Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Ours d’or, Berlinale 2024 : Dahomey , un film de la réalisatrice sénégalo-française Mati Diop.
Dahomey… Prix Lux du Parlement européen « pour aider à distribuer des films (…) qui reflètent la diversité culturelle en Europe (sic, NDLR) et qui touchent à des questions d’intérêt commun telles que (…) la non-discrimination, l’inclusion… ». Ainsi avons-nous effectivement assisté à une séance gratuite offerte par le Bureau du Parlement Européen de Marseille… à savoir une soirée de l’anti-France pour un film sous-titré en écriture inclusive...
Dahomey est un documentaire sur la restitution, promise par Macron, d’œuvres d’art, dont le synopsis précise qu’elles ont été « pillées lors de l’invasion des troupes coloniales françaises en 1892 ».
« Il n’y a pas de débat » nous dit en substance le fonctionnaire européen qui présente ce film : ces œuvres ont été « pillées », « tout le monde est d’accord », et tous les critiques reprennent à l’envi ce mot de « pillage » qui parlent des « stigmates de la colonisation ». La France « colonialiste » a « envahi » et « pillé ».
Eh bien soit… procédons à la remigration de ces œuvres et, puisque ils nous disent qu’elles sont « l’âme » de ces peuples, procédons « en même temps » - il ne faut pas séparer l’âme des corps - procédons à la remigration de ces peuples.
Concédons, en effet, qu’ils ont droit à leur identité, mais nous aussi, nous avons droit à la nôtre.
44 Avant Jésus-Christ : Fondation de Lyon
1906 : Naissance de Léopold Sédar Senghor, Académicien français
Célébration de Sainte Réparate...
Comme Torpés, officier de la Garde de Néron, la jeune Réparate fut décapitée, et son corps déposé dans une barque, que l'on laissa naviguer sur les flots : la barque vint s'échouer sur les rivages niçois, ce qui explique que cette jeune martyre soit devenue la patronne de la ville et du diocèse de Nice.
Mais, si Torpés fut exécuté sous Néron, et sur son son ordre (voir l'Éphéméride du 29 avril), ce n'est que beaucoup plus tard, sous le règne de l'empereur Dèce, et durant la courte mais terrible persécution qu'il déclencha, que la jeune Réparate accepta son martyre : à partir de décembre 249, l'empereur ordonna à tous les Romains de sacrifier aux dieux ancestraux, ce que la jeune Réparate refusa...
https://cathedrale-nice.fr/
Belle et bonne manif (Les Normaux) devant Ouest France :
Laurent Neuveu, journaliste de la-dite feuille, a osé écrire - dans un article publié le 01/10/24 sur son site - "meurtrier", au lieu du seul terme qui convient : assassin; et, aggravant son cas, que ce vulgaire assassin était "normand" alors qu’il s’agit en réalité d’un algérien !
Le 8 décembre est la fête de l'Immaculée conception, célébrant la Vierge Marie.
• Même - et surtout ! - dans le Système qui se veut la Nouvelle Religion républicaine, pensée, voulue et imposée contre et en haine de la foi chrétienne traditionnelle de nos ancêtres, depuis 2.000 ans, sur cette vieille terre qui n'est pas un terrain vague"...
• Même - et surtout - si c'est l'actuel chef de cette Nouvelle Religion anti-chrétienne - "Robespierre en costard" - qui a décidé de cette date...
...il faudrait être singulièrement mal-voyant ou mal-comprenant pour ne pas voir la douce ironie venue d'En-Haut dans ce signe qu'est le retour des cloches dans notre Notre-Dame, Notre-Dame de Paris, Notre-Dame de tous les Français...
1666 : Début de la construction du Canal du Midi
1337 : Début de la Guerre de Cent Ans
À l'abbaye de Westminster, le roi d'Angleterre, Édouard III, revendique officiellement le Trône de France, le contestant à son cousin, Philippe VI de Valois.
Édouard III est le fils d'Isabelle (fille du roi de France Philippe le Bel) et du défunt roi d'Angleterre, Édouard II. Et les trois garçons du même Philippe le Bel viennent de régner, l'un après l'autre, sans postérité mâle : d'abord Louis X (le Hutin), puis Philippe V (le Long), en fin Charles IV (le Beau, comme son père).
Comme le dit Jacques Bainville ce fut la fin de "l'honorable famille capétienne" qui, pendant 340 avait régné "de père en fils" (voir l'Éphéméride du 1er février).
Mais c'est Philippe VI de Valois que les Grands du royaume ont choisi pour roi, en 1328, à la mort de Charles IV, et non le fils d'Isabelle, pourtant plus proche héritier de son grand-père que Philippe, un lointain cousin : les Français ne voulaient pas d'un roi Anglais, et là est la cause réelle et profonde de cette Guerre de Cent ans.
Le roi d'Angleterre aura, cependant, attendu presque dix ans avant de manifester publiquement sa contestation.
Les prétentions anglaises ne se concrétiseront finalement jamais, mais les choses semblèrent parfois désespérées pour la France, comme le montre la carte ci contre : au début de son règne, Charles VII Le Victorieux ou Le Bien Servi, qui devait justement mettre fin à cette Guerre, ne semblait vraiment pas en mesure de l'emporter.
C'est quoi, cette ministresse de la Santé qui nous fatigue avec son "Pas question de toucher à l'AME" ?
Nous, on a un accident ou un problème quelconque, on paye le médecin en partie et la franchise sur les boîtes de médicaments... Un envahisseur (baptisé "migrant") se blesse (pauvre chou !) ou veut se faire recoller les oreilles, ou demande "la totale" dentaire : pour lui, les soins sont gratuits !
SYSTÈME POURRI !
Quant à Geneviève Darrieussecq, la ministresse, si elle - et ceux qui pensent comme elle - veulent payer "sur leur cassette personnelle" les soins des envahisseurs, qu'elle le fasse ! On n'y voit aucun inconvénient !
Mais qu'elle cesse de nous casser les oreilles avec sa moraline à deux balles !...
A l’affiche : Belle enfant , un film de Jim, avec Marine Bohin (Emily), Baptiste Lecaplain (Gabin)
Belle enfant…Belle nullité, durant laquelle on s’ennuie à mourir, même si, quand la mort arrive on peut concéder de très belles photos et une bonne bande son.
L’ennui est d’ailleurs peut-être le véritable sujet du film… cette mère, célibataire, et ses trois filles dont le seul sujet de conversation porte sur leurs « aventures », que l’on ne peut même pas qualifier d’ « amoureuses ».
J’entends qu’il s’agit d’un premier long-métrage de Thierry Terrasson, à savoir Jim, un auteur de BD.
A part Tintin, évidemment, et Astérix, je ne lis pratiquement jamais de BD, et ce n’est pas cette Belle enfant qui va me convertir.
1789 : Sur Versailles habité par le roi régnant, le soleil se lève pour la dernière fois...
1682 : Louis XIV s'installe définitivement à Versailles, le Roi, la Cour et le gouvernement quittent le Louvre et Saint-Germain-en-Laye pour s'installer là où, pendant tout son règne, le Roi-Soleil, va faire de son château un triple poème humaniste, politique et chrétien...
Pendant un peu plus d'un siècle, jusqu'au 6 octobre 1789, Versailles abritera le roi régnant et sa famille, ne cessant d'être le siège du pouvoir que durant la courte éclipse de la Régence, de 1715 - date de la mort de Louis XIV - au 15 juin 1722 - date du retour de Louis XV dans le cher château de son enfance...
Le 6 octobre 1789, à 13h25, le cortège royal quittera Versailles pour Paris. Louis XVI demandera, en partant, à La Tour du Pin, ministre de la Guerre, de lui "préserver son pauvre Versailles"...
Pourtant, Chateaubriand l'a bien dit : "Le trône, si près de sa chute, semblait n’avoir jamais été plus solide."; et "Louis XVI a pu vingt fois sauver sa couronne et sa vie..." (Mémoires d'Outre-Tombe, Livre Quatrième).
Que s'est-il donc passé, ce 6 octobre 1789, pour que Louis XVI accepte de se laisser emmener de force hors de son palais, pour n'y plus jamais revenir, et connaître le destin que l'on sait ?
On serait tenté de répondre : presque rien.
Sauf que Louis XVI, dans son obsession rousseauiste à ne voir que des "hommes bons" partout, et dans son refus persistant de faire usage de la force légitime, se refusa, ce jour-là comme les autres, à agir en roi, faisant acte d'autorité, et laissa la place libre à l'émeute de quelques centaines seulement d'agitateurs, alors que le peuple de France, aux dires de l'historien Alain Decaux, était de "vingt-six millions de royalistes"...
En 1789, la France était la première puissance du monde et, bien que suivie de près par l'Angleterre, elle disposait de la prééminence absolue, dans les domaines démographiques et économiques, militaires, culturels. Elle était "la grande Nation", et démographiquement parlant, si l'on peut dire, "la Chine de l'Europe".
Cependant, la révolution industrielle venant tout juste de commencer, elle était encore, essentiellement, un pays agricole, et les masses étaient paysannes, donc très concernées par les aléas climatiques.
Or, l'année 1789 fut très mauvaise, de ce point de vue : un hiver très rigoureux, et, au printemps et durant l'été, de mauvaises récoltes. La disette régna donc à Paris (illustration : Louis XVI distribuant des aumônes aux pauvres de Versailles, hiver 1788).
Le 5 octobre, un groupe de femmes décida de se rendre à Versailles. Après quatre heures de marche, sous la pluie, les Parisiennes arrivèrent finalement sous les grilles du château. Un petit groupe se rendit à l’Assemblée constituante afin d’y faire une déclaration, et un premier affrontement se déroula à coup de pierres entre les femmes et les gardes de Versailles. Louis XVI, qui avait été prévenu alors qu’il chassait, rentra à Versailles en toute hâte. Le commandant des gardes du corps décida alors de laisser passer une délégation, composée de six femmes désarmées. Le roi, touché par la détresse des Parisiennes, accepta alors de distribuer de la farine dans la capitale. Les femmes se retirèrent soulagées, criant "Vive le roi !".
Mais le 6 octobre, alors que le calme semblait être rétabli, une foule de quelques centaines d'émeutiers arriva après minuit à Versailles; vers six heures du matin, ils décidèrent d’envahir le château. Alors que les émeutiers cherchaient la chambre de la reine, tuant deux serviteurs, Marie Antoinette, réveillée en sursaut, se réfugia dans les appartements du roi. Au même moment, la foule massée sous les murs du château acclamait - comme par hasard - le duc d’Orléans. On sait que le cousin du roi le détestait, souhaitait ouvertement le remplacer sur le trône, et fomentait des émeutes contre lui. Des témoins oculaires rapportent que des hommes, même, s'étaient grossièrement déguisés en femmes pour exciter la petite foule...
Insultant d'abord la reine, cette petite foule réclama que le roi se rendît à Paris. Le couple royal, accompagné par La Fayette, apparut alors au balcon de la Cour de marbre (ci contre), parvenant tant bien que mal à calmer les insurgés. Puis Louis XVI, après avoir longtemps hésité, et au lieu de réagir vigoureusement, accepta finalement de se rendre à Paris, où la famille royale arriva dans l'après-midi, après avoir quitté le palais à 13h25...
Le roi fut - bien - accueilli par le maire, Bailly, qui lui remit les clefs de la ville sous les acclamations des Parisiens, et s’installa avec sa famille aux Tuileries. Mais il y était, de fait, prisonnier, même si, à de multiples occasions, il aurait pu, par la suite, se sortir du mauvais pas où l'avait placé sa trop grande confiance en la bonté humaine ...
Mieux que de longs discours, la lecture des deux courts textes suivants de Jacques Bainville éclairera - comme d'habitude avec cet immense historien - sur les raisons profondes de la catastrophe finale que fut la Révolution :
1. L'erreur intériorisé de Louis XVI : ne pas croire au mal, croire que "l'homme nait bon", être, en somme, non pas "rousseauiste" - puisque Rousseau n'a jamais formulé de théorie philosophique ou politique - mais, si l'on peut dire, "rousseauisé" :
2. Louis XVI, auteur de la Révolution : tel est le titre du chapitre VI du dernier livre de Jacques Bainville, Les moments décisifs de l'Histoire de France :
Louis XVI auteur de la Révolution (I)
Louis XVI auteur de la Révolution (II)
Louis XVI auteur de la Révolution (III)
À ces deux textes de Bainville, on pourra jouter, avec profit, la lecture du chapitre "Louis XVI" du court ouvrage écrit par Balzac en 1837, Rois de France :
1773 : Naissance du futur Louis-Philippe (ici, le roi entouré de ses cinq fils sortant par la grille d’honneur du château de Versailles, Horace Vernet, 1846)
105 Avant Jésus-Christ : les Cimbres et les Teutons détruisent deux armées romaines à Orange...
L'année 113 avant Jésus-Christ, de graves désordres climatiques se produisirent dans toute la région de l'actuel Jutland, entendue dans un sens très large, tout autour des régions sud de la mer Baltique.
Les populations de ces contrées, où la vie était déjà très difficile, décidèrent, alors, de les quitter pour toujours, et de migrer vers le sud, pour s'installer sous des cieux plus cléments, des climats moins rigoureux, dont les marchands, venus précisément du sud, avec leurs caravanes, leur avaient parlé...
Dès leur retour, ces marchands et les espions/informateurs qui les accompagnaient avaient bien informé le Sénat romain de cette formidable et inédite migration de population (on parle d'un million deux cent mille personnes au total, dont 3 à 400.000 combattants...), mais personne ne les prit au sérieux, et, d'une façon insensée, on laissa cette masse immense descendre, certes très lentement, vers le sud, et cela pendant plusieurs années...
Ce n'est qu'en 105 - huit ans de perdus !... - et lorsque cette masse arriva près d'Orange (alors appelée Arausio), après avoir massacré trois légions romaines déjà, que le Sénat et le peuple se rendirent enfin compte du danger mortel encouru par Rome...
C’est la rentrée, les Éveilleurs sont de retour et vous préparent de nouveaux événements pour cette année !
Afin de bien la commencer, nous vous donnons rendez-vous le 15 octobre au théâtre Montansier à Versailles ! Nous y recevrons Marguerite Stern qui viendra nous présenter son ouvrage Transmania sur les dérives de l'idéologie transgenre. Parue en avril dernier, cette enquête menée avec Dora Moutot suscite toujours de vives polémiques. L’extrême-gauche tente d’intimider ceux qui voudraient venir écouter ces deux femmes courageuses par des menaces et des violences, comme les attaques subies récemment par l’ISSEP. Les Eveilleurs sont heureux de donner la parole à Marguerite Stern, féministe au parcours atypique, qui saura nous éclairer sur les dangers du transgenrisme pour la société tout entière.
Alors n’hésitez pas, prenez vos places :
Je prends ma place |