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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 66

  • Éphéméride du 6 avril

    1943 : Parution du "Petit Prince"

     

     

     

    1199 : Richard Coeur de Lion est tué au siège de Châlus 

     

    Bien conseillé par le sage et avisé Suger, qui "arrangea" ce mariage, le roi Louis VII (plus tard, père de Philippe Auguste) épousa Aliénor d'Aquitaine, alors qu'elle n'avait que quinze ans. Sans guerre et sans dépense, le roi agrandissait ainsi le royaume de la Guyenne, de la Gascogne, de la Saintonge, du Limousin, du Périgord, de l'Angoumois, de la Marche et du Poitou !

    Mais la reine avait un très mauvais caractère et, surtout - la chose est avérée - était très volage : tant que Suger vécut, le couple royal résista malgré tout, mais, Suger disparu, Louis VII fit annuler son mariage en 1152, au concile de Beaugency, pour cause d'infidélité(s).

    Un mois et demi après, Aliénor se remariait avec Henri Plantagenêt, comte d'Anjou et duc de Normandie, qui devint roi d'Angleterre deux ans plus tard. Le nouveau couple fut aussi "malheureux" que le premier, mais il eut deux enfants mâles : Richard Cœur de Lion (roi d'Angleterre à la mort de son père, en 1189), preux chevalier mais piètre politique, et son cadet Jean sans Terre, lui ni preux ni politique, et qui devint roi d'Angleterre à la mort de son frère.

    Ce fut la tâche de Philippe Auguste, fils de Louis VII et de sa troisième épouse, Adèle de Champagne, que de "réparer" les conséquences désastreuses de l'annulation du magnifique "mariage aquitain" de son père, voulu et "arrangé" par le grand Suger. 

    Il y parvint au-delà de toute espérance, puisqu'il devait quadrupler le territoire national, aucun roi n'ayant agrandi le pays comme lui : cette brillante énergie mérita d'être regardée par les historiens comme une sorte de première Guerre de Cent ans... 

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    Le château de Châlus, d'où fut tirée la flèche qui tua le roi Richard 

    www.richardcoeurdelion.fr/  
    Et, dans notre album L'aventure France racontée par les cartes, voir les deux photos Aliénor d'Aquitaine et "La puissance des Plantagenêts" 

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    C'est notre grand, notre immense Jacques Bainville, qui a raison : La France est, globalement, une bonne affaire... (dans son "Journal", 1901/1918, note du 11 août 1912, page 102)...

    Témoin supplémentaire, aujourd'hui, de cette France qui invente et innove, qui gagne malgré tout, malgré le Système et les boulets et entraves innombrables qu'il lui impose... (sur France info) :

    Sciences : des chercheurs français ont inventé l'IRM le plus puissant du monde...

    https://www.francetvinfo.fr/sciences/sciences-des-chercheurs-francais-ont-invente-l-irm-le-plus-puissant-du-monde_6465176.html

    Sciences : des chercheurs français ont inventé l'IRM le plus puissant du monde

    À gauche, une photo du cerveau par IRM, "avant"; à droite, la même, obtenue avec le nouvel IRM !...

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  • Autour de Jacques Bainville...

    Proposé par Alexandre - Newsletter Histoire, sur tweeter :
     

    https://www.moraledelhistoire.com/p/jacques-bainville-prophete-histoire?r=49x0e&utm_campaign=post&utm_medium=web

  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Sociaux parce que royalistes... Frédéric Le Play

    1882 : Mort de Frédéric Le Play     

     

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    Photographie de Frédéric Le Play vers la fin de sa vie (non datée)

     

    De Michel Mourre (Dictionnaire Encyclopédique d'Histoire, pages 2644/2645) :

    "...Procédant par une observation minutieuse d'un petit nombre de faits, suivie d'une généralisation (méthode de la monographie), il aboutit à la conclusion que la disparition de la paix sociale en Europe est due aux "faux dogmes" de 1789, à la croyance en la perfection originelle de l'homme et en l'égalité naturelle. La science sociale doit au contraire, selon lui, se fonder sur la conception chrétienne pessimiste de l'homme et sur le Décalogue : la société européenne sera réorganisée sur le triple fondement de la morale religieuse, de la propriété (liberté de tester), de la famille, "cellule sociale" fondamentale, à l'image de laquelle doit se modeler l'organisation professionnelle, dans laquelle les grands propriétaires et les patrons joueront un rôle patriarcal. Les tendances paternalistes de Le Play exercèrent une grande influence sur certains catholiques sociaux et sur l'école d'Action française..." 

     

     http://www.annales.org/archives/x/leplay.html

     

    Avec Albert de Mun, voir l'Éphéméride du 6 octobre), La Tour du Pin (voir l'Éphéméride du 1er avril), Alban de Villeneuve Bargemon (voir l'Éphéméride du 8 août), Le Play fait partie de ces Légitimistes trop souvent ignorés aujourd'hui, et injustement traités, à qui Michel Mourre a rendu justice, dans son Dictionnaire encyclopédique d’Histoire, article Légitimistes (page 2624, extrait) :

     

    "…Ce serait faire une caricature que de représenter tous les légitimistes comme des nostalgiques du passé, fermés aux problèmes de leur temps ; bien au contraire, ils furent les premiers, avec les socialistes, à dénoncer les méfaits du capitalisme sauvage. Villeneuve-Bargemon, dans son Traité d’économie politique chrétienne (1834) et Villermé, dans sa grande enquête de 1840 sur la condition ouvrière, furent les précurseurs du catholicisme social. Bénéficiant de la confiance d’une grande partie des masses rurales, les légitimistes firent campagne, souvent en liaison avec les républicains, contre le régime électoral censitaire de la Monarchie de Juillet. Leur force électorale se manifesta après la Révolution de 1848, avec 100 élus à l’Assemblée constituante (avril 1848) et 200 à l’Assemblée législative (mai 1849). Cédant à l’affolement suscité par l’émeute socialiste de juin 1848, la plupart des députés légitimistes se réunirent avec les orléanistes dans le "parti de l’Ordre" . Fermement hostiles au coup d’Etat du 2 décembre et au second Empire, ils apparurent, après les défaites de 1870, comme les hommes de l’ordre et de la paix et eurent de nouveau près de 200 élus à l’Assemblée nationale élue en février 1871.

    Ils incarnaient toujours la vieille France rurale, mais, avec Albert de Mun et La Tour du Pin, ils continuaient aussi à affirmer leurs préoccupations sociales et leur soucis de défendre les ouvriers contre les abus du capitalisme..."

  • Éphéméride du 5 avril

    Karakorum, ancienne capitale de l'empire mongol...

     

     

    1284 : Guillaume de Rubrouck, premier occidental à entrer dans Karakorum  

     

    Tout le monde connaît Marco Polo, l'explorateur vénitien, et son célèbre Livre des merveilles.

    On sait moins que ses pérégrinations en terre mongole avaient été précédées par celles de plusieurs moines, envoyés comme ambassadeurs soit par le Pape, soit par le roi de France, Louis IX (futur saint Louis).

    Ainsi, trente ans avant Marco Polo, Ascelin de Lombardie et André de Longjumeau, dominicains, et deux franciscains, Jean de Plan Carpin et Guillaume de Rubrouck, sillonnaient les routes de Mongolie.

    Ce fut Frère Guillaume de Rubrouck, natif de la Flandre française, ami et intime de Saint Louis, qui entra le premier dans Karakorum, alors capitale de l'empire mongol, et c'était bien la première fois qu'un ambassadeur chrétien occidental pénétrait dans la ville : il y fut accueilli solennellement par les Nestoriens du lieu, venus en procession au-devant de lui. 

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    La route de Guillaume de Rubrouck 

     

    https://clio-texte.clionautes.org/L-Empire-mongol-recit-de-Guillaume.html 

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    L’école privée, bouc-émissaire de l’échec de l’enseignement public ? De ses erreurs, de ses échecs, de sa faillite ? Trop facile !...

    L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :

    "Ces offensives contre l'école privée se font à l’ombre de ministres, de consciences morales qui y mettent leurs enfants. Ce mensonge collectif rappelle ces apparatchiks soviétiques qui faisaient l’éloge du collectivisme en profitant, en cachette, de privilèges venus de l’ouest..."
     
    (extrait vidéo 4'05)
     
     

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  • Documents pour servir à une Histoire de l'URP (58) : Novembre 38, Maurras et Daudet en conférences en Provence...

     

    (retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)

     

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    • L'annonce ci-dessus est en "Une" de L'Action française du Jeudi 27 Octobre 1938 (en bas de la cinquième colonne) :

    1. Les compte-rendus des deux réunions de Maurras... :

    - D'abord, la réunion de Toulon, dans le numéro du Lundi 7 Novembre (en "Une", moitié inférieure de la sixième colonne)... :

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  • Solidarité Kosovo ! DEPUIS LES POGROMS ANTI-CHRÉTIENS, 20 ANS DE RÉSILIENCE SERBE CONTRE LES PERSÉCUTIONS

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    Site officiel : Solidarité Kosovo

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

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  • Éphéméride du 4 avril

    Les Thermes de Caracalla, à Rome

     

     

    188 : Naissance de Caracalla      

     

    Empereur romain, qui régna de 211 à 217, il est l'auteur de l'Édit de Caracalla, qui étendit la citoyenneté romaine à tous les habitants libres de l'Empire, en 212.

    Il était le fils de l’empereur – d’origine libyenne - Septime Sévère  et de sa femme, la très belle Julia Domna; il naquit à Lugdunum, son père étant alors gouverneur des Gaules.

    Son sobriquet de Caracalla vient d'un type de vêtement gaulois à capuchon et manches longues qu'il avait coutume de porter dès l'âge de douze ans.

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    Une curiosité à ne pas manquer, à Lyon : la Fresque des Lyonnais, située rue de la Martinière, qui présente 30 Lyonnais célèbres, aux fenêtres d'un immeuble en trompe-l’œil. On y voit Édouard Herriot, les frères Lumière, Antoine de Saint-Exupéry, l’Abbé Pierre, Bernard Pivot et, sur la façade faisant l'angle avec le Quai Saint-Vincent, l'Empereur Claude, qui n'est pas le seul Empereur romain né dans la ville, puisque Caracalla est lui aussi "lyonnais"... 

     

    • www.franceinter.fr/emission-les-oubliettes-du-temps-4-avril-188-naissance-de-caracalla 
    •www.histoireeurope.fr/RechercheLocution.php?Locutions=Caracalla&Date1=&Date2=&maf=&clear=Effacer&upcase=Initiales+en+majuscules

     

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

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    1882 : Mort de Frédéric Le Play...     
     
    Avec Albert de Mun, François-René de La Tour du Pin, Alban de Villeneuve Bargemon et d'autres il fait partie de ces Légitimistes, royalistes parce que sociaux, qui sont l'honneur du royalisme français et qui montrent, aujourd'hui encore, la voie de l'authentique monarchie populaire...
     
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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Dans Figaro Vox, l'article de Godnadel sur cette foldingue de Mahaut Drama, appelant à "prendre les armes" en cas de victoire de Marine Le Pen aux élections (on en  a parlé ici-même, juste avant Pâques) :

    https://www.lefigaro.fr/vox/societe/goldnadel-et-maintenant-l-extreme-gauche-mediatique-appelle-a-se-battre-physiquement-contre-ses-opposants-20240401

    Derrière les propos délirants et autres insanités de Mahaut Drama, la fascination historique de l'extrême-gauche pour la violence...

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  • Grandes "Une" de L'Action française : 20 Décembre 1908, à Paris, devant 8.000 personnes, la première grande Réunion publique de l'Action française, Salle Wagram...

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

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    (Dans notre Album "Maîtres et Témoins (III) : Léon Daudet" , voir la photo "1908 : le 1er "Vive le Roi !", Salle Wagram"...)

    Voici le lien menant au numéro du Dimanche 20 Décembre 1908, qui raconte longuement l'évènement : 

    • D'abord en racontant la soirée et en donnant - sur la sixième colonne de la "Une" et les trois premières colonnes (et demi) de la page deux -  les discours de tous les orateurs : Henri Vaugeois, Léon de Montesquiou, le Commandant Cuignet, le Comte de Lur-Saluces et Bernard de Vesins...

    • Mais aussi en donnant, sur la première colonne de la "Une" et la moitié supérieure de la deuxième, le discours de Daudet (Maurras est juste après et en-dessous, avec sa "Politique", qui termine la deuxième colonne)...

    • Voici d'abord le compte-rendu de la réunion, en début de la sixième colonne (il s'achèvera page deux, après les discours, sur presque la moitié de la quatrième colonne, sous le sous-titre "LA SORTIE") :

    (cliquez sur les photos pour les agrandir)

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    (ndlr : Gabriel Syveton était l'un des fondateurs de la Ligue de la Patrie française, en 1898, sept ans avant que ne soit créée la Ligue d'Action française, en 1905. Élu député en 1902, Syveton siégeait au Palais Bourbon dans le groupe "républicain nationaliste". Le 4 novembre 1904, après la révélation de "l'affaire des fiches" par son ami Jean Guyot de Villeneuve, il gifla Louis André, ministre de la Guerre du sinistre cabinet du non moins sinistre Combes. Le 8 décembre 1904, la veille de son procès devant la Cour d'assises de la Seine, il fut retrouvé asphyxié dans son cabinet de travail et, bien entendu, la police politique du Régime conclut... au suicide ! Alors que l'Action française et tous les patriotes dénonçaient un assassinat politique, qui tombait à point pour le Régime...)

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  • Au cinéma : Un Hiver à Majorque, par Guilhem de Tarlé

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    A Montgivray dans l’Indre : Un Hiver à Majorque, un film espagnol de 1969 réalisé par Jaime Camino, avec Lucia Bosé (George Sand) et Christopher Sandford (Frédéric Chopin),
    d’après l’œuvre éponyme de George Sand.

    George Sand est aux Berrichons ce que Pagnol est aux Marseillais et Giono aux Provençaux.
    Sa maison de Nohant est exactement à 22 km de notre domicile, et le lieu de prédilection où nous conduisons nos amis qui nous font l'honneur et la joie de nous rendre visite.
    Quand donc nous apprenons la projection d'un film tiré de son œuvre dans la salle des fêtes d'un village alentour, nous ne pouvons faire autre chose que de nous y précipiter.

    Certes cette femme "libre", comme elle prétend l'être, n'est pas de ma famille de pensée, mais cette "famille", contrairement à nos adversaires, n'est pas sectaire et sait reconnaître le talent là où il se trouve...
    A bon entendeur salut, à ceux qui interdisent les conférences de tel ou tel, et les boycottent dans les médias, après avoir exécuté André Chénier et Brasillach...

    Le film nous montre l’écrivain en train de vanter la vertu de Robespierre devant son fils Maurice, précisément Dudevant... mais c'est vrai que mon meilleur professeur d'Histoire, dont je garde un excellent souvenir au lycée de Châteauroux, faisait de même !

    Dans l'attente de découvrir au cinéma cet Hiver à Majorque, j'ai entrepris de commencer ce livre prisé par mon épouse... J'en suis à la moitié et ce que je peux en dire est donc partiel et sujet à caution.
    On sait que George Sand avait deux raisons principales d'écrire qui étaient d’une part le besoin de gagner son pain,  d'autre part un militantisme à la fois féministe, socialiste et révolutionnaire. Mon grand-père l'appelait avec mépris "la républicaine", et l'on peut certainement dire aujourd'hui qu'elle était une "bobo" avant l'heure, une bourgeoise soi-disant proche du peuple mais sans aucune empathie pour ses propres domestiques, ce que souligne parfaitement le film.
    La première partie de son Hiver à Majorque me paraît relever uniquement de l'écriture vénale,  qui singe le guide touristique, avec d'ailleurs beaucoup d'emprunts à d'autres auteurs. Elle y glisse, de page en page, des considérations générales, parfois intéressantes, mais qui ont tout du "remplissage", comme par exemple l'attrait des voyages - "Pourquoi voyager quand on n'y est pas forcé ?" - ou l'Inquisition.

    Bref, elle a peu de choses à dire, et écrit pour le revenu...
    Le Long métrage,  très lent, est de la même trempe à la double exception que l’aspect « visite touristique » en a été gommé, tandis que Chopin y tient toute sa place alors qu'elle ne cite jamais son nom et qu'il est inexistant dans ce que j'ai lu.

    George Sand, alias Amantine (prénom prémonitoire) Aurore Dupin de Francueil, aurait 220 ans le 1er juillet prochain... c'est quand même bien de la célébrer.

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  • Éphéméride du 3 Avril

    2007  : Record de vitesse du TGV, à 574,8 km/h

     

     

     

     

    1367 : Du Guesclin prisonnier 

     

    Inlassable combattant pour la libération du territoire, du Guesclin a été chargé, en cette période, de débarrasser le royaume des Grandes compagnies, c'est-à-dire des bandes de soldats/mercenaires licenciés par leurs chefs temporaires, mais qui refusaient de quitter les armes pour retourner à la vie civile, et vivaient en rançonnant les campagne et le petit peuple.

    À la demande de son roi, Charles V, du Guesclin s'est donc mis personnellement à la tête de ces pillards, et les a emmenés en Espagne, où il soutint le parti d'Henri de Transtamare, qui disputait le trône de Castille à Pierre le Cruel.

    Celui-ci, sur le point d'être vaincu par le connétable, fit appel aux deux meilleurs généraux anglais du temps : Chandos et le Prince noir. Le sort des armes tourna alors, temporairement, en défaveur de du Guesclin, qui fut fait prisonnier par le Prince noir (prince de Galles, héritier de la couronne d'Angleterre) pendant la bataille de Nájera, en Navarre.

    Le même Prince noir qui mettra Limoges à sac trois ans plus tard (voir l'Éphéméride du 19 septembre).        

    Surnommé le Prince Noir, à cause de la couleur de son armure, le Prince de Galles enfermera le connétable à Bordeaux où les émissaires du roi de France négocieront sa libération, qui interviendra le 17 janvier 1368, après paiement d'une forte rançon.  

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    Statue de du Guesclin à Dinan
     
     
     
     
     
     
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