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benoit xvi

  • Franz Olivier Gisbert sur Benoît XVI : on en reste coi !...

    Dans la série : "il a osé le dire", ou "il fallait le faire", FOG l'a dit, ou l'a fait (au choix) : "En démissionnant, Benoît XVI a paradoxalement révolutionné l'Église et fait sauter le tabou de l'infaillibilité pontificale. Ce ne sera pas le moindre de ses legs à l'Église catholique".

    Cela ne veut strictement rien dire, cela n'a strictement aucun sens, c'est d'une ânerie himalayenne, car on a beau chercher dans tous les coins, on ne voit vraiment pas - mais, alors, pas du tout... - ce que "l'infaillibilté pontificale" (!) vient faire là-dedans.

     Mais il faut croire qu'à un moment donné, FOG s'est cru obligé de dire "ça", il s'est senti investi de cette grande mission. On ne peut qu'en prendre note, consterné pour lui, et "penser" (!), comme Coluche : "il y a des fois, tu te demandes..."

    http://www.lepoint.fr/editos-du-point/franz-olivier-giesbert/miracle-au-vatican-14-02-2013-1627255_70.php 

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  • Le coup de tonnerre de Benoît XVI

     

    (Conférence de Benoît XVI au collège des Bernardins)

     

     

    Les évènements qui ponctuent la vie de l’Eglise, telle, hier, la démission de Benoît XVI, ont toujours un aspect politique. Particulièrement pour la France dont la population est à plus de 50% catholique ; pour le monde entier qui compte un milliard deux cents millions de catholiques ; pour tout l’univers chrétien, orthodoxe, protestant et anglican. L’on a vu, lors des obsèques de Jean-Paul II, se presser presque tous les chefs d’Etat de la planète ; et les représentants de toutes les grandes religions. Le respect universel envers le successeur de Pierre, envers le Pape, s’étend bien au delà des nations chrétiennes. Force est de constater, aujourd’hui, le retentissement mondial du retrait de Benoît XVI, pourtant en apparence plus effacé que son prédécesseur. Les mêmes forces, les mêmes médias qui ont, au long de son pontificat, mené contre lui d'immenses campagnes, distillent plutôt, en ce moment, des concerts de louanges.  

     

    Le pontificat de Benoît XVI aura été marqué par quelques orientations de fond qui intéressent, directement ou indirectement, le domaine politique :

     

    . En tout premier lieu, et essentiellement, recentrer l’Eglise sur la Foi ; sur sa foi en Jésus Christ, son Seigneur, dont le royaume n’est pas de ce monde. Ce christocentrisme a tendu à épargner à l’Eglise, au moins en principe, les engagements contestables, pré ou postconciliaires, de nombre de ses clercs et de ses fidèles, dans les luttes politiques et sociales, les idéologies du monde moderne, jusqu’aux plus révolutionnaires. Personne ne devrait s’en plaindre, sur le plan politique.

     

    . En second lieu, maintenir les fondamentaux de la morale traditionnelle, mais, plus encore, restaurer la réflexion théologique, la liturgie, la cohésion interne de l’Eglise Catholique ; œuvrer à son unité, après la rupture des traditionalistes ; en même temps – objectif d’une toute autre ampleur - tendre à davantage d’unité avec le monde orthodoxe et avec les Anglicans. Ces entreprises ne sont pas étrangères au destin de l’Europe.

     

    . Rappeler tout particulièrement à l’Europe ses racines chrétiennes. Ce fut un des leitmotivs du pontificat de Jean-Paul II mais aussi de Benoît XVI. Sans-doute, d’autres apports irriguent-ils, indéniablement, la communauté des nations d’Europe. Mais leurs racines chrétiennes sont réellement fondatrices : de leur spiritualité, de leur culture, de leurs arts, de leurs savoirs communs. Tels étaient, d’ailleurs, les véritables éléments constitutifs de l'unité des Européens. En les niant, en leur préférant une Union uniquement basée sur un projet économique conduit par une technocratie sans âme, sans-doute l’Europe s’est-elle privée de ses ressorts profonds qui auraient pu, tout au moins, l’aider à surmonter ses différences et ses égoïsmes. 

     

    D’autres aspects importants du pontificat qui s’achève du fait de son titulaire pourraient être soulignés. Rappelons seulement que – au risque de soulever la tempête que l’on sait – Benoît XVI fut la première autorité morale à mettre le monde musulman en face du problème qui est le sien : celui de la violence qui le caractérise pour des raisons de fond et à sa défiance envers la raison dans son rapport avec la foi religieuse.

     

    Sur au moins deux points importants, nous avons marqué, ici, notre désaccord avec les prises de position répétées de l’Eglise catholique et de Benoît XVI lui-même : en matière d’immigration et à propos de la mondialisation. Etait-il, par exemple, acceptable, judicieux, qu’utilisant largement les médias, qui pourtant ne l’ont pas épargné, Benoît XVI tance publiquement les dirigeants français pour leur politique à l’égard des Roms ? En matière d’immigration, l’Eglise développe un discours, pour ne pas dire une propagande, contraire aux intérêts de la France. Autre point : faut-il voir – même avec des réserves et bien des rectificatifs – dans ce que nous appelons « mondialisation », une évolution inéluctable et, de toute façon, positive ? Cette opinion nous paraît relever d’une certaine naïveté politique.  

     

    Le mieux que nous puissions faire, nous semble-t-il, au moment où Benoît XVI s’éloigne, est de proposer à nos lecteurs – qu’ils soient férus de culture, de spiritualité ou de politique - d’entendre ou réentendre, lire ou relire, la magistrale conférence des Bernardins sur la formation de la civilisation européenne, prononcée en septembre 2008 devant 700 personnalités culturelles, politiques et religieuses. (Vidéo + texte).

     

    ___________________________________ 

     

    Texe de la conférence des Bernardins :   Cliquer sur "Lire la suite". Ci-dessous :

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  • Benoît XVI, un maître en politique, par Hilaire de Crémiers

    Benoît XVI ne cesse dans ses déplacements de donner un enseignement de haute portée politique. Encore lors de son dernier voyage au Mexique et à Cuba. Y aura-t-il des hommes politiques pour l’entendre ? 

    BENOIT XVI CUBA 2012.jpg

     Messe célébrée par Benoît XVI à Santiago de Cuba, place de la révolution...

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  • La grande vision de Benoît XVI : l'intelligente analyse de Jean-Marie Guénois...

    BENOIT XVI 19.jpg         En réalité, Benoît XVI pousse l'Église à se réconcilier avec elle-même...

            "Le théologien Benoît XVI n'a jamais admis qu'en 1962, la bimillénaire Église catholique se coupe de la culture et de la force de son passé. Plus qu'une réconciliation avec les lefebvristes, il vise donc, par ce geste, une réconciliation de l'Église catholique avec elle-même...."

             C'est ce qu'explique fort intelligemment Jean-Marie Guénois dans son article du Figaro du 13 avril :

    ·         http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/04/13/01016-20120413ARTFIG00647-benoit-xvi-pousse-l-eglise-a-se-reconcilier-avec-elle-meme.php

     

  • Lu sur le Blog de Patrice de Plunkett : Les Lumières ont engendré le libéralisme

    (ce mercredi 28 décembre 2011 : http://plunkett.hautetfort.com/ )

     

    À propos d'une phrase de l'homélie de Noël de Benoît XVI :


    Dans le dernier paragraphe de son homélie de Noël, le pape dit : « Mi sembra che in ciò si manifesti una verità più profonda, dalla quale vogliamo lasciarci toccare in questa Notte santa: se vogliamo trovare il Dio apparso quale bambino, allora dobbiamo scendere dal cavallo della nostra ragione illuminata. » Traduction française officielle par le service polyglotte du Vatican : « Il me semble qu’en cela se manifeste une vérité plus profonde, par laquelle nous voulons nous laisser toucher en cette sainte Nuit : si nous voulons trouver le Dieu apparu comme un enfant, alors nous devons descendre du cheval de notre raison libérale. »

    Pourquoi traduire « illuminata » par « libérale » ?

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  • D’accord avec… Jean-Marie Guénois : Benetton, plus question !...

            Pour vendre, pour "faire du fric", Benetton a plusieurs fois fait des trucs minables, où le mauvais goût était plus que très largement dépassé, et qui dégoûtaient, tout simplement. Peut-être que cela "marchait", financièrement, et faisait vendre, mais c'était tout de même minable et de niveau caniveau;

            On croyait juste qu' "ils" avaient atteint une sorte de seuil du sordide et que, après ce qu'ils avaient montré, "ils" ne pourraient plus faire pire... On se trompait : si "impossible n'est pas français", "plus abject que le plus abject n'est pas Benetton"... Nous parlons, bien sûr, de cette série de photomontages répugnants où l'on voit des personnalités très diverses et très variées s'embrasser sur la bouche : on navigue entre la vulgarité et le manque total de "respect", ce mot si souvent employé aujourd'hui....

            Sauf que, là, peut-être, et pour ce coup-ci, Benetton est allé trop loin...

            Ces photomontages à vomir ont déclenché une immense vague d'indignation, venue de tous bords et de tous horizons (politiques, religieux...).

            Celle, entre autre, de Jean-Marie Guénois :

    "....Mais cette fois Benetton a pris le risque de se mettre définitivement à dos des centaines de millions de clients potentiels qui pourraient boycotter la marque (il y a 1.2 milliard de catholiques dans le monde) car cette affaire ne passe pas dans les milieux catholiques. Et pas seulement chez les extrêmes.

    Apprentis sorciers, les concepteurs ont joué avec des symboles mais ne se sont pas rendus compte de l'impact inconscient très profond de la manipulation des trois concepts qu'ils ont voulu lier : la papauté, l'homosexualité, l'islam. Mélange effectivement explosif.

    La publicité comme un boomerang se retourne donc contre eux sous la forme d'un rejet pur et simple. Ils ne donnent vraiment pas envie de porter des vêtements dont "l'idée" instrumentalise une noble cause - "unhate" (l'absence de haine) - pour mieux "vendre" au prix du mépris effectif et massif du sentiment religieux et de la dignité humaine...."

    Intégralité de l’article :

    http://blog.lefigaro.fr/religioblog/2011/11/tres-tres-grosse-colere-au-vat.html

  • "Comme d'habitude !..." (air et paroles archi connues...)

              C'est toujours pareil : au début, "on" fait la part belle aux "critiques" et aux "anti", sans oublier les provocateurs, les vulgaires, les obscènes et tout et tout...
              Et puis, quand même, "on" est bien obligé de constater le tsunami d'enthousiasme positif de ces foules de jeunes qu'aucun parti, mouvement, association ou autres religions ne seraient capables de réunir, dans de si bonnes conditions, avec quasiment pas de négatif, mais un océan, un Himalaya de positif...
              C'était déjà pareil avec Jean-Paul II, et cela continue avec Benoît XVI : le regard des journalistes, peu à peu, change, se transforme, et devient franchement favorable. Témoin, ce reportage d'hier, qui montre bien comment, en un rien de temps, le discours sur ce Pape (comme sur le précédent...) s'est littéralement retourné : 

  • JMJ/Madrid : deux ou trois réflexions générales, alors qu'un Roi reçoit un Pape...

           ...sur fond d'effondrement général des valeurs réputées, un temps, celles de la modernité....

           Commençons d'abord par le plus immédiat, ce qui se voit, s'entend, se perçoit en premier, mais qui n'est pas le plus important. Péniblement, et à grand peine, 140 Associations, à grand renfort d'aides venues de partout, notamment bien sûr des ondes, ont réussi l'exploit de ne réunir que 4.000 personnes à Madrid pour protester contre les JMJ !

            En face, si l'on peut dire, une véritable marée humaine de centaines de milliers de jeunes (on en attend jusqu'à deux millions, dit-on...), polis, calmes, souriants et sympathiques. Les commerçants eux-même en témoignent : pas de vitrines brisées ni de boutiques saccagés, pas de bagarres, ni d'agressions, ni d'abribus ou mobilier urbain détérioré : des sourires et de la joie partout, au contraire.

            Mais cela ne fait rien: les journalistes mesquins et bas de plafonds ont choisi de commencer, à chaque fois, leur sujet par évoquer le quarteron de hargneux qui "manifestent" contre le Pape. Laissons-les, tous ces tristes sires, à leur triste nullité : ils ne comprennent rien à ce qui se passe, tant pis pour eux..... 

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             Venons-en, maintenant, à quelques réflexions sur le fond. Dans l'état actuel des choses, qu'un Roi reçoive un Pape - cauchemar posthume pour Jules Ferry et consorts, mais cauchemar bien réel pour leurs héritiers.... - cela signifie-t-il quelque chose ? Cela a-t-il, et aura-t-il de l'importance et des repercussions, que l'on espère, évidemment positives ?....

             Certes, les monarchies d'aujourd'hui ont bien "pâli", par rapport à celles "d'hier", et l'on peut légitimement émettre des réserves ou des doutes sur la valeur intrinsèque - en l'occurrence - de la Royauté espagnole, sur sa force ou son influence réelle sur la Société. La papauté aussi, par rapport à "autrefois", a bien perdu de son influence réelle. Quant à certains aspects de son discours parfois "mondialisateur" - dans le mauvais sens du terme - malgré toute l'estime que nous avons pour Benoît XVI, et tout le respect qu'il mérite, nous ne perdons jamais une occasion, dans ce Blog, de marquer notre désaccord avec les propos de tel ou tel Prince de l'Eglise, voire du Pape lui-même, lorsqu'ils nous paraissent - dans l'ordre et le domaine du politique - dangereux pour la stabilité et la perennité de nos Sociétés européennes.. Notamment dans le domaine sensible de l'immigration...

            Cependant, la remarque est réversible : l'idéologie révolutionnaire elle aussi est dans un triste état, et elle ne ressemble plus guère au courant dévastateur qu'elle a été jadis. Elle est essoufflée, elle a failli partout et, pour de nombreuses décennies semble-t-il, les résultats concrets de l'action de ceux qui ont prétendu organiser l'humanité sans Dieu et sans Roi  - comme le disait Jules Ferry... - ne plaideront pas, ou plus, en leur faveur...

            Même chez des personnalités de qualité, qui restent fidèles à leurs idéaux de jeunesse, comme Edgar Morin, on ne veut plus employer le terme de Révolution, à cause de toutes les horreurs qu'elle a engendrées; on admet qu'il était fou de proposer le meilleur des mondes, alors qu'il fallait se contenter d'oeuvrer humblement pour un monde meilleur; on rejette la croyance naïve en un progrès linéaire et indéfini...

            Alors, dans cet effondrement général et cataclysmique des certitudes qui ont cru orgueilleusement, un temps, remplacer les fondements traditionnels de la Société, il reste quoi, pour reconstruire ? Le Père Javier Igea, présenté un peu partout comme l'une des chevilles ouvrières des JMJ de Madrid met le doigt sur l'essentiel lorsqu'il explique à la presse : "...La Révolution française a constitué une lutte titanesque entre la Tradition et les Lumières". 

            L'avant-dernier Éditorial de Politique  magazine s'intitulait Dieu et le Roi.... 

  • Faut-il brûler le Pape ? A écouter demain matin, vendredi, sur Sud Radio...

     

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    http://www.sudradio.fr/index.php?id=6&art=230#newsart

  • Les JMJ : une affirmation bienvenue, joyeuse et positive des Racines chrétiennes de l'Europe

            Les JMJ, c'est parti !... Certains journalistes, notamment dans les chaînes permanentes (BFM/TV, I Télé...) en ont parlé, mais ont cru bon, passant complètement à côté de la plaque, si l'on peut dire, de ratiociner sur le coût que cela représenterait pour une économie espoagnole en crise ! On croit rêver... A l'inverse, les mêmes journalistes ont également dit que cela risquait (sic !...) de rapporter au contraire plsuieurs millions d'euros aux commerçants madrilènes !.....

            Bonjour la hauteur de vue, et la compréhension vraie d'un phénomène d'une extraordinaire ampleur et d'une importance considérable !

            Il est bien certain que toutes celles et tous ceux qui s'en tiendront à ces considérations aussi misérables que ridicules se condamnent, d'avance, à ne rien comprendre à ce qui se passe, cette semaine, à Madrid, après Paris, Sydney, Cologne, Denver , Manille (où, soit dit en passant, la plus grande foule de tous les temps a été réunie à l'occasion des JMJ : on a même avancé le chiffre de cinq millions de personnes s'étant déplacées..... A Madrid, on prévoit la participation de 1,5 à 2 millions de personnes, entre 18 et 29 ans, de presque tous les pays du monde.

            C'est, tout simplement, une sorte d'insurrection pacifique d'une foule d'espérance, dans notre monde où il y a tant de motif de desespérance, de laideur, de mocheté, non seulement physique mais, surtout, morale, mentale, intellectuelle, spirituelle..... C'est une foule de jeunes qui va répondre, une fois de plus, à la question que posait Jean-Paul II : il la posait à la France, en particulier, mais elle se pose evidemment au monde entier, et à l'Europe, tout particulièrement, cette semaine : "Europe, qu'as-tu fait des promesses de ton baptême ?..."

            Et puis, il y aura Benoît XVI !..... Pater et magister....

            Voilà ce qu'on aurait pu entendre, sur les ondes : manifestement, vu l'état d'inculture et de formatage de tant de journalistes, c'était trop demander....

            Ce n'est pas grave : il reste l'essentiel, la chose même : les JMJ sont là, elles ont lieu, elles se passent. Les beaux diseurs sont là, et les voix retentissent; les bâtisseurs sont là, et le temple se bâtit....  

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    Site officiel : http://www.jmj2011madrid.catholique.fr/jmj-2011

  • Benoît XVI a nommé à la Pastorale des Migrants quelqu'un qui "parle clair"...

            "...D'où fuient-elles, ces personnes ? Elle fuient de pays vers lesquels l'Occident ferme deux fois les yeux, tout en sachant dans quelles conditions ces peuples vivent à cause de leurs dictateurs...."

             Dans le Blog Benoît et moi, les propos de Mgr Luigi Negri, nommé membre du Conseil Pontifical pour la pastorale des migrants, le samedi 29 janvier :

            http://benoit-et-moi.fr/2011-I/0455009e5f0781801/0455009e7e0edc008.html

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  • La cléricature médiatique, "contre" le pape, mais "pour" Michael Jackson (suite)...

            Après notre note du 11 janvier (Pédophilie/Propos de Benoît XVI : la balle est dans le camp de la "cléricature médiatique"... : JACKSON.pdf) Academos nous a envoyé la photo du "parfum Michael Jackson", trouvée sur le fil internet de LCI, qui fait donc, sans gêne aucune, la promotion de cet article, et de ce chanteur :

    michael-jackson-perfume.jpg

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  • Un G 20 pour quoi faire ?, par François Reloujac

            (La taille de cet article excédant ce que supporte une page normale de Hautetfort, vous le trouverez, exceptionnellement, sous forme de PDF) :

            Un G20 pour quoi faire.pdf

    g20,benoit xvi,reloujac,nru

    g20,benoit xvi,reloujac,nru

    Deux façons de voir les choses : laquelle est la plus proche des réalités ?.....

  • Pédophilie/Propos de Benoît XVI : la balle est dans le camp de la "cléricature médiatique"...

           Comme chaque année, fin décembre, s'est déroulée la traditionnelle rencontre du Pape avec le Sacré Collège, la Curie Romaine et le Gouvernorat de l'Etat de la Cité du Vatican pour l'échange des vœux de Noël. Passant en revue les principaux évènements de l'année, Benoît XVI a d'abord évoqué l'Année sacerdotale, puis il a ajouté :

            "Mais nous ne pouvons pas non plus passer sous silence le contexte actuel où il nous est donné de voir ces évènements (les actes de pédophilie dans l'Église, ndlr). Il existe un marché de la pornographie concernant les enfants qui semble, en quelque sorte, être de plus en plus considéré par la société comme une chose normale. La dévastation psychologique des enfants dont l'humanité est réduite à l'état de marchandise, est un signe effrayant de notre époque...

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  • Politique Magazine et le voyage du pape en Grande-Bretagne...

    POLITIQUE MAGAZINE OCT 2010.jpg

                Dans ce numéro d'octobre de Politique Magazine ( http://www.politiquemagazine.fr/  ) l'Editorial revient sur le succès du voyage du Pape en Grande-Bretagne (lire ci-après : Le Pape, ça marche !).

                Et François Reloujac, comme chaque mois, analyse la situation économique. Dans ce numéro, les lignes de force des rapports France Allemagne..... Nous y reviendrons.

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