Dans le JDD :
Meurtre de Thomas à Crépol : un PV caché relance la thèse du crime raciste...
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"Le flot qui l'apporta recule, épouvanté..." (Phèdre, Acte V, Scène 6)
La vérité est que, maintenant, après cinquante ans d'ouverture des portes à la "submersion migratoire" (comme le dit le Premier ministre), le Pays légal lui-même prend à la fois conscience et peur de ce qu'il a fait.
Il se rend compte de la folie de la politique qu'il impose au pays - sans lui avoir jamais demandé ni avis ni autorisation : il est vrai que nous ne somme ni en République ni en démocratie !...); une politique (?) suicidaire, imposée depuis Chirac et ses scélérats décrets doits de "regroupement familial" de 75/76.
Et maintenant qu'il voit bien installée - par lui-même - cette armée barbare d'invasion partout sur le territoire; et que cette armée commence à passer à l'action, partout aussi, le Système prend peur, et ne pense qu'à une solution : acheter (pense-t-il) la paix sociale.
Après la folie, la lâcheté, donc !
Mais cela ne servira à rien : maintenant - de fait, non de droit, et non de notre volonté - les envahisseurs se sentent et sont chez eux, chez nous (on le leur a tellement dit, n'est-ce pas François Mitterand et tous les autres ?).
Et sans la moindre volonté de s'assimiler à nos meurs, lois, coutumes, traditions et, bien entendu religion.
Si une bonne part de ces nouveaux venus depuis 75/76 ne posent aucun problème et ont vocation à s'intégrer et à s'assimiler, la part de ceux qui sont venus avec un tout autre objectif (faire de la France un Califat, avec pour loi la Charia) est impressionnante, et leur volonté, radicale.
Comme le dit le perroquet de Jacques Bainville, dans son Conte "Jaco et Lori" :
"Ça finira mal !..."
Ou, bien : mais par la guerre de libération nationale... comme l'avait, en quelque sorte, entrevu Maurras, dès Juillet 1912, dans son article de L'Action française ("L"hospitalité"), avec ce qui ressemble à une prémonition, une prophétie, une prédiction :
"...Ce pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie..."
Il semble bien que "nous y sommes"...

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