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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 57

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    "Je suis un peu étonné que des gens qui défendent un Parti communiste qui a collaboré avec les nazis me donnent des leçons de démocratie (...) et me traitent de facho" (Michel Onfray).

    Retour en images sur le Printemps de la liberté d'expression, où Naulleau et Onfray ont été pris à partis par des énergumènes, "faux antifas/vrais terroristes", au cri de "fachos", "nazis" et autres cingleries de foldingues dont l'extrême-gauche terroriste a le secret...

     

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  • Éphéméride du 9 mai

    1950 : Lancement du processus d'intégration européenne...

     

     

     

    1769 : Bataille de Ponte-Novu 

     

    9 mai,corse,pascal paoli,ponte novo,bonaparte,nungesser et coli,atlantique nord,ceca,robert schumannn,lindbergh,gribeauvalAinsi nommée car elle s'est déroulée près d'un pont qui franchit le fleuve du Golo, sur la route de Corte à Bastia (ci contre).

    Après cette bataille, le gouvernement de l'île est confié par Louis XV au comte Louis de Marbeuf.

    C'est l'aboutissement final du lent processus de rapprochement entre la France et la Corse, initié et symbolisé dès le XVIème siècle par Sampiero Corso, les deux entités luttant contre les mêmes adversaires, espagnols et génois (nous essayons d'expliquer ce rapprochement et cette vieille amitié entre la France et la Corse dans notre Éphéméride du 23 mai, au sujet de la naissance de Sampiero Corso...). 

    Des esprits à très courte vue politique continuent, après tant de temps, à véhiculer l'ineptie - de plus inutilement blessante pour les Corses... - selon laquelle Louis XV aurait "acheté" la Corse ! En réalité, les Anglais s'intéressaient de très près à l'Île : ils s'étaient déjà emparé de Gibraltar, sous Louis XIV, puis ils s'empareront de Malte (sous Napoléon) et enfin de Chypre... 

    Faire de même avec la Corse ne leur aurait pas déplu : Louis XV, roi de paix en Corse - comme il le fut en Lorraine - trouva un excellent stratagème pour éviter cela, et pour ôter aux Anglais tout prétexte de refuser la réunion de la province à la France, ou, pire, d'intervenir, purement et simplement.

    Dans les deux cas de la Corse et de la Lorraine, on ne peut que louer l'esprit d'habileté et d'intelligence, qui permit à un roi pacifique d'agrandir pacifiquement le royaume (comme ce fut d'ailleurs le cas avec d'autre rois pour d'autres provinces : si certaines furent - et parfois durement... - réunies par la guerre - Normandie, Alsace, Franche-Comté, Roussillon...- plusieurs autres, et non des moindres (Champagne, Provence ou... Corse !) furent "réunies" par des moyens pacifiques (mariages, héritages, diplomatie). 

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    Timbre commémoratif du deuxième centenaire du rattachement de la Corse à la France (voir l'Éphéméride du 15 mai)

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Alerte dans le Pacifique et l'Océan Indien : nos ennemis "veulent" la Nouvelle Calédonie et Mayotte : ils s'appellent Chine, Azerbaïdjan (mais oui ! les "nazéris" !), Comores, Russie... 

    La France n'a que deux solutions : où elle défend ses territoires, ou autant vaut les "larguer" tout de suite, ce que nous refusons absolument, évidemment !

    Quant aux populations de ces deux provinces ultra marines, qu'elles réfléchissent bien : la France, incontestablement, c'est très largement mieux que la Chine, ou les Comores ou la Russie... C'est en France - et avec la France - que l'herbe est la plus verte : l'imaginer plus verte ailleurs, avec des Chinois ou autres, cela ne ferait que promettre des lendemains qui déchanteraient fort...

    Allez demander aux Algériens qui manifestent un peu partout contre la présence chinoise, par exemple sur les quais du port d'Alger...

    "De Mayotte à la Nouvelle-Calédonie, les Outre-mer sont devenus la cible d’opérations d’ingérences ou de déstabilisation. La Russie, la Chine, l’Azerbaïdjan et les Comores sont parmi les plus actifs." (France info)

    https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-choix-franceinfo/azerbaidjan-russie-chine-enquete-sur-les-ingerences-etrangeres-dans-les-outre-mer-francais_6500336.html

    Banderole en soutien à Poutine et drapeau azéri lors de la manifestation contre la réforme du corps électoral en Nouvelle-Calédonie, le 28 mars 2024 (Capture d'écran X)

    Voilà pourquoi il nous faut :

    • deux porte avions, en remplacement du Charles de Gaulle, car l'un sera forcément "asservi" au Pacifique, ou alors la France n'a qu'à renoncer tout de suite à la Nouvelle Calédonie et à Mayotte, et les céder aux Chinois et aux Russes...

    • et un budget militaire à 4% du PIB (ce qui ne fera que nous ramener à notre niveau de 1960 (encore le vrai chiffre serait-il de 4,,5%...)

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : 1921, Premier Défilé de la Fête nationale de Jeanne d'Arc et du Patriotisme...

    1921 : Premier Défilé de la Fête nationale de Jeanne d'Arc et du Patriotisme...

     

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    Les tous premiers hommages à Jeanne d'Arc lui furent rendus par la toute jeune Action française et les tous jeunes Camelots du Roi à la suite des propos insultants et injurieux tenus par un obscur professeur d'Histoire, Amédée Thalamas, dès 1904 (donc, bien avant la création du quotidien L'Action française, le 21 mars 1908, et la création des Camelots du Roi, la même année).

    Déplacé d'un lycée à l'autre, puis nommé à la Sorbonne, Thalamas continua de proférer ses insanités et, du coup, le tout jeune journal et la toute jeune organisation décidèrent de s'opposer à ses propos que l'on qualifierait aujourd'hui de "négationnistes" et "révisionnistes" !

    On sentait bien la guerre arriver, ou, du moins, on la savait plus que possible, et ce n'était pas le moment de saper les fondements de la fierté française, du courage et du dévouement, bref de tout ce qu'incarnait la grande figure unique de Jeanne d'Arc, en un moment où les périls extérieurs s'accumulaient...

    Ce fut donc l'une des premières action d'éclat des Camelots du roi : s'opposer à ce cours anti national à la Sorbonne. Pendant trois mois, ces "cours" - qui étaient dispensés le mercredi - furent chahutés et/ou interrompus, de nombreuses manifestations eurent lieu dans le Quartier latin et, même, le Ministère de la Justice fut occupé !

    L'Action française mena donc, dans un premier temps, ses hommages à Jeanne d'Arc contre la République et dans un climat de tensions extrêmes : les Camelots du Roi totalisèrent un nombre de jours de prison cumulés atteignant les 10.000 !

    Ensuite vint l'effroyable boucherie de 14, pendant laquelle L'Action française fit passer la France avant ses convictions politiques et soutint l'Union sacrée, pour la Victoire. Au lendemain de celle-ci - que le Pays légal devait saboter et perdre lamentablement, rendant inutile le sacrifice d'un million et demi de jeunes français "couchés froids et sanglants sur leur terre mal défendue" (Maurras) - une Chambre patriote fut élue en 1919, Léon Daudet devenant Député de Paris : la Chambre bleu horizon (du nom de la couleur de l'uniforme militaire). Le Député de Paris, Maurice Barrès, fit voter, en juillet 1920, une loi décrétant que le deuxième dimanche de mai serait, dorénavant Fête nationale de Jeanne d'Arc et du Patriotisme... :

    Grandes "Une" de L'Action française : (1/2) Instauration de la Fête nationale de Jeanne d'Arc...

    et

    Grandes "Une" de L'Action française : (2/2) ...Et un exemple des Cortèges à Paris et en France, en 1933...

     

    Juste avant, en mai, l'Église avait canonisé Jeanne d'Arc, sous le pontificat de Benoît XV :

    Grandes "Une" de L'Action française : (2/2) Canonisation de Jeanne d'Arc...

    Et donc, l'année suivante, ce 8 mai 1921, pour la première fois, le Cortège de Jeanne d'Arc devint le beau symbole qu'il est aujourd'hui :

    Grandes "Une" de L'Action française : (1/2) 1921, le premier Cortège d'une "Jeanne" devenue Fête officielle...

  • Au cinéma : Pas de vagues, par Guilhem de Tarlé

    Pas de vagues - Film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Pas de vagues, un film français de Teddy Lussi-Modeste, avec François Civil  (Julien), d’après l’histoire vécue par le réalisateur quand il était professeur en collège.

    « Donc, si vous me croyez, mignonne,

    Tandis que votre âge fleuronne

    En sa plus verte nouveauté,

    Cueillez, cueillez votre jeunesse ».

     

    Ne me faites pas dire ce que je n’écris pas, mais permettez-moi de poser d’abord la question de l’enseignement de Ronsard, et de bien des choses, à des classes où siègent côte à côte des enfants qui deviennent des toutes jeunes filles, et des garçons qui approchent de l’adolescence. C’est certainement la première difficulté à laquelle s’est heurté Julien, aggravée par une mixité de culture, de mœurs et de religions. L’amour courtois ne relève-t-il pas de l’identité de la France ?

    Dans un contexte politiquement très correct le réalisateur nous  raconte le calvaire d’un enseignant face à une classe très majoritairement d’origine africaine - qui ne sait pas qu’il a un amant - sous la pression de trois collégiennes « de souche » dont l’une d’elles l’accuse de harcèlement.

    Le titre Pas de vagues montre suffisamment le déni que le réalisateur dénonce… mais, après tout, ces enseignants n’ont-ils pas leur part de responsabilité dans la situation qu’ils subissent, eux qui affirmaient que l’immigration était « une chance pour la France », et faisaient cours en arborant un badge « touche pas à mon pote » ?

    Malgré les réserves dommageables que j’évoquais ci-dessus, je ne peux que recommander cette réalisation qui nous plonge dans l’enfer concocté par une classe politique qui, plutôt que de l’écouter, à voué aux gémonies un véritable lanceur d’alerte dont la fille n’est qu’un pâle reflet.

    Après l’ « hirsutisme » de Rosalie, j’ai eu, en outre, le plaisir d’enrichir à nouveau mon vocabulaire mais, n’en déplaise au réalisateur,  je constate que l’ « astéisme » ne figure pas au Dictionnaire de l’Académie française.

    Ajoutons pour conclure que ce docufiction devrait être présenté et commenté aux apprentis enseignants car il pointe du doigt les fautes à ne pas commettre…

    Le professeur n’est pas le « copain » des enfants qu’il doit instruire ; il n’appuie pas une démonstration sur telle caractéristique de telle ou tel élève qui n’osera pas répliquer ; il ne privilégiera pas un groupe  – fussent-ils les meilleurs – dans une invitation privative qui n’émulera pas les autres mais au contraire créera une scission dans sa classe.

    Seule la notation des devoirs doit sélectionner les élèves. Je sais la ringardise de ces « notes » et de cette « sélection », mais j’assume.
    Mai 68 a démoli l’autorité des professeurs et, dans son élan, Edgar Faure, ministre de l’Éducation nationale a supprimé les estrades. Julien en est une victime.

    il est grand temps de remettre profs et élèves chacun à leur place, contrairement à ce que nous chantions à la veille des grandes vacances :

    « les cahiers au feu

    Et le professeur au milieu ».

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  • Éphéméride du 8 mai

        Paris : Statue de Jeanne d'Arc, Place des Pyramides 

     

     

    1429 : Jeanne d'Arc libère Orléans   

         

    Avant l'arrivée de Jeanne, il y a "grande pitié au royaume de France"  :

    les Anglo-Bourguignons tiennent tout le nord du pays ;

    Orléans, assiégée depuis sept mois, va succomber à la famine ;

    Charles VII, le "gentil dauphin", est réfugié à Chinon, où il est bien seul;

    la capitale est aux mains des Anglais : Henri VI, le "petit roi godon", y règne...

    À l'arrivée de Jeanne, tout change : dans l'enthousiasme qui suit la libération d'Orléans, Jeanne électrise ses soldats et, dans la foulée, va bousculer les Anglais à Patay; elle a compris que Charles VII (dont la naissance légitime avait été mise en doute par sa propre mère, Isabeau de Bavière) ne sera pas reconnu roi légitime à la suite d'une ou deux victoires : c'est à Reims qu'il faut aller !

    Comme l'écrit Jacques Bainville, "la grande idée de Jeanne, c'est le sacre de Reims..."

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    Et, depuis, chaque année, la ville d'Orléans commémore l'évènement en organisant les très belles Fêtes Johanniques à Orléans durant lesquelles la ville entière entonne la Cantate à Jeanne d'Arc : 

     

     

     www.stejeannedarc.net/chroniques/journal_siege_orleans.php

     

    Et, dans notre album L'aventure France racontée par les cartes, voir la photo "Guerre de Cent ans (4/4) : deuxième rétablissement"

     

    La Geste héroïque de Jeanne est un moment fondamental de notre Histoire nationale : ses moments essentiels en sont relatés dans ces Éphémérides aux 25 février (rencontre de Jeanne et du Dauphin, à Chinon), 8 mai (libération d'Orléans), 18 juin (victoire de Patay), 17 juillet (sacre de Reims), 23 mai et 21 novembre (capture, et livraison aux Anglais), 30 mai (martyre), 16 mai (canonisation), 10 juillet (instauration de la Fête nationale).  

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

     

    L'ignorance crasse de monsieur Haziza, qui "ne sait pas" mais qui "parle quand même". Pour proférer soit une erreur, soit un mensonge : au choix...

    À propos de "l'affaire Glucksmann" (chassé de la manif du premier mai par les terroristes de l'extrême-gauche), Haziza s'en prend à Maurras, et se retrouve - on vient de le dire - soit dans l'erreur soit dans le mensonge (ndlr : entre parenthèse, il y a deux "r" à Maurras, monsieur Haziza, mais ce n'est, évidemment, pas le plus important !...).

    Voici ce qu'il déclare (sur RadioJ), et qu'il résume (sur tweeter) :

    • (extrait vidéo 2'39) 

    https://x.com/frhaz/status/1787037944039067690

    • sur tweeter :

    "L’agression de @rglucks1 le 1er mai, c’est un moment grave. C’est un moment qui me rappelle l’agression de Léon Blum dans les années 30. C’est pas Mauras, c’est l’extrême gauche. Mais c’est la même chose. En tant qu’homme de gauche, je suis scandalisé ce cette violence de Ligue, de cagoulards qui n’a rien à faire dans un parti de gauche. Dans la mesure où #Glucksmann reçoit des insultes antijuives depuis des mois, dans la mesure où il a appelé depuis le début à l’arrêt de l’opération israélienne, on ne peut pas être plus pro-palestinien que Glucksmann, donc ce qu’on lui reproche c’est d’avoir un nom juif. Je ne vois pas autre chose. Je trouve ahurissant tous les @FranceInsoumise au garde-à-vous qui disent, ce n'est pas nous alors que tous les gens qui ont agressé Glucksmann avaient des autocollants #LFI. Au moins Charles Mauras, il assumait. Au moins, Charles Mauras, quand il a envoyé lyncher Blum, il a ensuite continué à appeler envoyer lyncher Blum et il a fait de la prison".

    Ouf !

    Tant d'erreurs (ou de mensonges) en si peu de lignes, cela fait beaucoup !

    Nous allons demander pardon au lecteur de répondre d'une façon aussi "mastoque" à ces erreurs ou à ces mensonges, mais nous lançons un défi à monsieur Haziza, et à tout le monde : si on vous la propose, lirez-vous la vérité sur cette "affaire", qui n'est pas du tout que "Mauras" (sic !) ait "envoyé lincher Blum" ? Aurez-vous ce courage, cette honnêteté intellectuelle ?...

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    Allons-y ! En réalité, que s'est-il donc passé ? Ceci : nous sommes en févier 1936. Jacques Bainville, membre du "trio de tête" de l'Action française, et le plus grand historien de tous les temps, vient de mourir, le samedi 9. On l'enterre le jeudi 13. Ce jour-là, Blum organise une misérable machination/provocation : il ne peut ignorer qu'une foule impressionnante se trouve dans la zone du Boulevard Saint-Germain : il y fait passer volontairement sa voiture, et veut "couper" le cortège : tout le monde n'a pas le respect des morts ! Et cet acte insensé s'apparent à un sacrilège... Blum se fait injurier par la foule, et des gens - mais pas de l'Action française - se mettent à s'agiter. Et, monsieur Haziza, ce sont justement les Camelots du Roi, emmenés entre autres par Pierre Juhel, qui vont libérer et sauver Blum, peut-être pas d'un lynchage en règle mais sûrement d'un mauvais pas, dans lequel sa misérable machination/provocation l'a conduit : il voulait, en fait, avoir un prétexte pour dissoudre la Ligue d'Action française, et ce prétexte, maintenant, il l'a, avec sa sordide et lamentable provocation...

    Voilà la simple et misérable vérité, monsieur Haziza.

    Maintenant, voici notre défi, lancé à vous-même et à tout le monde : nous racontons cette "semaine tragique" - qui a vu la mort de Bainville et la dissolution de la Ligue d'Action française - dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française"; il y a huit "grandes Une" en tout, pour comprendre la totalité de "l'histoire" (ce qui fait neuf livraisons au total, puisque l'une est en deux parties : celle qui raconte justement l'incident des obsèques). Aurez-vous le courage, la patience et - surtout - l'honnêteté intellectuelle de les lire ? Fût-ce en prenant votre temps, et en lisant, par exemple, l'ensemble en plusieurs fois ?

    Le défi est lancé : à vous - à tous - d'y répondre, ou pas...

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    • La semaine tragique : mort  de Bainville...

    • numéro du Lundi 10 Février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (1/8) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Mardi 11 Février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (2/8) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du mercredi 12 Février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (3/8) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Jeudi 13 Février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (4/8) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Vendredi 14 février 1936 (1/2) :

    Grandes "Une" de L'Action française (5/8 - 1/2) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Vendredi 14 février 1936 (2/2) :

    Grandes "Une" de L'Action française (5/8 - 2/2) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Samedi 15 février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (6/8) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Dimanche 16 février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique (7/8) : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Lundi 17 février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (8/8): Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Aux origines de L'Histoire de France, de Jacques Bainville...

    1866 : Naissance d'Arthème Fayard, fils. Aux origines de L'Histoire de France de Jacques Bainville...

     

    Quatre siècles après Gutenberg, le livre imprimé était encore souvent rare et cher. Le rendre disponible et accessible à tous : tel sera le but premier que se fixa le fondateur de la Maison Fayard, puis son fils prénommé, comme lui, Arthème.

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    Éclectique, Arthème 1er s'intéressait à tout : ses familiers l'appelaient "L'Encyclopédie".

    Parmi ses enfants, Arthème le second, qui deviendra le Grand Arthème Fayard, l'un des plus fameux et puissants éditeurs français de la première moitié du XXème siècle, fut d'abord un adolescent qui faisait ses études à Louis le Grand où il se lia d'amitié avec un joyeux luron de son âge, Léon Daudet.

    Après qu'il eut fait son service militaire, son père l'engagea comme collaborateur et associé.

    Un jour, il alla trouver Alphonse Daudet, père de son ami, et lui offrit de l'éditer en fascicules à cinq centimes. Daudet accepta : l'idée de l'édition populaire d'auteurs vivants, telle que la reprendront au siècle suivant clubs et collections au format de poche, était née.

    Arthème - le fondateur - mourut en 1895. Son successeur souhaita continuer dans la voie de l'édition dite de grande diffusion. À une époque où les gloires littéraires de l'époque - Maurice Barrès, Marcel Prévost, Paul Bourget, Henry Bordeaux... - paraissaient en volumes à plus de trois francs, la grande littérature demeurait inabordable pour le grand public. Le projet d'Arthème Fayard fils consista donc à publier les grands contemporains en volumes à dix-neuf sous, mais pas au rabais, sous forme de vrais livres, élégants et illustrés. Ces auteurs fameux ne se vendaient alors qu'à quelques milliers d'exemplaires : Fayard leur proposait de les tirer à cent mille ! Le succès fut au rendez-vous. La cote des cent mille exemplaires se trouva dépassée pour chaque titre et les ventes grimpaient toujours. Barrès ne voulait pas croire qu'il eût dépassé, lui, les trois cent mille : cela ne s'était jamais vu.

    7 mai,toulouse,être suprême,robespierre,convention,seconde guerre mondiale,gorges du verdon,reims,tuileries,dien bien phu,indochine,dalloz,giapUn jour, Arthème Fayard eut ce  dialogue avec Jacques Bainville :

    • Vous devriez écrire pour moi une Histoire de France en un volume.
    • Mais je ne la connais pas. En tout cas, pas assez pour l'écrire.
    • Eh bien, apprenez-la !

    Le rédacteur de politique étrangère de L'Action française finit par rédiger le tome qui fut le premier de la série des Grandes Études historiques, collection dirigée par Pierre Gaxotte.

    Un employé de la maison calcula en 1947 qu'en empilant les deux millions et demi d'exemplaires de cette collection vendus jusqu'à cette année-là, on aurait atteint vingt fois l'altitude du Mont-Blanc.

    On n'a pas refait le calcul depuis lors, mais on peut supposer que le remplacement du Mont-Blanc par l'Éverest ne serait pas exagéré...

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     Constamment rééditée depuis sa parution en 1924, au sommaire du Catalogue du Livre de poche, l'Histoire de France de Bainville est traduite en huit langues : anglais, italien, espagnol, turc, finlandais (suomi), suédois, hongrois, polonais; l'édition anglaise est également disponible en braille.

     France info l'a présentée à ses auditeurs dans une petite chronique d'anthologie, de 2'19" : le journaliste, ce jour-là, en a déclaré la lecture "enthousiasmante", ajoutant, sans ambages :

    "...Autant vous le dire tout de suite : l'Histoire de France est un chef d'oeuvre ! Chef-d'oeuvre d'écriture, de grâce, de finesse... C'est presque du journalisme... Quand l'Histoire est plus contemporaine que jamais, c'est qu'un grand auteur est passé par là... Lisez donc l'Histoire de France de Jacques Bainville : c'est un petit bijou..." :

     

    France info présente L'Histoire de France de Jacques Bainville

     

    S'il est évidemment totalement vain - et même absurde - de prétendre dire quel est, ou quels sont, les meilleurs ouvrages de Bainville, il n'en demeure pas moins tout à fait sûr qu'avec son "Histoire de deux Peuples" (voir l'Éphéméride du 10 août) et son "Napoléon" (voir l'Éphéméride du 15 octobre, jour de sa parution) cette "Histoire de France" forme une trilogie qui, à elle seule, suffit à faire de Bainville l'un des plus grands historiens de tous les temps, peut-être même le plus grand...

  • Éphéméride du 7 mai

    1990 : les Gorges du Verdon déclarées Site naturel protégé

     

     

     

     

    1274 : Ouverture du deuxième concile de Lyon  

     

    Présidé par le pape Grégoire X, le Concile dura jusqu'au 17 juillet et réunit environ cinq cents évêques, soixante abbés et plus de mille prélats, mais aussi le roi Jacques 1er d'Aragon, l'ambassadeur de l'empereur Michel Paléologue et les ambassadeurs du Khan du Tatar.

    L'objectif de ce Concile était de donner une définition exacte et définitive du Purgatoire

    Le hasard fit que deux des plus grands docteurs de l'Église moururent au moment, et à l'occasion, de ce Concile :

    Saint Bonaventure (ci dessous, à droite), qui eut le temps d'assister aux quatre première sessions, mais mourut à Lyon le 7 juillet;

    et Saint Thomas d'Aquin (ci dessous, à gauche) qui, convoqué pour y participer, mourut à Fossanova, en Italie, sur le chemin qui devait le conduire à Lyon.

     

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    https://www.herodote.net/almanach-ID-3093.php 

     

    Sur Thomas d'Aquin et ses rapports avec la France voir l'Éphémeride du 7 mars et  l'Éphéméride du 28 janvier...

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Guillaume Bigot a raison (chez Christine Kelly, dans Face à l'info) :
     
    " À Sciences-Po, la palestinisation des esprits cache l’américanisation des islamo-wokistes..."
     
    (extrait vidéo 2'00)
     
     
    SCIENCES PO, SOROS et WOKISME

     

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  • Au cinéma, pour un film tout à fait d'actualité : Amal, un esprit libre, par Guilhem de Tarlé...

    Amal - Un esprit libre - Film 2023 - AlloCiné

     

    Prix du Public au Festival du film politique de Carcassonne : Amal – un esprit libre, un film belge de Jawad Rhalib, avec Lubna Azabal (dans le rôle titre), Fabrizio Ronglone (Nabil, le professeur d’Islam) et Catherine Salée (la Directrice du lycée).

    « Va, et ne pèche plus ».

    C’est la sentence de Jésus à la femme adultère. Le christianisme distingue le pécheur et le péché, il pardonne au premier et condamne le second, tandis que la religion musulmane condamnerait le pécheur avec le péché, et le réalisateur impute à l’Islamisme – qu’il oppose sur ce point à l’Islam - l’obligation pour le « fidèle » de punir lui-même le « mécréant ». Etant, moi-même, un « infidèle », je n’ai aucun titre pour émettre un avis sur cette opposition Islam-Islamisme, et je veux bien admettre que le musulman Jawad Rhalib sait de quoi il parle.

    Le film peut donc ainsi commencer sur l’image d’une jeune fille tuméfiée, « punie » pour son homosexualité.
    En revanche je conteste, moi aussi, le droit que s’arroge Amal de prétendre inculquer le « vivre ensemble » en enseignant à ses élèves un poème dont on comprend qu’il promeut l’homosexualité. Certes la lutte est légitime, et même vitale, contre la violence totalitaire de ceux qui veulent nous imposer la charia, elle ne doit donc pas laisser entrer dans nos écoles la police des mœurs islamiste, mais elle ne doit pas non plus laisser s’y infiltrer les milices LGBT.
    Amal est peut-être un esprit libre… mais la liberté, comme on l’a dit, et particulièrement celle d’un professeur, consiste à enseigner que 2+2 font 4, et non pas  la transgression de la loi naturelle.

    Sous cette réserve, ce long-métrage a raison de s’insurger contre le grand-remplacement de nos mœurs, de notre culture et de notre identité, sans oublier qu’elles sont judéo-chrétiennes, avec ce que cela comporte. Je m’interroge néanmoins sur la bonne foi du cinéaste qui ne cesse, sur YouTube, de craindre la « récupération par l’extrême droite »… N’est-ce pas, pourtant, cette même « extrême droite » qui la première, il y a quarante ans déjà, a voulu s’élever contre la politique d’immigration dont l’emprise islamiste qu’il dénonce est le fruit amer ?

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  • Éphéméride du 6 mai

    1994 : Inauguration du Tunnel sous la Manche

     

     

     

    1211 : Lancement de la construction de l'actuelle cathédrale de Reims

     

    L’ancienne cathédrale a été incendiée le 6 mai 1210, ainsi qu’une grande partie de la ville.

    Un an plus tard, jour pour jour, on commence à monter les nouveaux murs au-dessus des fondations, à l’instigation de l’archevêque Aubry (ou Albéric) de Humbert. 

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    Voir notre album Reims, cathédrale du Sacre  
     

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpgEntre autres choses, elle raconte les origines de l'Histoire de France  de Bainville;

    Elle évoque aussi la reddition inconditionnelle de l'Allemagne nazie, après toutes les horreurs cataclysmiques qu'on aurait pu si facilement éviter : mais Clemenceau et le Système n'ont pas voulu démembrer l'Allemagne, en 1918, alors que la France avait gagné la Guerre au prix de sacrifices inouïs : ce faisant, ils nous ont "donné" Hitler...

    Elle revient enfin sur ce curieux discours de Robespierre, où se trouve une phrase et une pensée à propos desquelles on peut poser la question : Robespierre a-t-il "théorisé" à la limite du racisme et du concept de peuple supérieur en qualifiant le peuple français d' "espèce différente" comparé au "reste de l'espèce humaine" ?... 

    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Aymeric Caron, député du groupe des "revenants de la section des piques de 1793" estime que c'est une honte que d'être Français.

    Avec - comme disait Coluche... -  la mine "pas tibulaire, mais presque" qui est, si souvent, la sienne, il a en effet éructé que les soi-disant étudiants/en réalité vrais terroristes, qui faisaient les marioles à Sciences Po étaient l'honneur de la France (sic !!!!); et même, a-t-il rajouté (comme si ce n'était pas assez) : "on peut être fier d'être Espagnol ou Irlandais mais c'est une honte d'être Français..."

    Rien que ça !

    Pour nous, ce qui est une véritable honte c'est qu'un énergumène pareil soit député ! Amaury Brelet, Rédacteur en chef de Valeurs actuelles lui a bien répondu :

    https://video-streaming.orange.fr/actu-politique/amaury-brelet-contrairement-a-ce-que-dit-aymeric-caron-ces-etudiants-sont-la-honte-de-la-france-CNT000002dLGh4.html

     

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  • Au cinéma : Rosalie, par Guilhem de Tarlé

    Rosalie - Film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Rosalie, un film franco-belge de Stéphanie Di Giusto, avec Benoît Magimel et Nadia Tereszkiewicz (Abel et son épouse Rosalie), et Benjamin Biolay (Barcelin).

    « Ah quel plaisir d'avoir une belle barbouse et d's'en servir »

                                                   (Ouverture du Barbier de Séville)

    Rosalie… ce film aura au moins eu un atout, celui de me faire découvrir que les femmes à barbe , ça existe, et que cette pathologie s’appelle l’hirsutisme.

    Mes frères et sœurs se souviennent d’une amie qui disait souvent « faudra qu’j’enlève tout ça… ».  Avait-elle du poil au menton ?

    La réalisation est inspirée de l’histoire vraie d’une certaine Clémentine Delait qui, dans les années 1900, tenait un débit de boissons dans les Vosges. Si on rêve de voir de jolies filles et des pin-up au cinéma, mieux vaut fuir cette production dont le petit porno n’a rien d’érotique.

    Le réalisateur et les acteurs prétendent qu’il s’agit d’une histoire d’amour…
    Pour moi il s’agit plutôt de l’histoire d’un mari trompé… trompé sur la marchandise.

    Les trois premiers quarts se laissent voir avec intérêt mais, une fois encore, la dernière demi-heure est de trop pour faire un bon film.

    J’ai parfaitement admis que Rosalie s’affiche barbue dans son bar, mais une fois l’effet de surprise atteint et la clientèle acquise, j’ai trouvé son attitude malsaine de ne pas se raser. Abel a manqué de virilité de ne pas lui dire : c’est ou ta barbe, ou moi !

    Mon épouse est moins sévère que moi, et c’est peut-être une réaction purement masculine de trouver que cette œuvre manque de féminité.
    Bref, à la fin je me suis barbé

    Rosalie se passera de ma déclaration d’amour, en ce mois d’avril où d’autres – barbus ? – réclament nos déclarations.

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