Malgré toutes les trahisons de la hideuse alliance escrolos/socialos (de Borne/Voynet à Royal, Jospin, Macron et tant d'autres) qui ont bien failli avoir sa peau (destruction de Super Phénix, arrêt du projet Astrid, fermeture de Fessenheim...) qui ont fait perdre à la France des milliards, un temps précieux, et des compétences nombreuses... notre nucléaire civil, tel le Phénix, renaît de ses cendres :
le plus grand et le plus puissant réacteur du monde est mis en marche aujourd'hui, et il est français, et il est en France, à Flamanville !
Avec notre nucléaire militaire, la France retrouve et maintient sa place, parmi toutes les puissances hostiles, dans le monde et en Europe. Et surtout face à nos ennemis mortels de la Prusse berlinoise, qui a mis les Allemagnes à sa botte, et qui continue - sous une forme différente, d'apparence plus douce, certes - l'expansionnisme conquérant, haineux et destructeur des Bismarck, Guillaume II et Hitler...
Hier, c'était par la force brute et la bestialité de "leurs" guerres; aujourd'hui, cela continue, sous la forme apparemment douce de la concurrence économique et des lois anti-françaises du "machin bruxellois", que l'Allemagne dirige en sous-main...
Heureusement, les Prussiens sont privés de l'arme atomique depuis leurs horreurs de 39/45 et, pour ce qui est du nucléaire civil, ces "génies" (!) ont commis la folie furieuse d'abandonner carrément le nucléaire, pour s'enfermer dans la voie sans issue des soi-disant énergies renouvelables, ce qui les mène, certains jours de l'année - fort nombreux... - a ne produire, comme électricité, que... ZÉRO megawatts.
La France, distancée par eux dans tant de domaines, hélas, tient là deux avantages majeurs et fondamentaux dans sa rivalité multi-séculaire avec son ennemi de toujours ("Histoire de deux peuples", de notre immense Jacques Bainville reste toujours "LE" livre de référence à ce sujet...).
Flamanville est là, le nucléaire civil français repart, après avoir failli être assassiné, et c'est tant mieux...
Maintenant, EDF a déjà les yeux rivés ailleurs : à 300 kilomètres de Flamanville, la centrale de Penly (Seine-Maritime) pourrait être la première à accueillir les deux premiers réacteurs EPR 2 annoncés par Emmanuel Macron en 2022 (ce même Macron qui a - décision criminelle - fermé Fessenheim !). L'ASN est déjà en train de plancher sur l'autorisation de construction. Un nouveau défi qui marquera la relance de l'industrie nucléaire française, avec six nouveaux réacteurs prévus à partir de 2035.
2035, c'est demain; et, du point de vue nucléaire, pour la France, un demain radieux...