Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...



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Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Oui, le 16 Janvier 36, soit trois semaines et trois jours avant sa mort !
Il aura donc gardé jusqu'au bout intactes et sa lucidité et l'intégralité de ses facultés intellectuelles. Et aussi son désir de servir son Pays par la plume...
Paul Valéry en témoigne : "...Le jeudi 6 février, avant-veille de sa mort, j'ai trouvé Jacques Bainville à la Bibliothèque de l'Institut. Il demandait quelques livres qu'il désirait emprunter; ce qui me parut admirable et me serra le coeur..."
Voici le lien conduisant à la "Une" du numéro du Jeudi 16 Janvier 1936...
L'article de Bainville - assez court et écrit juste avant les élections espagnoles - occupe les deux tiers de la dernière colonne de droite, et s'intitule : "L'âge d'or".
Il ne reste que 24 jours à vivre à Bainville; la Guerre civile qu'il "annonce" commencera 6 mois et 2 jours plus tard, avec le "Soulèvement national" du 18 juillet...

"La garnison de Melilla s’est soulevée en armes contre la République espagnole", titre La Dépêche, ce dimanche 19 Juillet, en "Une" dès 5 heures du matin…
L'entrée "Jean-François Mattéi" de Wikipedia...
(vous remarquerez que la "note 1" de cette page Wikipedia - donc, au tout début - renvoie... à lafautearousseau, premier organe de presse à avoir annoncé le décès...)
C'est le mardi 23 mai 2013 que lafautearousseau publia le premier article que lui envoya Jean-François Mattéi, traitant d'un sujet qu'il connaissait bien et qui lui tenait à coeur, la théorie du genre...
Le Père Goriot et la Mère Vauquer, par Jean-François Mattéi
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Pour qui souhaiterait avoir un petit aperçu de la culture et de la profondeur de Jean-François Mattéi, lafautearousseau a réalisé un PDF :
Le regard vide - Essai sur l'épuisement de la Culture européenne est peut-être le livre majeur de Jean-François Mattéi.
Ce PDF reprend les vingt-cinq extraits de cet Essai que nous avons publiés, dont trois chapitres complets qui constituent nos XIVème, XVème et XVIème Grands Textes :
Le regard vide, de Jean-François Mattéi
24 mars 2014 : Mort de Jean-François Mattéi
1776 : Turgot crée la Caisse d'Escompte, à l'origine directe de la Banque de France
Organisée par le banquier suisse Isaac Panchaud, la Caisse d'escompte eut pour mission d'escompter les lettres de change et autres effets de commerce afin de faire baisser le taux d'intérêt du crédit commercial.
Elle est considérée comme l'ancêtre directe de la Banque de France, de la direction du Trésor et de la Caisse des dépôts et consignations. Elle n'avait cependant pas pouvoir de battre monnaie.
Supprimée par la Révolution, en 1793, Bonaparte, Premier Consul, la réorganisera de fait, en 1800, lorsqu'il instituera la Banque de France.
sceco.univ-poitiers.fr/hfranc/CaisseEscompte.htm
Lafautearousseau Royaliste - LFAR
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Le feuilleton Bainville paraît donc normalement, et le 50ème épisode sera là mardi matin.
Après la lecture méthodique de la moitié des numéros de L'Action française (de 1908 à 1925, soit 18 années sur les 36 pendant lesquelles a paru le quotidien) qui nous a permis d'enrichir grandement nos "Documents pour servir à une Histoire de l'URP" et nos "Grandes "Une" de L'Action française", ce Feuilleton enrichit grandement, lui aussi, ce que nous proposons quotidiennement sur notre Site, qui devient ainsi chaque jour, un peu plus, un peu mieux, un peu plus complètement un vrai "Fonds lafautearousseau", incontournable pour qui souhaite découvrir et connaître (ou mieux connaître) ce que furent nos Maîtres, ce qu'ils ont vraiment dit, écrit, pensé.
Nous créons ainsi, peu à peu, une véritable "banque de données", aisément consultable (grâce, entre autres, aux très nombreux liens hypertextes : la plupart des sujets se renvoyant les uns aux autres, ou aux Éphémérides, aux Grands Textes, aux Feuilletons et Albums etc...).
Et tout ceci pouvant être utilisé à la fois "en interne" (pour la formation des militants, dans les Cercles d'études...) et, surtout, pour le public extérieur, qui ne nous connaît pas du tout, ou si mal, ou armé de solides préventions contre nous, gavé qu'il est par le mensonge officiel "H24" diffusé partout...
Ce fut un gros travail, depuis septembre dernier, que de "lire" ces 18 années du quotidien (merci, Gallica et ses lenteurs !...); puis de réaliser le feuilleton Bainville, troisième et dernier de la série des trois sur Maurras, Daudet, Bainville. Mais nous sommes heureux d'avoir pu le mener à bien; juste un peu déçus de n'avoir pu faire tout ce que nous avions imaginé au début (nous pensions arriver à l'année 31, puis, devant les difficultés rencontrées sur Gallica, nous espérions au moins finir l'année 27 : il a fallu nous arrêter à l'année 25, pour passer au Bainville...).
Qu'allons-nous faire, maintenant ?
Deux solutions s'offrent à nous : soit reprendre sur le champ la lecture du quotidien, afin de l'achever complètement, jusqu'en 44; soit réaliser un grand nombre de "Grandes "Une"...", puisque nous avons trouvé et "réservé" un grand nombre de sujets pour cette Catégorie.
Après en avoir bien discuté, c'est cette deuxième solution qui a été retenue.
Nous publierons donc, jusqu'à la fin juin, et deux fois par semaine (les lundi et jeudi) des "Grandes "Une"...", en commençant par... Bainville, justement.
Ce lundi, sa prévision de la guerre civile espagnole, dans l'AF du 16 Janvier 36 (qui nous permettra de redonner les liens hypertextes de ce qui est déjà publié sur cette guerre; en attendant de nouvelles publications, sur l'énorme mensonge de Guernica ou l'épisode héroïque de l'Alcazar de Tolède. On verra que ce qui se trouve sur lfar est déjà conséquent...).
Puis nous consacrerons trois "Une" à l'Histoire de deux Peuples" - parue en pleine guerre de 14 - puis au magistral Conséquences politiques de la Paix - en réponse au livre de Keynes - et à Histoire de France, parue dans les années vingt... Ensuite nous reparlerons de Proust, puis de Barrès (à l'occasion de leur décès); mais aussi de Lénine (à l'occasion, aussi, de son décès), de Radiguet et Guénon; de l'évolutionnisme; du Romantisme et de la Révolution; et aussi de bien d'autres choses encore !...
D'avance, donc, bonne(s) lecture(s) à tous !
François Davin,
Blogmestre
Au cours des trois dernières années, les dépenses de fonctionnement de l'État ont augmenté de 92 milliards d'euros, soit quasiment 20% !
Merci à Marc Touati de travailler pour nous, pour nos idées, en montrant que ce Système est bien - comme nous le disons tous les jours - un Système de folie et en folie...
100 milliards d'euros, très bientôt, cela va être la somme jetée par la fenêtre chaque année, pour la charge de l'intérêt de la Dette !
Un tel soi-disant Système, cataclysmique, qui gère aussi mal, qui est aussi fou, qui est un tel danger public, qui gaspille NOTRE argent, qu'est-ce qu'on en fait ?
IL FAUT LE RENVOYER,
ET RETROUVER NOTRE PRÉCÉDENT RÉGIME,
NOTRE RÉGIME TRADITIONNEL : LA ROYAUTÉ,
QUI A FAIT LA FRANCE,
PREMIÈRE PUISSANCE DU MONDE, "AVANT"...

1821 : Découverte de la Bauxite, qui tire son nom du village des Baux-de-Provence
1594 : Première partie de Jeu de Paume pour Henri IV, un jour après son entrée dans Paris
La veille, le roi a fait son entrée dans Paris (voir l'Éphéméride du 22 mars), la ville qu'il assiégeait depuis le 30 juillet 1589 (presque cinq ans !...) et qui se refusait obstinément à lui...
Pourquoi donc, car cela paraît surprenant plusieurs siècles après, commencer en quelque sorte ses activités dans une capitale si chèrement et si longuement convoitée par... une partie de Jeu de Paume ? On le comprendra mieux si l'on se replonge quelques instants dans la mentalité, les moeurs et les goûts de l'époque...
Ancêtre direct du Tennis, mais aussi de la Pelote basque et, plus généralement de tous les jeux de raquette, le Jeu de Paume était extraordinairement populaire sous la Royauté (le mot anglais "tennis" vient du français "tenez !", mot que dit le joueur à son partenaire en lançant le service).
La paume consistait à se renvoyer une balle, appelée éteuf, au-dessus d'un filet; on jouait en individuel (1 contre 1) ou en double (2 contre 2).
Très vite (XIIIème siècle) les joueurs portèrent un gant de cuir, afin de protéger la main qui frappait la balle; au début, la paume se pratiquait en plein air, mais à partir du XIVème siècle on se mit à jouer dans des terrains de jeu couverts : les salles de jeu de paume, également appelées tripots...
Elle est consacrée, entre autre, à notre ami Jean-François Mattéi, décédé brutalement, et trop tôt, ce triste 24 mars 2014...
lafautearousseau
Cette année encore, il n'y a pas eu de "rayon vert" à la Cathédrale de Strasbourg...
Qui (et pourquoi ?...) s'oppose donc au "rétablissement" de ce signe ?
À lafautearousseau on a bien notre petite idée, mais bon...
Pour comprendre l'affaire :

![]()
1988 : Pose de la première pierre du Pont de Normandie, reliant Le Havre à Honfleur
La bataille du Vieil Baugé, par Martial d'Auvergne, enluminure issue de l'ouvrage "Vigiles de Charles VII", Paris, XVème siècle
Cette bataille fut remportée grâce à l'aide du contingent Écossais, emmené par John Stuart (voir l'Éphéméride du 17 août), agissant ainsi en vertu de l'Auld Alliance conclue entre la France et l'Écosse contre l'Angleterre (voir l'Éphéméride du 23 octobre).
John Stuart se trouve être, par ailleurs, directement aux origines de la Maison du Roi (voir l'Éphéméride du 17 août), puisqu'il fut le premier Commandant de la Garde du Corps du Roi.
http://www.france-histoire-esperance.com/22-mars-1421-victoire-franco-ecossaise-de-bauge/
Voir la photo Maison du Roi et cavalerie légère, tirée de notre album Drapeaux des Régiments du Royaume de France... et, ci dessous, le drapeau du Royal Écossais, régiment fondé en 1743, puis incorporé le 21 décembre 1762 au Régiment de Bulkeley...
Drapeau du Royal Écossais (ci dessus), incorporé au régiment Irlandais Royal Bulkeley (ci dessous)...


Chers amis des Eveilleurs
Un bon film vaut mieux qu’un long discours, et une soirée sur Notre-Dame avec les Éveilleurs vaut certainement bien mieux qu’une banale soirée chez soi comme il en restera 364 jusqu’à mars prochain ! Alors n’hésitez plus, regardez notre vidéo pour vous rappeler combien vous aimez la cathédrale de Paris et comme vous serez heureux d’écouter l’histoire de ses pierres, celles de ses artisans, celle qui se danse et celle qu’on espère… Forts de cela, cliquez sur le lien et préparez-vous à nous rejoindre ! Nous vous attendons nombreux à l’Espace Bernanos à Paris le 27 mars 2025 à 20h30, en compagnie de Paule Amblard, historienne de l’art, d’Henri d’Anselme le pèlerin des cathédrales, de Loïc Angleys artisan du chantier, d’actrices en herbe et d’artisans de beauté.
Venez voir, Notre-Dame brille !
| Je prends ma place |
Hier matin, sur BFM, Alain Esquerre, qui se proclame porte-parole des victimes de Betharram, a développé une argumentation (?) débile : pour lui, l'Église doit supprimer le célibat des prêtres !
Comme si le mariage et la paternité portaient en eux-mêmes une sorte de "puissance magique" qui protègerait contre les perversions !
On rappellera à ce monsieur, qui développe une thèse simpliste et simplette les deux affaires sordides toutes récentes de ces deux détraqués/pervers de Dominique Pelicot et de Joël Le Scouarnec : ils étaient tous les deux mariés, et pères de trois enfants chacun, et cela ne les a pas empêché de commettre les horreurs immondes qu'ils ont commises (assassinats en plus, pour le premier)...
Alors, monsieur Esquerre, avant de débiter des sornettes "contre le célibat des prêtres", vous feriez mieux de tourner sept fois votre langue dans votre bouche !
Production du Collège des Bernardins : le célibat des prêtres rejoint une tradition très longue, et a une réelle portée spirituelle...
