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Au Cinéma...

  • Au cinéma : La Prisonnière de Bordeaux, par Guilhem de Tarlé

    La Prisonnière de Bordeaux - Film 2024 - AlloCiné

     

    A l’affiche : La Prisonnière de Bordeaux,  un film français de Patricia Mazuy, avec Isabelle Huppert (Alma) et Hafsia Herzi (Mina).

    Après Les Gens d’à côté, La prisonnière de Bordeaux… On prend les mêmes et on recommence… Isabelle Huppert, désœuvrée, comme dans presque tous ses films, prend sous sa coupe non pas sa voisine mais, encore, quelqu’un d’un autre monde, rencontrée par hasard, Hafsia Herzi (moins jolie que d’habitude).

    Une sorte de mauvais « remake »… C’est long, c’est lent, c’est sans intérêt, c’est de l’Isabelle Huppert… et mon épouse a aimé !guilhem de tarlé.jpg

     

  • Au cinéma : Jamais plus, par Guilhem de Tarlé

    Jamais plus - It Ends With Us - Film 2024 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Jamais plus – it ends with us,  un film américain (VF) de Justin Baldoni, avec Justin Baldoni (Ryle Kincaid), Brandon Sklenar (Atlas Corrigan) et surtout Blake Lively (Lily Bloom),
    d’après le livre éponyme de Coollen Hoover (2016).

    Lily Bloom a 5 choses à nous dire sur son père, que je laisse découvrir à ceux qui comme moi – et c’est préférable - n’ont pas lu le roman ni vu la bande-annonce.

    Personnellement j’ai trouvé la 1ère partie de ce long-métrage (2h10) précisément beaucoup trop longue, mais j’ai été charmé, comme Atlas et comme Ryle, par le sourire de Lily.

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  • Au cinéma : Septembre sans attendre, par Guilhem de Tarlé

    Septembre sans attendre - Film 2024 - AlloCiné

    Cannes 2024 : Septembre sans attendre,  un film espagnol (VOSTF) de Jonas Trueba, avec Itsaso Arana et Vito Sanz, (Ale et Alex).

    Septembre sans attendre… et nous y sommes allés dès le 1er du mois mais, à vrai dire, on aurait pu attendre et même ne pas y aller du tout. Un film sans intérêt sur le divorce par consentement mutuel (Merci Giscard d’avoir institué cette procédure pour faciliter encore la désagrégation de la Famille, la désacralisation du mariage et la dévalorisation de l’engagement, le suicide de nos sociétés !)

    Ale et Alex décident de fêter l’événement, comme on fête le mariage… fêter le désamour comme on fête l’amour…
    On reste finalement dans la « déconstruction », dans l’égalitarisme, le relativisme et le refus de la discrimination qui mettent sur le même plan la valeur et la contre-valeur, le Bien et le Mal.

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  • Au cinéma : Le Roman de Jim, par Guilhem de Tarlé

    Le Roman de Jim - Film 2024 - AlloCiné

     

    Cannes 2024 : Le Roman de Jim, un film d'Arnaud et Jean-Marie Larrieu, avec karim Leklou (Aymeric Bailly), Laetitia Dosch (Florence Pelletier) et Sara Giraudeau (Olivia),
    adapté du roman éponyme de Pierric Bailly (mars 2021).

    "C'est elle qui est partie mais c'est lui qui me manque
    Ce tout petit garçon qui n'était pas de moi".

    Le Roman de Jim, c'est la chanson de Serge Lama, L'Enfant d'un autre, la paternité de cœur que peut éprouver l'adulte pour l'enfant de sa compagne qu'il élève comme son propre enfant.. "Il a les yeux noirs de sa mère". 

    Et c'est aussi l'amour filial qu'éprouve l'enfant pour celui qu'il croit être son père :

    "Les enfants sont le fruit des femmes pas des hommes
    Mais quelque soit celui qui fait germer la pomme
    Le père, pour l'enfant, c'est celui qui est là".

    Le livre - que je n'ai pas lu -, comme le film, se passe dans les montagnes du Jura et à Saint Claude, à lire sans doute à la Brassens, "auprès de (son) arbre" en fumant sa pipe. L'adaptation des frères Larrieu est mièvre, sans couleur et sans émotion, comme les pellicules des photos d'Aymeric. Laetitia Dosch joue faux et Sara Giraudeau - que j'aime beaucoup - n'a pas un rôle à sa mesure dans les transes d'une boite de nuit.
    Bref, une réalisation médiocre qui ne dépasse pas 2 étoiles.

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  • Au cinéma : Highway 65, par Guilhem de Tarlé

    Highway 65 - Film 2023 - AlloCiné

     

    A l'affiche : Highway 65, un film israélien de Maya Dreifuss.

    Une lente enquête policière dans un paysage sans intérêt...

    it's a long, long way... pour arriver au dénouement...
    Mon épouse est moins sévère.

     

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  • Au cinéma : Santosh, par Guilhem de Tarlé

     

    Santosh - Film 2024 - AlloCiné

    Cannes 2024 : Santosh, un film indien (VOSTF), le premier long-métrage de Sandhya Suri, avec Shahana Goswami dans le rôle-titre,
    inspiré de faits réels.

    Santosh… une policière amenée à enquêter sur le viol et le meurtre d’une jeune fille. Une réalisation trop longue (2h08) et trop lente sur les méandres de la société indienne composée de castes, avec en sus la coexistence d’hindous et de musulmans… et, comme partout, la corruption.
    mon épouse a apprécié, mais j’aurais pu ne pas le voir.

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  • Au cinéma : Trap, par Guilhem de Tarlé

     

    Trap - Film 2024 - AlloCiné

    A l’affiche : Trap,  un film américain de Nignt Shyamalan, avec saleka Shyamalan, (la chanteuse, Lady Raven), Josh Hartnett et Ariel Donoghue (Cooper et sa fille Riley).

    Je n’ai aucun souvenir de Split (2017) – que j’aurais pu ne pas voir - du même réalisateur, qui portait sur les multiples personnalités d’un même personnage.
    Il en est un peu de même pour ce nouveau long-métrage… Dr Jekyll and Mr Hyde au cinéma.

    Trap… c’est le piège, en anglais, tendu à un tueur en série.
    Mon épouse, qui n’avait pas vu la bande-annonce et n’avait lu ni le synopsis ni aucun article, a davantage apprécié que moi ce « thriller spaghetti », si vous m’autorisez l’expression pour souligner son aspect ubuesque. 
    Certes la première partie est réussie, mais on passe très vite d’invraisemblance en invraisemblance jusqu’à l’appel au fantastique pour résoudre l’énigme.

    Dommage, même si l’on ne s’ennuie pas…


    J’ai personnellement trouvé Riley insupportable, dont le réalisateur nous filme avec beaucoup de réalisme la bêtise hystérique.

    Les critiques que j’ai pu entendre sont globalement assez négatives, et l’une d’entre elles va jusqu’à imaginer que Nignt Shyamalan a surtout voulu faire la promotion de sa fille Saleka, véritablement chanteuse dans la vraie vie.

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  • Au cinéma : Le moine et le fusil, par Guilhem de Tarlé

    Le Moine et le fusil - Film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Le Moine et le fusil,  un film bhoutanais (VOSTF) de Pawo Choyning Dorji.

    Le Moine et le fusil… Non, il ne s’agit pas d’un religieux justicier, échappé de son monastère, pour exécuter le jugement de Dieu sur les responsables et coupables des scènes contre-nature et des blasphèmes de la cérémonie olympique macronesque.
    Quoique, en est-on si loin si l’on anticipe que Lama, muni d’un fusil, veut empêcher le bon déroulement de la farce démocratique avec son « élection blanche »…
    Mais, n’anticipons pas… la réalité est autre…

    Le Moine et le Fusil … C’est un titre de fable et, effectivement, au Bhoutan, le « Pays du Bonheur National Brut », le réalisateur nous raconte la fable du bonheur qui serait augmenté par l’ouverture à la démocratie et à l’organisation d’élections.
    On voit les querelles que cela suscite, et la votation populaire en réponse…

    Avouons que j’ignorais tout de l’existence du Bhoutan et des Bhoutanais.
    Avec de jolies photos, ce docufiction m’a permis de découvrir ce petit pays de 800 000 habitants dans le nord-est de l’Inde à  la frontière de la Chine.

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  • Au cinéma : Mon parfait inconnu, par Guilhem de Tarlé

     

    Mon parfait inconnu - Film 2023 - AlloCiné
     

    A l’affiche : Mon parfait inconnu un film norvégien (VOSTF) de Johanna Pyykkö, avec Camilla God0 Krohn (Ebba) et Radoslav Vladimirov (Julian).

    Mon parfait inconnu… je n’y avais pas fait attention, mais le synopsis précise « un homme d’une grande beauté »… Certes je ne suis pas connaisseur, mais mon épouse qui, de ce fait, s’y connaît, n’a pas remarqué, elle non plus, que ce Julian se caractérisait d’une telle manière… Bref, nous n’avons pas vu la motivation première de cette aventure, et nous nous sommes interrogés sur les raisons qui ont conduit Ebba à la mettre en œuvre…
    Le début de ce thriller n’en est pas moins prenant et, si le réalisateur avait su quoi en faire, on aurait pu assister à un bon film…

    Ce sont les dernières images qui donnent peut-être la clé de l’énigme quand Ebba, en culotte et soutien-gorge, se jette à l’eau et qu’elle en sort en maillot de bain.

    En fait, il semble qu’on assiste à une fiction… Ebba rêve d’une autre vie et nous la fait vivre sans l’avoir vécue.

    La dame, qui est sortie en même temps que nous de la salle, cherchait, elle aussi, à comprendre le scénario… qui nous paraît donc un parfait inconnu.

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  • Au cinéma : Burning days, par Guilhem de Tarlé

    Les Survivantes - Film documentaire 2024 - AlloCiné

    Les Survivantes, un film de Pierre Barnérias, interdit aux moins de 16 ans.

    "Entende qui a des oreilles !"

    C'est la conclusion de la parabole du Semeur rapportée par Matthieu.. et, à sa manière, Pierre Barnérias sème une parole sur les réseaux de pédocriminalité.

    En novembre dernier j'avais recommandé le thriller américain excellent, "Sound of freedom", sur ce même sujet, dont on dit qu'il constitue le 2ème trafic international après la drogue..

    Huit "Survivantes" témoignent à visage découvert sur l'inimaginable, l'inaudible..
    De la chasse-à-l'enfant (à balles réelles) à la décapitation, en passant par les viols, les sévices sexuels, les tortures physiques et psychiques, elles ne montrent rien (aucune image choquante) mais elles disent tout, ou presque.. Difficile, dans ces conditions de "recommander" ce documentaire, mais le taire serait être complice des criminels et donc coupables de ces crimes.

    Elles parlent de franc-maçonnerie sataniste (n'est-ce pas un pléonasme ?), de ces barbares de tous  milieux, dans toutes les strates de la société, y compris politiques et religieuses, et de l'omerta qui régit toutes les mafias.

    Bien évidemment, parmi ces témoins, il doit y avoir des "illuminées", des victimes qui délirent et fantasment.. Tous leurs propos ne peuvent pas être Parole d'Evangile, mais cela ne nous autorise pas à entrer dans le déni.
    On ne peut pas croire en Dieu, sans croire à Satan. 
    Quand on approuve, on accepte, à tout le moins on tolère que les "Gentils" inscrivent l'avortement - le meurtre - dans la constitution, comment ne pas imaginer que les "méchants" fassent pire ?

    Voir et parler de ce long-métrage, c'est déjà combattre la pédocriminalité.

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  • Au cinéma : Dîner à l’Anglaise, par Guilhem de Tarlé

    Dîner à l'anglaise - Film 2023 - AlloCiné

    A l’affiche : Dîner à l’Anglaise un film anglais (VOSTF) de Matt Winn, avec Indira Varma (dans le rôle titre original, The Trouble with Jessica).

     

    Arthur... Où t'as mis le corps

    Qu'on s'est écriés-z-en chœur

     

    Dîner à l’Anglaise… dont l’une des convives a voulu, précisément et à sa manière, filer à l’Anglaise
    Il y a exactement un an, la comédie Sous le tapis abordait déjà, dans un environnement différent, ce même thème du mort encombrant que Boris Vian avait, pour sa part, fait chanter dans d’autres circonstances.

    Une tragi-comédie sympathique dans une offre cinématographique médiocre : « The trouble with movies ».

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  • Au cinéma : Gloria, par Guilhem de Tarlé

     

    Gloria! - Film 2024 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Gloria !, un film italien (VOSTF) de Margherita Vicario, avec Galatea Bellugi (Teresa) et Paolo Rossi (Perlina)

    Gloria !…  un film musical et d’époque, agréable à regarder, et à entendre, qui nous transporte au XVIIIème siècle à l’Institut Sant’Ignazio de Venise, un orphelinat et conservatoire pour jeunes filles… Que demander de plus ?

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  • Au cinéma : El profesor, par Guilhem de Tarlé

     

    El Profesor - Film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : EL Profesor , un film argentin de Maria Alché et Benjamin Naishtat, avec Marcelo Subiotto (Marcelo Pena, dans le rôle titre) et Leonardo Sbaraglia (Rafael Sujarchuk, son rival).

    EL Profesor…  Le titre original est Puan, qui apparaît sur mon ticket et est le nom de la rue et de l’université de Buenos Aires.
    Selon le synopsis, c’est l’histoire d’un professeur de philosophie qui voit une promotion lui échapper avec l’arrivée d’un concurrent.
    On assiste à une succession de scènes sur fond de tensions sociales et de dialogues « philosophiques » qu’il faut lire très vite en VOSTF.
    Ce film n’est pas fait pour moi ; mon épouse est moins sévère et peut-être plaira-t-il à mes neveux argentins.

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  • Au cinéma : Les Gens d’à côté, par Guilhem de Tarlé

    Les Gens d'à côté - Film (2024) - SensCritique

     

    A l’affiche : Les Gens d’à côté, un film français d’André Téchiné, avec Isabelle Huppert (Lucie, agent de la police technique et scientifique), Hafsia Herzi (Julia) et Nahuel Perez Biscayart (Yann).

    Les Gens d’à côté… Quand La France Insoumise - « la Police tue » - prétend gouverner la France, on peut s’interroger sur l’à propos de ce film.
    Après avoir dénoncé, en effet, le mal-être de la Police, le réalisateur nous invite à essayer de « vivre ensemble » avec un individu devenu Black-Block parce qu’il aurait été « violenté » injustement (ben voyons) par des policiers.

    Contrairement à ce que j’écris habituellement à son endroit, Isabelle Huppert est peut-être, finalement, une excellente actrice qui s’identifie tellement à ses rôles, que j’en arrive à reporter sur elle l’antipathie que j’éprouve généralement à l’égard des personnages qu’elle incarne. C’est manifestement le cas dans ce long-métrage  où elle s’incruste chez ces Gens d’à côté alors qu’elle sait pertinemment qui ils sont…

    Hafsia Herzi a un rôle secondaire, mais sa présence au casting nous rappelle Borgo, sorti en avril dernier, sur le même sujet à savoir l’engrenage qui conduit une personne imprudente à « franchir la ligne »…

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  • Au cinéma : To the moon, par Guilhem de Tarlé

    To The Moon" : une comédie romantique avec Scarlett Johansson et Channing  Tatum revisite l'aventure américaine du premier pas sur la Lune

     

    A l’affiche : To the Moon, un film américain de Greg Berlanti, avec Scarlett Johansson (Kelly Jones, experte en marketting) et Channing Tatum (Cole Davis, directeur de la mission).

    To the Moon… une fiction, avec des personnages fictifs, inspirée de la « fake news » de « comploteurs » selon laquelle l’alunissage n’aurait pas existé et aurait été mis en scène par Stanley Kubrick…

    Qu’importe ? voilà bientôt deux siècles que Jules Verne anticipa d’envoyer trois hommes De la Terre à la Lune, et puis 30 ans après ce fut Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand qui inventa sept moyens « de violer l’azur vierge ! »… jusqu’à ce qu’en 1950, grâce au professeur Tournesol, Tintin puisse dire au monde entier « J’ai fait quelques pas ! … Pour la première fois sans doute dans l’histoire de l’humanité, ON A MARCHÉ SUR LA LUNE ! »

    To the Moon nous replonge, quelques années  plus tard, dans la guerre froide quand, en 1957, l’URSS envoyait un premier spoutnik, imposant aux USA d’investir dans la conquête de l’espace pour démontrer sa supériorité. La marche était haute avec le 1er vol orbital du soviétique Youri Gagarine en 1961.
    Ils furent nombreux (23), dans les deux camps, les morts au Champ d’Honneur, et Cole Davis se recueille devant les trois victimes d’Apollo 1er (1967).

    Le 21 juillet 1969, Neil Amstrong et Buzz Aldrin effectuaient ce « petit pas pour l’homme, un bond de géant pour l’humanité »… Nous nous en souvenons, nous l’avons vu en direct à la télé.

    Le véritable sujet du film porte sur la communication que la NASA a organisée autour de cet événement..
    Regrettons qu’à ce jour on sache peu de choses sur la suite et les retombées de la conquête spatiale.

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