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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 60

  • Grandes "Une" de L'Action française : du 4 au 11 septembre 1934, la croisière du Campana...(5/11)

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

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    • Dans le numéro du Lundi 23 Juillet 34 (page deux)... :

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    Voici la "Une" du  Samedi 15 septembre, qui donne - tout en bas des deux colonnes centrales - la photo que nous avons déjà vue dans notre deuxième livraison sur cette croisière : le passage en revue des Camelots par le Comte de Paris, accompagné de Maurras, Pujo... et les autres ! :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k765727r

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Qui a "fait' la Révolution ? Les Girondins, emmenés par Brissot...

    1793 : Jacques Pierre Brissot, dit de Warville, est guillotiné

     

    De tous ceux qui ont "fait" la Révolution, et qui ont abattu la royauté, Brissot (ci dessous) n'était certes pas le plus excité, le plus cruel, le plus sanguinaire, le plus fou....

    C'était peut-être, même, le plus intelligent. 

    Comme la plupart de ces Girondins, bourgeois enrichis et esprits brillants, persuadés que leur heure était venue, et qu'après l'élimination de fait de la noblesse par la Royauté, c'était maintenant au tour de la Royauté elle-même de disparaître, pour leur laisser la place, à eux, et à leur génie organisateur et rationnel.

    Car, c'est vrai, brillants et intelligents, ils l'étaient, les Girondins. Et éloquents. Ils s'enivrèrent eux-mêmes de leurs beaux discours, et se persuadèrent eux-mêmes que tant de talents - bien réels... - devaient être employés pour tout mettre et tout remettre en ordre.

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    Mais il y avait la Royauté...

    Depuis 1.000 ans, entre elle et le peuple, malgré des mésententes, des brouilles, quelques assassinats et même des révolutions (Étienne Marcel, la Fronde...) rien n'avait pu rompre "le charme séculaire de la Royauté", pour reprendre la si juste expression de Jaurès. 

    Et, même en 89, même avec "la" Révolution, les esprits avisés voyaient bien qu'il y avait toujours moyen que les choses tournent de différentes manières : Robespierre, et Danton lui-même, ont failli, et auraient pu, tourner du côté de la Cour; sans parler, évidemment de Mirabeau, dont on peut dire, pour paraphraser Pascal : la vie de Mirabeau, si elle eut été moins courte, la face de la révolution en eut été changée....

    Et c'est là qu'intervient, mais pour le pire, Brissot.

    Ni Robespierre, ni Danton, ni Marat, ni personne n'avait trouvé le moyen de déraciner la Royauté du peuple. L'idée de génie, mais génie mis au service du mal, fut trouvée par Brissot. C'est là que, n'étant ni le plus sanglant ni le plus scélérat des révolutionnaires, il peut être regardé comme étant probablement celui qui a réussi à mettre à bas l'édifice millénaire.

    Lui, et pas les autres.

    Et, donc, de ce point de vue, lui qui ne fut pas le pire dans son comportement personnel, fut bien le pire dans son action, et dans ses résultats.

    C'est probablement lui, le vrai tombeur de la monarchie...

    Au fond, le seul, le vrai révolutionnaire...

    En effet, malgré tout, même malgré Varennes, Louis XVI restait "le roi". Encore aimé par beaucoup, encore craint par d'autres, encore respecté par la plupart : la Révolution n'était décidément pas possible tant qu'il était là. Alors, dans le cerveau de Brissot, peut-être le plus brillant de cette Assemblée, qui n'en manquait pas - en tout cas chez les Girondins... -  naquit l'idée "géniale", celle qui allait permettre de tout renverser, et aux Girondins, enfin, de prendre le pouvoir et d'organiser le monde, selon les principes de la Raison.

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    Il faut se souvenir que le renversement des alliances, chef d'oeuvre d'intelligence politique de la part d'une royauté française qu'on appellerait volontiers progressiste, si le mot n'était pas connoté (voir l'Éphéméride du 16 mai); il faut se souvenir, donc, que ce renversement des alliances ne fut pas vraiment compris, et encore moins partagé, par une bonne partie de l'opinion, et par ce qu'il faut bien appeler, malgré leur aveuglement et leur erreur sur le sujet, une bonne partie des élites. Louis XV, puis Louis XVI restèrent, sinon seuls, du moins incompris d'une grande part du public qui, raisonnant au passé prolongé, continuait par habitude, par facilité, par routine, bref, par conservatisme, de voir en l'Autriche et en la personne des Habsbourgs l'ennemi qu'elle et ils avaient effectivement été, pendant deux siècles. 

    La France étant sortie victorieuse de cette lutte si longue, il fallait maintenant s'allier à l'adversaire vaincu d'hier, contre la puissance montante, représentant le nouveau danger : la Prusse. Mais, cette politique intelligente et visionnaire de la Cour de France, Louis XV et Louis XVI ne réussirent pas à l'expliquer suffisamment, et en tout cas à la faire partager.

    Brissot eut alors "l'idée" lumineuse, et, de tous les révolutionnaires, empêtrés dans leurs discours grandiloquents, creux et souvent ridicules, il fut le seul à l'avoir. Et c'est en cela qu'il peut être regardé, probablement, comme nous l'avons dit plus haut, comme le vrai et le seul père de la Révolution en tant que destructrice de la Royauté.  Son idée, lumineuse pour lui, qui ne rêvait que d'abattre la royauté, était criminelle pour la France, mais il ne s'en rendit pas compte, malgré sa grande intelligence, aveuglé qu'il était par ses talents multiples, et persuadé qu'il était par ses capacités évidentes, qu'il était l'homme de la situation.

     

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    "Signé Louis; et plus bas, Roland", c'est-à-dire le Ministre de l'Intérieur du gouvernement girondin d'alors, celui chez qui sa femme - la belle Madame Roland - avait permis au "parti girondin" de se constituer.

    Le piège diabolique s'est refermé sur Louis XVI, contraint de signer une déclaration de guerre que tout lui commande de refuser : les Girondins ont bien "trahi" la Patrie, leur stratagème a réussi, la Révolution est en marche, et plus rien ne l'arrêtera.

    Ils ont juste oublié que la révolution mange toujours les révolutionnaires, et qu'ils seront les premiers à être mangés, après la chute de la Royauté - leur oeuvre - et l'assassinat du Roi...

     

     

    Elle était simple, cette idée, si simple qu'on s'étonne que les autres grands ténors ne l'aient pas eu avant lui, ou en même temps que lui : ni Danton, ni Marat, ni Robespierre, ni personne....; cette idée consistait à mettre en opposition frontale l'action du roi et les sentiments profonds du peuple. Comment ? En déclarant la guerre à l'Autriche, tout simplement. Cette guerre serait forcément populaire dans l'opinion, conservatrice, mais serait forcément combattue par le Roi, qui en verrait toute l'absurdité, et son côté diamétralement opposé aux intérêts profonds du peuple français. Faire s'opposer frontalement le Roi et le Peuple, c'était pouvoir accuser le Roi de trahison et, là, rompre "le charme séculaire". C'était machiavélique, c'était diabolique, mais c'était bien vu : et c'est en effet ce qui se passa....

    L'intérêt national, le Bien commun, étaient des notions étrangères à Brissot. Puissamment brillant, il n'imaginait pas une seconde que les choses pourraient lui échapper, et il ne poursuivait qu'un but : éliminer la Royauté, qui, par sa seule présence, l'empêchait, lui et les Girondins, de prendre, enfin, le pouvoir, et d'organiser, enfin, le monde comme leur brillantissime intelligence l'imaginait.

    Brissot voulut donc la guerre, il la fit, et il avoua même que sa seule crainte était que le Roi ne "trahisse" pas, c'est-à-dire ne s'y oppose pas. Et c'est ainsi que, pris dans ce piège machiavélique, Louis XVI, qui ne pouvait que s'opposer de toutes ses forces à cette folie, put être présenté comme un traître à ceux qui étaient tout disposés à se laisser berner. À partir de là, Louis XVI ne pouvait qu'être emporté, et Brissot savourer "son" triomphe...

     

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    Une guerre stupide, contraire aux intérêts les plus élémentaires et les plus évidents de la Nation française; une guerre qui durera vingt-trois ans; qui fera mourir un millions et demi de français, jeunes pour la plupart; qui amènera par deux fois l'étranger dans Paris et l'invasion du territoire; et qui laissera la France plus petite après la Révolution qu'avant.

    C'est Brissot qui l'a pensé; c'est Brissot qui l'a voulu, c'et Brissot qui l'a fait.

    Et c'est cette guerre qui a été le "levier" machiavélique ayant permis de faire tomber le Royauté.

     

     

    Mais, son triomphe, Brissot ne le savoura pas longtemps. Malgré toute son intelligence, il n'avait sans doute pas assez médité la fable de l'apprenti sorcier.

    Le mouvement qu'il déclencha le dépassa bien vite, au profit des révolutionnaires vrais, les Robespierre, Marat, Danton et autres. Et, lorsqu'il s'en rendit compte, on vit Brissot - faut-il en rire ou en pleurer ? - tâcher de sauver ce Roi qu'il avait volontairement perdu, pour prendre sa place, lorsqu'il se rendit compte, mais trop tard, que ce ne serait pas lui qui prendrait sa place : il suivit d'à peine plus de neuf mois sur l'échafaud ce bon Roi qu'il y avait fait envoyer... 

     

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     Dans sa remarquable note Brissot la guerre, Bainville l'assassine une seconde fois, littérairement parlant, s'entend; mais, cette fois, c'est vraiment la bonne :

     

            Dans notre album Maîtres et témoins (II) : Jacques Bainville voir la photo "Brissot la guerre"

     

    Voir aussi notre PDF Les Girondins : intelligents, brillants, mais, surtout, "idiots utiles"...

     

  • Au cinéma : Club zéro, par Guilhem de Tarlé

    Club Zéro", la savoureuse et tragique chronique d'un endoctrinement pour la  cause écologique

     

    A l’affiche : Club Zéro, un film autrichien de Jessica Hausner, avec Mia Wasikowska (le professeur Mlle Novak), et Elsa Zylberstein (mère d’une élève).

    « Pour votre santé, mangez au moins cinq fruits et légumes par jour (…) évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé »… ça commence comme ça, de façon anodine…
    Sur le fondement de l’article L 2133-1 du code de la Santé publique et d’une loi du 9 août 2004, un gouvernement s’invite dans votre cuisine ou votre salle à manger et contrôle ce qu’il y a dans votre assiette. Des activistes végétariens, devenus « végans », font de l’agit-prop pour vous interdire de consommer de la viande rouge, au profit d’une « viande » à base de soja ou encore d’insectes…
    Pour « sauver la planète », des écolos imposent à votre table de nouvelles Tables de la Loi, alimentaires.
    Cerise sur le gâteau… dans ce long-métrage la secte supprime non seulement la cerise, mais le gâteau lui-même. Il s’agit de vous forcer à une « alimentation consciente » qui conduit progressivement à ne plus rien absorber : « manger tue » et l’on connaitra la vie éternelle en cessant complètement de se nourrir.

    Dans nos sociétés occidentales qui ont chassé Dieu et, sous prétexte de laïcité, enferment la Foi dans la « sphère du privé », on « réinvente » une religion, celle du mangerbouger ( .fr) : un site internet gouvernemental en constitue le Temple, et le clergé prêche dans les médias, les publicités et les écoles où les professeurs substituent aux enseignements traditionnels, après le cours d’éducation sexuelle, celui de la « science nutritive ».
    Comme les manuels sont « gratuits » ils restent en classe, et les parents d’élèves ne savent même plus ce qu’on ingurgite à leurs enfants, de quoi on leur bourre le crâne..

    Ce film est- il vraiment une fiction ? Jessica Hausner n’est-elle pas un « lanceur d’alerte » ?

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  • Éphéméride du 31 octobre

    1793, la République naît au rythme de la guillotine et de la guerre

     

     

     

     

     

    Vers 290 : Martyre de Saint Quentin  

     

    Le 31 octobre est la date traditionnellement admise pour le martyre de Quentin - apôtre originaire de Rome - qui eut lieu sous le règne des empereurs Dioclétien et Maximien.

    Quentin s'était rendu dans le nord de la Gaule, durant la seconde moitié du IIIème siècle, pour l’évangéliser, en compagnie de Lucien, futur martyr de Beauvais.

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    Manuscrit du XIVe siècle, Le martyre de Saint Quentin 

     

    Est-ce de « la petite histoire » ? Bien involontairement, et très indirectement, saint Quentin se trouve être à l'origine... de l'Escorial, le Palais-monastère des Rois d'Espagne, bâti après le désastre militaire subi par les Français, face aux troupes de Philippe II, roi d'Espagne, aux alentours de la ville de Saint Quentin : voir l'Éphéméride du 10 août...

     

    • https://sanctoral.com/fr/saints/saint_quentin.html

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Culture et Civilisation au programme, pour commencer notre Revue de Presse, cette semaine (et pour changer un peu...).

    Juste avant l'ouverture de la Cité internationale de la langue française, prenez les 2'19 nécessaires pour admirer Versailles "vu d'en haut", et méditer (pour Versailles comme pour Villers-Cotterêts), sur cette authentique politique de civilisation qu'ont mené les quarante rois qui, en, mille ans, firent la France :

    "On nous dit que nos Rois dépensaient sans compter;

    Qu'ils prenaient notre argent sans prendre nos conseils;

    Mais, quand ils construisaient de semblables merveilles, 

    Ne nous mettaient-ils pas notre argent de côté ?"

    (Sacha Guitry)

     

     

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  • Grandes "Une" de L'Action française : du 4 au 11 septembre 1934, la croisière du Campana...(4/11)

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

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    • Dans le numéro du Lundi 23 Juillet 34 (page deux)... :

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    Voici la "Une" du Vendredi 14 Septembre,  dans laquelle la Croisière du Campana occupe les deux colonnes centrales, avec une belle photo du Comte de Paris, entouré de quelques Camelots :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k765726c

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  • Éphéméride du 30 octobre

    1997 : Succès du tir 502 d'Ariane V, à Kourou

     

     

     

     

     

    1757 : Naissance de Jean Cottereau, dit Jean Chouan  

     

    De Michel Mourre :

    30 octobre,ariane,chouan,jean cottereau,chenier,jean rostand,valéry,faizant,bainville"Chef royaliste français. Ancien faux-saunier, il avait reçu le surnom de Jean Chouan parce que, la nuit, il imitait le cri du chat-huant pour avertir ses hommes de l'approche des agents de la gabelle.

    Reconnaissant à Louis XVI de lui avoir accordé une grâce, il proclama ouvertement sa fidélité au roi, peu après le 10 août 1792, alors que les fonctionnaires du gouvernement révolutionnaire tentaient de procéder à un enrôlement militaire, à Saint-Ouen-des-Toits, près de Laval.

    L'année suivante, il fut, avec ses frères Pierre, François et René, l'un des premiers chefs du soulèvement populaire qui prit le nom de chouannerie. Il fit sa jonction avec l'armée vendéenne et fut tué au combat, ainsi que son frère François; l'aîné, Pierre, fut fait prisonnier par les Bleus et fut guillotiné à Laval en 1794.

    Seul René, le cadet, surnommé Faraud, survécut à la période révolutionnaire. Il mourut en 1846."  

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpgElle raconte, à partir de ce qu'explique Jacques Bainville - lumineusement comme toujours... - comment la Révolution a été rendue possible : c'est par la trahison des intérêts supérieurs de la Nation française que les Girondins - esprits brillants mais surtout apprentis sorciers, persuadés que l'heure des Rois était passée et que la leur était arrivée - ont forcé le Roi à déclarer une guerre suicidaire à l'Autriche.

    L'opinion publique détestait l'Autriche, à laquelle nous nous étions opposés pendant plus de deux siècles depuis la Renaissance, et n'avait pas compris que la France ayant gagné cette guerre de plus de deux siècle, il fallait "renverser les alliances" et s'allier avec notre vaincu - l'Autriche - contre le nouveau danger qui pointait à l'horizon : la Prusse.

    Les Girondins, à la suite des Encyclopédistes, étaient "prussophiles", et ont abouti à déclencher une Révolution qui, d'une part, les mangera, d'autre part détruira l'oeuvre bienfaisante des Rois et des Traités de Westphalie, aboutissant à l'unité de l'Allemagne que les Rois avaient divisée : c'est de la trahison pure et simple, de l'intelligence avec l'ennemi.

    C'est... la Révolution et la République idéologique qui en est issue, le Système qui nous déclasse aujourd'hui...!

     

    lafautearousseau

  • Hommage aux morts de l’Action française...

    Peut être une image de 4 personnes et texte qui dit ’1ER NOV EMBRE 9H30 CIMETIÈRE DE VAUGIRARD 320 RUE LECOURBE 75015 PARIS HOMMAGE AUX MORTS DE L'ACTION FRANÇAISE TENUE CORRECTE EXIGÉE’

    ⚫ Hommage aux morts de l'Action française
     
    La section parisienne d'Action française vous donne rendez-vous le mercredi 1er novembre à 9h30 au Cimetière de Vaugirard pour rendre hommage aux anciens chefs et militants de la cause royaliste.
    Quand l'esprit se souvient, la flamme se maintient.
  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    LA CAMARGUE MENACÉE PAR LA FOLIE ÉOLIENNE !

    En images, les trois éoliennes de Provence Grand Large prêtes à turbiner au large de Fos...

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    Sauvegarde Paysages d'Iroise communique : 
     
    "Un projet éolien offshore (ndlr : parlons français : "en mer" !) situé en pleine zone Natura 2000, face à la Camargue, dont on rappelle qu'il avait reçu un avis défavorable du CNPN en raison de son fort impact sur la biodiversité... Ces éoliennes sont donc plutôt prêtes à faucher en plein vol."
     

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : appelez-le, comme il l'a voulu, Léonard Tsuguhanu Foujita...

    1959 : Baptême de Foujita

     

    Peintre, décorateur, graveur, dessinateur... cet amoureux fou de Paris et de la France, de sa Culture, de sa Civilisation, posa ses valises à Montparnasse, en 1913, pour ne plus jamais repartir (sauf pour aller se faire soigner, en vain, d'un cancer, à Zurich, où il mourut) :

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    https://francearchives.fr/fr/commemo/recueil-2018/82611691

     

    Naturalisé dès 1917, converti au catholicisme, c'est le 29 octobre 1959 qu'il reçut le baptême qu'il avait demandé, devenant alors Léonard Tsuguhanu Foujita. Il fit savoir haut et fort qu'il se convertissait, et expliqua son choix du prénom par son admiration pour le père de la Joconde...

    Il demanda à être enterré dans la très belle église de Notre-Dame-de-la-Paix (ci-dessous), à Reims, qu'il avait lui-même décorée : en choisissant Reims, la ville des Sacres, pour son repos, et en embrassant la religion traditionnelle du peuple français, Foujita montra bien comment il avait fait sienne cette Culture et cette Civilisation qu'il avait tant aimée et admirée, au point de vouloir s'y incorporer...

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  • Au cinéma : Une année difficile, par Guilhem de Tarlé

    Une année difficile - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Une Année difficile, un film français d’Éric Toledano et Olivier Nakache, avec Pio Marmaï (Albert, alias Poussin), Jonathan Cohen (Bruno, alias Lexo), Noémie Merlant (Cactus), Mathieu Amalric (Henri) et Grégoire Leprince-Ringuet (Quinoa).

    Une Année difficile … C'est l'histoire de deux individus surendettés qui intègrent par hasard un groupe écolo, davantage pour en tirer du profit que pour "sauver la planète", davantage pour « boire des coups (que pour) parler de justice sociale ».
    C'est aussi l'histoire de ce groupe qui veut « pousser un cri d’alarme » et (vieux relent de chrétienté) dénoncer la surconsommation (c’est la vertu cardinale de la tempérance) - Non au "Black friday" -.

    De même que Club Zéro enseigne "l'alimentation consciente" qui consiste à cesser progressivement de s'alimenter, ces écolos invitent quasiment à « se détacher des biens de ce monde », en tout cas se séparer des objets "inutiles" qui nous environnent. C’est l’« opération Désencombrement » qui répond à la même problématique que pose Henri contre le surendettement : « En ai-je besoin ? En ai-je vraiment besoin ? En ai-je vraiment besoin maintenant ? ».
    On peut, dans l’appartement de Cactus, la comparer à Mlle Novak, et je m'étonne des sorties simultanées de ces deux long-métrages que, sans en rien savoir, nous avons vus l'un après l'autre.

    Une fois n'est pas coutume, il ne s'agit pas d'un film militant, et c’est tant mieux ! on se réjouit, bien au contraire, de voir les réalisateurs se moquer manifestement de ces agitateurs.
    Une fois, encore, n'est pas coutume… aussi je vous suggère, en ce début d'année difficile, d’aller vous changer les idées au spectacle de cette farce burlesque. On en a "besoin maintenant », comme un Noël chez Cactus : "c’est fort (…) et c'est pas cher".

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  • Éphéméride du 29 octobre

    1825 : À Lyon, la Place Bellecour retrouve sa statue équestre de Louis XIV 

     

    Le 21 mai 1713, Louis XIV, séduit par le site de la Place Bellecour, décide d'y faire édifier sa statue équestre, la place s'appelant alors Place Royale ou Place Louis-le-Grand : la statue doit s'élever au centre d’un rectangle délimité sur trois côtés par des arbres. Robert de Cotte, l'architecte royal, précise que la statue sur le piédestal regarde au nord, passage le plus fréquenté par la communication des deux ponts du Rhône et de la Saône, pour être vue de face.

    La première statue, sculptée par Martin Desjardin, érigée en 1713, fut détruite et fondue pendant la Révolution en 1793. Il fut décidé, sous la Restauration, de la remplacer : l'actuelle statue, couramment appelée "Le Cheval de Bronze", représentant Louis XIV en Empereur romain, fut construite par le sculpteur François-Frédéric Lemot; fondue à Paris, elle fut transportée à Lyon en 12 jours, tirée par 24 chevaux et mise en place le 29 octobre 1825. Elle mesure 5,70 m de haut et pèse 15 tonnes.

    Les statues du Rhône et de la Saône réalisées en 1714 par les frères lyonnais Guillaume et Nicolas Coustou - cachées pendant la Révolution à l'Hôtel de Ville - furent replacées en 1826.

    Le piédestal dessiné par Jules Hardouin-Mansard, orné d'appliques de bronze de Chabry fut rebâti. 

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    La Place Bellecour ou Place Louis-le-Grand est la plus grande place de Lyon (62.000 m2) et la troisième plus grande place de France, après la place des Quinconces à Bordeaux (126.000 m2) et la place de la Concorde à Paris (86.400 m2). Elle est souvent présentée comme rectangulaire mais c'est une place trapézoïdale avec une taille de 300 mètres par 220/190 mètre.

    Elle est plus grande que le Zócalo de Mexico (230×192 m) et que la place Rouge de Moscou (330×70 m).

    C'est également la plus grande place piétonne d'Europe, les places précédemment citées pouvant accueillir des véhicules, au contraire de la place Bellecour. 

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Après, on se demande pourquoi le "cinéma français" est malade, pourquoi il va si mal...

     La région IDF présidée par Valérie Pécresse a accordé 240.000 euros au "film"(?)-navet dont Gilbert Collard note qu'il a été "réalisé par le richissime héritier de la marque Bonpoint", et "qui raconte l'histoire d'une bourgeoise accueillant un migrant afghan : ça rend malade de voir à quoi servent nos impitoyables impôts !"

    À cette bourgeoise-là, et à ses semblables, rappelons (ou apprenons) que Fabienne, 68 ans, a été découverte égorgée, chez elle, gisant dans une mare de sang à Lille; massacrée par un migrant, elle a reçu 36 coups de couteau, dont 7 dans les parties génitales...

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    Alors faire des films parlant d'une bobote qui se prend (et s'éprend !) d'affection pour un migrant, cela explique surtout l'état de mort cérébrale de "ce" cinéma-là, qui n'est pas le cinéma français, le vrai, celui de Pagnol et de Funès, celui des "Tontons flingueurs" ou de "Rabbi Jacob", qu'on a pu revoir dimanche dernier, se délectant du jeu réellement extra-ordinaire de notre grand ami Louis de Funès, qui est aussi, d'une certaine façon, le meilleur ami des Français puisque les professionnels estiment à 323 millions le nombre de personnes ayant vu des "de Funès" !...

    Un Louis de Funès de Galarza qui, rappelons-le au passage, était un royaliste fidèle, ne manquant jamais, le 21 Janvier, la Messe aux intentions de Louis XVI...

    On est loin des cingleries de foldingues d'aujourd'hui, qui, pour un peu, risqueraient de tuer notre grand cinéma français !

    Louis de Funès, raconté par Bertrand Dicale...

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  • À la découverte du fonds lafautearousseau (64) : 1870 : Incendie du Château de Saint Cloud...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

     

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui :   1870 : Incendie du Château de Saint Cloud...

    (tiré de notre Éphéméride du 13 Octobre)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

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