L’enfant est l’avenir de l’homme.
Pour éviter le réchauffement climatique et les troubles promis à notre planète : « No Kids ! », s’exclame le mouvement fondé en 2010 par Lysa Himas, sous le nom de Gink (Green Inclination, No Kids). Ce désengagement féminin résulte en vérité de phénomènes bien plus complexes : « archipélisation » du territoire national, développement de la « société liquide », aspect parasitaire pris par l’enfant.
Mais cette vision de l’accueil de l’enfant n’est pas la seule à l’œuvre : Aziliz Le Corre dans son bel ouvrage, L’Enfant est l’avenir de l’homme, récemment paru chez Albin Michel, vient remettre en scène les beautés et les grandeurs de l’aventure de l’engendrement. C’est parce que la maternité est l’apothéose de la féminité, que le corps de la femme se distingue de celui de l’homme, que la naissance d’un nouvel être est la défaite la plus sûre de la logique consumériste que celle-ci vient, pour les Éveilleurs, rappeler les raisons que nous avons de nous abandonner, d’espérer, d’aimer…et d’avoir des enfants.
Venez analyser avec nous les ressorts de l’hiver démographique traversé par la France, mais aussi voir à nouveau briller la lumière apportée par la vie qui vient ; venez écouter Aziliz Le Corre le jeudi 12 décembre à 20h30 l’Université Ouverte de Versailles. La conférence sera suivie d’une séance de dédicaces.
N’hésitez pas et prenez vos places !
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