Voilà qui est très intéressant, et que nous suivrons donc, avec... intérêt !
Florence Bergeaud-Blackler nous permettra, juste, une toute petite remarque, mais de taille : lutter contre le Frérisme, avec elle et avec qui voudra ? Oui, bien entendu ! Nous sommes preneurs.
Mais pas pour que ce soit "pour la république", car c'est bien "la république" qui est, non pas le remède, mais le mal; c'est elle qui a voulu, installé et imposé la présence de l'Islam en France, sans jamais demander son avis ni son accord au Peuple, pourtant proclamé (soi-disant) souverain...

Imaginée et préparée par la secte des Encyclopédistes, la Révolution dite française s'est pensée, voulue et imposée contre toutes nos Traditions nationales fondamentales et millénaires. Au premier rang desquelles la religion chrétienne. Pour abattre cette religion, la république a fait feu de tout bois (Terreur, Génocide vendéen, laïcité hypocrite qui n'est qu'une arme antichrétienne...) et continue : elle a favorisé l'irruption de l'Islam en France, croyant follement qu'elle détruirait ainsi ce qu'elle pense être les derniers vestiges du christianisme (alors que les signes de renouveau ne manquent pas, dans l'Église, alors que c'est la Nouvelle religion républicaine à laquelle plus personne ne croit...).
Le calcul était aussi simple que faux, stupide et insensé : faisons venir des musulmans, cela "achèvera" le christianisme, puis nous éliminerons l'Islam comme nous aurons éliminé le Christianisme...
Hélas pour les insensés, l'Islam n'est pas le Christianisme, mais bien un totalitarisme de fait, conquérant cruel et meurtrier, dominateur et ne tolérant rien en dehors de lui, pas même "la république" : seule compte la charia...
Maintenant qu'on commence à se rendre compte un peu partout - dans le Pays Légal - de ce "calcul de dupes" d'une république insensée, on a peur à tous les étages, jusque chez Macron. C'est la raison pour laquelle on ne veut surtout pas affronter "les cités"; qu'on prend des décisions favorables à la racaille et défavorables à la Police; qu'on cède toujours et partout au monstre que l'on a importé et créé ("le flot qui l'apporta recule, épouvanté..." lit-on chez Racine, dans "Phèdre").
Alors, madame Bergeaud-Blackler (que nous respectons et suivons avec intérêt, par ailleurs) que vous nous appeliez à lutter contre le frérisme, tout à fait d'accord ! Mais si c'est "pour la république" : certainement pas !
Rappelez-vous ce que disait Bossuet :
"Dieu se rit des hommes qui maudissent les conséquences dont ils chérissent les causes..."