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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 64

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Dans "La Tribune", cette bonne nouvelle :

    Les Pays-Bas préfèrent le Caracal d'Airbus Helicopters au Black Hawk de Sikorsky

    Selon le supplément du Journal officiel de l'Union européenne, les Pays-Bas ont officiellement attribué le marché pour la fourniture de 14 hélicoptères de transport tactique et logistique à Airbus Helicopters. Le Caracal (H225M) a gagné en finale contre le UH-60M Black Hawk du constructeur américain Sikorsky...

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    (Crédits : Airbus Helicopters/Anthony Pecchi)

    Un très bon signal pour Airbus Helicopters. A quelques semaines du choix de la police allemande (Bundespolizei) pour une commande majeure (40 hélicoptères lourds), le contrat signé le 1er octobre par Airbus Helicopters aux Pays-Bas pour l'acquisition de 14 Caracal (H225M) dans le cadre d'une procédure négociée, selon le supplément du Journal officiel de l'Union européenne, montre à quel point cet appareil séduit certaines des forces armées les plus exigeantes dans le monde entier, comme Singapour, les Émirats Arabes Unis et la France. Les Pays-Bas sont le douzième client à l'export du Caracal en vue de remplacer des vieilles machines déjà fournies par Airbus Helicopters (Cougar).

     

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  • Grandes "Une" de L'Action française : du 4 au 11 septembre 1934, la croisière du Campana...(2/11)

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

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    • Dans le numéro du Lundi 23 Juillet 34 (page deux)... :

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    Cela pourra surprendre, mais L'Action française n'insista pas trop sur la Croisière, les tous premiers jours, ni sur la présence de Maurras à bord, pendant la première journée; ni sur sa brève rencontre avec le Comte de Paris...

    D'autre journaux relatèrent pourtant ces moments : tel, ci-dessous, Le Petit Marseillais...

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  • Éphéméride du 25 octobre

    2007 : Premier vol commercial pour l’A 380

     

     

     

     

     

    732 : Charles Martel repousse les Maures 

     

    Probablement sur le territoire de la commune de Moussais (rebaptisé depuis Moussais-la-Bataille), les Francs commandés par Charles Martel ont repoussé une razzia menée par Abd el Rahman, lors de la bataille de Poitiers : 

     

    https://www.herodote.net/25_octobre_732-evenement-7321025.php 

     

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    Partis de Pampelune, les musulmans - qui ont envahi l'Espagne en 711 - ont conquis le Sud-ouest et ravagé Bordeaux; ils ont aussi fait des incursions dans le Sud-est : des légendes locales (comme celle de la Cabro d'Or, aux Baux-de Provence) et la toponymie en gardent quelques souvenirs (le massif des Maures; la Garde-Freinet...).

    Ils remontent maintenant vers le Nord-ouest, pour y piller les riches monastères. C'est là que Charles Martel - y gagnant son surnom... - stoppera définitivement leur avancée.  

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    Charles Martel mourra neuf ans plus tard, en 741 : sur son importance et le rôle politique qu'il a joué, voir l'Éphéméride du 22 octobre. 

     

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpgAu Rassemblement Royaliste des Baux, Pierre Debray a dit, un jour, que la royauté française était "la flèche du progrès".

    À Versailles, en 2010, s'est tenue une remarquable exposition : "Sciences et Curiosités à la Cour de Versailles".

    Cette exposition "dit" l'Histoire, mais la vraie : oui, sous Louis XV et Louis XVI, aboutissement de mille ans d'efforts des quarante rois qui firent la France, la royauté était "la flèche du progrès" dans tous les domaines : intellectuels, artistiques, scientifiques...

    Une authentique politique de civilisation, voilà ce qu'ont mené nos Rois : il faut le faire savoir et/ou le rappeler à tous, à temps et à contretemps...

    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Alain Juppé vient de déclarer :

    "Est-ce qu’il y a une forme d’islam qui est compatible avec la République ? Je veux encore le croire. Parce que si la réponse est non à cette question, cela veut dire qu’il y a 4 à 5 millions de Français musulmans qui n’ont pas la place chez nous. ET on ne peut pas l’accepter..."

    Ivan Rioufol tacle cette "incroyable légèreté de Juppé : il s'interroge aujourd'hui sur l'Islam, après avoir défendu les "accommodements raisonnables", rejeté l'assimilation, dénoncé l'islamophobie, soutenu le port du foulard, vanté "l'identité heureuse", salué les Frères Musulmans et leur "vision d'un islam libéral et respectueux de la démocratie", décoré de la légion d'honneur l'imam Oubrou, proche de l'UOIF...

    En attendant, deux constatations, tirées de "la rue française" (pour détourner et ré-employer une expression stupide : "la rue arabe", nouveau "tic" de certains journaleux...) :

    1.  Oui, nous avons bien 4 à 5 millions de "Français" musulmans qui n’ont pas la place chez nous : c'est le Système, dont Juppé est l'un des représentants éminents, qui les a fait entre de force chez nous, malgré nous, sans nous, contre nous...

    2. ET on ne peut pas l’accepter...

    Alors ?

     

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  • Grandes "Une" de L'Action française : du 4 au 11 septembre 1934, la croisière du Campana... (1/11)

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

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    • Dans le numéro du Lundi 23 Juillet 34 (page deux)... :

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    • ...Et Dans le numéro du 31 août 34 (cliquez sur l'image pour l'agrandir) :

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    • Dès le premier juillet 1934 - à peine cinq mois après le "6 février" !... - L'Action française annonçait :

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    • Ensuite, après la Croisière, à partir du numéro du 18, l'A.F. publiera plusieurs fois ce pavé :

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    (Là aussi, cliquez sur la photo pour l'agrandir et pouvoir lire les lignes de Georges Gaudy...)

    L'Action française rendra compte du voyage, d'abord, à partir du 9, puis fournira maints commentaires, jusqu'au 25 septembre (notamment du 20 au 25, sous la plume enthousiaste et lyrique de Georges Gaudy).

    À noter : Maurras ne resta qu'un jour à bord, le premier, et débarqua le lendemain, le cinq, jour où le Prince embarqua; et Daudet ne fit pas partie du voyage, pas plus que Bainville, déjà touché par le mal qui devait l'emporter un peu plus d'un an après...

    C'est donc Maurice Pujo qui fut comme le "chef de file" des quatre cents Camelots et responsables du Mouvement qui eurent la chance de participer à ce beau moment, au nombre desquels figurait le Commandant Dromard, premier Président de l'Union Royaliste Provençale, qui était "en force", comme entouré de son état-major ! : Duneau, secrétaire général de la Fédération provençale; Jules Servent, Président des Camelots du Roi des Bouches-du-Rhône; le comte Léon de Montgrand, vice-président du Comité royaliste de Marseille (1)...

    • Avant le premier compte-rendu d'importance, le 9 (photo de titre), L'Action française du 4 annoncera sobrement, dans sa "Une" :

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour :

    1648 : Signature des Traités de Westphalie 

     

    Pour Jacques Bainville, ils sont, tout simplement, "le chef d'oeuvre politique du XVIIème siècle".

    L'Empire (concrètement, ce que l'on appelle aujourd'hui l'Allemagne) était divisé en plus de 350 États (la Croix des géographes...); la France obtenait définitivement les Trois Évêchés (Metz, Toul et Verdun) en même temps qu'elle se voyait durablement libérée, au nord-est, de tout danger immédiat.

    Ces Traités vont assurer pour plus d'un siècle la prépondérance française en Europe.

    Ci dessous, Traité de paix dit traité de Westphalie, entre Louis XIV, roi de France, et l'empereur et les princes allemands. Page de signatures. Münster, 24 octobre 1648.

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    De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre XI, Louis XIII et Richelieu : la lutte nationale contre la maison d'Autriche :

    "La paix de Westphalie fut signée en octobre 1648.

    Cette paix, qui devait rester pendant un siècle et demi la charte de l'Europe, couronnait la politique de Richelieu. C'était le triomphe de la méthode qui consistait à achever la France en lui assurant la possession paisible de ses nouvelles acquisitions. Il ne suffisait pas d'ajouter l'Alsace au royaume. Il fallait encore que cette province ne fût pas reprise au premier jour par les Allemands. Il ne suffisait pas d'humilier la maison d'Autriche, de lui imposer une paix avantageuse pour nous. Il fallait encore, pour que cette paix fût respectée, pour que le résultat d'une lutte longue de plus d'un siècle ne fût pas remis en question, que l'Empire fût affaibli d'une façon durable et qu'il ne pût se réunir "en un seul corps".

    Au traité de Westphalie, la politique qui avait toujours été celle de la monarchie française, celle des "libertés germaniques", reçut sa consécration. Notre victoire fut celle du particularisme allemand. La défaite de l'Empereur fut celle de l'unité allemande. Mosaïque de principautés, de républiques, de villes libres, l'Allemagne, au lieu d'un État, en formait plusieurs centaines. C'était l'émiettement, l'impuissance, le libre jeu laissé à notre diplomatie, car ces trois cent quarante-trois États indépendants, de toutes les tailles et de toutes les sortes, étaient maîtres de leurs mouvements et de leurs alliances. Leurs rapports avec l'Empire devenaient extrêmement vagues et s'exprimaient par une Diète, un véritable Parlement, où, avec un peu de savoir-faire, nos agents pouvaient intervenir de façon à tenir le "corps germanique" divisé.

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              Signature des Traités à Münster...   

             

    Le principe de l'équilibre européen, fondé par le traité de Westphalie, reposait sur une véritable élimination de l'Allemagne, ce qui resta notre doctrine constante, parce que c'était notre plus grand intérêt, jusqu'à la fin du dix-huitième siècle. Enfin pour conserver ces résultats, pour empêcher qu'il y fût porté atteinte et que l'Allemagne fût conduite par une seule main la France, ainsi que la Suède, avait un droit de garantie au nom duquel elle pouvait s'opposer à tout changement de la Constitution de l'Empire, à toute redistribution des territoires, en d'autres termes aux ambitions de la maison d'Autriche on de tout autre pouvoir qui reprendrait son programme de domination des pays germaniques.

    L'Allemagne n'était plus, comme disait plus tard Frédéric II, qu'une "République de princes", une vaste anarchie sous notre protectorat. Ruinée, dépeuplée par la guerre de Trente Ans, réduite à l'impuissance politique, elle cessait pour longtemps d'être un danger. Nous aurions encore à nous occuper d'elle. Nous n'avions plus à craindre ses invasions : la grandeur de la France date de cette sécurité.

    Il est rare qu'on puisse fixer des moments où la politique a obtenu ce qu'elle cherchait, où elle l'a réalisé, dans la mesure où les choses humaines comportent les réalisations. Le traité de Westphalie est un de ces moments-là."

     

    C'est cette grandiose vision géostratégique des choses que la Révolution, les deux premières Républiques et les deux Empires défirent consciencieusement, créant au contraire l'Allemagne unifiée au nom du dément principe des nationalités : ce qui s'appelle travailler "en intelligence avec l'ennemi"... en l'occurrence, cette Allemagne unie, qui nous a fait tant de mal...

    Pour suivre les étapes de cette criminelle politique anti-française menée obstinément, contre tout bon sens, par Révolution, Républiques et Empires, voir, dans notre album Maîtres et témoins (II) : Jacques Bainville les deux photos "Intelligence avec l'ennemi : le recès de 1803" et "...la médiatisation de 1806"

     

     Et, dans notre album L'aventure France racontée par les cartes, voir la photo "Les Traités de Westphalie, chef-d'oeuvre absolu"

  • Éphéméride du 24 octobre

    Les Capétiens partout (Œuvre de Georges Mathieu)

     

     

    996 : Mort d'Hugues Capet 

     

    Élu Roi en 987, il n'aura pas régné bien longtemps ! 

    Et pourtant Jacques Bainville - qui écrit, avec raison "...les premiers règnes furent sans éclat..." - affirme que l'année 987, qui l'a vu accéder au trône, est néanmoins la date la plus importante de notre Histoire.

    Ci dessous, en orangé, on voit ce qu'était réellement ce qui allait devenir "la France" à l'avènement d'Hugues Capet : bien peu de chose !

     

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  • Au Cinéma : Le Consentement, par Guilhem de Tarlé

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    A l’affiche : Le Consentement, un film français de Vanessa Filho, avec Jean-Paul Rouve (Gabriel Matzneff), Kim Higelin et Élodie Bouchez (Vanessa Springora), Laetitia Casta (la mère de Vanessa),
    adapté du livre éponyme de Vanessa Springora (2020).

    « La lecture d’un livre peut changer le cours d’une vie »… J’en suis intimement persuadé, et je donne entièrement raison à ce propos de Gabriel Matzneff qui introduit Le Consentement de Vanessa Filho. Je ne serai certainement pas ce que je suis, je ne penserai et n’écrirai certainement pas ce que je pense et j’écris si l’étudiant que j’étais n’avait pas lu en 1968 – à la veille des « événements de Mai » – le livre Fondements de la cité de Jean-Marie Vaissière, alias Jean Ousset, qui reste aujourd’hui encore sur ma table de chevet.

    En revanche je n’ai lu ni le livre de Vanessa Springora, ni les moins de seize ans publiés par Gabriel Matzneff en 1974, ni d’ailleurs aucun des livres de cet horrible individu. L’histoire commence alors que Vanessa Springora est dans sa quatorzième année, soit en 1985. Elle ne raconte pas qu’à cette date cet « ogre » jouit, depuis près d’une dizaine d’années, d’une table ouverte – d’un lit ouvert – dans les médias. Il a publié un « point de vue », dans Le Monde des 7-8 novembre 1976, intitulé L’amour est-il un crime ? dans lequel il se qualifie d’ «amoureux de l’extrême jeunesse » et demande la modification de l’« odieux » et « courtelinesque article 330 et l’article 331 » du code pénal qui condamnent « tout attentat à la pudeur consommé ou tenté sur la personne d’un enfant âgé de moins de quinze ans ». La conclusion de cette déclaration mérite d’être citée : « Les perturbateurs des moins de seize ans ne sont pas les baisers de l’être aimé, mais les menaces des parents, les questions des gendarmes et l’hermine des juges » ! A noter d’ailleurs que Le « quotidien de référence » ne fait aucune réserve sur cette prise de position et « embauche » même son auteur pour une rubrique hebdomadaire qu’il tiendra jusqu’en 1982. Bernard Pivot pour sa part a invité au moins à deux reprises, en 1975 et, comme le montre le film, le 2 mars 1990, « l’écrivain germanopratin » qui obtiendra le Prix Renaudot Essai en 2013.

    Oui, Gabriel Matzneff est un pervers, mais la société libertaire dans laquelle il vit – nous vivons - ne l’est pas moins, et sans doute Vanessa Springora a-t-elle pâti, à différents titres, de l’absence du père.

    Un film, évidemment pas Tout public, sans doute à voir et à méditer, même si sa trop longue longueur (2h) amoindrit vers la fin la haute intensité du début.

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Lu sur OpexNews :

    "L'Arabie saoudite prête à commander 54 Rafale à Dassault Aviation !

    Riyad a officiellement demandé à Dassault Aviation de lui envoyer une proposition chiffrée pour l’acquisition de 54 #Rafale. L’avionneur a jusqu’au 10 novembre pour répondre. L’avion de combat tricolore réussirait là un coup colossal au nez et à la barbe de son rival européen, le #Typhoon du consortium #Eurofighter, considéré comme le deuxième choix de la Force aérienne royale saoudienne, après le #F15 américain."

    Il va sans dire que lafautearousseau se réjouit de cette éventualité, et souhaite que nos dirigeants, au-delà des rodomontades vaines et puériles dont ils nous abreuvent en tous temps et toutes circonstances, sauront se montrer à la hauteur de l'enjeu. 

    C'est là que l'on peut regretter, une fois de plus, l'incompréhensible départ du Ministère de la Défense - où il a excellé - de Jean-Yves Le Drian : pour ne retenir que cet aspect de la question, rappelons que, grâce à lui, les ventes d'armes à l'étranger sont passées de 4,6 milliards d'euros en 2012 à 20 milliards d'euros en 2016...

    Et nous avons souvent dit et écrit, ici-même, que Le Drian ferait un excellent Ministre de la Défense du Roi de France (comme Hubert Védrine ferait un excellent Ministre des Affaires étrangères du même)...

    Il ne reste donc qu'à espérer que ses successeurs falots/falotes sauront se montrer à la hauteur; à sa hauteur...

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Justice pour Franco ! (2/2)

    Voir "Dans notre Éphéméride de ce jour : Justice pour Franco ! (1/2)"

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    1940 : Hitller rencontre Franco à Hendaye

     

    Évidemment, la teneur de l'entretien étant restée secrète, chacun peut, selon ses opinions politiques, donner son explication de la chose : ce qui est certain c'est que le Caudillo - Galicien rusé... - refusa à Hitler toutes ses demandes, n'entra pas en guerre à ses côtés, et ne permit pas aux troupes de l'Axe le passage par l'Espagne, pour prendre à revers les forces françaises d'Afrique du Nord.

    En agissant ainsi, Franco oeuvra de fait, non seulement dans le sens des intérêts de la France, mais encore de ceux de la paix (en refusant une extension encore plus grande du conflit...), de l'Europe et de la Civilisation.

    Constatant son échec complet, et conscient de s'être fait berner, Hitler devait d'ailleurs déclarer, en substance, qu'il préférerait se faire arracher trois ou quatre dents plutôt que de recommencer une négociation avec un homme pareil... 

    Le lendemain, Hitler connut un second échec d'importance : sur sa route de retour, il rencontra le maréchal Pétain, à Montoire. Pétain "se montra opposé à toute déclaration de guerre à l'Angleterre, comme à toute paix séparée, et, quelques semaines plus tard, manifesta spectaculairement ses réserves en éliminant Laval du pouvoir (13 décembre 1940)" (Michel Mourre).

    Pour mémoire, Pierre Laval, comme tant d'autres "collaborateurs", venait de la gauche : franc-maçon, député socialiste, très lié à la CGT, il était aussi très lié avec Jacques Doriot, maire communiste de Saint-Denis, lui aussi "collabo"...  

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    De Gaulle déclara : 

    "Qu'on imagine ce qu'eût été le développement du conflit, si la force allemande avait pu disposer des possessions françaises d'Afrique. Au contraire, qu'elle fut l'importance de notre Afrique du Nord comme base de départ pour la libération de l'Europe."  (Journal officiel de la République française, Débats de l'Assemblée consultative provisoire, 15 mai 1945). 

    Bien plus tard, le 8 juin 1970, de Gaulle ira rendre visite au général Franco, rendant ainsi témoignage, devant l'Histoire, du rôle éminemment positif que celui-ci avait joué, depuis sa victoire sur le marxisme-léninisme : voir l'Éphéméride du 8 juin...

  • Éphéméride du 23 octobre

     Eilean Donan Castle, à Kyle of Lochalsh, dans les Highlands

     

     

     

    1295 : Signature de l'Auld Alliance

     

    Il s'agit d'un traité d'alliance défensive, directement dirigé contre les Anglais, signé entre le Roi d'Écosse et le Roi de France.

    En réalité, l'alliance entre Français et Écossais, conséquence logique d'intérêts communs (les deux nations s'opposaient aux Anglais) remonte beaucoup plus loin dans le temps.

    Dès 1165, Guillaume le Lion envoie une ambassade à Louis VII de France. On connaît cette amitié durable sous le nom d'Auld Alliance. Le traité de 1295 prévoyait que si l'un des deux États subissait une attaque de l'Angleterre, l'autre État envahirait celle-ci.

    Ci dessous les armes d'Écosse, jusqu'à l'Acte d'union avec l'Angleterre de 1603 (Acte forcé...), portant la devise latine 

     

    Nemo me impune lacessit (Personne ne me provoque impunément). 

     

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  • Demain, ne manquez pas notre Ephéméride du jour...

    lfar flamme.jpgElle revient - entre autres choses - sur les Traités de Westphalie, grandiose vision géostratégique des choses qu'avait notre Royauté, et qui nous libéra, pour deux siècles du danger germanique, permettant notre prépondérance en Europe aux XVIIème et XVIIIème siècle, nos deux "Grands siècles".

    Les Encyclopédistes, puis la Révolution, les deux premières Républiques et les deux Empires défirent consciencieusement cette oeuvre bienfaisante, créant au contraire l'Allemagne unifiée au nom du dément principe des nationalités : ce qui s'appelle travailler "en intelligence avec l'ennemi", en l'occurrence, cette Allemagne unie, qui nous a fait tant de mal...

    Où l'on voit que la Royauté travaillait pour la France, la République idéologique contre elle et ses intérêts les plus essentiels...

    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    De Christine KELLY (posté sur tweeter) : bien vu, bien dit... Pas mieux ! :
    "• Menaces sur les réseaux sociaux ? ⁃ Même pas peur;
    • Saccage d’églises ? ⁃ Même pas peur;
    • Viol de femmes âgées ? ⁃ Même pas peur;
    • Viol d’enfant ? ⁃ Même pas peur;
    • Tuer des policiers ? ⁃ Même pas peur;
    • Tuer des pompiers ? ⁃ Même pas peur;
    • Frapper des médecins ? ⁃ Même pas peur;
    • Tuer des enseignants ? ⁃ Même pas peur;
    Donc alertes à la bombes au Château de Versailles... ou Aéroport ? 
    Pas d’autorité, pas de société."

     

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  • Le roman de Louis XIV, par Philippe de Villiers

    "Un roi qui perd son fils de sang a-t-il le droit de pleurer comme un être de chair ? Si je cède à l'éploration, on va me suspecter de me distraire du malheur du peuple. Et si j'ai les yeux trop secs, on va me réputer insensible au malheur de ma famille. Tant pis. Je m'abandonne à mon chagrin qui emporte mon royaume, mon État, ma charge, ma vie. Je pleure comme un petit enfant du Bon Dieu qui ne comprend pas l'amputation si soudaine, si cruelle. Je pleure comme un père qui va mettre en terre une part de ses affections, comme un roi qui voit sa lignée brisée même s'il sait que dans le mot "souffrance', il y a encore le mot "France'. "

    Avec le style et le panache qui ont fait ses succès littéraires, Philippe de Villiers brosse un portrait unique, époustouflant, du Roi-Soleil, monarque qui n'eut d'autre ambition que de hisser la France au pinacle des nations.

    Plon, 484 pages, 23 euros

    Fichier:Le roi soleil - panoramio.jpg — Wikipédia