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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 57

  • Feuilleton : "Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu"... : Léon Daudet ! (244)

     

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     (retrouvez l'intégralité des textes et documents de ce sujet, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : L'Héritage de Daudet ? 1. L'honneur du "Non"...

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    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

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  • Feuilleton : "Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu"... : Léon Daudet ! (245)

     

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     (retrouvez l'intégralité des textes et documents de ce sujet, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : L'héritage de Daudet ? 2. La subversion du Régime, le seul combat qui vaille...

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    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

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  • Éphéméride du 28 février

    1533 : Naissance de Montaigne (ici, son château, à Montaigne)

     

     

     

    1105 : Mort de Raymond IV de Toulouse 

     

    Il est également appelé Raymond de Saint-Gilles, comte de Toulouse et de Tripoli (nom sous lequel il est, d'ailleurs, plus connu). 

    28 février,montaigne,la boétie,soljénitsyne,les lucs sur boulogne,historial de vendée,génocide,totalitarisme,convention,terreur,colonnes infernales,renan,pagnol

    Dominant toujours Tripoli du Liban, le Qalaat Sandjil, le Château Pèlerin de Raymond de Saint Gilles, comte de Toulouse...
     
     
     

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  • Solidarité Kosovo ! L’ÉGLISE DE GORAŽDEVAC BIENTÔT RÉNOVÉE...

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    Site officiel : Solidarité Kosovo

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Posté par Eugénie Bastié, sur tweeter :

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    C'est, en somme, comme le dit Le Figaro Vox :

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  • Au cinéma : La zone d'intérêt, par Guilhem de Tarlé

    La Zone d'intérêt - Le Gyptis
     

    Grand prix du jury au festival de Cannes 2023 : La Zone d’intérêt,  un film de Jonathan Glazer, avec  Christian Friedel et Sandra Hüller (le Commandant Rudolf Höss et son épouse Hedwig),
    adapté d’un roman éponyme du romancier britannique Martin Amis (2014).

    L'expression zone d'intérêt  désigne en Pologne la surface de 40 kilomètres carrés entourant le camp de concentration d'Auschwitz.

    S'il nous était donné à voir autant de films sur le Goulag et les 100 millions de morts du communisme que sur le génocide juif perpétré par les nazis, le Président "de tous les Français" n'aurait pas inventé un "Arc républicain" dans le quotidien du Parti communiste, L'humanité. Il n'aurait pas eu l'outrecuidance de déclarer au Panthéon, le 21 février : "Parce qu'ils sont communistes, ils ne connaissent rien d’autre que la fraternité humaine"  !

    La Zone d’intérêt... Je ne voyais pas d'intérêt à aller voir ce x millième film sur l'horreur nationale-socialiste (vous avez dit "socialiste" ?). C'est mon épouse qui m'y a entrainé, et peut-être aussi l'occasion d'y rencontrer des neveux (comme dans le film : la vie privée, la chaleur familiale face à l'enfer).
    Je n'ai pas, en tout cas, eu le même regard que mon épouse, attentive à l'indifférence d'Hedwig Hōss ; ma zone d'intérêt était davantage sur le bruit, parfois assourdissant, les écrans noirs, grisâtres ou rouges, et les hors-champ qui ont, selon moi, réduit Christian Friedel et Sandra Hüller à des rôles de figurants..

    La première partie, seulement, est particulièrement prenante (la deuxième dépasse ma compréhension) d’où affleurent la douceur et la joie de vivre, à côté du mur, comme elle le fut ensuite pendant 45 ans de ce côté-ci du Mur de la Honte.
    Les critiques évoquent « la banalisation du mal… de la violence ».

    Outre le fait qu’ils devraient dire du « crime »… Je pense que notre époque ne vaut pas mieux qui veut le rendre « irréversible » dans la constitution… Mais, là encore, c’est hors-champ.

    Finalement, mon épouse, et Bécaud, ont raison :

    « Ce qui détruit le monde, c’est l’indifférence ».

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  • Éphéméride du 27 Février

    27 fevrier,chartres,henri iv,reims,guyane

    Capture d'écran, film "Jésus de Nazareth", de Franco Zefirelli

     

    36 : Date possible du départ de Judée de Ponce Pilate, qui doit aller se justifier devant l'Empereur Tibère...

     

    Ponce Pilate ne le sait pas encore, mais, arrivé à Rome en 37 - Tibère étant mort entre-temps - le nouvel empereur, Caligula, va le nommer en Gaule, à Vienne, où il mourra; et le même Caligula va également exiler en Gaule - à Saint Bertrand de Comminges -  le roi Hérode Antipas, qui y mourra également.

    Ainsi, deux des trois puissants qui ont eu à juger Jésus de Nazareth viendront-ils finir leurs jours dans ce pays qui n'est pas encore la France, mais qui va le devenir peu à peu...

    Seul le Grand prêtre Joseph Caïphe restera à Jérusalem, pour y mourir. Encore son sort se trouve-t-il - d'une certaine manière - associé à celui des deux autres puisqu'il fut, lui aussi, déchu de sa fonction par le même légat de Syrie, Vitellius - nommé par l'empereur Tibère - qui contraignit Ponce Pilate à aller rendre compte de sa gestion, très critiquée, devant l'empereur, à Rome.

    Petit retour en arrière...

    Ponce Pilate avait été nommé Préfet de Judée par Tibère. Qui nomma également, par la suite, Lucius Vitellius Légat de Syrie.

    Vitellius, mécontent de Pilate et de Caïphe - le Grand Prêtre - destitua le second et obligea le premier à aller se justifier devant l'empereur Tibère, à Rome.

    À la même époque, mais de sa propre initiative, l'ambitieux roi Hérode partit aussi pour Rome, afin de se concilier les bonnes grâces de l'empereur; mais, on l'a vu, mal lui en prit.

    Cet Hérode Antipas est le fils du roi Hérode le Grand, celui qui reçut les Mages, cherchant le roi des Juifs, dont ils avaient vu se lever l'étoile. Il leur demanda de venir le voir, une fois qu'il l'auraient trouvé, afin qu'il puisse, lui aussi, aller l'adorer, mais eux - disent les Évangiles - avertis en songe, rentrèrent dans leurs pays par un autre chemin. Furieux, Hérode fit périr tous les nouveaux-nés : ce fut le massacre des innocents...

    Son fils, Hérode Antipas, avait une personnalité et des moeurs assez troublantes : il fit décapiter Jean le Baptiste, afin de complaire à sa nièce et  épouse, Hérodiade - qu'il avait enlevée à son demi-frère... -  mais aussi et surtout à Salomé, la fille qu'Hérodiade avait eue avant de l'épouser, et dont il était secrètement amoureux.

    Puis c'est à lui que le Sanhédrin et Caïphe envoyèrent Jésus,  pour le juger (photo ci-dessus).  

    Mais comme le vrai pouvoir appartenait aux Romains, et que ni le Sanhédrin ni le roi fantoche Hérode n'avaient le pouvoir de condamner Jésus, Hérode l'envoya à Pilate...

    Les deux acteurs/témoins non-chrétiens de l'Affaire Jésus restèrent à peine deux ans en Gaule : arrivés en 37, ils disparurent tous deux dans le courant de l'année 39 :

    Ponce Pilate à Vienne, où il serait tombé d'une falaise ("aidé à tomber", il aurait plutôt été poussé, selon de tenaces traditions orales...) : le mont Pilat perpétuerait son souvenir;

    et Hérode Antipas à Saint-Bertrand de Comminges (appelée alors Lugdunum Convenarum). 

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    Dion Cassius, Eusèbe de Césarée et Flavius Josèphe (dans ses Antiquités judaïques et dans La Guerre des Juifs) sont les principales sources traitant de ces événements lointains; s'ils se contredisent parfois, ou émettent des affirmations confuses ou incomplètes, le recoupement de leurs affirmations permet cependant d'arriver à une certitude d'ensemble : ainsi, par exemple, Flavius Joseph indique d'abord (dans les Antiquités judaïques) qu'Hérode fut exilé "à Lugdunum", et donc certains pensèrent qu'il fut exilé avec - ou "à côté de" - Ponce Pilate, dans l'actuelle ville de Lyon; mais, ensuite, dans La guerre des Juifs, le même Flavius Josèphe affirme que c'est "en Hispanie" que fut exilé Hérode : les frontières étant moins précises à l'époque qu'aujourd'hui, il ne peut donc plus s'agir que de Lugdunum convenarum, devenue Saint-Bertrand de Comminges, tout à côté de l'Espagne actuelle, et non pas de la "grande" Lugdunum, la Lyon d'aujourd'hui...

    Ainsi donc, parmi les autres nations chrétiennes, c'est un sens particulier que prend, en Gaule - puis en France - l'expression "racines chrétiennes" : car, on vient de le voir, dès les débuts de la religion chrétienne, la Gaule fut associée, si l'on peut dire, et quelle qu'en soit la façon - en l'occurrence, paradoxale, pour employer un terme philosophique - à la nouvelle religion, qui n'allait pas tarder à devenir celle du peuple presque tout entier, par l'évangélisation : avec Saint Irénée, qui avait connu Polycarpe, disciple de Saint-Jean l'évangéliste (voir l'Éphéméride du 28 juin), ce sont des représentants des tous premiers disciples - et non plus seulement deux des trois acteurs/témoins des débuts du christianisme - qui arrivent en Gaule : saint Irénée, arrivé en 157, rejoint Pothin, à Lyon, dont il devint le deuxième évêque, puisqu'il succéda à Pothin, victime (avec Blandine et ses compagnons) de la grande persécution de Marc-Aurèle en 177. 

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    Le mont Pilat est situé dans le département de la Loire, au sud-est de Saint-Étienne et au sud-ouest de Vienne et Givors :  simple accident, suicide, ou bien "aidé à tomber", c'est de ce mont Pilat que Ponce Pilate - qui lui a donné son nom - aurait "chuté" en 39, cette même année qui vit disparaître également son comparse/complice dans "l'affaire Jésus" : le roi Hérode Antipas...

    27 fevrier,chartres,henri iv,reims,guyanehttp://www.interbible.org/interBible/decouverte/archeologie/2007/arc_070316.htm 

     

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpg1794 : le massacre des Lucs sur Boulogne ! ou : quand "les Lumières" naufragent dans la Terreur...

    Patrick Buisson l'a bien dit : la terreur politique d'État, c'est nous qui l'avons inventée ("nous" étant entendu comme la République idéologique, le Régime, le Système...)

    Ce massacre préfigure tous les autres génocides de l'époque contemporaine : les nazis, à Oradour, procéderont exactement de la même manière, et Robespierre, Carnot, Turreau ont ouvert la boite de Pandore du Totalitarisme génocidaire : tous leurs enfants s'y engouffreront...

    C'est Gustave Thibon qui a raison : "La société devient un enfer dès qu'on veut en faire un paradis" (allusion directe à Saint Just et à son "le bonheur est une idée neuve en Europe" !...)

    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    De Philippe de Villiers :
     
    "Les ouvriers ont été liquidés avec #Maastricht, c'est maintenant au tour des paysans. Emmanuel #Macron a choisi la souveraineté européenne : le pouvoir n'est plus chez nous. Le souhait de Gabriel #Attal de restaurer la #souveraineté nationale agricole relève donc de l'imposture. Il n'y a plus de souveraineté alimentaire : les importations ukrainiennes, les négociations sur le #MERCOSUR, le "Green Deal" etc. sont maintenus..."
     
    (extrait vidéo 5'51)
     
     
    L'émission complète (44'11) :
     

     

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  • GRANDS TEXTES (50) : en langue provençale, cryptée, le brûlot politique anti-jacobin de Frédéric Mistral, "La Coumtesso", ici décrypté, "pour tous"..

    Lo gran Frédéric Mistral de Malhana qu'ei mòrt ! - Escòla Gaston Febus
     
    Quand il fait paraître "La Coumtesso", Mistral, né en 1830, a trente-six ans...
     

    On commencera par lire le texte complet, en provençal, mais accompagné de sa traduction en français :

    Texte complet La Coumtesso.pdf

     

    On le verra tout de suite : il s'agit d'un poème puissant, véritable allégorie contre l'idéologie et la centralisation jacobine, où le message politique se cache sous les symboles et sous un certain hermétisme (très en vogue à l'époque : le poème est daté par Mistral du "22 Août 1866").

    C'est probablement l'un des plus beaux, et en tout cas l'un des plus forts poèmes de Mistral. L'un de ceux qui a le plus de souffle.

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  • Éphéméride du 26 février

    1806 : Début de la construction de l'Arc de Triomphe de l'Étoile

     

     

     

     

    1725 : Naissance de Nicolas Cugnot 

     

    Il est le père du fardier, la première automobile.

     

    FARDIER 1.JPG En 1988, le lycée N.J. Cugnot a réalisé une copie du Fardier à l'échelle 1/2 avec la collaboration de l'Etablissement Régional du Matériel, le lycée Hanzelet et le lycée Loritz. 

     

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  • Communiqué de l’Action Française – Le prince des huées...

    You are currently viewing Communiqué de l’Action Française – Le prince des huées

    Emmanuel Macron a de nouveau été copieusement conspué à son arrivée au Salon de l’Agriculture. Ce nouvel épisode de huées est amplement justifié.

    Devant la mobilisation paysanne, le Salon de l’Agriculture a été envahi par les CRS et les gardes mobiles, une façon de souhaiter un bon accueil de la part de l’Élysée.

    Certains observateurs spécialistes du salon on fait ce constat :

    « Cette année, nous avons droit à un Salon de l’Agriculture remarquable. Dans les filières d’exception, du jamais vu, nous pouvons admirer un éventail de poulets qui nous rend fiers !

    Par croisements successifs, nous avons enfin des gallinacés bottés, casqués, pouvant porter visière et bouclier pour se protéger contre les intempéries et à même de résister au réchauffement climatique. »

    Les Gaulois réfractaires ont gardé le sens de l’humour, même si pour beaucoup d’agriculteurs les temps sont tragiques.

    Ce n’est pas le simulacre de débat que le président, qui est coutumier du fait, a ensuite tenu à huis clos avec quelques représentants des syndicats agricoles qui apaisera la colère des agriculteurs tant ce « seul en scène », qui mit fin au combat des gilets jaunes, fut un modèle de cuistrerie.

    Ce n’est pas non plus le débat improvisé qui a suivi ou il a cru opportun d’employer un langage de charretier que le président fera illusion sur sa proximité avec le monde paysan : le respect et la qualité des propos tenus par les agriculteurs présents n’avaient d’égal que la vulgarité, l’arrogance et l’autosatisfaction dont il a fait preuve. Il ne suffit pas non plus de répéter à l’envie être « aux côtés des agriculteurs » pour effacer sept ans d’exercice du pouvoir pendant lesquels il a organisé avec Ursula von der Layen la détresse du monde paysan et poursuivi la déconstruction de l’agriculture française. Il ne suffit pas, enfin, de déambuler dans les allées du Salon de l’Agriculture, entouré de dizaines de gardes du corps, pour faire oublier qu’il est le promoteur assumé d’une politique européenne laquelle, fondée sur le principe de libre échange, ne permettra jamais la mise en place du protectionnisme minimum nécessaire que les agriculteurs appellent de leurs vœux et qui est le préalable à la résolution de la crise agricole.

    Emmanuel Macron a, une fois encore, usé du subterfuge du débat improvisé pour tenter d‘apaiser, voire d’endormir, les esprits par un enfumage en règle. Ce faisant, il risque fort d’ajouter la frustration à la colère des paysans qui lui ont signifié que le temps du discours était révolu. La sauvegarde de l’agriculture française réclame des actes qu’il est incapable de mettre en œuvre tant il a placé notre pays sous la suzeraineté de Bruxelles.

    Mais quand le pouvoir politique refuse de passer à l’acte, c’est bien souvent le peuple qui s’en charge… S’il veut éviter d’en arriver là, il doit d’abord rompre avec les règles européennes et le modèle mondialiste, quoi qu’il en coûte, et probablement en coûtera-t-il moins cher si le pays réel reprend le contrôle. Avec le scrutin qui vient, il faudra choisir : L’UE ou la France…

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Sur Challenge, le point - objectif et neutre - sur la dissuasion française et la folie/trahison des européistes, macronistes, traîtres et Compagnie qui poussent à la roue afin que NOTRE dissuasion nucléaire française tombe dans les mains du "machin" monstrueux qu'est "cette" U.E. ! 

    https://www.challenges.fr/monde/nucleaire-une-dissuasion-francaise-pour-l-europe_884220

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  • Au cinéma : Captives, par Guilhem de Tarlé

    Captives - film 2023 - AlloCiné
     

    A l’affiche : Captives,  un film français d’Arnaud des Pallières, avec Mélanie Thierry (Fanni),  Josiane Balasko (Bobotte, alias Marguerite Bottard, infirmière à la Salpêtrière, qui finit sa carrière comme directrice de service sous l’autorité du Professeur Charcot),  Marina Fois (La Douane), Carole Bouquet (Hersilie Rouy, pianiste), Yolande Moreau (Camomille) et Dominique Frot (Emilie).

    Captives… un docu-fiction fondé sur des faits réels à la Salpêtrière, à la fin du XIXème siècle, avec des personnages qui ont parfois véritablement existé (Bobotte ou Hersilie) tandis que d’autres ont été «recomposés» à partir de témoignages.

    L’Histoire de La Pitié-Salpêtrière remonte à Louis XIV qui décida de construire un hôpital à l’emplacement d’un bâtiment où l’on fabriquait de la poudre à canon, d’où le nom de Salpêtrière. Le mot hôpital ne doit pas nous tromper, il s’agit davantage d’un hospice ou d’un lieu d’enfermement et, si l’on y « traite » depuis toujours les pauvres et les malades, ce n’est qu’au début du XXème siècle que l’Académie française utilise à son endroit le verbe « soigner ».

    J’apprends que dans les années 1890, on enfermait à la Salpêtrière les folles, les filles de mauvaise vie, ou les femmes « rejetées » par leurs familles ! Ainsi Hersilie Rouy aurait été victime d’une simple affaire d’héritage, ce qu’elle rapporte sans doute dans ses Mémoires d’une aliénée, que je n’ai pas lus.
    C’est, en tout cas, ce pan d’histoire, cet univers et ces « pensionnaires » que nous raconte le réalisateur, autour d’un scénario, quant à lui peu crédible ou mal ficelé, déjà écrit lors de la parution d’un livre, sur le même sujet, Le Bal des folles, de Victoria Mas (2019).

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  • Éphéméride du 25 février

    Cloître de l'Abbaye royale de Fontevraud

     

     

     

    1116 : Mort de Robert d'Arbrissel 

     

    Ermite et moine breton, né vers 1047 dans le village d'Arbrissel, Robert fonda d'abord l'Abbaye de la Roë, en 1096, qui devint rapidement le monastère le plus influent de la Mayenne, avant de connaître le déclin : détruite en bonne partie durant la Révolution, elle conserve encore de beaux bâtiments conventuels et son Logis de l'Abbé.

    Cette première fondation peut être regardée comme la sœur aînée de l'Abbaye royale de Fontevraud que Robert fonda en 1101 et qui eut, comme l'abbaye de la Roë, une histoire mouvementée (jusqu'à devenir une prison, réputée la plus dure de France !).

    Aliénor d'Aquitaine y est enterrée, ainsi que son fils Richard, Coeur de Lion : épousée d'abord par le roi de France Louis VII, sur les conseils du sage Suger, mais répudiée ensuite après la mort de celui-ci, elle se remaria immédiatement avec Henri Plantagenêt (lui aussi enterré à Fontevraud, véritable nécropole des Plantagenêts), lui apportant en dot ses possessions : tout le Sud-Ouest, presque le quart de la France actuelle ! Et Henri Plantagenêt devait, en plus, devenir deux ans plus tard roi d'Angleterre !

    L'abbaye de Fontevraud était l'abbaye de coeur d'Aliénor: c'est là qu'elle s'était retirée à la fin de sa vie agitée, et qu'elle mourut, deux ans après la chute de Château-Gaillard - construit en un an par son fils Richard... - et la reconquête de la Normandie par Philippe Auguste.

    Comme une sorte de réconciliation entre les familles, la petite-fille d'Aliénor, Blanche de Castille, devait peu après épouser, sur les instances d'Aliénor, le nouveau roi de France, Louis VIII, et devenir la mère de Louis IX. 

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    Vue aérienne de l'abbaye (ci-dessus) et (ci-dessous) l'extraordinaire cheminée romane de la cuisine, qui conserve cinq de ses huit absidioles primitives

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     http://lettrevolee.irht.cnrs.fr/robert.htm 

     

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