Paris, jeudi 25 Avril...
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C'est en 1922 que parut "Le stupide XIXème siècle", dont on va lire, ci-après, une courte partie de l' "Avant-propos" ("en manière d'introduction", dit Léon Daudet).
Daudet, avec sa verve inimitable, y fait preuve d'un sens aigu du raccourci, aussi saisissant que lumineux.
Cet "Avant propos" est un survol brillant, autant qu'érudit, de quinze siècles d'Histoire et de ces quatre époques que furent les si mal nommés "Moyen-äge" et "Renaissance" (Daudet explique bien pourquoi, on le lira plus bas...), puis les deux "grands siècles" :
• le XVIIème siècle, d'abord, celui du Roi-Soleil, "Louis, le grand en tout", disait Pierre Puget (que Daudet cite, dans cet Avant propos);
• puis le XVIIIème, celui de Louis XV (et, là, on renverra le lecteur au remarquable "Le siècle de Louis XV", de Pierre Gaxotte).
Et c'est en se bornant à constater la rupture totale entre le XIXème siècle et les époques fécondes qui l'ont précédé que Daudet emploie le terme de "stupide" : terme, certes, polémique, mais Daudet n'est-il pas, aussi, un polémiste ? Et redoutable ?...
Posté sur tweeter par Destination Télé (dont l'excellente devise est empruntée à Solénitsyne : "Crois tes yeux, pas tes oreilles") :
"Hallucinant ! 9h actuellement sur France Inter : Un débat entre Jean-Michel Aphatie et Pablo Pillaud-Vivien animé par Nicolas Demorand. Ils sont d’accord sur tout : c’est la faute de «l’extrême droite» !
• Première réaction, de Destination Télé :
"Rigolez pas, c'est avec votre pognon !" (Coluche)...
• Deuxième réaction, de Goldnadel :
Retours vers le futur (festival) : Tristana, un film espagnol de Luis Buñuel, sorti en 1970, avec Catherine Deneuve (dans le rôle-titre), Fernando Rey (Don Lope, le tuteur de Tristana), Lola Gaos (Saturna),
adapté du roman éponyme de Benito Perez Galdos (1872)
Tristana… Un film avec beaucoup de charme, Le Charme discret de la bourgeoisie de Don Lope, un Don Juan chic mais vieillissant, à Tolède, comme l’Arlequin
« Hier c’était lui l’amant
Mais cela ne dure »
Il y a aussi, quoiqu’en dise mon épouse, le charme de Saturna, la femme de chambre.
Quant à Tristana elle-même… qu’elles sont loin dans ma mémoire Les Demoiselles de Rochefort de Jacques Demy (1967) !…
Elle m’a ébloui… et j’avais aussi oublié, la même année, la beauté et la fraicheur de cette Belle de jour (1967) que l’on ne voit plus maintenant qu’en Bernadette (2023).
« Vraiment, la reine eut près d’elle été laide
Quand, vers le soir,
Elle passait sur le pont de Tolède
En corset noir »
(Victor Hugo, Gastibelza)
Mutatis mutandis, à voir cette jeune fille devenir l’amante de son tuteur, le fuir puis revenir vivre à ses crochets pour pouvoir mieux le haïr, j’ai pensé à Christine Angot…
Mais contrairement au documentaire de cette dernière, la fiction de Buñuel vaut la peine d’être vue, quoiqu’on pense de l’anticatholicisme et de l’anti franquisme du cinéaste.
1920 : Parution de "Les conséquences économiques et politiques de la paix", de Jacques Bainville; ou : Bainville contre Keynes...
On pourrait tout aussi bien dire : Bainville "contre" Keynes, au sens où les sportifs emploient le terme de "contrer" l'attaque d'un adversaire, et de l'empêcher...
Ce cri de colère - politique... - de Bainville répond en effet pour ainsi dire du tac au tac à un scandaleux ouvrage - se voulant purement économique - de Keynes, qui, prenait ouvertement parti pour un traitement amical envers l'Allemagne :
Keynes expliquait (!) qu'il fallait non pas dissoudre l'Empire allemand (qui n'avait que 48 ans d'existence...), comme le réclamaient les royalistes français (et aussi tous les patriotes et les "lucides"...) mais au contraire intégrer la nouvelle Allemagne (!) dans l'économie européenne, pour renforcer celle-ci et, croyait-on, préserver l'Allemagne de ses vieux démons, en la rendant "démocratique" : "Les Princes des nuées", tel est le titre d'un livre de Maurras, qui s'applique directement à de telles croyances niaises mais mortifères, comme l'Histoire allait très vite le montrer...
Les théories fumeuses de Keynes - mais aussi d'un grand nombre d'anglo-saxons, notamment le malfaisant président des État-Unis, Woodrow Wilson - allaient directement contre les intérêts vitaux du peuple français, et son livre était à ce titre malfaisant au dernier degré. D'où la réponse immédiate, énergique et d'une fureur contenue de Jacques Bainville...
Dans notre Album Maîtres et témoins... (II) : Jacques Bainville voir les deux photos consacrées à ce débat : "Les conséquences politiques de la paix (1) et " "Les conséquences politiques de la paix (2)"
Et, sur l'action néfaste elle aussi du président des États-Unis Woodrow Wilson, voir l'Éphéméride du 3 février...
Ce n'est pas la première fois que les deux textes sont publiés côte à côte. Cependant, à quatre-vingts ans de distance, l'Histoire a parlé, elle a montré qui avait raison...
Le texte de Bainville parle très peu d’économie. Or le point de vue économique intéressait au premier chef l’opinion britannique ou américaine. En France en revanche, "Les Conséquences politiques de la paix" passa pour ce qu’il est : un chef d’œuvre de l’analyse géopolitique.
L’auteur y montre en particulier qu’en démantelant l’Autriche-Hongrie sans démanteler de manière similaire l’Empire allemand, les négociateurs de la Conférence de Paris ont détruit, au centre de l’Europe, les conditions de l’équilibre européen. Il décrit, en 1920, avec une précision étourdissante, la manière dont une Allemagne révisionniste s’y prendra pour reconstituer sa puissance : annexion de l’Autriche; conquête de la Pologne; éclatement de la Tchécoslovaquie.
Il n’y manque rien, même pas la durée de vie de l’ordre de Versailles : une vingtaine d’années...
Aigues Mortes aujourd'hui
1254 : Retour de Louis IX en France
Saint Louis quitte la Terre Sainte pour rentrer en France, après six ans d'absence : c'est la fin de la Septième Croisade.
Le roi s'était embarqué à Aigues Mortes (ci dessus) en 1249.
Après de sérieux revers militaires (il fut même fait prisonnier, et ne dut sa libération qu'à la forte rançon payée par l'Ordre du Temple, voir l'Éphéméride du 11 février), le roi désira rester plusieurs années en Terre Sainte afin de consolider les États latins d'Orient, mais il fut contraint de retourner en France par le décès de sa mère, Blanche de Castille.
On a dans ce seul fait la démonstration que la royauté française faisait toute leur part aux femmes : dès le XIIIème siècle, elle donna - lorsque la nécessité l'imposait - tout le pouvoir politique, sur la totalité du territoire national, à six femmes, dont quatre étaient étrangères !
Et, parmi ces six femmes, le cas de Blanche de Castille fut unique, puisqu'elle exerça deux fois la régence :
• au début du règne de son fils, à cause de la minorité de celui-ci,
• et en août 1248, jusqu'à sa mort en 1252, afin de lui permettre d'aller en Terre Sainte.
On parle beaucoup aujourd'hui, et on abuse des mots de féminisme, non sexisme, non discrimination, ouverture et autres, sans parler, bien sûr, du prétendu anti-racisme, promu valeur suprême et horizon indépassable de la tartufferie et de l'hypocrisie de la République idéologique... : la royauté, elle, parlait moins, mais montrait d'une façon tout à fait concrète son vrai visage, d'ouverture et de progrès, n'en déplaise aux mensonges officiels et eux travestissements d'une désinformation aussi haineuse que sectaire.
Le roi rembarqua à Tyr (ci dessous), dans le sud du Liban.
Dans notre album L'aventure France racontée par les cartes voir la photo "Saint Louis et le Liban"
Paris, le 22 avril 2024
Élections européennes : à défaut de Souverain, votons souverainiste !
Les élections européennes sont pour tous les Français soucieux de l’intérêt national une occasion, certes incomplète et imparfaite, d’infléchir le projet européen. Ce projet – la suppression des souverainetés nationales au profit d’une entité supranationale fondée sur les principes de libre circulation des biens, des personnes, des capitaux et des marchandises –, que nous dénonçons depuis son origine, est non seulement une aberration en soi, mais elle a, de plus, largement fait la preuve de son caractère inutile, voire néfaste, notamment en matière d’économie, d’agriculture ou d’immigration.
L’Action française redit haut et fort son opposition à l’Union européenne, dirigée par une Commission autocratique et un Parlement sans légitimité réelle puisqu’il n’existe pas de peuple européen. Elle redit sa volonté d’œuvrer à l’abolition de cette structure technocratique au profit d’une union libre et circonstanciée des nations (gardant chacune sa souveraineté), qui du reste ne serait pas limitée au continent européen.
Aussi, à quelques semaines des élections législatives européennes, il nous semble important de soutenir la dynamique souverainiste, afin de donner à ses représentants les moyens de défendre les intérêts de la France. Cette dynamique a l’avantage d’envoyer un message clair au gouvernement et à tous les acteurs politiques et économiques qui se sont soumis à l’UE par conviction, par faiblesse ou par calcul : les Français veulent plus de France et moins d’Europe.
C’est pourquoi, il nous paraît important que les voix souverainistes ne se dispersent pas inutilement et s’inscrivent dans une recherche d’efficacité politique plutôt que de témoignage en se portant sur la liste patriote qui semblera la plus à même de peser au Parlement européen.
Indépendants de tous partis ou formations électorales, c’est librement que nous faisons cette recommandation. Seul l’intérêt de la France nous guide. C’est pourquoi le mot d’ordre de l’Action française n’a pas varié : par-delà toutes les élections, européennes ou nationales, elle rappelle qu’il n’y aura pas de souveraineté réelle sans Souverain.
Sur France info, un intéressant reportage sur le porte-avions Charles-de-Gaulle, qui a quitté Toulon, ce lundi 22 avril, pour une mission de plusieurs mois en Méditerranée... :
À ce propos, nous l'avons déjà dit, mais profitons-en pour le redire, avec ce reportage de France info :
1. Nous souhaitons que le remplaçant du Charles de Gaulle s'appelle "Le Richelieu"...
2. ...Et, surtout, qu'il ait un petit frère, qui sera nécessaire - à demeure - pour contrer les appétits de la Chine dans le Pacifique (Nouvelle-Calédonie...)
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Après les premières informations et les discours de la veille, voici maintenant, dans le journal du Mardi 5 juillet, la suite du compte-rendu, avec deux nouvelles photos (la première, en "Une" et l'autre en deuxième page) : Léon Daudet revient sur le Rassemblement, au début de son article, mais c'est surtout Maurice Pujo qui en parle (Maurras, dans sa "Politique" se contentant de... politique, et évoquant juste, en fin d'article "la quête champêtre de Noisy-le-Grand"...
• Voici d'abord la photo ornant le bas des quatre colonnes centrales de la "Une" :
• Ensuite, Daudet occupe l'intégralité de la première colonne; Pujo, ce qui reste de la deuxième, au-dessus de la photo (cliquez sur les photos pour les agrandir) :
La Cavalerie, aujourd'hui
Vers 305 , en Palestine, au temps de Dioclétien : Martyr de Saint Georges
Selon une reprise médiévale des mythes grecs et du combat de l'archange saint Michel contre la bête de l'Apocalypse, saint Georges aurait terrassé un dragon en Libye pour délivrer une malheureuse princesse.
Plus qu'une légende, il s'agit d'une allégorie du combat contre le paganisme et les forces du Mal.
En Gaule, très rapidement, plus de mille localités et de quatre vingts églises se placèrent sous son vocable; sa popularité y resta telle qu'elle lui valut, par la suite, d'être choisi par l'Armée française pour être le saint patron de la Cavalerie, qui a adopté comme cri de ralliement Et par Saint Georges, vive la Cavalerie !
Saint Georges est aussi le saint patron des Scouts et de la Catalogne...
1920 : Parution de "Les conséquences économiques et politiques de la paix", de Jacques Bainville; ou : Bainville contre Keynes...
On pourrait tout aussi bien dire : Bainville "contre" Keynes, au sens où les sportifs emploient le terme de "contrer" l'attaque d'un adversaire, et de l'empêcher...
Ce cri de colère - politique... - de Bainville répond en effet pour ainsi dire du tac au tac à un scandaleux ouvrage - se voulant purement économique - de Keynes, qui, prenait ouvertement parti pour un traitement amical envers l'Allemagne : Keynes expliquait (!) qu'il fallait non pas dissoudre l'Empire allemand (qui n'avait que 48 ans d'existence...), comme le réclamaient les royalistes français, mais au contraire intégrer la nouvelle Allemagne (!) dans l'économie européenne, pour renforcer celle-ci et, croyait-on, préserver l'Allemagne de ses vieux démons, en la rendant "démocratique" : "Les Princes des nuées", tel est le titre d'un livre de Maurras, qui s'applique directement à de telles croyances niaises mais mortifères, comme l'Histoire allait très vite le montrer...
lafautearousseau
Nous avons rappelé ce week-end que la France n'est pas morte, et qu'elle ne souhaite plus souffrir de l'immigration imposée par Paris et Bruxelles.
Nous sommes allés protester contre la construction d'un CADA dans une ville de moins de mille habitants, à Bélâbre (36). Un CADA à cet endroit, c'est à coup sur la mort d'un village.
Pour que nous puissions continuer à combattre cette vague migratoire, pour que nous puissions continuer de nous élever contre les politiques
anti-françaises nous avons besoin de vous.
La menace de nous bâillonner est bien réelle mais, grâce à vous, nous ne nous tairons pas.
Merci par avance pour votre soutien !
La Restauration nationale
10, rue Croix-des-Petits-Champs 75001 Paris
N'importe quel étranger, venu de n'importe où, entre en France comme il veut, et reçoit une pluie d'aides et subventions diverses et variées; et se permet, accessoirement, de violer, assassiner allègrement, avec une "surprenante" mansuétude de l'(in)Justice du Système...
Mais un jeune nageur d'origine russe, qui présente sa demande de naturalisation dans les formes et respecte nos lois; qui s'entraîne dur, au point d'être un réel espoir de médaille pour les JO : lui, il se voit refuser la nationalité !
Au nom des "valeurs républicaines" ?
SYSTÈME DE FOLIE ET EN FOLIE...
SYSTÈME POURRI !
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Le Rassemblement de Noisy fut "raconté" par deux numéros du quotidien : dès le lendemain (ci-après) mais également le surlendemain, mardi (voir notre livraison suivante). Et avec une abondance de photos rares pour le quotidien (trois dans le numéro du lundi, et deux dans celui du mardi). On va vite comprendre pourquoi, avec l'affaire du "ridicule avion" venu "lâcher quelques paquets de feuilles mortes..."...
Voici donc, d'abord, le lien renvoyant au numéro du lendemain, Lundi 4 Juillet 1932, qui "raconte" ce Rassemblement sur les trois premières colonnes de la "Une" (avec deux photos) et sur les deux premières colonnes de la page deux (avec une troisième photo); et donne un résumé des discours de Delalande ("au nom de la fédération des sections d'A.F. de la banlieue est, qui est l'organisatrice de cette réunion"), de l'Amiral Schwerer, de Paul Robain et de Léon Daudet. Maurras, présent à la réunion, n'y prit pas la parole (sa voiture arriva, dit le journal, au milieu d' "un cercle hurlant d'amis enthousiastes"...)...
Première photo, en bas des trois premières colonnes de la "Une" :
• Voici d'abord les trois premières colonnes de la "Une" (cliquez sur les images pour les agrandir) :
1370 : Pose de la première pierre de la forteresse de la Bastille
C'est sous le règne de Charles V qu'elle fut édifiée : destinée à défendre la Porte Saint-Antoine et les remparts de l'est de Paris, la Bastille ou Bastide Saint-Antoine était initialement un véritable château-fort et un arsenal. Elle faisait 66 mètres de long pour 34 mètres de large et 24 mètres de hauteur au niveau des tours, et était entourée de fossés de 8 mètres de profondeur.
C'est le cardinal de Richelieu qui la transforma en prison d’État - plutôt confortable du reste... - pour les personnes de qualité (nobles, grands bourgeois) qui disposaient de grandes pièces avec repas fins et d'un domestique.
La Bastille - représentée ci dessous sur une gravure du XVIIIème - comportait également un quartier pour les prisonniers communs, ainsi que des cachots (et non des oubliettes) qui servaient de punitions aux prisonniers insubordonnés comme, par exemple, le fameux Latude.
Or, il se trouve que, depuis la Révolution, la Bastille est l'objet d'une falsification historique sans précédent, et d'une ahurissante réécriture des évènements, qui laisse rêveur, et qui est bien l'une des choses les plus stupéfiantes, mais aussi les plus sordides, qui soient.
Revenons-y quelques instants...
N'ayant plus aucune valeur militaire depuis des lustres, totalement sous exploitée en tant que prison d'État, et gênant l'accroissement de la capitale vers l'est, il y avait bien longtemps que les rois avaient résolu sa disparition. Seules les difficultés financières chroniques de la royauté retardaient sa disparition.
En 1789 eut lieu, ici, l'un des événements les plus ignobles d'une Révolution qui n'en manque pourtant pas. Le gouverneur de Launay accepta de céder - sans combat - la forteresse aux émeutiers, à la condition expresse qu'il ne serait fait aucun mal à personne. Moyennant quoi, une fois les portes ouvertes, la garnison fut massacrée, et les têtes promenées au bout de piques...
"C'est ainsi que l'on se venge des traîtres."
Gravure de 1789 dépeignant des soldats ou des miliciens portant les têtes de Jacques de Flesselles et du marquis de Launay sur des piques.
Le pseudo mythe d'une prétendue "prise de la Bastille" - prise qui n'a jamais eu lieu puisque la citadelle s'est rendue sans combattre - mêle donc le mensonge à l'ignoble, dans une réécriture volontairement falsificatrice de la vérité historique, où le burlesque le dispute au tragique et à l'horreur :
• Jacques Bainville parlait des "ridicules légendes de la Bastille" : dans notre Catégorie "Lire Jacques Bainville", voir la note XXIII"Variations sur le 14 juillet, et l'erreur intériorisée de Louis XVI "
• Et, dans notre Album Écrivains royalistes (I) : Chateaubriand , voir la photo "Mystifications et falsifications de l'Histoire"
François Furet (ci dessous) ne s'y est pas trompé, lui qui a très bien vu que dès cet épisode, la Terreur est en gestation :
"La culture politique qui peut conduire à la Terreur est présente dans la révolution française dès l'été 1789", explique-t-il, et la prise de la Bastille inaugure "le spectacle de sang, qui va être inséparable de tous les grands épisodes révolutionnaires..."
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• Sur François Furet et son importance, voir l'Éphéméride du 27 mars, jour de sa naissance...
• Et, sur les mensonges et falsifications de l'Histoire, mais aussi sur les mensonges "sur et par les mots", on peut consulter nos deux notes permanentes sur lafautearousseau :