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Au Cinéma... - Page 3

  • Au cinéma : Burning days, par Guilhem de Tarlé

    Les Survivantes - Film documentaire 2024 - AlloCiné

    Les Survivantes, un film de Pierre Barnérias, interdit aux moins de 16 ans.

    "Entende qui a des oreilles !"

    C'est la conclusion de la parabole du Semeur rapportée par Matthieu.. et, à sa manière, Pierre Barnérias sème une parole sur les réseaux de pédocriminalité.

    En novembre dernier j'avais recommandé le thriller américain excellent, "Sound of freedom", sur ce même sujet, dont on dit qu'il constitue le 2ème trafic international après la drogue..

    Huit "Survivantes" témoignent à visage découvert sur l'inimaginable, l'inaudible..
    De la chasse-à-l'enfant (à balles réelles) à la décapitation, en passant par les viols, les sévices sexuels, les tortures physiques et psychiques, elles ne montrent rien (aucune image choquante) mais elles disent tout, ou presque.. Difficile, dans ces conditions de "recommander" ce documentaire, mais le taire serait être complice des criminels et donc coupables de ces crimes.

    Elles parlent de franc-maçonnerie sataniste (n'est-ce pas un pléonasme ?), de ces barbares de tous  milieux, dans toutes les strates de la société, y compris politiques et religieuses, et de l'omerta qui régit toutes les mafias.

    Bien évidemment, parmi ces témoins, il doit y avoir des "illuminées", des victimes qui délirent et fantasment.. Tous leurs propos ne peuvent pas être Parole d'Evangile, mais cela ne nous autorise pas à entrer dans le déni.
    On ne peut pas croire en Dieu, sans croire à Satan. 
    Quand on approuve, on accepte, à tout le moins on tolère que les "Gentils" inscrivent l'avortement - le meurtre - dans la constitution, comment ne pas imaginer que les "méchants" fassent pire ?

    Voir et parler de ce long-métrage, c'est déjà combattre la pédocriminalité.

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  • Au cinéma : Dîner à l’Anglaise, par Guilhem de Tarlé

    Dîner à l'anglaise - Film 2023 - AlloCiné

    A l’affiche : Dîner à l’Anglaise un film anglais (VOSTF) de Matt Winn, avec Indira Varma (dans le rôle titre original, The Trouble with Jessica).

     

    Arthur... Où t'as mis le corps

    Qu'on s'est écriés-z-en chœur

     

    Dîner à l’Anglaise… dont l’une des convives a voulu, précisément et à sa manière, filer à l’Anglaise
    Il y a exactement un an, la comédie Sous le tapis abordait déjà, dans un environnement différent, ce même thème du mort encombrant que Boris Vian avait, pour sa part, fait chanter dans d’autres circonstances.

    Une tragi-comédie sympathique dans une offre cinématographique médiocre : « The trouble with movies ».

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  • Au cinéma : Gloria, par Guilhem de Tarlé

     

    Gloria! - Film 2024 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Gloria !, un film italien (VOSTF) de Margherita Vicario, avec Galatea Bellugi (Teresa) et Paolo Rossi (Perlina)

    Gloria !…  un film musical et d’époque, agréable à regarder, et à entendre, qui nous transporte au XVIIIème siècle à l’Institut Sant’Ignazio de Venise, un orphelinat et conservatoire pour jeunes filles… Que demander de plus ?

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  • Au cinéma : El profesor, par Guilhem de Tarlé

     

    El Profesor - Film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : EL Profesor , un film argentin de Maria Alché et Benjamin Naishtat, avec Marcelo Subiotto (Marcelo Pena, dans le rôle titre) et Leonardo Sbaraglia (Rafael Sujarchuk, son rival).

    EL Profesor…  Le titre original est Puan, qui apparaît sur mon ticket et est le nom de la rue et de l’université de Buenos Aires.
    Selon le synopsis, c’est l’histoire d’un professeur de philosophie qui voit une promotion lui échapper avec l’arrivée d’un concurrent.
    On assiste à une succession de scènes sur fond de tensions sociales et de dialogues « philosophiques » qu’il faut lire très vite en VOSTF.
    Ce film n’est pas fait pour moi ; mon épouse est moins sévère et peut-être plaira-t-il à mes neveux argentins.

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  • Au cinéma : Les Gens d’à côté, par Guilhem de Tarlé

    Les Gens d'à côté - Film (2024) - SensCritique

     

    A l’affiche : Les Gens d’à côté, un film français d’André Téchiné, avec Isabelle Huppert (Lucie, agent de la police technique et scientifique), Hafsia Herzi (Julia) et Nahuel Perez Biscayart (Yann).

    Les Gens d’à côté… Quand La France Insoumise - « la Police tue » - prétend gouverner la France, on peut s’interroger sur l’à propos de ce film.
    Après avoir dénoncé, en effet, le mal-être de la Police, le réalisateur nous invite à essayer de « vivre ensemble » avec un individu devenu Black-Block parce qu’il aurait été « violenté » injustement (ben voyons) par des policiers.

    Contrairement à ce que j’écris habituellement à son endroit, Isabelle Huppert est peut-être, finalement, une excellente actrice qui s’identifie tellement à ses rôles, que j’en arrive à reporter sur elle l’antipathie que j’éprouve généralement à l’égard des personnages qu’elle incarne. C’est manifestement le cas dans ce long-métrage  où elle s’incruste chez ces Gens d’à côté alors qu’elle sait pertinemment qui ils sont…

    Hafsia Herzi a un rôle secondaire, mais sa présence au casting nous rappelle Borgo, sorti en avril dernier, sur le même sujet à savoir l’engrenage qui conduit une personne imprudente à « franchir la ligne »…

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  • Au cinéma : To the moon, par Guilhem de Tarlé

    To The Moon" : une comédie romantique avec Scarlett Johansson et Channing  Tatum revisite l'aventure américaine du premier pas sur la Lune

     

    A l’affiche : To the Moon, un film américain de Greg Berlanti, avec Scarlett Johansson (Kelly Jones, experte en marketting) et Channing Tatum (Cole Davis, directeur de la mission).

    To the Moon… une fiction, avec des personnages fictifs, inspirée de la « fake news » de « comploteurs » selon laquelle l’alunissage n’aurait pas existé et aurait été mis en scène par Stanley Kubrick…

    Qu’importe ? voilà bientôt deux siècles que Jules Verne anticipa d’envoyer trois hommes De la Terre à la Lune, et puis 30 ans après ce fut Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand qui inventa sept moyens « de violer l’azur vierge ! »… jusqu’à ce qu’en 1950, grâce au professeur Tournesol, Tintin puisse dire au monde entier « J’ai fait quelques pas ! … Pour la première fois sans doute dans l’histoire de l’humanité, ON A MARCHÉ SUR LA LUNE ! »

    To the Moon nous replonge, quelques années  plus tard, dans la guerre froide quand, en 1957, l’URSS envoyait un premier spoutnik, imposant aux USA d’investir dans la conquête de l’espace pour démontrer sa supériorité. La marche était haute avec le 1er vol orbital du soviétique Youri Gagarine en 1961.
    Ils furent nombreux (23), dans les deux camps, les morts au Champ d’Honneur, et Cole Davis se recueille devant les trois victimes d’Apollo 1er (1967).

    Le 21 juillet 1969, Neil Amstrong et Buzz Aldrin effectuaient ce « petit pas pour l’homme, un bond de géant pour l’humanité »… Nous nous en souvenons, nous l’avons vu en direct à la télé.

    Le véritable sujet du film porte sur la communication que la NASA a organisée autour de cet événement..
    Regrettons qu’à ce jour on sache peu de choses sur la suite et les retombées de la conquête spatiale.

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  • Au cinéma : Juliette au printemps, par Guilhem de Tarlé

    Juliette au printemps | Film Diaphana Distribution

     

    A l’affiche : Juliette au printemps, un film français de Blandine Lenoir, avec Izia Higelin (dans le rôle titre), Jean-Pierre Darroussin (Léonard, son père), et je ne pense pas que les autres méritent d’être cités si ce n’est, peut-être, Sophie Guillemin (Marylou, la sœur) que l’on imagine avoir vu dans la pub « comme j’aime » avant le repas à 3.92 €…
    adapté de la BD, Les Fantômes reviennent au printemps, de Camille Jourdy.

    Certes, nous avons passé une bonne soirée avec Aurore, de la même réalisatrice, en 2017, mais j’aurais dû relire mon commentaire d’Annie Colère (2022) avant de me fourvoyer dans ce long métrage absolument nul.
    Blandine Lenoir est « feministe », ce qui explique qu’elle ne sait rien de la féminité qui est précisément de donner la vie. Cette réalisatrice est une militante de l’avortement, sans doute ancienne du MLAC et, si sa Juliette n’évoque pas la question – au contraire, on pleure la mort subite d’un nourrisson -, elle en situe néanmoins le féminisme dans la « femme libre », adultère ou divorcée… dont « l’art » consiste à peindre la sexualité.
    Pour ne pas être complètement négatif, constatons quand même l’excellente prestation de Jean-Pierre Darroussin qui, comme le dévoile la bande-annonce, cuisine des « croque-vieux –monsieur », et les croquis magnifiques que Juliette réalise sous nos yeux.

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  • Au cinéma : Memory, par Guilhem de Tarlé

    Memory - Film 2023 - AlloCiné

    Mostra de Venise 2023 : Memory, un film américain (VOSTF), le premier long-métrage du réalisateur mexicain Michel Franco, avec Jessica Chastain (Sylvia), Peter Sarsgaard (Saul Shapiro) et Merritt Wever (Olivia, la sœur de Sylvia).

    Memory… Mon épouse a apprécié alors que je ne suis tellement pas « rentré » dans le film que j’ai décidé d’aller le revoir tout de suite…

    C’est donc sans complexe que je le trouve artificiel, sans intérêt, avec des personnages « parachutés » qui ne viennent de nulle part, à commencer par Saul qu’elle n’a jamais rencontré au lycée… et donc qu’elle n’a aucune raison de fuir puisqu’elle ne le connaît pas… et puis Olivia… et puis « l’explication » finale controuvée, parce qu’il faut bien conclure…

    Comme son nom l’indique, Memory veut traiter de la mémoire… Souvenons-nous de ne pas y retourner une troisième fois.

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  • Au cinéma : Blaga’s lessons, par Guilhem de Tarlé

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    Festival Reims Polar : Blaga’s lessons, un film bulgare (VOSTF) de Stephan Komandarev, avec Eli Skorcheva (Blaga Naumova, enseignante à la retraite).

    Blaga’s lessons… Même s’il commence comme une blague, il ne s’agit pas de cours d’humour, et ce n’est pas une comédie, ou alors une comédie dramatique.

    Depuis quelque temps l’offre cinématographique ne cesse de m’étonner qui « bande-annonce » nombre de films relativement tentants, alors que les grandes salles affichent toujours les mêmes titres que l’on pourrait ne pas voir, à l’exception notable du p’tit truc en plus.


    Au cinéma d’Art et d’essai, nous avons vu, en un mois, 4 films du Festival Reims Polar. Evidemment, ils ne figureront pas sur le podium 2024 mais, après Borgo, on ne jette pas son argent par la fenêtre avec ces Blaga’s lessons dont le scénario est assez original.

    Dommage quand même que ce long-métrage soit, précisément, et une fois de plus, un peu long (1h54).

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  • Au cinéma : Le Comte de Monte-Cristo, par Guilhem de Tarlé

    Le Comte de Monte-Cristo - Film 2024 - AlloCiné

     

    Cannes 2024 : Le Comte de Monte-Cristo, un film français de Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière, avec Pierre Niney (dans le rôle-titre, alias Edmond Dantès), Anaïs Demoustier (Mercédès Herrera), Bastien Bouillon (Fernand de Moncef), Laurent Lafitte (Gérard de Villefort, le Procureur), Patrick Mille (Danglars), Pierfrancesco Favino (l’Abbé Faria), Anamaria Vartolomei (Haydée), Julien de Saint-Jean (Andrea, fils illégitime du Procureur),
    d’après l’œuvre d’Alexandre Dumas (1844).

    Le Comte de Monte-Cristo… un livre que je pense avoir lu, enfant, mais dont je n’avais aucun souvenir autre que le Château d’If et l’existence de l’abbé… Je ne le retrouve d’ailleurs pas dans ma bibliothèque. De toutes façons, 800 pages c’est trop pour moi et je ne le lirai ou relirai plus maintenant que j’ai vu ce film dont l’intrigue, a priori simple, me paraît compliquée à loisir avec énormément de personnages (une trentaine dans le texte)…

    La durée du film (3h) et la bande-annonce ne me tentaient pas, et c’est faute de mieux que nous y sommes allés.

    Tant mieux ! je suis content d’avoir redécouvert ce roman au cinéma, et j’ai  passé un bon moment dans ce long-métrage à grand spectacle et cette histoire d’amour et d’amours, de trahisons, de justice et de vengeance…

    Sans doute les Royalistes n’’y sont pas présentés sous un beau jour, mais peut-on pinailler à l’ère des Macron, Mélenchon et autre Edouard Philippe qui appellent à voter communiste ?

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  • Au cinéma : Greenhouse, par Guilhem de Tarlé

    Greenhouse - Film 2022 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Greenhouse, un film sud-coréen (VOSTF), premier long-métrage de Sol-hui Lee.

    A quelques rares exceptions près, l’offre cinématographique est pour l’instant sans intérêt, et ce Greenhouse n’en change pas la couleur, sombre.
    C’est l’histoire d’une pauvre femme, aide à domicile de personnes âgées et dépendantes, qui à force d’être maltraitée et injuriée par certaine dont elle s’occupe, finit par sombrer dans la folie.

    On nous dit que c’est un thriller… je n’ai, personnellement, ressenti aucune émotion...

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  • Au cinéma : Salem, par Guilhem de Tarlé

    Salem

     

    A l’affiche : Salem, un film français de Jean-Bernard Marlin

    Salem… Le synopsis permettait d’imaginer u n film intéressant à savoir, dans les « quartiers difficiles » de Marseille, la grossesse d’une gitane amoureuse d’un comorien et la question de l’avortement…

    Il n’en est rien, et le cinéaste nous raconte une histoire abracadabrantesque d’une jeune fille née pour sauver la paix entre les quartiers… le tout dans le langage de ces enclaves qui nous fait regretter l’absence de sous-titrage.


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  • Au cinéma : Borner line, par Guilhem de Tarlé... Et vivent les frontières !

    Border Line - Film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Border line, un film espagnol (VOSTF) de Juan Sebastian Vasquez & Alejandro Rojas, avec Alberto Ammann et  Bruna Cusi (Diego et Elena).

    Border line… En l’occurrence, c’est la frontière… et le « national » que je suis veut des frontière qui, comme les portes de nos maisons, peuvent être « ouvertes ou fermées » selon notre désir ou notre refus de faire entrer celui qui vient de sonner.

    La disparition des frontières, c’est dans un sens, la porte ouverte aux migrants comme aux biens défectueux, dangereux ou illicites, fabriqués ou produits ailleurs, c’est en sens inverse, la fuite des capitaux qui délocalisent…

    Vive la frontière, donc, même si personnellement j’ai toujours beaucoup de difficultés pour la franchir, et je pourrais raconter quantité d’anecdotes à ce sujet.

    Je me suis donc senti particulièrement concerné par ce très bon huis-clos, une vraie pièce de théâtre, dans les bureaux de la douane de l’aéroport de New-York, où j’ai, moi aussi, vécu de longs quarts d’heure angoissants…


    Cela ne m’empêche pas de considérer que sur ce sujet les Américains ont raison.

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  • Au cinéma : Chien blanc, par Guilhem de Tarlé

    Chien blanc - Film 2022 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Chien blanc, un film canadien (VOSTF) de Anaïs Barbeau-Lavalette, avec Denis Ménochet et  Kacey Rohl (Romain Gary et son épouse Jean Seberg),
    adapté du livre éponyme de Romain Gary (1970).

    Je n’ai jamais rien lu de Romain Gary, et ne l’ai « rencontré » qu’une seule fois, en 2017, dans le (bon) film adapté de son roman La Promesse de l’aube. Je ne sais donc rien de ce qui est factuel et de ce qui est roman dans ce moment Chien blanc de la vie de Roman Gary et de Jean Seberg. Je regrette une fois de plus en ce sens que cette réalisation soit faite pour les « initiés », pour « l’entre soi » des « intellectuels » et des « militants » de la déségrégation raciale aux Etats-Unis.

    La réalisation de Mme Barbeau-Lavalette est lente et peu intéressante, alors qu’une Histoire des Noirs américains pourrait faire l’objet d’un film particulièrement instructif sur l’évolution d’une société :

    ·        De l’importation d’esclaves à partir du XVIIème siècle à la guerre de Sécession (1861-1865) en passant par La Case de l’oncle Tom (1852);

    ·        De l’abolition de l’esclavage à la ségrégation, quand dans le même temps la proportion de population noire des grandes villes évoluait de 16 % à 55 % à la fin des années 60... je n’ose donner un nom au ressenti des 45 % restants.

    ·        1950 – 1970 : Des manifestations de Martin Luther King aux émeutes raciales.

    Encore faudrait-il que tous ces « moralistes » aient l’envie de comprendre les événements avant de juger avec des yeux d’aujourd’hui ceux qui en ont été les acteurs.

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  • Au cinéma, pour une saine dénonciation de la déification du sexe : Maria, par Guilhem de Tarlé

    Critique du film Maria - AlloCiné

     

    Cannes 2024 : Maria, un film français de Jessica Palud, avec Anamaria Vartolomei ( Maria Schneider), Yvan Attal (Daniel Gélin, son père, acteur et cinéaste), Giuseppe Maggio (Bernardo Bertolucci et Matt Dillon ( Marlon Brando),
    adapté du livre de Vanessa Schneider, cousine de Maria, Tu t’appelais Maria Schneider (2018).

    Maria… un long métrage sur la pourriture du monde cinématographique à commencer par Bernardo Bertolucci, le réalisateur du dernier tango à Paris (1972)qui, « au nom de l’art », fait violer une jeune actrice, sous la caméra.

    Mais aussi Marlon Brando, qui se prête « au jeu », mais encore tout l’entourage de ces sinistres personnages, les cameramen, la scripte, la maquilleuse… qui ont assisté à la scène, et dont aucun, aucune, n’a su crier « Stop » pour sauver la comédienne qui hurlait et pleurait.

    Constatons d’ailleurs qu’elle-même est revenue ensuite sur le champ et a accepté de rebaisser son jean pour continuer la scène…

    Quand on pense à ce « monde », quand l’impudeur tient le premier rôle dans quasiment tous les films, quand on voit certaines pubs à la télévision aux heures de grande écoute, quand on ne parle que de « ça », peut-on s’offusquer que des enfants de 13 ans violent une petite fille de 12 ?

    N’est-ce pas, au-delà de tout, le règne, la déification, du sexe ?guilhem de tarlé.jpg