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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 59

  • Éphéméride du 10 avril

    1916 : Bataille de Verdun (photo : l'Ossuaire de Douaumont)

     

     

     

    1028 : Mort de Fulbert de Chartres 

     

    De L'Encyclopedia universalis :

    "Né près de Rome dans une famille pauvre, Fulbert eut pour maître un évêque italien, séjourna un peu à Rome, puis, vers 984, vint à Reims pour y suivre les leçons de l'illustre Gerbert d'Aurillac, le futur pape Silvestre II. En 992, il se rendit à Chartres pour apprendre la médecine. Bientôt il fut nommé maître, chancelier et chanoine. En 1006, la faveur du roi Robert le Pieux, qu'il connaissait depuis longtemps, le porta à l'évêché de Chartres. Fulbert acquit un prestige considérable auprès de ses contemporains; sa correspondance est une source importante de l'histoire de son temps. Après l'incendie de 1020, il reconstruisit sa cathédrale; la crypte actuelle est son œuvre.

    Fulbert est vénéré comme saint à Chartres.

    Disciple de Gerbert et utilisant comme celui-ci les grands texte de la logica vetus  Fulbert donne, par son enseignement à l'École cathédrale de Chartres, l'élan qui fera d'elle, au XIIème siècle, un centre d'études important, illustré par des penseurs de premier ordre (tels Bernard et Thierry de Chartres, Gilbert de La Porrée, Guillaume de Conches) et caractérisé par son intérêt pour les arts libéraux ainsi que par ses recherches philosophiques sur l'origine et la nature de l'univers.

    C'est à Fulbert que la célèbre école de Chartres doit ce goût de la science et des études profanes qui l'amènera à déborder les cadres du quadrivium dans le sens d'un "humanisme avant la lettre."  

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    http://nominis.cef.fr/contenus/saint/948/Saint-Fulbert.html 

     

    Sur les incendies et reconstructions de la cathédrale voir l'Éphémeride du 10 juin et l'Éphémeride du 17 octobre...

     

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  • Mercredi 10 Avril : Jean-Philippe Chauvin sera l'invité du Centre Lesdiguières...

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    LE CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de
    Communication Culturelle, vous invite le mercredi 10 avril à 19h à la conférence de Jean-Philippe Chauvin, professeur d’histoire en lycée public et royaliste social revendiqué :


    Les royalistes face à la question sociale, de la Révolution à nos jours.



    En 1791, la Révolution française détruit l’ordre social corporatif, au nom d’un libéralisme: ainsi, «le prolétariat naît de la Révolution française», (dixit le comte de Paris) la République n’aura guère de scrupules à faire tirer sur les ouvriers durant le XIXe siècle, siècle de l’exploitation des travailleurs de l’usine et de la mine.
    Les rois de France et les royalistes sociaux cherchent des solutions à la terrible question sociale, dans les villes comme dans les campagnes : Villeneuve-Bargemont, puis La Tour du Pin, Albert de Mun, et Maurras lui-même… dénonçant les conditions de travail et de vie des ouvriers.
    Aujourd’hui, la question sociale n’est toujours pas réglée, et les Gilets jaunes comme les paysans français et les ouvriers démontrent, par leurs colères respectives, la nécessité de nouvelles pistes, au-delà du libéralisme comme de l’étatisme: et si l’on écoutait ce que les monarchistes contemporains ont à dire, et à proposer?
    Jean-Philippe Chauvin évoquera une lecture monarchiste de la question sociale, de
    l’Ancien Régime à nos jours, avec l’ambition de valoriser une «autre voie» économique et sociale conciliant nécessité économique et justice sociale.
    La réunion sera suivie d'un buffet convivial Salle des Vignes : 3 bis, avenue Maréchal Randon à l’Ile Verte - 38000 GRENOBLE (tramway ligne B « la Tronche Hôpital »)


    (Inscription requise et participation aux frais)
    Merci de vous inscrire par courriel au centrelesdiguieres@gmail.com

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Philippe de Villiers n'y va pas de main morte : il a raison, il fait bien...

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  • Ephéméride du 9 avril

    1968 : Premier lancement au Centre spatial de Kourou, en Guyane

     

     

     

    1553 : Mort de François Rabelais

     

    Du XVIème au XXème siècle, les jugements les plus opposés ont été portés sur son œuvre si complexe, si riche en contrastes de toutes sortes. Les deux tendances de la critique sont assez bien résumées par le jugement de La Bruyère : 

    "Où il est mauvais, il passe bien loin au-delà du pire, c’est le charme de la canaille; où il est bon, il va jusques à l’exquis et à l’excellent, il peut être le mets des plus délicats"                             

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Dans la série des "Une" impayables de Libé :

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    Tous métis, vraiment ? En tout cas, pas à la Rédaction de Libé !

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  • Documents pour servir à une Histoire de l'URP (59) : 23 Novembre 38, Charles Maurras est à Avignon...

    (retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)

     

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    L'annonce ci-dessus paraît en "Une" de L'Action française du Mercredi 16 Novembre 1938 (tout en bas de la première colonne).

    Ce n'est que dans le numéro du Lundi 28 Novembre 38 que le journal donnera le compte-rendu de cette réunion, en page trois, sur la plus grande partie de la première colonne :

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : de Versailles à... Versailles !

    1632 : De Versailles à Versailles...

               

    Louis XIII achète la Seigneurie de Versailles à Jean-François de Gondi, archevêque de Paris.

    Il y construira un petit château que Louis XIV, venu à Versailles pour la première fois en 1651 (il avait 13 ans !...) ne voudra jamais démolir (ci dessous).

    À côté des immenses travaux d'agrandissement et d'embellissement qu'il fera réaliser, il chargera ses architectes d'envelopper le château de son père, d'où le nom d'Enveloppe...

    Pour comprendre ce qu'a voulu faire Louis XIV à Versailles, et de Versailles, Voir notre Album : Racines (IV) : Versailles, le Palais-temple du soleil... 

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  • Éphéméride du 8 avril

    1271 : Chute du Krak des Chevaliers

     

     

     

    819 : Louis le Pieux signe la Charte de fondation de l'Abbaye de Conques 

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    http://www.mondaye.com/les-prieures/sainte-foy-de-conques/bienvenue

    L'abbaye est, par ailleurs, au coeur d'un village qui fait partie du réseau des Plus beaux villages de France :

    http://www.les-plus-beaux-villages-de-france.org/fr/conques-0 

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Dans Figaro Vox, l'édito de :

    "Samara : la France harcelée par la violence ordinaire"

    L’ÉDITORIAL DU FIGARO - L’école est frappée en plein cœur par une entreprise de décivilisation ivre de son pouvoir.

    C'est la même société qui vote des lois sur la discrimination capillaire dans l'entreprise et laisse une jeune fille se faire battre à mort devant son école. Le même microcosme qui surveille, collecte, signale les « violences symboliques », tandis qu'explose sur le trottoir une sauvagerie de temps barbares. Le même pouvoir qui promeut les cours d'empathie et assiste désemparé au départ d'un proviseur menacé de mort parce qu'il a dit à une lycéenne de retirer son voile, au lynchage d'un jeune élève. Samara, nouvelle victime d'une litanie insoutenable de crimes où s'étreignent l'inhumanité et l'impunité, nouveau drame d'un grand renversement qui donne la primauté à la force sur le droit, à la cruauté sur la civilité, à la meute sur l'autorité...

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    • à écouter, aussi, l'édito du même Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 :

    "Samara, l’école de la violence ordinaire...Nouvelle victimes, nouveaux prénoms dans une litanie insoutenable de crimes où s’étreignent l’inhumanité et l’impunité. Nouveaux drames d’un grand renversement qui donne la primauté à la force sur le droit, à la cruauté sur la civilité, à la meute sur l’autorité..."

    https://x.com/vtremolet/status/1776296040599089226

     

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  • Il y a 25 ans, l’OTAN bombardait la Serbie, par Antoine de Lacoste

    Kosovo. Quand l'Otan attaquait la Serbie....
     
    Les Américains sont des professionnels de la guerre. Lorsqu’elles sont déclarées légales par l’ONU (c’est rare mais cela peut arriver, comme en Corée en 1950), ils organisent l’intervention souhaitée avec un mandat en bonne et due forme. Le plus souvent, ce n’est malheureusement pas le cas et c’est alors l’OTAN qui organise l’attaque contre la cible choisie. Il y a un savoureux stade intermédiaire qui consiste à obtenir un mandat de l’ONU sur la base d’un but de guerre précis qui est modifié en cours de route. Le cas de la Libye en est le plus bel exemple de ces dernières années.

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  • Au cinéma : Boléro, par Guilhem de Tarlé

    Bolero - Film 2024 - AlloCiné
     

     

    A l’affiche : Boléro, un film français d’Anne Fontaine, avec Raphaël Personnaz (Maurice Ravel), Emmanuelle Devos (la pianiste Marguerite Long), Jeanne Balibar (la danseuse russe Ida Rubinstein) et Doria Tillier (Misia).

    Après Les Innocentes (2016) et Présidents (2021), avec son Boléro Anne Fontaine nous enchante une troisième fois et nous invite à la danse, notamment dans un générique d’ouverture particulièrement exultant..
    Magnifique, ce long-métrage? Non, c’est le Boléro qui est magnifique. Pour moi qui ne suis absolument pas mélomane, qui n’ai aucune culture musicale et ignore la différence entre une symphonie et un concerto, le Boléro de Ravel appartient à la seule demi-douzaine d’œuvres que j’identifie avec un nom et un auteur, comme par exemple L’Ouverture de Tannhäuser de Wagner, Jésus que ma joie demeure de Bach ou La Cinquième de Beethoven.

    Je regrette d’ailleurs dans cette trop longue réalisation (2h) le trop peu de place laissé au Boléro, en regard au contraire d’une présence trop importante accordée à la pianiste Marguerite Long ou à la « muse » Misia, par rapport aux brèves biographiques qui les citent à peine. En revanche on admire « Le Belvédère », la vraie maison de Ravel à Montfort-L’amaury dans laquelle quelques scènes ont été tournées.

    Une bonne soirée à recommander.

    Question en guise de conclusion : l’Académie Française définit le Boléro comme une « danse espagnole (… dont) on marque le rythme avec des castagnettes ». Connaissez-vous d’autres boléros que celui de Ravel ? et où sont les castagnettes ?

     

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  • Éphéméride du 7 avril

    1930 : Antoine de Saint-Exupéry est fait Chevalier de la Légion d'honneur

     

     

     

    451 : Metz incendiée par Attila    

     

    À la tête d’une armée coalisée hunno-germanique, Attila se lance au printemps 451 dans une campagne contre la Gaule. Cette armée réunit les peuples Gépides (les plus nombreux) : Wisigoths, Skires, Suèves, Alamans, Hérules, Thuringes, Francs, Burgondes, Alains, Sarmates...

    Elle est donc majoritairement germanique et les Huns n’en composent qu’une infime partie.

    Mais la Gaule va lui résister : le 7 avril, Attila brûle Metz, mais échoue, ensuite, devant Paris, sous l’impulsion de sainte Geneviève (voir l'Éphéméride du 3 janvier); il échoue ensuite de nouveau à Orléans - défendue par Saint Aignan - où il comptait franchir la Loire.

    Attila verra une coalition se former contre lui, sous les ordres d'Aétius, composée de tous les peuples établis en Gaule à cette époque : c’est en Champagne qu'aura lieu la bataille finale des Champs catalauniques, scellant l'échec de cette invasion de la Gaule par les Huns (voir l'Éphéméride du 20 juin). 

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    Dans notre album L'aventure France racontée par les cartes, voir la photo La fin de la Gaule romaine (II) : Attila

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     
    Samara, l’école de la violence ordinaire...
     
    L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers : 
     
    "La France devient un chaos tempéré par de valeureux professeurs, policiers, infirmières, parents qui font ce qu’ils peuvent. Le pouvoir - lui - commente, se contemple et se noie dans les mots quand il devrait protéger nos libertés élémentaires et la vie de nos enfants..."

    (extrait vidéo 3'39)

    https://x.com/vtremolet/status/1776136227386773620

     

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  • Éphéméride du 6 avril

    1943 : Parution du "Petit Prince"

     

     

     

    1199 : Richard Coeur de Lion est tué au siège de Châlus 

     

    Bien conseillé par le sage et avisé Suger, qui "arrangea" ce mariage, le roi Louis VII (plus tard, père de Philippe Auguste) épousa Aliénor d'Aquitaine, alors qu'elle n'avait que quinze ans. Sans guerre et sans dépense, le roi agrandissait ainsi le royaume de la Guyenne, de la Gascogne, de la Saintonge, du Limousin, du Périgord, de l'Angoumois, de la Marche et du Poitou !

    Mais la reine avait un très mauvais caractère et, surtout - la chose est avérée - était très volage : tant que Suger vécut, le couple royal résista malgré tout, mais, Suger disparu, Louis VII fit annuler son mariage en 1152, au concile de Beaugency, pour cause d'infidélité(s).

    Un mois et demi après, Aliénor se remariait avec Henri Plantagenêt, comte d'Anjou et duc de Normandie, qui devint roi d'Angleterre deux ans plus tard. Le nouveau couple fut aussi "malheureux" que le premier, mais il eut deux enfants mâles : Richard Cœur de Lion (roi d'Angleterre à la mort de son père, en 1189), preux chevalier mais piètre politique, et son cadet Jean sans Terre, lui ni preux ni politique, et qui devint roi d'Angleterre à la mort de son frère.

    Ce fut la tâche de Philippe Auguste, fils de Louis VII et de sa troisième épouse, Adèle de Champagne, que de "réparer" les conséquences désastreuses de l'annulation du magnifique "mariage aquitain" de son père, voulu et "arrangé" par le grand Suger. 

    Il y parvint au-delà de toute espérance, puisqu'il devait quadrupler le territoire national, aucun roi n'ayant agrandi le pays comme lui : cette brillante énergie mérita d'être regardée par les historiens comme une sorte de première Guerre de Cent ans... 

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    Le château de Châlus, d'où fut tirée la flèche qui tua le roi Richard 

    www.richardcoeurdelion.fr/  
    Et, dans notre album L'aventure France racontée par les cartes, voir les deux photos Aliénor d'Aquitaine et "La puissance des Plantagenêts" 

     

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