitions de genre !

    Découvrez l’article du journaliste Paul Sugy pour Le Figaro, qui revient en détail sur notre action auprès du ministre de la Santé, et sur la modification en catimini par la CAF de son texte :

     

    Aperçu article Le Figaro CAF

     

    J'accède à l'article

    Après avoir lu l’article, n’hésitez pas à me faire part de vos retours, toujours très riches et constructifs !

    Priorité à l'Éducation !

    Signature Sophie Audugé

    Sophie Audugé,
    Déléguée Générale de SOS Éducation

     

     

     

    Aperçu lettre au ministre de la Santé

     
     
     
     
     
  • Hyperinflation et effondrement : point Oméga des crises du Système depuis 2008, par Marc Rousset

     

    Les Bourses européennes ont fini dans le rouge ce vendredi par crainte d’un effet domino sur les banques. L’ensemble du secteur bancaire est touché. Le CAC 40 a perdu 1,74 % à 7015,10. Après la quasi-faillite du Crédit Suisse, l’attention s’est portée sur Deutsche Bank, première banque allemande, dont les actions ont été massivement vendues (-8,53 %) tandis que le rendement des obligations subordonnées (Additional Tier 1 ) et le coût d’assurance contre le risque de défaut de paiement (« Credit Default Swap ») de Deutsche Bank ont fortement augmenté.

    Le CDS à 5 ans de Deutsche Bank a grimpé à plus de 2,2 %. Les instruments financiers de couverture indiquent une probabilité de défaut de Deutsche Bank de 27,4 % dans les cinq prochaines années et de 19,3 % pour Commerzbank. Pour Barclays et Société Générale, la probabilité moins élevée se situe autour de 13 %. Signe de nervosité, l’indice de volatilité aux États-Unis s’affichait à 22,76, tandis que l’indice européen a fait un bond à 24,88. Les banques centrales doivent résoudre le problème contradictoire de la stabilité monétaire et de la stabilité financière des banques, de l’inflation ou du krach bancaire et boursier.

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  • Communiqué de l'Action française...

    Tout va bien pour Jupiter

    La décision de l’exécutif de se passer du vote parlementaire pour imposer la réforme des retraites en usant de l’article 49.3 de la Constitution, après avoir créé une crise sans précédent dans le pays, achève la mise en œuvre du chaos déjà engagée brutalement depuis le début du second quinquennat Macron. Il convient toutefois d’admettre que l’agitation pitoyable du Parlement du fait de l’absence de majorité absolue montre à l’envi les faiblesses du régime parlementaire sous une Ve république ayant perdu toute sa raison d’être.

    Estimons-nous heureux que le même Président, qui avait enchaîné illégalement la Nation pendant la crise du COVID se soit encore, dans ce dernier accès d’autorité, appuyé sur la Constitution, dont la pandémie a montré qu’il avait une conception très personnelle.

    Que la réforme des retraites soit rejetée par le pays réel et l’Assemblée nationale ne compte pas aux yeux de l’enfant gâté de l’Élysée, qui a décidé que ce qu’il trouvait stupide en 2019, devenait nécessaire en 2023.

    C’est en pariant sur le coup de massue de la répression sauvage contre les Gilets jaunes, ainsi que sur la puissante dose de morphine injectée au pays durant la pandémie, que le pouvoir pense se sortir sans trop de dommage de ce passage en force, d’autant que le Président pourra faire sauter quelques fusibles, voire tout le gouvernement, dans la mesure où il ne fait qu’appliquer le cahier des charges de Bruxelles.

    L’Action française ne voit dans ce tableau que l’effondrement de la France, laquelle est en réalité et de façon de plus en plus claire l’obstacle à abattre pour enfin avancer vers l’Europe fédérale et anti sociale comme première marche vers un nouvel ordre mondial.

    Nous appelons au réveil du pays réel pour faire échouer cette entreprise de suicide national par tous les moyens même légaux.

    You are currently viewing Communiqué de l’Action Française

  • La question des retraites n'est pas soluble dans le 49.3 ! (L'avis d'un royaliste social), par Jean-Philippe Chauvin

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    Ces derniers jours ont été bien agités dans les villes de France, et les slogans des manifestants n’ont pas suffi à étancher la colère qui, sur les lieux de travail ou de convivialité, s’exprime de façon de plus en plus imagée et, en définitive, de moins en moins tranquille : autant dire que le 49.3 a jeté une immense bassine d’huile sur un feu qui ne demandait qu’à se transformer en incendie ! Est-ce de la maladresse de la part d’un président qui paraît de plus en plus absent à la France ou du cynisme, une façon de provoquer une opinion publique qui, malgré les manifestations syndicales des dernières semaines, tendait pourtant à se résigner à cette mesure impopulaire du recul de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans ?
    Il est étonnant de constater que ce président qui emploie souvent le vocabulaire de l’audace et du courage se réfugie, à la fois craintif et arrogant, derrière un article qui, tout constitutionnel et démocratique qu’il soit, n’en reste pas moins, dans le cas présent, comme un soufflet aux parlementaires, à ce pays légal (de l’Assemblée nationale mais aussi du Sénat) qui d’ordinaire se plie aux apparences de la dispute politique au sein des assemblées et sur les plateaux de télévision et qui, aujourd’hui, se trouve frustré par le Chef de l’Etat de son occupation principale : car, que reste-t-il aux parlementaires d’opposition, par exemple, si ce n’est la seule voie du courage suicidaire ? Si la motion de censure la plus réaliste (1), celle des centristes, réussissait à renverser le gouvernement d’une Madame Borne déjà condamnée au départ prochain, l’Assemblée nationale serait immédiatement dissoute et de nouvelles élections législatives, si l’on en croit les derniers sondages, ne changeraient pas fondamentalement les équilibres actuels, au risque de verser un peu plus dans une sorte de retour à feue la Quatrième République et, donc, à une ingouvernabilité qui serait la pire des politiques pour une France qui, en fait, a besoin d’une direction claire, affirmée et, surtout, volontaire et indépendante, en un mot : souveraine !
    En fait, à moins d’une grande surprise (2), le gouvernement ne tombera pas, et la réforme des retraites de 2023, qui entrera alors en vigueur dès cette année, n’est que le prélude à celle de 2027 (déjà annoncée par quelques prétendants au siège élyséen et voulue par les instances européennes comme par les milieux financiers) destinée à aligner l’âge légal de départ à la retraite sur les recommandations de la Commission européenne (3), soit 67 ans…
    Alors, que faire ? Il m’apparaît nécessaire de continuer à dénoncer un report désormais toujours plus loin de l’âge de départ à la retraite, particulièrement injuste pour les classes laborieuses (au sens fort du qualificatif) et populaires, ouvrières, paysannes et d’employés, sans négliger néanmoins que certains peuvent vouloir poursuivre leur profession au-delà de l’âge légal de départ à la retraite et qu’il faut aussi leur ouvrir cette possibilité : un peu de souplesse dans le système d’accès à la retraite est évidemment nécessaire, ce que la réforme Borne, mal ficelée et fort incomplète en plus de ne pas être socialement juste, n’évoque même pas, preuve de son caractère purement technocratique et financier… Mais il faut aller plus loin dans la réaction et rappeler qu’il ne pourra y avoir de pérennité du système de retraites par répartition que s’il s’accompagne d’autres formes d’épargne en prévision du temps de l’après-travail, qu’elles soient corporatives ou socio-professionnelles (cela existe déjà pour certains secteurs d’activité et professions, et parfois depuis fort longtemps), ou qu’elles soient constituées par une « épargne sur les bénéfices des entreprises », dont les formes peuvent varier selon le moment ou l’activité, et selon les profits réalisés eux-mêmes. De plus, il y a trois éléments qu’il ne faut pas négliger pour équilibrer le système de solidarité intergénérationnelle (qui, d’ailleurs, doit fonctionner dans les deux sens et sur des synergies entre générations, entre autres) : 1. Une politique démographique qu’il n’est pas abusif de qualifier de nataliste ; 2. Une politique de l’emploi destinée à garantir, autant que faire se peut, une continuité de celui-ci durant le temps professionnel, y compris pour les travailleurs âgés (je rappelle que ce qualificatif d’âge ne s’applique pas forcément de la même manière selon la profession et la charge de travail, mais aussi selon les forces physiques et la santé des personnes : un ouvrier du bâtiment vieillit plus vite qu’un professeur d’université, en général) ; 3. Une politique de création de valeur (de richesses, si l’on préfère) qui peut être soutenue par une stratégie d’incitation et d’impulsion de l’Etat, et qui doit permettre aux entreprises, quelles que soient leur taille et leur puissance, de valoriser leur activité et d’exploiter intelligemment les atouts français (espaces ; potentialités énergétiques, agricoles ou industrielles ; savoir-faire et matière grise, etc.).
    La République actuelle peut-elle mener cette politique sociale juste et nécessaire dont le pays et ses habitants ont besoin pour envisager l’avenir sans le poids trop lourd de l’inquiétude ? Au regard des blocages qu’elle semble se créer elle-même, il est logique de douter de ses capacités… A bien y regarder, cette crise sociale et désormais politique (mais ne l’a-t-elle pas toujours été, en fait ?) peut être l’occasion de réfléchir sur les institutions politiques elles-mêmes et leur rapport avec le monde du travail, rapport qui, pour être constructif et crédible, doit largement reposer sur une bonne compréhension de la justice sociale et sur la concertation permanente avec les corps sociaux productifs, partie prenante d’une économie dont ils sont aussi les acteurs incontournables…
    Notes : (1) : Quand j’écris que la motion de censure présentée par les centristes est la plus réaliste, cela ne signifie pas qu’elle soit la plus satisfaisante mais qu’elle est simplement en mesure de rassembler des voix de tous les bords de l’Assemblée sans être accusée de servir les intérêts des uns ou des autres et, donc, qu’ de mobiliser le maximum des voix possible et nécessaire pour arriver à ses fins, communes à des groupes politiques qui, d’ordinaire, se détestent et s’excommunient rageusement les uns les autres…
    (2) : Qui sait ? Après tout, n’est-il pas bien connu que « le désespoir en politique est une sottise absolue » ?
    (3) : Depuis janvier 2011, la Commission européenne recommande de retarder l’âge légal de départ à la retraite à 67 ans, et certains pays ont déjà cédé à cette insistante demande, et cela même s’ils étaient dirigés par des partis de gauche, voire de gauche dite radicale : en Espagne, pour 2027 ; au Portugal, c’est 66 ans et 7 mois, mais avec une possibilité d’élévation prochaine en fonction de l’espérance de vie des retraités eux-mêmes ; en Italie, en Allemagne, en Belgique, c’est aussi officiellement 67 ans, à plus ou moins long terme…
  • Au Système !

    Le 49.3 a bien fait rire les caricaturistes....

     

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  • Krach bancaire : vers l’effondrement, la Révolution et l’or à 3000 $ l’once !, par Marc Rousset

    Le CAC 40 a dévissé ce mercredi de 3,58 % à 6885,71. Tout cela à cause d’un battement d’ailes de papillon en Californie !

    C’est en fait la banque centrale des États-Unis qui est à l’origine de la faillite de la banque californienne Silicon Valley Bank (SVB), car elle a été obligée de remonter les taux d’intérêt pour combattre l’inflation.

    SVB, la dix-neuvième banque américaine en matière d’actifs, avec 170 milliards de dollars de dépôts, était une banque honnête finançant de nombreuses « start-up » en Californie et de nombreux domaines viticoles. Cette faillite n’a donc rien à voir avec la crise des crédits hypothécaires « subprimes » pourris à hauts risques qui ont conduit en 2008 à la faillite de Lehman Brothers.

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