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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

 

Dans Le Figaro, dédié à ceux qui exultent devant la chute d'Assad, tirent des plans sur la comète et voient des musulmans modérés partout, alors qu'il n'y en a nulle part... Il faut savoir raison garder, rester calmes et ne voir que les simples réalités.

Écoutons, par exemple, l'écrivain d'origine syrienne, Omar Souleimane, qui vient de prendre la nationalité française :

"HTS, on vous connaît. Il ne faut pas se moquer de nous. Quand Joulani parle de diversité, c'est comme un imam qui se déclare athée : ça n'existe pas..."

(extrait vidéo 1'26)

https://x.com/Le_Figaro/status/1866503132257083757

 

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1. Dans La Tribune : Avions de patrouille maritime : premier contrat en vue pour Airbus...

"Le ministère des Armées devrait notifier à Airbus d'ici à la fin de l'année un contrat de levée de risques dans le cadre du futur programme d'avions de patrouille maritime.

Selon des sources concordantes, Airbus va se voir notifier d'ici à la fin de l'année un contrat de levée de risques pour le futur avion de patrouille maritime, un programme qui doit remplacer les Atlantique 2 (ATL 2) conçus pour la lutte anti-sous-marine mais aussi pour la surveillance et le combat naval de haute intensité. Ce contrat ancre un peu plus le choix de l'A321XLR d'Airbus (A321PMA) par la Marine nationale, qui souhaite à terme commander plus de dix appareils, dont trois exemplaires devront être mis en service à l'horizon 2035. Une sélection qui a été confirmée et soutenue par la Direction générale de l'armement (DGA) en dépit du lobbying intense de Dassault Aviation pour tenter d'imposer le Falcon 10X.

Officiellement, Dassault Aviation semble aujourd'hui avoir accepté le choix de la Marine nationale, qui a comme plan B l'option d'acquérir sur étagère le P-8A Poseidon de Boeing si la solution Airbus échouait. Car la Marine nationale souhaite avant tout un appareil avec une grosse capacité d'emport comme l'A321. En ouvrant le ventre de l'A321XLR, Airbus donne à la Marine la capacité d'embarquer beaucoup d'équipements et d'armements en vue de répondre au large spectre des missions de patrouille maritime. Pour autant, un nouveau gouvernement pourrait changer le choix du ministère des Armées. L'Atlantique 2 doit impérativement être remplacé à compter de 2035, ce qui implique un lancement en réalisation au plus tard en 2026.

Un enjeu pour la dissuasion

La composante patrouille maritime est une capacité essentielle pour l'armée française. Elle contribue notamment à la mise en œuvre de la dissuasion en sécurisant les zones de patrouille des SNLE. L'enjeu est d'assurer la continuité des missions lorsque l'Atlantique 2 sera retiré du service. « Les Atlantique 2 vieillissent et nous les rénovons, pour les mettre au Standard 6, et cet aéronef reste l'un des meilleurs au monde pour la patrouille maritime, à tel point que les Américains nous demandent d'envoyer des frégates et des Atlantiques 2 dans l'Atlantique Nord pour les aider à traquer les sous-marins russes », expliquait au Sénat fin octobre le chef d'état-major de la Marine, l'amiral Nicolas Vaujour.

A la suite de la décision d'achat de P-8A Poseidon par l'Allemagne et de l'échec du programme franco-allemand MAWS (Maritime Airborne Warfare System), le ministère des Armées a confié deux études à Dassault Aviation et Airbus Defence and Space, fin décembre 2022. Elles ont permis à la DGA d'arbitrer en novembre dernier, en collant au plus près des souhaits de la Marine nationale. Si ce programme est lancé par la seule France pour garantir la tenue des délais liés à la dissuasion, il pourra néanmoins être ouvert à la coopération européenne."

La composante patrouille maritime est une capacité essentielle pour l'armée française.
La composante patrouille maritime est une capacité essentielle pour l'armée française. (Crédits : Airbus)
 

2. Élisabeth Lévy lance l'alerte... en défense de Pierre Manent :

"Pierre Manent, l’un de nos meilleurs philosophes, est victime d’une campagne calomnieuse pour avoir osé dire chez @eugeniebastie que le nombre de musulmans en Europe ne pouvait pas croître indéfiniment, sauf à accepter que l’Europe cesse d’être ce qu’elle est. Évidence très largement partagée, y compris par beaucoup de musulmans. Et il ajoute que les musulmans doivent accepter la critique, ce qui est la seule façon de les respecter. Al Jazeera lui accroche une cible dans le dos, les insoumis, jamais en retard d’une saloperie se déchaînent. On peut compter sur les associations subventionnées pour pourrir la vie de penseurs qu’elles ne comprennent pas, pour rejoindre la meute. Bien sûr, aucun ne se donne la peine de réfuter ses arguments (ils en seraient bien incapables). Il suffit de l’insulter. Dix ans après Charlie et l’hyper casher, on veut toujours exécuter celui qui dit la vérité. Jusqu’à quand allons-nous accepter ces procès de Moscou ? Solidarité avec Pierre Manent !"

https://www.causeur.fr/pierre-manent-7-octobre-les-piliers-porteurs-de-notre-fabrique-morale-ont-lache-292804

«Les piliers porteurs de notre fabrique morale ont lâché»

 

3. Le Système a "poubellisé" la France : on a - forcément ! - les conséquences... Ce qui nous étonne, c'est... qu'on s'étonne !

Dans Police et Réalités :

"Narbonne. «Levez-vous, on va tuer le prof !» : une collégienne menace de mort son enseignant lors d’un cours sur la liberté d’expression."

https://policeetrealites.com/2024/12/11/%f0%9f%87%ab%f0%9f%87%b7-narbonne-levez-vous-on-va-tuer-le-prof-une-collegienne-menace-de-mort-son-enseignant-lors-dun-cours-sur-la-liberte-dexpression/

 

4. (À nouveau dans La Tribune) Safran veut doubler le chiffre d'affaires de ses activités d'électronique de défense...

"A l'horizon 2028/2030, l'équipementier veut « significativement augmenter les activités électronique de défense », regroupées dans la filiale Safran Electronics & Defense (soit environ 1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires), selon le directeur général de Safran Oivier Andriès. Il veut doubler son chiffre d'affaires.
A vocation très civile (80% du chiffre d'affaires), Safran porte quelques ambitions dans le domaine de la défense. Pas jusqu'à vouloir rééquilibrer les activités de défense (20%, dont 10% dans les moteurs militaires) par rapport à celles dans le civil, ni créer une division dédiée à la défense. Mais le groupe a « une ambition de croissance assez forte » dans la défense, a annoncé le directeur général de Safran Olivier Andriès, lors de journée consacrée jeudi aux investisseurs, qui n'a pas souhaité donner de chiffres précis. A l'horizon 2028/2030, l'équipementier veut « significativement augmenter les activités d'électronique de défense », regroupées dans la filiale Safran Electronics & Defense (soit environ 1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires). « Je pense pouvoir doubler (le chiffre d'affaires, ndlr) à l'horizon de 2028/2030 », a assuré Olivier Andriès.

« Nous sommes très bien positionnés dans le cadre de l'évolution de ce qui se passe sur le champ de bataille. Nous avons pour stratégie de changer d'échelle dans ce domaine en ayant l'ambition de devenir le partenaire équipementier de référence des grands intégrateurs du monde entier sur différentes plateformes, pas simplement des avions et des hélicoptères mais également des bateaux, des sous-marins, etc... à travers notre portefeuille d'électronique de défense », a fait valoir le directeur général.

A son arrivée à la tête du groupe en janvier 2021, l'actuel directeur général a lancé une impulsion en renforçant Safran dans les activités dite de souveraineté pour améliorer la résilience de l'entreprise et celle de sa chaîne d'approvisionnement, et ainsi donner des garanties à ses clients, et par ricochet aux États européens, de les livrer en temps et en heure avec la qualité exigée. Ces trois dernières années, Olivier Andriès a donc racheté des entreprises stratégiques comme Aubert & Duval (matériaux et pièces critiques) et Orolia, qui fournit des systèmes de navigation et de positionnement résilient, mais aussi Syrlinks, Cilas (laser) ou encore Preligens, spécialiste de l'intelligence artificielle. Le directeur général examinera « des acquisitions ciblées qui viendront toujours renforcer le portefeuille. Mais on le fera si l'opération a également un sens technologique, comme on l'a fait récemment avec Orolia ».

Renforcement aux Etats-Unis

Safran se donne les moyens d'attaquer de façon plus agressive le marché de la défense américain en créant une filiale aux États-Unis, Safran Defense & Space Inc, sous le format SSA (Special Security Agreement). Cet d'accord spécial permet aux entreprises basées aux Etats-Unis mais sous contrôle étranger de travailler sur des contrats de défense classifiés. Cette filiale regroupe toutes ses activités sur place « pour adresser ces marchés plus largement », a précisé le patron opérationnel de Safran. « Nous avons clairement l'ambition de développer des activités sur le sol américain pour accéder sous le format SSA, voire proxy au marché américain », a expliqué Olivier Andriès. Le groupe vise notamment la propulsion et la communication par satellite, l'intelligence artificielle appliquée aux données géospatiales et la navigation dans des environnements privés de signaux de navigation satellites.

Safran réalise aux Etats-Unis un chiffre d'affaires d'à « peu près 300 millions d'euros aujourd'hui » dans le domaine de la défense, a-t-il souligné. Le groupe a déjà plusieurs sociétés implantée aux Etats-Unis à Bedford, dans le New Hampshire (systèmes électro-optiques et infrarouges), à Rochester, dans l'État de New York avec Safran Federal Systems (PNT résilient), à Norcross, en Géorgie (test et de télémétrie) et bientôt à Denver dans le Colorado sur son futur site pour la propulsion de petits satellites. « Nous avons l'ambition d'aller plus loin », a-t-il insisté. Comme haut fait d'armes, Safran a réussi à monter dans le programme d'hélicoptère américain à rotors basculants Valor V-280 de Bell Textron. Le groupe assure la conception et le développement du système d'atterrissage intégré et la génération électrique.

Au-delà des Etats-Unis, Safran souhaite s'implanter ou se renforcer dans certains pays stratégiques clés pour adresser le marché local. C'est le cas notamment en Inde, où le groupe souhaite profiter d'un très ancien partenariat avec HAL (Hindustan Aeronautics Ltd) pour accompagner les projets de développement de New Delhi. « Il faut savoir que Safran motorise quasiment tous les hélicoptères militaires indiens », a-t-il rappelé. Sa filiale, Safran Helicopter Engines va développer en partenariat le nouveau moteur du futur hélicoptère lourd indien.

Moteurs, le M88 du Rafale en tête de gondole...

Avec les moteurs M53-P2 du Mirage 2000 (9,5 tonnes de poussée) et M88 du Rafale (7,5 tonnes de poussée), Safran est l'un des rares motoristes internationaux à savoir propulser des avions de combat. Le succès du Rafale a permis à Safran d'équiper le rafale avec le M88, avec plus de 620 moteurs en service chez six clients à fin 2023. L'an dernier, il a livré 42 moteurs M88, contre 51 moteurs en 2022. Olivier Andriès table néanmoins sur une montée en cadence de la chaîne Rafale « notamment sur la seconde partie de la décennie ». « Le Rafale est sur une très, très belle dynamique », a-t-il fait valoir. Le groupe participe également aux plus grands programmes aéronautiques : le NH90 de NHIndustries, le Caracal et le H160 d'Airbus Helicopters, l'avion de transport militaire européen A400M.

Olivier Andriès a rappelé que Safran était en charge du pilier moteur du futur avion de combat européen (New Generation Fighter dans le cadre du programme SCAF), en coopération avec l'allemand MTU au travers de leur co-entreprise EUMET (EUropean Military Engine Team). Le NGF, aéronef bimoteur de nouvelle génération développé par Dassault Aviation et Airbus, équipera les forces des trois nations à l'horizon 2040, pour prendre progressivement le relais des avions militaires Rafale et Eurofighter. En 2023, Safran a aussi annoncé la signature de deux protocoles d'accords (Memorandum of Understanding) de R&T concernant le moteur Pratt & Whitney F135 (17,8 tonnes de poussée) qui équipe l'avion militaire Lockheed Martin F-35.

D'équipementier à systémier...

Si Safran est principalement un équipementier dans l'aéronautique, le spatial et la défense, il existe dans ce dernier domaine deux exceptions à cette règle : le drone tactique Patroller, dont le premier exemplaire a été enfin remis avant l'été aux forces armées, et la bombe guidée AASM. S'agissant du Patroller, Safran a dronisé une plateforme allemande, un moto-planneur Stemme. C'est le premier système de cette catégorie formellement certifié suivant la norme OTAN STANAG 4671 applicable aux systèmes de drones à ailes fixes de plus de 150 kg. « Aujourd'hui, c'est un drone qui fait de l'observation et il pourrait y avoir une évolution des besoins », a prudemment avancé Olivier Andriès. Notamment en armant le Patroller avec une roquette guidée laser de 68 mm.

L'AASM Hammer est une bombe de guidage air-sol de haute précision, déployable par tous les temps, de jour comme de nuit. Il équipe les Rafale de l'armée de l'Air et de la Marine française ainsi que des forces aériennes à l'international, dont l'Inde (deux contrats en 2020 et 2021). Safran a également reçu de la part de l'entreprise indienne Bharat Electronics une commande pour la livraison de kits Hammer à cette même armée de l'Air avec une première composante en « Make in India ». Cette commande constitue la première étape vers du transfert partiel de production des kits AASM en Inde avec une part locale qui serait amenée à s'accroître au gré des commandes futures. Par ailleurs, Safran est en train de développer une famille autour de l'AASM, qui intègre plusieurs expertises de Safran (technologie infrarouge et traitement d'image, composants inertiels avec gyromètre résonnant hémisphérique HRG et guidage laser..

La bombe de guidage air-sol de haute précision AASM de Safran
La bombe de guidage air-sol de haute précision AASM de Safran (Crédits : ministère des Armées)

 

5. Sur "X", un certain Paul Neau, aussi admiratif que naïf, écrit :

"Incessamment sous peu, l’Allemagne va atteindre une puissance photovoltaïque installée de …100 000 MW ! (en France ce sera 24 000 MW, atteint outre-Rhin fin 2011) Une électricité bas-carbone, bon marché, décentralisée et à l’abri des crises."
 
Noir Lys lui inflige le retour au réel que sa cécité manifeste rend indispensable, avec cette laconique réponse :
 
"100 000 MW installés pour 2300 MW produits hier..."
 
Suivie de ce graphique imparable :

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6. Comme d'habitude, comme chaque année à Noël, la Ligue des Droits de l'Homme et ses vieillards séniles attaque les crèches et les villes qui en installent, ainsi qu'on le fait chez nous, bientôt depuis plus de mille ans...

Là, c'est encore à Béziers, avec ces vieux tartufes, qui attaquent les crèches mais lèchent les babouches des imams...

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7. Au Québec... De Québec 101

"Islamisation du Québec : Mathieu Bock-Côté
démontre que le fédéralisme canadien, que ce soit avec les libéraux ou les conservateurs va continuer d'empêcher le Québec de s'épanouir à 101% dans toutes les sphères sociétales ! Vivement l'indépendance du Québec !"
 
(extrait vidéo 1'19)
 
 
 
 
 
VIVE LE QUÉBEC LIBRE !

 

 

 

 

À DEMAIN !

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