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"Le Ground Fire 300 illustre le savoir-faire technologique français au plus haut niveau. Plus performant que le Patriot américain, ce radar entièrement numérique peut suivre 1 000 cibles simultanément jusqu’à 550 km, analyser 4 téraoctets de données par seconde et détecter tous types de menaces, des essaims de drones aux missiles balistiques. Conçu pour les nouveaux théâtres d’opérations, il répond aux exigences françaises et européennes avec une précision et une réactivité inédites. À Limours, berceau industriel de @ThalesDefence, la production a été triplée en un an pour répondre à l’explosion de la demande. Le site, renforcé par 400 recrutements en 2024, combine innovation, cadence et rigueur. Dans un contexte de réarmement accéléré, ce succès discret mais stratégique rappelle que la France reste à la pointe de la technologie radar, capable de proposer une alternative crédible, souveraine et exportable."
Et encore un "sale coup", pro Islam et pro invasion : cette fois, c'est la Commission européenne qui gaspille dix millions d'euros pour "le coran européen" !
On veut nous faire croire (Ruth Elkrief, sur LCI, chez Pujadas ce mercredi) que l'Islam est pour quelque chose dans la civilisation européenne (cet inculte de Chirac ne parlait-il pas des racines musulmanes de l'Europe ?)
Sylvain Gouguenheim a définitivement cloué le bec à tous ces incultes, débiteurs d'insanités, dans son magnifique ouvrage "Aristote au Mont Saint Michel " :
Reconnaissons à Bayrou le mérite d'avoir eu le courage de "parler vrai" dans le tableau cataclysmique qu'il a brossé de la situation actuelle de la France.
Il a conclu son intervention à l'Assemblée par ces mots :
"Il y va de notre survie"
Le Régime qui nous a conduit, ainsi, aux portes de la mort, en tant que grande Nation; ce Régime qui a causé le "mal" qui peut nous emporter ne saurait, évidemment, être le remède contre ce mal, contre cette mort, programmée si l'on ne réagit pas.
Il faut donc admette que - volens, nolens - Bayrou a fait notre travail de bons petits militants de la cause royale, et qu'il a donné raison à Léon Daudet, prônant "la subversion du Régime"...
MAISON CAPET, FONDÉE EN 987
Particularité : a "fait" la France - qui n'existait pas avant elle - et en a fait la première puissance du monde en 1789...
Un entretien dans Le Club VA : "Yes Kids !" : "Une maternophobie d’atmosphère infuse un peu partout ", déplore Gabrielle Cluzel...
ENTRETIEN. Avec Yes Kids !, la journaliste et essayiste Gabrielle Cluzel livre un vibrant plaidoyer pour la maternité, mise à mal par une société qui a choisi de renoncer à son élan vital.
Après Méfiez-vous de la France bien élevée ! (2013), Adieu Simone ! (2016), et Enracinés ! (2020), Gabrielle Cluzel, directrice de Boulevard Voltaire et intervenante régulière pour CNews, poursuit son combat contre les diktats d’une modernité sociétale devenue folle et qui blesse en profondeur l’être humain.
Avec Yes Kids, elle défend la femme, la mère, l’enfant, c’est-à-dire la vie, dont le souci semble avoir déserté nos sociétés occidentales, égarées par l’alliance, finalement assez cohérente, d’un féminisme qui nie la nature et d’une écologie qui la fantasme...
Ces "principes" (?) et ces Juges qui dissolvent la Nation au profit des minorités !
Philippe de Villiers a raison :
"Avec des concepts comme l'islamophobie, l'inclusivité, la non-discrimination, les juges ne servent plus le bien commun, le peuple, mais les minorités."
"L’acquisition de 26 #Rafale Marine par l’Inde confirme la solidité du partenariat stratégique et industriel avec la France. Au-delà du besoin opérationnel – remplacer les MiG-29K vieillissants et renforcer les capacités de projection de la marine indienne – ce choix s’inscrit dans une relation de confiance construite dans la durée. @Dassault_OnAir, déjà fournisseur de @IAF_MCC, devient un acteur clé de la transformation aéronavale indienne, avec à la clé un transfert de savoir-faire, une interopérabilité accrue et des options d’industrialisation locale à moyen terme. Pour la France, ce contrat incarne une vision : celle d’un partenariat équilibré, fondé sur la souveraineté des États et la performance industrielle, plutôt que sur des dépendances stratégiques. Dans un contexte de recomposition des équilibres en Indo-Pacifique, il renforce la crédibilité de Paris comme allié fiable et offre une alternative concrète à une logique de blocs."
Pour en savoir plus :
(l'article est en anglais, mais une fenêtre s'ouvre, en haut à droite, proposant la traduction en français)
"Nouveau bond spectaculaire des baptêmes d'adultes et d'adolescents en 2025
Ils seront plus de 10 300 adultes et 7 400 adolescents à recevoir le baptême dans la nuit de Pâques. Une progression de 45% par rapport à 2024 qui confirme la tendance observée depuis cinq ans..."
Macron a eu tort de se déclarer favorable à la création d'un État palestinien.
Rien n'est "sur la table", nulle part, pour parler vraiment de cela, hors des "paroles verbales", en ce moment, et le contexte ne s'y prête absolument pas : on parle de beaucoup de préoccupations tout à fait immédiates, dans les capitales du monde entier, et particulièrement en Europe, et particulièrement en France : et voilà que celui qui se croit encore - en dépit de ses échecs partout - "le magicien Macron", tout d'un coup, nous sort ce lièvre incongru de son chapeau : de la frime, de l'esbrouffe, de la poudre aux yeux, encore et toujours...
Soit pour masquer ses échecs; soit pour faire croire qu'il existe encore (politiquement, s'entend); soit, et c'est plus grave parce que c'est probablement la vraie raison, ou l'une des principales : parce qu'il a peur de "la rue arabe" en France, dans ces plus de 1.500 Cités, banlieues, "zones de non-droit" dans lesquelles l'armée barbare d'invasion pousse de plus en plus profondément ses racines, jusqu'à inquiéter, maintenant, ceux qui ont créé ce monstre et l'ont implanté chez nous.
Il y a peu, c'est pour la même raison (qu'il refusait d'ailleurs de reconnaître) qu'il refusait de participer à la Marche contre l'antisémitisme, croyant, par là, "acheter la paix sociale" (comme on dit)...
Goldnadel a bien commenté la chose :
"C’est bien gentil d’aller manifester en faveur des civils palestiniens, mais j’aurais aimé qu’il aille manifester en faveur des civils juifs français en proie à l’antisémitisme des banlieues et de LFI..."
11 Avril 1975 : Bernard Pivot reçoit Soljénitsyne dans "Apostrophes..."
Le 13 Février 1974, Alexandre Soljénitsyne est expulsé d'URSS;. Il souhaite venir résider en France, et demande l'asile politique, qui lui est refusé par le Président socialiste Mitterand, empêtré dans une coalition de gauche, où le Parti communiste joue encore un rôle primordial : à peine cinq ans auparavant, à la dernière élection présidentielle (de 1969), le candidat du Parti communiste, Jacques Duclos, a obtenu presque 22% des voix, au premier tour ! Pas question, donc pour Mitterand, et à cause de ces misérables calculs politicards, d'accorder l'asile politique à l'immense Soljénistsyne, qui a dénoncé l'enfer sur terre que fut l'Archipel du Goulag, ouvrage majeur dont il demanda l'impression en Décembre 1973 (la version française étant publiée le 1er Juin 1974).
Soljénitsyne partit donc en exil dans le Vermont, aux Amériques.
À la France fut ainsi infligée - par la république idéologique - cette honte indélébile d'avoir refusé asile et protection à ce grand résistant à la Révolution : mais c'est logique, la république idéologique étant, par nature, révolutionnaire, et mère et matrice de toutes les révolutions qui sont nées d'elle, dont la bolchévique...
Bernard Pivot (ci dessous) et Philippe de Villiers sauveront l'honneur national, le premier en 1975 (en recevant Soljénitsyne) et le second en le recevant en Vendée, aux Lucs-sur-Boulogne, en 1993...
1. Bernard Pivot raconte :
"...J'ai rencontré Alexandre Soljenitsyne quatre fois, quatre moments extraordinaires. Avant même de l'inviter dans Apostrophes, le 11 avril 1975, je lui avais consacré, fin 1973, au moment de la sortie de L'Archipel du Goulag, l'une des émissions d'Ouvrez les guillemets. Le débat avait été fort animé, notamment entre Jean Daniel et Max-Pol Fouchet. Le premier parlait d'un témoignage capital, tandis que le second minimisait son importance. Tout comme Alain Bosquet, également sur le plateau, qui était fort dubitatif. Car, il faut bien le rappeler aujourd'hui, il n'y avait pas alors de belle unanimité au sein de l'intelligentsia française. Nombre d'intellectuels critiquaient l'aspect partiel du récit de Soljenitsyne, d'autres encore considéraient qu'il n'était pas de grande qualité littéraire. Début 1975, alors que, expulsé d'URSS, il résidait en Suisse, je l'ai convié à l'occasion de la sortie de ses Mémoires, Le Chêne et le Veau. C'était l'une de mes premières émissions d'Apostrophes et je venais d'avoir Nabokov. Deux grands Russes coup sur coup. Quel bonheur ! C'était formidable. L'auteur d'Une journée d'Ivan Denissovitch et du Pavillon des cancéreux était vraiment impressionnant. Par sa stature, sa barbe, son physique. Tout ce qu'il représentait, la guerre, le goulag, le cancer, bref, tout ce que à quoi il avait échappé, et son courage incroyable faisaient que vous vous sentiez bête et tout petit en face de lui. C'est comme si vous aviez reçu de Gaulle ! On me disait qu'il n'avait pas bon caractère. Comment aurait-il pu survivre sinon ? Cela dit, il a fait montre, à chacune de nos rencontres, d'une vraie gentillesse et d'une grande disponibilité. Il tenait à sa femme, à ses enfants, à la Russie, à Dieu et au temps. Le temps était son bien le plus précieux, car il savait qu'il pouvait mourir d'un moment à l'autre et qu'il lui fallait finir La Roue rouge, sa monumentale histoire de la Russie d'avant 1917. Aussi, lorsque je suis allé le retrouver dans son refuge du Vermont, aux États-Unis, en 1983, pour un long tête-à-tête, j'avais conscience qu'il s'agissait là d'un cadeau inestimable. Une fois le principe de l'interview télévisée accepté - j'étais le seul à m'être entretenu avec lui dans le Vermont - il était tout à vous. Plus tard, je l'ai reçu, dans le cadre de Bouillon de culture ; enfin, je suis allé tourner un reportage en 1998, après son retour en Russie, dans sa maison des environs de Moscou. Chaque fois, j'ai eu le sentiment d'avoir en face de moi un témoin et un acteur capital de l'Histoire..."
2. À consulter : nos deux Grands Textes qui sont de Soljénitsyne :
• Son discours prononcé le 25 septembre 1993 aux Lucs-sur-Boulogne, pour l'inauguration de l'Historial de Vendée : texte intégral...
Dénoncer, en paroles, le danger des Frères Musulmans, c'est bien.
Les combattre vraiment, dans les faits, ce serai tellement mieux !
De Marion Maréchal à Bruno Retailleau :
"Monsieur le Ministre @BrunoRetailleau, cela fait 7 mois que vous êtes aux manettes. Il n’y a pas besoin d’un rapport pour connaître la dangerosité des Frères musulmans. Qu’attend le gouvernement pour les interdire et fermer leur centre de formation de Château-Chinon ?"
Défense : la France et l'Égypte vont signer un partenariat stratégique
"Les industriels de l'armement français vont passer leur tour lors de la visite d’État d'Emmanuel Macron en Égypte (6-8 avril). Seul Dassault Aviation devrait signer un contrat de maintenance pour les Rafale en service dans l'armée de l'air égyptienne.
L'armée de l'air égyptienne est la seconde au monde, après l'armée de l'air française, à avoir commandé autant de Rafale (soit 55 au total, dont un a été perdu à la suite d'un crash : 24 en 2015, 31 en 2021)
Ni Rafale supplémentaires, ni sous-marins, ni systèmes de défense aérienne... Bien qu'accompagné par certains PDG de groupes de défense comme celui de Dassault Aviation (Eric Trappier), Emmanuel Macron ne reviendra pas d'Égypte à l'issue de sa visite d'État (du 6 au 8 avril) avec de très grands contrats signés dans le domaine de la défense. A l'exception certainement d'un nouveau contrat portant sur la maintenance des Rafale (Dassault Aviation) de la classe des 300 millions d'euros. Pour l'heure, Le Caire n'a pas encore la capacité à engager de lourds investissements pour renouveler une partie de sa flotte d'avions de combat (F-16) et sa marine (sous-marins).
Première cliente de l'avion de combat tricolore à l'export, l'armée de l'air égyptienne est la seconde au monde, après l'armée de l'air française, à avoir commandé autant de Rafale (soit 55 au total, dont un a été perdu à la suite d'un crash : 24 en 2015, 31 en 2021). En outre, la visite d'Emmanuel Macron coïncide avec la livraison du premier Rafale en Égypte dans le cadre de la mise en œuvre du second contrat..."
L'armée de l'air égyptienne est la seconde au monde, après l'armée de l'air française, à avoir commandé autant de Rafale (soit 55 au total, dont un a été perdu à la suite d'un crash : 24 en 2015, 31 en 2021)
Ni Rafale supplémentaires, ni sous-marins, ni systèmes de défense aérienne... Bien qu'accompagné par certains PDG de groupes de défense comme celui de Dassault Aviation (Eric Trappier), Emmanuel Macron ne reviendra pas d'Égypte à l'issue de sa visite d'État (du 6 au 8 avril) avec de très grands contrats signés dans le domaine de la défense. A l'exception certainement d'un nouveau contrat portant sur la maintenance des Rafale (Dassault Aviation) de la classe des 300 millions d'euros. Pour l'heure, Le Caire n'a pas encore la capacité à engager de lourds investissements pour renouveler une partie de sa flotte d'avions de combat (F-16) et sa marine (sous-marins).
Première cliente de l'avion de combat tricolore à l'export, l'armée de l'air égyptienne est la seconde au monde, après l'armée de l'air française, à avoir commandé autant de Rafale (soit 55 au total, dont un a été perdu à la suite d'un crash : 24 en 2015, 31 en 2021). En outre, la visite d'Emmanuel Macron coïncide avec la livraison du premier Rafale en Égypte dans le cadre de la mise en œuvre du second contrat.
Dans la série "Cela se discute", ce que lui répond Charles Gave mérite d'être entendu, même si l'on peut en discuter tel ou tel aspect...
Car ce que propose ici Charles Gave ne ressemble-t-il pas à... une révolution ? :
• Remettre l'État là où il doit être mais où il n'est plus;
• le retirer de là où il s'est mis et où il ne doit pas être;
• et renvoyer les inutiles et les privilégiés qui vivent à nos crochets...
En somme, une "révolution de la Révolution"...
Car, bien entendu, la République idéologique et le Système dont elle a accouché - qui est "le" mal - ne saurait être le remède à ce mal, qu'elle a elle-même installé.
Il faut donc chercher ailleurs.
Du côté du Régime traditionnel de la France, par exemple, celui qui l'a faite (ayons "la reconnaissance du ventre" !) et qui en avait fait la première puissance du monde au moment où éclata la funeste et maléfique Révolution, dite française...
Extrait vidéo proposé par Artemis, revue de presse indépendante, amoureuse de la liberté et de la tronçonneuse; avec ce commentaire :
"Régler le problème de la France est enfantin" selon Charles Gave L'économiste dénonce la "corruption" des plus de 1.400 agences publiques et propose leur suppression, impliquant une économie de 130 milliards d'euros par an, id est une réduction d'impôts de 130 milliards d'euros pour les Français. De plus, il préconise des baisses d'impôts à chaque réduction de dépenses publiques."
Philippe de Villiers a raison : le Syndicat de la Magistrature, il faut l'interdire, il faut le supprimer; il faut interdire aux Magistrats de se syndiquer, comme on le fait avec les Militaires...
« Juger, c'est apprécier », « Il faut respecter le temps de la justice ». De beaux principes !
Mais le pouvoir d'appréciation du juge se réduit de jour en jour, sous la pression de sa hiérarchie et sous le poids de lois opportunistes toujours plus contraignantes. On a récemment intégré dans la grille d'évaluation des juges un critère de rentabilité : une prime annuelle est versée en fonction du nombre de dossiers traités.
Les juges sont-ils encore capables de se prononcer en leur âme et conscience ? La justice peut-elle vraiment être rendue en toute liberté, sans tenir compte de ce qu'attend la hiérarchie ? Existe-t-il encore des magistrats prêts à exercer leur mission sans être d'abord préoccupés par leur avancement ?
Ce livre est le témoignage sincère d'un juge passionné qui n'avait cessé de croire en la justice... jusqu'au jour où il a dû rendre compte à ses pairs, après s'être déplacé place Vendôme pour mettre son propre ministre en examen.
Une plongée dans le monde de la justice, un constat sans concession qui fait froid dans le dos. Après avoir lu ce livre, vous réfléchirez à deux fois avant d'avoir recours à un juge...