Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :
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L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :
Moment de grâce, hier soir, à 18h, lors de l'ouverture du "24heures Pujadas" sur LCI : nous avons eu droit à un très bel éloge de La Royauté et des Monarques, à l'occasion du drame terrible qui a frappé la région de Valence !
C'est Pujadas qui a commencé : un peu théâtralement, mais sincère et vrai - quoique se sentant obligé de rappeler qu'il était "républicain" jusqu'aux tripes - il a dit la vérité sur le spectacle affligeant de ce minable Sánchez, soi-disant Chef du Gouvernement central (Madrid), qui s'est enfui sitôt après être arrivé sur les lieux du drame, dès qu'il a entendu les "Asesino", "Fuera" et "Pedro Sánchez, hijo de puta"; alors que le couple royal - qui, lui, n'est pour rien dans cette terrible tragédie - est resté, stoïque et digne, même s'il a du supprimer une partie de sa visite après le très long moment qu'il a passé avec et au milieu de son peuple.
Et Pujadas de poser la question : n'est-ce pas frappant, cette différence entre la dignité d'un couple royal et la lâcheté et veulerie d'une classe politique, qui n'ose pas affronter les conséquences de son incapacité ? De son incompétence ? Employant le langage/jargon du temps, Pujadas demande si cela "ne nous dit pas quelque chose...", et il enfonce le clou : la Royauté n'est-elle pas différente des dirigeants démocratiques, en incarnant une permanence, une proximité avec le peuple, dans la durée et dans les épreuves, offrant un spectacle impressionnant de force et de grandeur. En somme, dit en substance Pujadas - qui ne fait que reprendre là ce que nous disons depuis toujours - la Royauté incarne la Nation, la durée, le Pays qui ne "passe" pas, au milieu de l'actualité, fleuve en permanence mouvant, représentée par des gens qui sont, eux aussi, "de simple passage"...
C'est là qu'intervient - très sérieusement et très calmement, "Jean-Do" (Jean-Dominique Merchet, excellent spécialiste - entre autres sujets... - des affaires militaires, et qui sera appuyé fermement, peu après, par le Général Trinquand, qui vient, d'ordinaire, parler de l'Ukraine); et "Jean-Do" se met a rappeler que les monarchies constitutionnelles d'Europe, "ça marche", prenant soin tout de même de rappeler qu'il faut séparer le roi qui règne et le gouvernement qui gère les affaires; mais que, en effet, les Rois ou Reines représentent et incarnent quelque chose de permanent et d'essentiel, qui manque dans nos démocraties... : sauf à se rallier publiquement et en direct à la Royauté, il ne pouvait pas aller plus loin, mais l'éloge du Roi (ou de la Reine) qui incarne la Nation, sur le temps long, sur la durée, et qui rend ainsi un service signalé et nécessaire, indispensable, a bien été prononcé, avec un sentiment de respect et d'intérêt pour la chose.
Certes, nous ne pouvons, nous, nous contenter de cela, puisque la tradition française veut que le Roi - depuis le premier : Clovis- "règne et gouverne"; c'est ce qu'avait dit Louis XVIII, en ré-occupant le Trône, après la coupure révolutionnaire : il a "octroyé" la Charte car sinon, disait-il, ce n'était pas la peine de restaurer la monarchie.
Mais prenons la chose pour ce qu'elle est : c'est la première fois depuis bien longtemps qu'un réel éloge de la Royauté est fait sur les ondes.
À nous, royalistes, de montrer et d'expliquer aux Pujadas, "Jean-Do" et Trinquand, et à tous les Français, que la Constitution voulue par ce de Gaulle intimement royaliste est parfaitement compatible avec la Royauté, les pouvoirs du Chef de l'État étant transférés, à titre héréditaire, au Chef de la Maison de France, et pour le reste, le Gouvernement faisant son travail selon cette Constitution dont le Comte de Paris de l'époque (grand-père de l'actuel) avait dit - on s'en souvient ! - : "La Constitution (de la Vème) ? Elle me convient parfaitement ! Il (de Gaulle) l'a faite pour moi !"
NE SURTOUT PAS S'HABITUER !
À CAUSE DU SYSTÈME ET DE LA RACAILLE QU'IL FAIT ENTRER CHEZ NOUS DEPUIS LES SCÉLÉRATS DÉCRETS CHIRAC DE 75/76,
NOUS SOMMES EN TRAIN D'ARRIVER À UN MORT PAR JOUR...
PUIS CE SERA UN PAR DEMI-JOURNÉE...
PUIS UN PAR HEURE !
ASSEZ ! ÇA SUFFIT !
C'EST LA RACAILLE QU'IL FAUT EXPULSER DE FRANCE, CERTES,
MAIS C'EST SURTOUT LE SYSTÈME QUI LA FAIT VENIR,
ET QUI NOUS LIVRE À ELLE !
APRÈS TOUS LES AUTRES, AUJOURD'HUI C'EST NICOLAS DUMAS,
JOUEUR DE RUGBY DE 22 ANS - LICENCIÉ DANS LE MÊME CLUB DE RUGBY QUE THOMAS PEROTTO - QUI EST MORT, DES SUITES DE SES BLESSURES, APRÈS UNE FUSILLADE EN ARDÈCHE...
IL FAUDRAIT QUE NOUS NOUS LAISSIONS TOUS ASSASSINER JUSQU'AU DERNIER ?
NOUS PRÉFÉRONS CHANGER CE SYSTÈME, DE FOLIE ET EN FOLIE, QUI NOUS A MIS DANS CETTE SITUATION...
https://atlantico.fr/article/decryptage/le-pari-marocain-demmanuel-macron-alexandre-del-valle
En notre triste temps d'effondrement général de la Culture et de l'École, sous les coups de boutoir du dément Plan Langevin Wallon, parachevé en quelque sorte par René Haby et Jacques Chirac, avec leur délirant "Collège unique" (en 1975) nous faisons mémoire, aujourd'hui, de Pierre Grimal, dont on commémore le décès...
Érudit, latiniste distingué, il est l'auteur, entre autres grands livres, du splendide "La Civilisation romaine", dont on ne saurait trop conseiller la lecture à tous les publics et dont voici les premières lignes du premier chapitre, tout simplement grandioses :
"Plage brillante entre les ténèbres de la préhistoire italienne et celles, presque aussi épaisses, où la décomposition de l'Empire plongea le monde occidental, Rome éclaire d'une vive lumière quelques douze siècles de l'histoire humaine. Douze siècles où ne manquent pas, sans doute, guerres et crimes, mais dont la meilleure part connut la paix durable et sûre, la pais romaine, imposée et acceptée depuis les bords de la Clyde jusqu'aux montagnes d'Arménie, depuis le Maroc jusqu'aux rives du Rhin, parfois même à celles de l'Elbe et ne finissant qu'aux confins du désert, sur les bords de l'Euphrate. Encore faut-il ajouter à cet immense Empire toute une frange d'États soumis à son influence spirituelle ou attirés par son prestige. Comment s'étonner que ces douze siècles d'histoire comptent parmi les plus importants qui aient jamais été pour la race humaine et que l'action de Rome, en dépit de toutes les révolutions, de tous les élargissements et les changements de perspective survenus depuis un millénaire et demi, se fasse encore sentir, vigoureuse et durable ?
Cette action pénètre tous les domaines : cadres nationaux et politiques, esthétique et morale, valeurs de tous les ordres, armature juridique des États, coutume et moeurs de la vie quotidienne; rien de ce qui nous entoure n'eut été ce qu'il est si Rome n'avait pas existé. La vie religieuse elle-même conserve l'empreinte de Rome. N'est-ce pas à l'intérieur de l'Empire que le christianisme est né, qu'il a conquis ses premières victoires, formé sa hiérarchie et, dans une certaine mesure, mûri sa doctrine ?..."
Oui, comme l'écrit si justement et si magnifiquement Raymond Bloch, auteur de la belle et courte préface de ce livre magistral :
"...C'est bien le visage de Rome dont, en fermant son livre, on voit se dessiner, en pleine lumière, les traits. Une civilisation urbaine, mais élaborée par des hommes qui aimaient profondément la terre et se posaient en paysans; une mentalité concrète et juridique mais, sans cesse, l'appel du mystère et du divin; une conception étroite, tout d'abord, et même tyrannique de la cellule familiale, mais un constant pouvoir d'accueil à l'égard de l'étranger, de ses hommes et de ses Dieux et la constitution progressive d'une véritable patrie humaine, tel est le tableau prenant d'une civilisation sans laquelle, comme il est dit justement, rien de ce qui existe n'eut été ce qu'il est. L'empreinte laissée par Rome est lumineusement définie et l'ouverture sur le présent fait ressortir tout l'héritage dont nous lui sommes redevables" (signé : Raymond Bloch, Paris, le 30 Mars 1981).
SOS ÉDUCATION - QUI A MILLE FOIS RAISON - VA ATTAQUER L'ÉTAT !
Sur CNews, chez Sonia Mabrouk, Sophie Audugé est venue révéler ce scandale : l'Éducation nationale a mis entre les mains des élèves de Seconde un ouvrage porno dans le cadre du Prix Goncourt des Lycéens....
• "Tensions politiques et crise économique : l'Allemagne face au risque de panne" (pour France info);
• "Ce qui se passe en Allemagne relativise la situation française : deux ans de récession économique, projets industriels reportés, fermetures d'usines, suppressions d'emplois, et une coalition au pouvoir qui se désintègre sur fond de budget en difficulté" (pour France inter)...
On l'a compris : chez nos ennemis allemands, "ça va mal", et ce n'est pas nous qui nous en plaindrons !...
Hier matin encore (alors que depuis un mois se multiplient sur France info et France inter les chroniques alarmantes sur l'état réel de l'économie allemande) les deux chaînes ont passé les deux nouvelles chroniques suivantes, dont le moins que l'on puisse dire est qu'elles décrivent une situation en train de devenir réellement inquiétante, outre-Rhin :
Après Gabrielle Cluzel - dont nous avons salué l'intervention hier, ici-même - Charlotte d'Ornellas est revenue sur la fête satanique de Toulouse, ce dimanche passé :
"Nous avons sous les yeux l’existence du mal qui vomit par le biais de ses esclaves..."
(extrait vidéo 1'15)
https://x.com/titibellini/status/1850994295312171344
Ce Dimanche 27 octobre 2024 sonnait la fin (enfin !) d'un immonde spectacle exceptionnel (?) à Toulouse : le dénouement et le clou du spectacle de la Compagnie La Machine.
En pire, c'était un peu comparable, dans la forme comme dans le fond (surtout le fond...) aux scènes ignobles de la cérémonie d'ouverture des JO cet été, à Paris. Mais, alors qu'à Paris - et nous l'avions relevé - il y avait de bons moments - là, à Toulouse, l'horreur était "le tout" du spectacle, elle en était l'alpha et l'oméga, du chiffre de la Bête ("666") au Minotaure, tout ce monde infernal défilait "comme chez lui" dans les rues de la ville rose, devant un public composé d'un petit nombre de gens sachant pertinemment ce qu'ils faisaient et adoraient, et d'une grande majorité d'incultes - les enfants de Jules Ferry et d'une école républicaine qui a fabriqué des zombies ignares en masse - qui se croyait peut-être dans une sorte de Carnaval, les pauvres en culture !...
Heureusement, des manifestants ont sauvé l'honneur et ont, courageusement, manifesté en "marchant contre" l'horreur de la Bête paradante, arborant son chiffre de "666"
(extrait vidéo 0'42)
https://x.com/ladepechedumidi/status/1850575339333771399
Dans Valeurs actuelles :
Porte-avions nouvelle génération, dissuasion nucléaire… Comment l’Armée française va dépenser ses 50,5 milliards d’euros de budget...
TOUT CELA EST BEL ET BON, ET TÉMOIGNE EN EFFET D'UN RÉEL CHANGEMENT, DANS LE BON SENS, PAR RAPPORT AUX DERNIÈRES DÉCENNIES D'INCONSCIENCE...
C'EST NÉANMOINS ENCORE BEAUCOUP TROP PEU : NOTRE BUDGET MILITAIRE DOIT IMPÉRATIVEMENT REVENIR À CE QU'IL ÉTAIT DANS LES ANNÉES 60 : 4% DE NOTRE P.I.B (1% POUR CHACUNE DES TROIS ARMES (AIR, TERRE, MER) ET 1% POUR LE NUCLÉAIRE (LES TROIS ARMES CONFONDUES)...
Philippe de Villiers a raison : il faut commencer à se demander s'il faut interdire, ou non, LFI.
Pour nous, la réponse est claire et nette, et il n'y a aucun doute :
C'EST OUI !
"Il faut, peut-être, songer à regarder, différemment, Sandrine Rousseau, Rima Hassan ou J-L.Mélenchon, cette cinquième colonne, si jamais ça dérape avec les appels à l’intifada, la drogue... Il faut, sérieusement, envisager l’interdiction de LFI..."
(extrait vidéo 2'27)
https://x.com/FranceSouvUnie/status/1849887267042755012
Bien...
Sur OpexNews :
Diffusés ce mardi 22 octobre 2024 sur France 2, les deux derniers épisodes de "Notre Histoire de France", intitulés "Jeanne d'Arc face aux Anglais" et "Les noces rouges d'Henri IV et la reine Margot", ont rassemblé 1,93 million de téléspectateurs entre 21h02 et 22h49, selon Médiamétrie.
On sait déjà que France 2 a commandé une suite, mais on ne sait pas si elle sera semblable à celle que nous venons de voir, ni avec Tomer Sisley, notamment.
Nous redisons simplement ce que nous avons dit après les diffusions des deux mardis précédents : si "la forme" peut plaire et convaincre plus ou moins, et même mériter certaines critiques, elle n'est pas, et de très loin, le plus important.
Le plus important, bien entendu, ce fut "le fond" : et ce "fond" nous paraît une heureuse surprise, par les temps qui courent (mensonges, inculture, cingleries de foldingues et on en passe...) : les téléspectateurs qui ne connaissent pas, ou peu, ou mal "notre Histoire de France" on pu voir présentés, justement, des moments majeurs de cette Histoire, dans leur absolue vérité, sans contre-sens, contorsions, falsifications ou autres manipulations dictées par une idéologie wokiste ou révolutionnaire.
Encore une fois, par les temps (de disette) qui courent, il faut se réjouir de la moindre production qui dise, simplement, la vérité vraie sur nos ancêtres et notre passé, sur nos Racines...
Nous n'avons donc pas visionné six chefs-d'oeuvre absolus, mais une vulgarisation on ne peut plus plus utile et on ne peut plus nécessaire, par les tristes temps qui courent; et - n'ayant pas mal au foi, ou n'étant pas "grincheux de nature" non plus - nous nous réjouissons, à chaque fois que c'est possible - comme ici - de voir quelque chose de positif sortir du petit écran : c'est tellement rare !
C'est dans Le Figaro : la grande mosquée de Paris deviendrait un bien de l'État algérien ?
PAS D'ACCORD !
MAIS, ALORS, PAS D'ACCORD DU TOUT !
Résumons, en deux mots...
Cette grande mosquée a été construite il y a bien longtemps, dans un contexte totalement différent de celui d'aujourd'hui et dans lequel elle n'a plus de raison d'être.
À l'époque, la France avait un Empire, et l'Algérie était française.
Il s'agissait donc - et c'était normal à l'époque - de remercier les combattants (musulmans) de l'Empire, et aussi les français musulmans d'Algérie pour leur participation à la guerre, dans l'Union sacrée nationale.
L'Action française n'émit aucune protestation sur la chose elle-même : ce que Maurras critiqua, avec raison, ce fut l'emplacement choisi, au coeur de la montagne Sainte Geneviève et du Quartier latin, où l'on implantait le symbole d'une civilisation autre que la nôtre, et que nous avions combattu pendant des siècles : l'Islam.
S'il y a place, en France, pour plusieurs communautés, semblables sur "le fond" mais non identiques, dans les formes variées qu'elles peuvent prendre, il n'y a pas de place pour deux civilisations (comme le rappelait Boutang).
Il était donc normal, à l'époque et après le traumatisme de la Grande guerre, que l'on construisît une mosquée qui rappelât et exaltât le courage et le sacrifice des membres musulmans de l'Empire français et de l'Algérie française.
C'est le lieu de son édification qui fut mal choisi, et que L'Action française critiqua, dans numéro du Mardi 13 Juillet 1926 :
Aujourd'hui, la page historique est fermée. Tous les valeureux combattants que l'on a, justement, remerciés et honorés son morts depuis bien longtemps et donc, en tant que telle, cette mosquée est - pourrait-on dire - obsolète, caduque, périmée... du moins dans son "intention".
Si, donc, l'Algérie, ou tout autre pays, la veut, que le pays candidat la démonte et la remonte chez lui. À ses frais, bien entendu, puisqu'il serait "demandeur"...
Et sur les 7.500 mètres carrés qu'elle occupe, l'on pourrait édifier, juste à côté des Arènes de Lutèce, un bel espace vert, un beau square, qui viendrait embellir encore cette chère Montagne dédiée à Sainte Geneviève, patronne de Paris...
L'État républicain idéologique - le Système - a tué l'enseignement, il y a cinquante ans, par la folie furieuse du Collège unique (imposé par Chirac/Haby, sous la Présidence de Giscard, ajoutée à la démagogie de l'école de masse et pour tous.
Et maintenant que l'excellence de notre Enseignement n'est plus qu'un désolant champ de ruines, un Sahara intellectuel de masse, le même État républicain idéologique, le même Système, organisent... le "vivre avec" !
C'est bien expliqué dans Boulevard Voltaire (article d'Arnaud Florac) :
"19 écoles d’ingénieurs n'auront plus d'épreuve de français au concours d'entrée. La raison en est donnée sans ambages : l'épreuve serait "anxiogènes pour les candidats"...