Éphéméride du 25 novembre

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1929 : Mort de Clemenceau... qui nous a donné Hitler !
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Grandes "Une" de L'Action française : Mort de Clemenceau, le "Perd la Victoire"...
Grandes "Une" de L'Action française : 29 juin 1919, signature du calamiteux Traité de Versailles...
Comme l'expliquait, en vain, Bainville dans L'Action française, à partir du moment où on signait "avec l'Allemagne", la Victoire était perdue, et c'était la guerre "pour dans vingt ans"... Il ne fallait pas "signer avec", il fallait faire disparaître l'Allemagne unie...
Clemenceau ? Responsable et coupable ! Car c'est bien lui qui a mené, piloté - pourrait-on dire - et signé le désastreux Traité de Versailles, pour finalement reconnaître reconnaître plus tard - mais trop tard - : "nous n'avons pas obtenu tout ce que nous pouvions et devions obtenir...".
Mais, pourquoi donc ? La France était victorieuse, et Clemenceau par anti catholicisme bête et borné a bien démoli l'Empire austro-hongrois, par pure haine idéologique du catholicisme. Or, cet Empire nous aurait bien servi, justement, "après", pour contrer Hitler. Ce n'était pas l'Empire austo-hongrois qu'il fallait démolir et démembrer, mais bien l'Allemagne.
Seulement, voilà : contrairement à ce que l'on peut croire, Clemenceau était croyant et religieux, mais croyant et religieux de la religion démocratique, laïque et révolutionnaire. Il a fait ce qu'il a voulu avec l'Autriche-Hongrie (destruction) mais il n'a pas touché à l'Allemagne, persuadé qu'il suffisait de renverser un Roi (en l'occurrence, un Empereur) et d'installer Sainte Démocratie à sa place pour que l'Allemagne devienne une Nation civilisée, guide - avec nous... - des autres nations du monde.
Il était pénétré du préjugé prussophile des Encyclopédistes, pères de la Révolution, de cette même Révolution, des Républiques et des deux Empires, qui ont tous oeuvré en faveur de la désastreuse unification allemande, en contradiction frontale avec la politique traditionnelle des Rois de France, qui triompha dans les Traités de Westphalie : l'émiettement de l'Allemagne.
Ce faisant, tous, des Encyclopédistes à Clemenceau - chef et maître du Système en 1918 - ont agi en intelligence avec l'ennemi.
Maurras avait raison avec son jeu de mots : Clemenceau c'est bien le "Perd la Victoire". Il ne voulait pas le démembrement de l'Allemagne, que la France pouvait facilement imposer (comme elle a imposé le stupide démembrement de l'Autriche-Hongrie).
Ce faisant, il nous a donné Hitler et toutes les horreurs qui allèrent avec...
A l’affiche : Gladiator II, un film du réalisateur britannique Ridley Scott, avec Paul Mescal (Lucius), Connie Nielsen (Lucilla, fille de Marc Aurèle, et sœur de Commode), Fred Hechinger et Joseph Quinn (les empereurs Caracalla et Geta).
Histoire et fiction.
24 ans après Gladiator, Ridley Scott revient dans l’arène, et précisément au Colisée, un amphithéâtre achevé vers l’an 80, qui fut le plus imposant édifice de l’époque romaine, contenant près de 90 000 spectateurs.
Le premier Gladiator se déroulait à la fin du 2ème siècle, quand l’empereur Commode succéda à son père, le philosophe Marc Aurèle, et, dans le scénario, massacra la famille d’un général Maximus. Le film raconte comment celui-ci devint gladiateur et prépara sa vengeance.
De même que Gladiator II sort en salle 24 ans après le premier, l’histoire qu’il raconte se déroule quelque vingt ans après l’assassinat de Commode (192), sous le règne des deux fils de l’empereur Septime Sévère, Caracalla et Geta.
Lucius est, lui aussi, un personnage historique que l’on a vu, enfant, dans le premier épisode, fils de Lucilla et, pour l’intrigue, de Maximus. Afin de le protéger de Commode, Lucius avait été exilé par sa mère, et Gladiator II le retrouve en Numidie (l’Algérie d’avant les Vandales) où les armées de Rome se heurtent aux révoltes berbères.
C’est ainsi qu’après Maximus, Lucius, aussi, devient gladiateur et veut se venger…
On ne peut évidemment pas dire que le Gladiator II soit un « remake » du premier, mais le fil conducteur est bien le même avec de nombreux clins d’œil, jusqu’à des répliques identiques.
« Force et Honneur » est le mot d’ordre de ces gladiateurs qui affrontent des empereurs violents et corrompus… On se prend à rêver.
Profitons de ces péplums pour affirmer, malgré ses erreurs et ses fautes, l’œuvre civilisatrice de la colonisation… La Gaule serait-elle devenue la France sans la colonisation romaine ?
1923 : Assassinat de Philippe Daudet
1248 : Effondrement du Mont Granier
Le Granier, sommet des Alpes françaises, limite au nord-est le massif de la Chartreuse. Il domine la vallée du Grésivaudan et la combe de Savoie de sa face est, et la cluse de Chambéry avec sa majestueuse face nord.
Cette falaise de près de 900 mètres de haut apparut dans la nuit du 24 au 25 novembre 1248, suite à un gigantesque éboulement faisant disparaître une partie de la montagne.
Il s'agit peut-être, là, du plus grand éboulement connu de l'histoire de l'Europe : on estime à environ 5.000 le nombre de ses victimes.
Montagne calcaire, le Granier possède un réseau de grottes et de galeries creusées par l'eau (341 gouffres de 10 à 560 mètres de profondeur, 66 km de galeries...); il est également entaillé par de nombreuses failles; ces réseaux constituent le point de faiblesse de la montagne, celui qui, combiné avec des pluies abondantes, a provoqué la catastrophe de 1248 : un volume d'éboulis estimé à 500 millions de m³, et une accumulation sur certaines zones de plus de 40 mètres d'éboulis, la catastrophe provoquant, on l'a dit, la mort d'environ 5.000 personnes...
Cinq paroisses ont été entièrement détruites par ensevelissement : Cognin, Vourey, Saint-André, Granier et Saint-Pérange (ou Saint-Péran); et deux ont été partiellement détruites : Myans et Les Murs (ou Les Marches)...
Le Mont Granier et son vertigineux à-pic, état actuel
Novembre Résistance, par un double "NON" !
• Non au remplacement de la façon de vivre française par une pseudo et "anti" fête début novembre ("à l'eau, ouine !), puis par un matraquage mercantile poussant à la sur-consommation souvent inutile, source de gaspillage anti-écologique et souvent prétexte à des arnaques en tous genres fin novembre...
• Non à l'imposition de la sous-culture en plastoc des états-désunis, et à l'anglo-ricanisation forcée par les intérêts strictement matériels du "fric", "la Fortune anonyme et vagabonde" dont parlait l'Action française...
• Non à la dé-francisation, si bien menée par ce Système, cette République idéologique qui s'est construite sans nos Racines historiques, culturelles et chrétiennes, en dehors d'elles et contre elles...
NON À CES DEUX IMPORTATIONS FORCÊES !
1900 : Première exposition des Nymphéas de Monet
1654 : Le Mémorial de Pascal
Ce jour-là, entre dix heures et demi et minuit et demi, Pascal a une intense vision religieuse qu’il écrit immédiatement pour lui-même en une note brève, appelé le Mémorial.
Il coud soigneusement ce document dans son manteau et le transfère toujours quand il change de vêtement.
Un serviteur le découvrira par hasard après sa mort.
24 novembre 1923 : Assassinat de Philippe Daudet...
lafautearousseau
La France est ruinée :
3.200 milliards de dette; des prévisions dramatiques de fermeture d'entreprises qui sont confirmées chaque jour; et le semble-gouvernement ne fait qu'une chose : imaginer de nouvelles taxes et impôts sur tout, sur tous et sur n'importe quoi, sur tout ce qui bouge...
Cerise sur le gâteau : il gaspille des milliards par an dans les soi-disant énergies renouvelables, alors que nous avons le nucléaire !
En résumé, le Système, la République idéologique ne sait pas gérer la France, mais au contraire la ruine, la coule : l'important, la seule chose à faire, c'est de renvoyer ce Système mortifère !
Parce qu'il est fou, parce qu'il ne sait pas "bien gérer", parce qu'il ne sait que faillir et faire mal, puis nous faire payer, - par des augmentations constantes de la pression fiscale, devenue intolérable - ses incompétences, ses erreurs, se folies, sa nullité...
Dernier exemple de cette "gestion" (?) cataclysmique et démente des affaires par le Système, l'intervention d'Éric Michoux, sur LCP :
1697 : Mort de Libéral Bruant
Professeur de Jules Hardouin-Mansart, il est l'auteur de la Chapelle Saint Louis de l'Hôpital de la Salpétrière, de la Basilique Notre-Dame des Victoires et de l'Hôtel Libéral Bruant, dans le Marais.
Son oeuvre majeure reste, évidemment, l'Hôtel des Invalides, dont la Chapelle et son Dôme seront élevés par son élève, Jules Hardouin-Mansart.
La façade Nord de cet édifice (196 mètres de long pour 22 de haut) porte, en son centre, un impressionnant Arc triomphal, qui donne accès à la Cour royale : cet Arc triomphal, imaginé par Libéral Bruant, reste un exemple unique dans toute l'histoire de l'Architecture française.
On y voit la statue équestre du Roi soleil, en empereur romain - réalisée par Guillaume Coustou - portant sur son socle l'inscription :
Ludovicus magnus militibus regali munificentia in perpetuum providens has aedes posuit. An MDCLXXV
Louis le Grand, par munificence royale pour ses soldats et prévoyant pour la suite des temps a fondé cet édifice en 1765.
http://www.musee-armee.fr/lhotel-des-invalides.html
Georges Bernanos, toujours et peut être aujourd’hui plus qu’hier, reste d’une redoutable actualité pour qui comprend, voit et analyse notre quotidien qu’une pente semble diriger vers le néant d’un nouvel ordre mondial, celui des numéros et des robots. Bernanos est un « chevalier », de ceux qui ne renoncent jamais et qui égrènent de leur présence, notre histoire, à la fois révolté mais fidèle aux promesses du baptême de notre France. Avec ceux qui arrivent à décrypter les pensées d’Orwell, d’Huxley jusqu’à Tolkien, nous voyons avec Bernanos, une ligne d’avertissements dans la défense de cette dentelle du rempart civilisationnelle qui, comme une peau de chagrin, est menacée par un « prêt à penser » totalitaire. Il nous reste le panache pour reprendre le flambeau de la résistance, comme nos grands Anciens pour l’éternité intemporelle de nos libertés.
Notre jour viendra !
Pourquoi cette dame ne va-t-elle pas faire ses manifs au Proche-Orient ? Où personne - soit dit en passant - ne veut "récupérer" les Palestiniens ni, non plus, continuer à aider Gaza financièrement...
Pourquoi nous casse-t-elle la tête, ici, à agiter son keffieh et à hurler dans un mégaphone ?
Comme dit Goldnadel, cette dame ne "rima rien"...
2017 : Patrick Buisson déclare sur France Inter :
"En matière de Terrorisme d'État, la Terreur, c'est nous qui l'avons inventée..."
Ce mardi 21 novembre, Patrick Buisson est l'invité de France Inter, et il ne mâche pas ses mots : En matière de terrorisme d'État, la Terreur, c'est nous qui l'avons inventée...
Et il a, après son intervention, répondu en direct aux auditeurs de France Inter...
lafautearousseau reprend ses propos les jours suivants :