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Au cinéma : Le Panache, par Guilhem de Tarlé

Critique du film Le Panache - AlloCiné

Festival du Film de Demain (FFD) : Le Panache,  un film français de Jennifer Devolder, avec José Garcia (M. Devarseau, professeur de français), Aure Atika (Giula, la mère, divorcée), Joachim Arseguel (Colin), Tom Meusnier (Max ou Maxence, condisciple de Colin).

Le FFD a proposé à Vierzon en 2024, sous la présidence de Lambert Wilson, sa troisième édition, avec « une sélection de longs-métrages de fiction engagés ».
Sans doute, si je l’avais su, aurais-je fait un autre choix de film, mais j’avoue que le panache, Cyrano de Bergerac et José Garcia nous donnaient trois bonnes raisons de nous y rendre.

Le synopsis en outre était intéressant d’un jeune adolescent bègue qui apprend à parler et à s’extérioriser dans un atelier d’art dramatique animé par son professeur.
Ajoutons que mes convictions, qu’ils appellent « d’extrême droite », me font adhérer totalement à son enseignement : « Si on assume vraiment qui on est, eh bien plus personne ne peut s’en servir comme une arme ».

L’idée, enfin, m’a beaucoup plu d’émailler le scénario de répliques d’Edmond Rostand.

Néanmoins, ce long-métrage : « Non, merci. »

« Un baiser, mais à tout prendre qu’est-ce ?
(…)
Un point rose qu’on met sur l’i du verbe aimer »

J’accuse la réalisatrice d’un véritable blasphème, dans cette scène du baiser de Roxane, en volant au bègue son premier rôle au profit du message qu’elle veut faire passer.
Cette scène du baiser : « non, merci ! non, merci ! non, merci ! ».
Mais il fallait bien qu’elle en parle… « C’est bien plus beau lorsque c’est inutile ! ».

Mme Devolder, si elle n’était pas femme, mériterait d’être provoquée en duel

« A la fin de l’envoi, je touche ».

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