En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Culture et Civilisation au programme, pour commencer notre Revue de Presse, cette semaine (et pour changer un peu...).
Juste avant l'ouverture de la Cité internationale de la langue française, prenez les 2'19 nécessaires pour admirer Versailles "vu d'en haut", et méditer (pour Versailles comme pour Villers-Cotterêts), sur cette authentique politique de civilisation qu'ont mené les quarante rois qui, en, mille ans, firent la France :
"On nous dit que nos Rois dépensaient sans compter;
Qu'ils prenaient notre argent sans prendre nos conseils;
Mais, quand ils construisaient de semblables merveilles,
• Dans le numéro du Lundi 23 Juillet 34 (page deux)... :
Voici la "Une" du Vendredi 14 Septembre, dans laquelle la Croisière du Campana occupe les deux colonnes centrales, avec une belle photo du Comte de Paris, entouré de quelques Camelots :
1757 : Naissance de Jean Cottereau, dit Jean Chouan
De Michel Mourre :
"Chef royaliste français. Ancien faux-saunier, il avait reçu le surnom de Jean Chouan parce que, la nuit, il imitait le cri du chat-huant pour avertir ses hommes de l'approche des agents de la gabelle.
Reconnaissant à Louis XVI de lui avoir accordéune grâce, il proclama ouvertement sa fidélité au roi, peu après le 10 août 1792, alors que les fonctionnaires du gouvernement révolutionnaire tentaient de procéder à un enrôlement militaire, à Saint-Ouen-des-Toits, près de Laval.
L'année suivante, il fut, avec ses frères Pierre, François et René, l'un des premiers chefs du soulèvement populaire qui prit le nom de chouannerie. Il fit sa jonction avec l'armée vendéenne et fut tué au combat, ainsi que son frère François; l'aîné, Pierre, fut fait prisonnier par les Bleus et fut guillotiné à Laval en 1794.
Seul René, le cadet, surnommé Faraud, survécut à la période révolutionnaire. Il mourut en 1846."
Elle raconte, à partir de ce qu'explique Jacques Bainville - lumineusement comme toujours... - comment la Révolution a été rendue possible : c'est par la trahison des intérêts supérieurs de la Nation française que les Girondins - esprits brillants mais surtout apprentis sorciers, persuadés que l'heure des Rois était passée et que la leur était arrivée - ont forcé le Roi à déclarer une guerre suicidaire à l'Autriche.
L'opinion publique détestait l'Autriche, à laquelle nous nous étions opposés pendant plus de deux siècles depuis la Renaissance, et n'avait pas compris que la France ayant gagné cette guerre de plus de deux siècle, il fallait "renverser les alliances" et s'allier avec notre vaincu - l'Autriche - contre le nouveau danger qui pointait à l'horizon : la Prusse.
Les Girondins, à la suite des Encyclopédistes, étaient "prussophiles", et ont abouti à déclencher une Révolution qui, d'une part, les mangera, d'autre part détruira l'oeuvre bienfaisante des Rois et des Traités de Westphalie, aboutissant à l'unité de l'Allemagne que les Rois avaient divisée : c'est de la trahison pure et simple, de l'intelligence avec l'ennemi.
C'est... la Révolution et la République idéologique qui en est issue, le Système qui nous déclasse aujourd'hui...!
La section parisienne d'Action française vous donne rendez-vous le mercredi 1er novembre à 9h30 au Cimetière de Vaugirard pour rendre hommage aux anciens chefs et militants de la cause royaliste.
Quand l'esprit se souvient, la flamme se maintient.
En images, les trois éoliennes de Provence Grand Large prêtes à turbiner au large de Fos...
Sauvegarde Paysages d'Iroise communique :
"Un projet éolien offshore (ndlr : parlons français : "en mer" !) situé en pleine zone Natura 2000, face à la Camargue, dont on rappelle qu'il avait reçu un avis défavorable du CNPN en raison de son fort impact sur la biodiversité... Ces éoliennes sont donc plutôt prêtes à faucher en plein vol."
Peintre, décorateur, graveur, dessinateur... cet amoureux fou de Paris et de la France, de sa Culture, de sa Civilisation, posa ses valises à Montparnasse, en 1913, pour ne plus jamais repartir (sauf pour aller se faire soigner, en vain, d'un cancer, à Zurich, où il mourut) :
Naturalisé dès 1917, converti au catholicisme, c'est le 29 octobre 1959 qu'il reçut le baptême qu'il avait demandé, devenant alors Léonard Tsuguhanu Foujita. Il fit savoir haut et fort qu'il se convertissait, et expliqua son choix du prénom par son admiration pour le père de la Joconde...
Il demanda à être enterré dans la très belle église de Notre-Dame-de-la-Paix (ci-dessous), à Reims, qu'il avait lui-même décorée : en choisissant Reims, la ville des Sacres, pour son repos, et en embrassant la religion traditionnelle du peuple français, Foujita montra bien comment il avait fait sienne cette Culture et cette Civilisation qu'il avait tant aimée et admirée, au point de vouloir s'y incorporer...
A l’affiche : Une Année difficile, un film français d’Éric Toledano et Olivier Nakache, avec Pio Marmaï (Albert, alias Poussin), Jonathan Cohen (Bruno, alias Lexo), Noémie Merlant (Cactus), Mathieu Amalric (Henri)et Grégoire Leprince-Ringuet (Quinoa).
Une Année difficile … C'est l'histoire de deux individus surendettés qui intègrent par hasard un groupe écolo, davantage pour en tirer du profit que pour "sauver la planète", davantage pour « boire des coups (que pour) parler de justice sociale ». C'est aussi l'histoire de ce groupe qui veut « pousser un cri d’alarme » et (vieux relent de chrétienté) dénoncer la surconsommation (c’est la vertu cardinale de la tempérance) - Non au "Black friday" -.
De même que ClubZéro enseigne "l'alimentation consciente" qui consiste à cesser progressivement de s'alimenter, ces écolos invitent quasiment à « se détacher des biens de ce monde », en tout cas se séparer des objets "inutiles" qui nous environnent. C’est l’« opération Désencombrement » qui répond à la même problématique que pose Henri contre le surendettement : « En ai-je besoin ? En ai-je vraiment besoin ? En ai-je vraiment besoin maintenant ? ». On peut, dans l’appartement de Cactus, la comparer à Mlle Novak, et je m'étonne des sorties simultanées de ces deux long-métrages que, sans en rien savoir, nous avons vus l'un après l'autre.
Une fois n'est pas coutume, il ne s'agit pas d'un film militant, et c’est tant mieux ! on se réjouit, bien au contraire, de voir les réalisateurs se moquer manifestement de ces agitateurs. Une fois, encore, n'est pas coutume… aussi je vous suggère, en ce début d'annéedifficile, d’aller vous changer les idées au spectacle de cette farce burlesque. On en a "besoin maintenant », comme un Noël chez Cactus : "c’est fort (…) et c'est pas cher".
1825 : À Lyon, la Place Bellecour retrouve sa statue équestre de Louis XIV
Le 21 mai 1713, Louis XIV, séduit par le site de la Place Bellecour, décide d'y faire édifier sa statue équestre, la place s'appelant alors Place Royale ou Place Louis-le-Grand : la statue doit s'élever au centre d’un rectangle délimité sur trois côtés par des arbres. Robert de Cotte, l'architecte royal, précise que la statue sur le piédestal regarde au nord, passage le plus fréquenté par la communication des deux ponts du Rhône et de la Saône, pour être vue de face.
La première statue, sculptée par Martin Desjardin, érigée en 1713, fut détruite et fondue pendant la Révolution en 1793. Il fut décidé, sous la Restauration, de la remplacer : l'actuelle statue, couramment appelée "Le Cheval de Bronze", représentant Louis XIV en Empereur romain, fut construite par le sculpteur François-Frédéric Lemot; fondue à Paris, elle fut transportée à Lyon en 12 jours, tirée par 24 chevaux et mise en place le 29 octobre 1825. Elle mesure 5,70 m de haut et pèse 15 tonnes.
Les statues du Rhône et de la Saône réalisées en 1714 par les frères lyonnais Guillaume et Nicolas Coustou - cachées pendant la Révolution à l'Hôtel de Ville - furent replacées en 1826.
Le piédestal dessiné par Jules Hardouin-Mansard, orné d'appliques de bronze de Chabry fut rebâti.
La Place Bellecour ou Place Louis-le-Grand est la plus grande place de Lyon (62.000 m2) et la troisième plus grande place de France, après la place des Quinconces à Bordeaux (126.000 m2) et la place de la Concorde à Paris (86.400 m2). Elle est souvent présentée comme rectangulaire mais c'est une place trapézoïdale avec une taille de 300 mètres par 220/190 mètre.
Elle est plus grande que le Zócalo de Mexico (230×192 m) et que la place Rouge de Moscou (330×70 m).
C'est également la plus grande place piétonne d'Europe, les places précédemment citées pouvant accueillir des véhicules, au contraire de la place Bellecour.
Après, on se demande pourquoi le "cinéma français" est malade, pourquoi il va si mal...
La région IDF présidée par Valérie Pécresse a accordé 240.000 euros au "film"(?)-navet dont Gilbert Collard note qu'il a été "réalisé par le richissime héritier de la marque Bonpoint", et "qui raconte l'histoire d'une bourgeoise accueillant un migrant afghan : ça rend malade de voir à quoi servent nos impitoyables impôts !"
À cette bourgeoise-là, et à ses semblables, rappelons (ou apprenons) que Fabienne, 68 ans, a été découverte égorgée, chez elle, gisant dans une mare de sang à Lille; massacrée par un migrant, elle a reçu 36 coups de couteau, dont 7 dans les parties génitales...
Alors faire des films parlant d'une bobote qui se prend (et s'éprend !) d'affection pour un migrant, cela explique surtout l'état de mort cérébrale de "ce" cinéma-là, qui n'est pas le cinéma français, le vrai, celui de Pagnol et de Funès, celui des "Tontons flingueurs" ou de "Rabbi Jacob", qu'on a pu revoir dimanche dernier, se délectant du jeu réellement extra-ordinaire de notre grand ami Louis de Funès, qui est aussi, d'une certaine façon, le meilleur ami des Français puisque les professionnels estiment à 323 millions le nombre de personnes ayant vu des "de Funès" !...
Un Louis de Funès de Galarza qui, rappelons-le au passage, était un royaliste fidèle, ne manquant jamais, le 21 Janvier, la Messe aux intentions de Louis XVI...
On est loin des cingleries de foldingues d'aujourd'hui, qui, pour un peu, risqueraient de tuer notre grand cinéma français !
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : 1870 : Incendie du Château de Saint Cloud...
(tiré de notre Éphéméride du 13 Octobre)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
En plus de tout le reste, elle vous parlera de Foujita, ce Japonais qui aimait tant Paris et la France qu'il n'en repartit plus, après avoir débarqué à Montparnasse, en 1913...
Il fit à ce point siennes les traditions, les moeurs, l'Esprit de cette France avec laquelle il était en si parfaite symbiose qu'il en embrassa la religion traditionnelle, et se convertit au catholicisme en 1959, devenant Léonard Tsuguhanu Foujita, expliquant son choix du prénom par son admiration pour le père de la Joconde...
Puis il demanda à être enterré dans la très belle église de Notre-Dame-de-la-Paix, à Reims, qu'il avait lui-même décorée, choisissant Reims, la ville des Rois, la ville des Sacres, pour reposer en paix...
"Je serai dans l'Indre à Bélâbre ce samedi à 9h pour participer à la manifestation organisée par les habitants contre l'installation d'un centre de migrants au cœur du village ! Décision arbitraire du maire contre ses habitants et sans concertation. Nous nous y opposerons !"