Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
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A l’affiche : Second tour, un film français d’Albert Dupontel, avec Albert Dupontel (le candidat), Cécile de France (Mlle Pove), Nicolas Marié (le cameraman, spécialiste du ballon rond).
Mademoiselle Pove est journaliste. Dans notre société wokiste qui s’intéresse tant au genre, j’hésite à écrire : est-elle un ou une journaliste ?
Le nom est apparu dans la deuxième édition de l’Académie française en tant que substantif masculin. L’édition actuelle, la 9ème , ne s’y risque plus qui ne précise ni « m » ni « f »…
Toujours est-il que cette dame est chargée de suivre la campagne du 2ème tour du candidat Pierre-Henry Mercier.
Depuis mon 1er vote, à l’époque à 21 ans, en 1969, j'ai toujours perdu au 2ème tour, sauf peut-être une fois où, à mon corps défendant, j'ai mis le choléra dans l'urne.
Là encore, avec Albert Dupontel, j'ai perdu... j’ai perdu mon temps dans un scénario farfelu et compliqué, qu’il qualifie lui-même d’ « histoire tarabiscotée en diable », avec un mauvais jeu d'acteurs le plus souvent inaudibles.
Les journalistes et critiques prennent leur air et leur ton le plus sentencieux pour s’interroger sur cette fiction « aussi saugrenue que la réalité » : Qu’est-ce qu’ « elle raconte » sur la politique ? et chacun y va de son discours sur la « parole politique », la liberté d’expression, faut-il mentir aux électeurs pour les trahir - une fois élu - au nom de « l’intérêt général » et des « valeurs de la République ».
Je crois pour ma part que, après d’autres, ce long-métrage « raconte » qu’une fois de plus la quantité, la production intensive, nuit à la qualité et qu’il serait préférable que cette industrie, qui vit largement de l’argent public, réduise drastiquement (50 %) le nombre de ses sorties hebdomadaires au profit d’un meilleur cinéma qui resterait plus longtemps à l’affiche.
Décidément, je ne voterai encore pas pour le candidat des médias, je ne voterai pas Dupontel.
1955 : Mort d'Utrillo (ici, La Place des Abbesses sous la neige, 1917)
1219 : Prise de Damiette, François d'Assise commence à organiser sa rencontre avec le sultan Al Kamil...
On est alors au début de la Cinquième Croisade et, en Égypte, les Croisés viennent de remporter un beau succès. C'est à cette période, pendant l'occupation de Damiette, que les Fioretti situent la rencontre du Sultan avec François d'Assise : celui-ci se rend auprès d’Al-Kamil pour le convertir, mais si Al-Kamil le reçoit cordialement et civilement, il refuse le baptême...
http://www.freres-capucins.fr/Saint-Francois-et-le-Sultan-Dieu.html
ENCORE UNE FOIS, LA HONTE !
LA HONTE POUR CE SYSTÈME POURRI
ET CETTE (IN)JUSTICE POURRIE
QU'IL A CRÉÉ À SON IMAGE !
Huit mois de prison avec sursis pour l'imam de Beaucaire, condamné ce jeudi, par le tribunal de Nîmes, pour apologie du terrorisme et provocation à la haine ou à la violence, en lien avec la guerre entre Israël et le Hamas !
Réaction aussi indignée que juste de Gilles-William Goldnadel :
"...Quelqu’un qui reprend ça, c’est un appel au meurtre. Et je vous signale que cette phrase là fait partie de la charte du Hamas. Qu’il ne prenne que 8 mois de prison avec sursis et que d’autre part, dans un an il va pouvoir recommencer ses appels au meurtre, c’est une honte totale..."
(extrait vidéo 0'51)
https://x.com/GWGoldnadel/status/1720334082683355170?s=20
1483 : Pierre Tarisel est nommé "maître maçon" de la ville d'Amiens...
Né vers 1442 et mort en août 1510, Pierre Tarisel fut d'abord maître-maçon du roi de France.
En 1475, il inspecta la cathédrale de Noyon, qui se détériorait, puis, en 1477, il passa à Arras.
Le 4 novembre 1483, Tarisel fut nommé maître maçon de la ville d'Amiens : il devait s'illustrer dans son poste en sauvant la cathédrale de l'effondrement...
Il se rendit rapidement compte que les piliers du transept étaient déformés par le poids des arches latérales, et comprit qu'une catastrophe imminente se préparait, et allait causer l'écroulement de la cathédrale : il n'avait pas oublié le désastre de Beauvais, en 1284, lorsque la voûte du chœur de la cathédrale Saint Pierre s'était effondrée, douze ans seulement après son achèvement.
Et donc, après des premiers travaux de confortement, il entreprit les travaux d'urgence nécessaires : il fit poser des arcs-boutants supplémentaires pour renforcer les arcs-boutants de la nef et du transept, mais surtout, s'étant rendu compte que les gros piliers de la croisée du transept bouclaient sous l'effet de la poussée des grandes arcades s'élevant à 42,3 mètres, il eut l'idée de génie qui allait sauver la cathédrale d'un effondrement certain : il décida de cercler presque tout l'édifice d'un chaînage en "fer d'Espagne", réputé le meilleur à l'époque. Ce chaînage, qui court dans le triforium de la nef et des transepts, est toujours en place aujourd'hui.
Il ne fallut guère plus d'un an à Pierre Tarisel pour régler, ainsi, et définitivement le problème.
Augustin Rodin qualifia la cathédrale d'Amiens - et ses 200.000 mètres cube d'espace intérieur, qui en font la plus vaste des cathédrales françaises - d' "empire absolu de l'élégance suprême"...
https://www.patrimoine-histoire.fr/Patrimoine/Amiens/Amiens-Notre-Dame.htm
Elle évoquera, entre autres sujets, la mort de la mère de Charles Maurras : vous y apprendrez, nous l'espérons, certaines choses que beaucoup ignorent, et approfondirez, ainsi, votre connaissance de l'homme Maurras...
lafautearousseau
D'Éric MAUVOISIN Delavaud, sur tweeter :
Naturellement, lafautearousseau appelle tous ses lecteurs, amis, sympathisants, présents et libres sur place ou dans les environs à se joindre à ce grand refus...
Bonjour à tous !
Annie Laurent (ici, lors d'un de nos Cafés politiques de lafautearousseau) vient de m'envoyer son dernier article :
Les hérésies chrétiennes dans le Coran – Ni rédemption ni grâce...
Nous laissons passer cette fin de semaine et, comme pour l'excellent texte d'Antoine de Lacoste reçu hier (sur la mort du Karabagh), nous débuterons en fanfare notre semaine, lundi et mardi prochain, avec ces deux contributions de haut niveau, pour lesquelles je vous souhaite, d'ores et déjà, une bonne lecture !
François Davin,
Blmogmestre
La charge bienvenue de Vincent Trémolet de Villers contre ces jeunes barbares dont le Système a importé les parents et grands-parents en si grand nombre et dont il prétend qu'ils sont français, alors que cette "greffe", imposée au Pays qui n'a rien demandé, ne prend manifestement pas, en ce qui les concerne...
Ces jeunes barbares ne sont pas français, et, un jour ou l'autre, comme le corps humain expulse la greffe qui ne prend pas, ils seront eux aussi expulsés, tout simplement...
Le "comment", on verra bien... "Là où il y a une volonté, il y a un chemin", disait de Gaulle
C'est l'édito politique sur Europe 1 :
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
• Dans le numéro du Lundi 23 Juillet 34 (page deux)... :
Voici la "Une" du Dimanche 16 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7657284
On le voit, on n'y parle pas de la Croisière, qui sera seulement évoquée, comme dans le numéro de la veille, au début de la Revue de presse (par "Intérim", en page cinq) :
A l’affiche : La Fiancée du poète, un film français de Yolande Moreau, avec Yolande Moreau (Mireille), Grégory Gadebois (Bernard), Estèban (Elvis, le Turc clandestin), Sergi Lopez (Fernando, le poète-plombier) et William Sheller (Père Benoît).
« Quand il est mort le poète
Tous ses amis pleuraient »
Permettez-moi comme commentaire d'oublier ce film sans intérêt pour chanter avec Gilbert Bécaud,
et aussi avec Brassens
« Qu'en éternel fiancé
À la dame de mes pensées
Toujours je pense ».
La « fiancée » n'est-elle pas en effet le mot le plus beau de la langue française qui allie à la fois féminité, amour et promesse d'amour.
Une nièce - et voisine - m'avait dit la bonne avant-première qu'elle avait vécue avec Yolande Moreau.
La Fiancée du poète.... Le titre, en effet, fait rêver, et reconnaissons qu'il y a de jolies photos et une bande son sympathique et entraînante....
C'est tout !
La Fiancée du poète.... c'est une histoire de faussaire, que Brassens, encore une fois, a magnifiquement chantée alors que le scénario de Yolande Moreau n'a rien d'original, et même pas, comme elle ose le prétendre, un côté "subversif", puisqu'il coche toutes les cases.
Je m'y suis ennuyé, surtout au début, particulièrement lent, et quand je n'évoque pas mon épouse, c'est qu'elle pense comme moi.
1468 : Sac de Liège (ici, la ville, de nos jours)
743 : Translation des restes de Saint Hubert devant l'autel de la collégiale Saint-Pierre de Liège
Le saint patron des chasseurs était le gendre du roi Dagobert.
Il abandonna son Duché d'Aquitaine à son frère, en 688, pour devenir moine, avant que sa renommée ne le fasse élire évêque de Liège.
La tradition raconte que sa vocation remonte à l'une de ses chasses, le jour du Vendredi saint, alors qu'il courrait un cerf : celui-ci lui apparut avec une croix entre les bois, et cette pensée lui vint alors : chasser un vendredi saint ? Pourquoi ne vas-tu pas plutôt prier ?
C'est Floribert, évêque de Liège et successeur d'Hubert - lui-même évêque de la ville - qui procède à la cérémonie : voilà pourquoi c'est au 3 novembre qu'on célèbre Saint Hubert, et non le jour de sa mort, le 30 mai 727.
Bonjour à tous !
Notre excellent ami Antoine de Lacoste m'envoie son dernier article, sur "La fin du Haut Karabakh", et en profite pour me signaler la mise en ligne de son blogue de géopolitique :
Je pense que vous serez d'accord avec nous tous, à la Rédaction, pour trouver ce blogue très bien fait et extrêmement agréable à parcourir; et, encore plus, à lire attentivement, pour se documenter et comprendre tant de choses qui, parfois échappent à bien des gens...
Nous avons décidé, à l'unanimité, de l'installer et le proposer dès à présent en lien permanent sur la page d'accueil de notre Quotidien...
Bonne lecture !
François Davin, Blogmestre
Ce lundi, Macron a inauguré en grande pompe la Cité internationale de la Langue française, et celle-ci a ouvert ses portes au public hier...
Ce sera un magnifique instrument au service de la Francophonie, pour peu qu'on l'utilise intelligemment, bien entendu.
Mais, puisque l'on parle de "langue", Macron, lui, quelle "langue" parle-t-il aux Français, et que leur dit-il ? "Ce qui n'est pas clair n'est pas français", disait Rivarol. Ce que dit Macron est-il clair ?
C'est le sujet de l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 (reçu par Dimitri Pavlenko) :
(ndlr/dernière minute : n'est-il pas scandaleux - et stupide ! - que Macron se soit exprimé en "étranger" lors de son déplacement au Kazakhstan, au lieu de parler français ? Les voyages officiels sont une occasion toute trouvée pour faire rayonner notre langue à l'international, surtout dans cette Asie centrale où on ne l'entend guère : pourquoi voudrait-on que, dans le monde, on apprenne le français ou que l'on s'y intéresse si même le piètre chef de l'état qui est le nôtre "parle étranger" ?
Nous mettons les mots ci-dessus ("chef" et "état") en minuscule, pour être en accord avec le minuscule du personnage !...