Notre dissuasion nucléaire fait des jaloux, et/ou des envieux...
Mais c'est uniquement la faute de Macron : quelle mouche l'a donc piqué de lancer cette idée folle d'un "partage" de cette dissuasion avec d'autres pays européens, qui, jusque là, ne demandaient rien ?
À force de dire n'importe quoi, n'importe quand et sur n'importe quel sujet (quitte à dire exactement le contraire quelques mois plus tard...) celui que Luc Ferry à très exactement jugé (le "gamin"...) ne cesse de jouer avec le feu, là où il serait si simple... de ne rien dire !
Voilà maintenant que les Polonais et le "monstre Allemagne" de "Berlin/la Prusse" demandent, sérieusement, à profiter de ce "parapluie" nucléaire français, que Macron a follement mis sur le tapis.
On nous pardonnera l'expression, mais ils sont "gonflés", Tusk (le Polonais) et Merz (le "Prussien") !
• La Pologne s'est gavée de matériels américains depuis sa libération, sabotant par là-même l'idée d'Europe dont elle ne cesse de parler. Les hangars polonais sont remplis et débordent de F35 au lieu de Rafales, de chars Abrams au lieu de Leclerc, d'hélicoptères Apache au lieu des français (Caracal, Cougar, Guepard ou Tigre...), d'Himars au lieu de nos LRU... et on va s'arrêter là. Et, maintenant, les Polonais voient que, sans accord US préalable, ils ne peuvent faire voler leurs F35 (par ailleurs hors de prix par rapport au Rafale et bien moins maniables, car beaucoup trop sophistiqués : quand il y a trop de technologies de pointe quelque part, chaque "fonction" géniale en gêne ou en bloque une autre...); sans parler du problème de la maintenance et des pièces de rechange, qui dépend exclusivement des USA et de leur bon (ou mauvais) vouloir...
Voilà donc que les Polonais se rendent compte que, comme dans le conte d'Andersen, "le roi est nu"; et qu'ils commencent sérieusement à s'affoler, devant les décisions de la maléfique Maison blanche. Mais, comme pour le corbeau de La Fontaine, c'est "un peu tard...". Qu'à cela ne tienne : plus c'est gros, plus ça passe (comme disait Goebbels) ! Le Premier ministre polonais, Donald Tusk, s'est dit ouvert, ce vendredi 7 mars, à la proposition d'aller s'abriter sous le parapluie nucléaire français, souhaitant toutefois "avoir la certitude" de pouvoir décider de son usage potentiel !
Ben voyons ! Nous renvoyons les cinéphiles avertis à la réplique de Bruno Solo (dans "La vérité si je mens") "que rigoureusement ma mère / m'a défendu de nommer ici", comme chantait Brassens.
Emmanuel Macron a bien été obligé, en catastrophe, de se fendre d'un communiqué genre "halte au feu !", précisant bien que la décision d'appuyer sur le bouton resterait "entre les mains" de la France.
Voilà ce qui arrive quand des gamins jouent aux grands...
• Quant au "monstre Allemagne politiquement unie" par la Prusse, elle ne peut plus, depuis 45, nous refaire les coups de Bismarck, Guillaume Premier et Hitler. Elle a donc, tout simplement, changé son fusil d'épaule, et poursuit, depuis sa réunification, le même expansionnisme agressif et conquérant, en utilisant, cette fois, l'arme de l'économie. Mais c'est toujours la même brutalité cynique anti-française, doublée de la volonté acharnée de saboter notre nucléaire (avec l'appui d'une partie du pays légal de notre Système, avec la hideuse alliance socialo/escrolo).
Heureusement, leur coup a raté, en ce qui concerne notre nucléaire, qui renaît de ses cendres, alors que, outre-Rhin, les dirigeants ont - heureusement pour nous ! - pris la calamiteuse décision d'abandonner le nucléaire civil. Ils étaient unijambistes (le nucléaire militaire leur étant fermé depuis 45) ils ont chois de devenir culs-de-jatte : tant mieux pour nous ! En plus, le monstre s'affaisse, à la fois démographiquement, mais aussi par une "turquisation" inquiétante et aussi par l'affaiblissement des piliers de sa force : son économie (perte du gaz russe avec "l'affaire NordStream; droits de douane "promis" par Trump sur les automobiles; pays en récession pour la deuxième année consécutive...). Qu'à cela ne tienne ! Merz, futur chef de cette maudite entité qui nous a fait tant de mal (dont les Rois nous avaient débarrassé mais que les révolutionnaires ont recréé) Merz, donc, vient, sans vergogne lui non plus, dire qu'il veut être protégé par le bouclier nucléaire français : re-Ben voyons !
Ni pour l'un ni pour l'autre, ni pour les autres, il ne saurait être question de partager notre dissuasion nucléaire.
Quant à Macron, on sait qu'on n'a plus longtemps à le supporter (ouf !) mais s'il pouvait s'arrêter de faire et dire n'importe quoi, n'importe où et n'importe quand, cela simplifierait les choses, qui sont assez compliquées et, surtout, assez dangereuses comme cela !

Pour une fois qu'on est d'accord avec LFI, il serait dommage de ne pas le signaler !
Comme "hier", avec la CED, tous les Français raisonnables et patriotes, d'où qu'ils viennent, doivent s'unir pour faire capoter, dès maintenant, ce début de débat (?) qui n'est rien d'autre que... jouer avec le feu, en l'occurrence nucléaire...

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