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immigration - Page 18

  • Douce France républicaine, ou chronique de l'insécurité ordinaire...(4)

              Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Delphine de Mallevoüe publié dans "Le Figaro magazine" du jeudi 10 Janvier, sous le double titre: "Ces minicaïds qui sèment la terreur dans les maternelles. Âgés de 3 à 10 ans, ils frappent, volent ou brûlent des voitures. Le rajeunissement de la délinquance est un vrai problème dans les cités."

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  • Petites phrases, qui en disent long, entendues sur FR3.....

              Comme il est peu commode, voire impossible, de "raconter" une émission qui dure une heure quarante cinq (1), et dont le seul défaut est l'heure tardive de diffusion (2), voici simplement quelques unes des "perles" prononcées ce soir-là par Alain Finkielkraut:

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  • Lutter contre les "marchands de sommeil"?...

              Encore un immeuble en flammes en plein Paris, encore des morts dans une zone insalubre (1). Et Christine Boutin, qui s'est rendu sur les lieux, promet qu'elle va réagir. Elle a lancé un "plan d'action" qu'elle a détaillé, ce même jeudi 8 novembre, déclarant entre autre: "Il va y avoir une véritable traque aux marchands de sommeil"... et : "Nous allons utiliser tous les instruments pour lutter contre l'exploitation humaine des marchands de sommeil. Par exemple, ils ne seront pas à l'abri de contrôles fiscaux."

               On s'étonnera juste d'apprendre que tel n'était pas le cas jusqu'à présent, et que les dits marchands de sommeil bénéficiaient donc d'une surprenante clémence (?!) des pouvoirs publics, qui devaient sans doute "regarder ailleurs".....; une clémence et un "oubli" que bien des patrons de PME, gênés parfois jusqu'à la faillite par les contrôles tatillons de l'Administration, apprécieront !...

              L'intention de Christine Boutin est louable, et une lutte sérieuse s'impose en effet dans ce domaine: mais, il ne faut pas se leurrer, cela ne sera pas suffisant. Lutter contre les conséquences ne servira à rien si on ne lutte pas aussi, et surtout, contre les causes. Qui a envoyé à ces populations déshéritées (ici de l'Inde, mais ailleurs d'Asie, d'Afrique, de l'Océan Indien...) ce faux message d'un soi-disant espoir d'une vie meilleure à Paris? Faux message mais vrai mirage, qui a fait croire à ces populations qu'elles trouveraient ici des conditions de vie qu'à l'évidence les pouvoirs publics sont bien incapables de leur offrir! Et qui ont donc drainé vers nos villes des flots de miséreux qu'il aurait été bien plus raisonnable, bien plus efficace et bien plus humain d'aider chez eux...(2)

              Maintenant que le mal est fait, que madame Boutin lutte donc contre ses conséquences: elle a raison, et c'est une partie de son rôle; mais qu'elle ait, parallèlement, le courage de mettre clairement en cause ces associations, célébrités, avocats, hommes politiques etc..etc..etc....qui se sont fait une spécialité du soi-disant multi-culturalisme ou multi-ethnisme et de l'aide à tout va aux immigrés, aboutissant dans les faits aux résultats désastreux que nous voyons; qu'elle ait le courage d'établir clairement le lien entre ces associations et les drames qui défraient régulièrement la chronique, drames dont ces associations (très souvent grassement subventionnées par les pouvoirs publics, donc par nos impôts....) sont pour une très large part directement responsables: car -même si ce n'est évidemment pas la seule, ni peut-être même la principale raison de leur migration- c'est aussi parcequ'ils savent très bien qu'ils trouveront ici une armée d'idéologues qui les aideront que tant de malheureux quittent -croient-ils- leur misère pour venir.... mourir brûlés vifs à Paris !: beau résultat !.....

    (1): Deux femmes (dont une enceinte) une fillette de dix ans et un de ses voisins ont péri tôt, jeudi 8 novembre au matin, dans l'incendie d'un petit immeuble situé passage Brady dans le Xe arrondissement de Paris; un quartier populaire qui compte une forte population originaire du sous-continent indien.....

    (2): voir la note "Un monastères cistercien, et bien plus que cela...." dans la catégorie "Les vrais amis de l'Afrique et des Africains".

  • Douce France républicaine, ou chronique de l'insécurité ordinaire...(3)

              Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Sophie Manelli, publié dans le quotidien "La Provence" du lundi 29 octobre, sous le double titre: "Centre-Ville: la police semble bien impuissante face à ces vols à l'arraché. / Pourquoi le port du collier est déconseillé en ville...."

              "Quel est le plus grand aéroport de France? Roissy? Non, la Canebière: deux vols à la minute." (1) Un peu exagérée, la blague qui circule cet an-ci. Mais un peu seulement, car depuis cet été, c'est bien deux agressions....par jour, qui seront constatées dans le centre-ville. Et l'on ne parle ici que d'un type très particulier de vol avec violence. L'arrachage de colliers, chaînes et autres "bouliers marseillais" est, depuis quelques mois, la plaie du centre-ville. Et ce alors même que la délinquance de voie publique affiche une baisse de l'ordre de six pour cent par rapport à l'année dernière. La police a clairement identifié les auteurs de ces délits.

              Il s'agit le plus souvent de jeunes clandestins, en provenance d'Annaba en Algérie, qui affluent depuis la fin juin, sans doute acheminés par un réseau qui transite par l'Italie.

              "A Marseille, ces gamins se spécialisent dans l'arrachage de colliers, certainement avec l'appui de receleurs et de revendeurs locaux", estime un enquêteur, qui a auditionné plusieurs de ces jeunes errants arrêtés en flagrant délit. Leurs victimes, bien ciblées, sont des femmes d'un certain âge, se déplaçant seules, de préférence. Certaines d'entre elles, jetées à terre avant d'être dépouillées, ont eu des membres fracturés. Face à ce fléau, la police ne reste pas les bras ballants. Depuis janvier, 20 opérations de contrôles massifs ont été organisés dans le centre-ville , dont douze à Noailles et Belsunce (la dernière remonte à vendredi, avec soixante trois fonctionnaires mobilisés). Début octobre, une enquête a conduit à l'interpellation de trente deux occupants d'un squat de la rue du Musée. Dix d'entre eux, formellement reconnus par des victimes, ont été placés en garde à vue. Huit ont été écroués. Les vingt deux autres? En séjour irrégulier, ils ont été remis à la police aux frontières. "Mais, comme ils se prétendent mineurs, le Parquet ordonne leur placement en foyer associatif....dont ils s'échappent aussitôt", déplore un fonctionnaire de la PAF.

              Ainsi, "quelques jours à peine après leur arrestation, on a revu la plupart de ces jeunes délinquants à Noailles", confirme un policier.

              Ces adolescents des rues seraient actuellement une cinquantaine à vagabonder à Marseille. Victimes, eux aussi, des chefs de réseaux qui savent que leur jeune âge leur garantit une quasi impunité."

    (1): "Depuis cet été, on en est à deux arrachages de collier par jour" (un policier).....

  • Douce France républicaine, ou chronique de l'insécurité ordinaire...(2)

              Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Denis Trossero, publié dans le quotidien "La Provence" du vendredi 19 octobre, sous le titre: "Petits caïds ou racketteurs, ils font régner la rude loi des cités"

              C'est l'histoire sans cesse recommencée du jour qui se couche sur les cités chaudes de Marseille. Histoire de zones de non-droit qui n'osent dire leur nom. Histoire que Rafik Gmati, 27 ans aujourd'hui, pourrait raconter mieux que quiconque. Depuis trois ans il gérait l'épicerie de la rue Saint-Pierre (10°), voisine de la cité Air-Bel, à La Pomme (11°). Il en avait connu des sous-entendus, des vilaines pressions, des petits mots glissés à la hâte en forme de menaces larvées.

              Mais les 14 et 15 Mai 2006, il n'imaginait pas vivre pareille situation. Le premier jour, il se fait dérober la caisse. Dans la nuit, deux hommes encagoulés et armés débarquent dans son commerce et avant qu'il n'ait pu esquisser un geste, l'un d'eux tire deux coups dans sa direction. Une balle lui traverse la cuisse. Son calvaire ne fait que commencer. Le projectile est passé à deux millimètres de l'artère fémorale. Suivront trois opérations, la pause de dix huit broches, cinq mois de fauteuil roulant. Rafik a reconnu ses "cow-boys" d'un jour. Ils sont de la cité Air-Bel et de La Mazenode (11°). Lui est de La Cravache (9°). A Air-Bel on n'aime pas "les étrangers" (1). Pourtant Rafik est courageux. Il est venu au Tribunal défier le regard désinvolte de ses agresseurs. Il y a là le tireur, Abderahmane Friga, 19 ans, et son complice du même âge, Nacer Bendrer.

              Friga évoque une "vengeance". Parce qu'il aurait été humilié la veille devant toute la cité, quand Rafik a récupéré sa recette. Petits caïds aux vils desseins. Rafik explique qu'ils avaient commencé par lui voler des sandwiches, puis qu'ils auraient bien aimé qu'il lui cède son épicerie sans payer. Racket ordinaire en 2007 à Marseille. Le procureur Candau, dans une synthétique géopolitique de nos cités, fustigera "l'attitude de ces groupes qui tentent de faire régner leur loi". Friga a écopé de cinq ans, Bendrer de trois ans. A l'énoncé du jugement, ce dernier a craché en direction du Tribunal, en criant "Fils de Pute!". Il devrait retourner en garde à vue.

    (1): en français dans le texte! c'est trop beau! à verser dans la catégorie: "Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd".....!

  • Douce France républicaine, ou chronique de l'insécurité ordinaire...(1)

              Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Sophie Manelli, publié dans le quotidien "La Provence" du mercredi 3 octobre, sous le double titre: "Une trentaine de "jeunes" suspectés d'actes de délinquance interpellés / Tout un quartier terrorisé par des ados squatters."

              Armés de couteaux, parfois de harpons de pêche, ils attendent les passants au coin de la rue. "Cet été, il ne s'est pas passé deux jours sans qu'une petite vieille soit jetée à terre" (1), raconte un boulanger de la rue Longue des Capucins. Depuis cet été, d'ailleurs, il garde en permanence...une hache de boucher à portée de main, cachée sous son plan de travail. En deux mois, pas moins de 20 plaintes pour des vols avec violences ont concerné le secteur Noailles. La plupart des victimes étaient des femmes âgées (1bis), sauvagement agressées sous l'oeil impuissant des caméras de surveillance.....
              Certaines ont reconnu leur agresseur: dix au total, âgés de 15 à 20 ans, interpellés mardi dernier dans une descente de police effectuée dans leur repaire de la rue du Musée. Un trottoir entier, ou presque. Du numéro 22 au numéro 32, ces immeubles en ruine abritaient le plus gros
    foyer de ces "petits" délinquants qui terrorisent le centre-ville. Au total, 32 personnes ont été interpellées dans le squat. Pour la plupart en situation irrégulière, ces jeunes sont originaires de la région d'Annaba en Algérie, qu'ils ont quitté en bateau jusqu'à Naples ou la Sardaigne, avant de rejoindre Marseille; sans doute attirés par des filières de passeurs qui promettent les trafics faciles du trafic de cigarettes ou de contrefaçons.
              "Ils sont arrivés par vagues, depuis le mois de juin dernier. Certains ont trouvé du boulot, mais la plupart se mettent à voler, en repérant des proies faciles", raconte Farid, qui tient un point phone dans le quartier. Comme d'autres commerçants, il n'hésite pas à mettre en garde les touristes qui s'engouffrent imprudemment dans le quartier. "Le coup de filet de mardi, ça va calmer les choses, mais pour combien de temps?" interroge Yves Baussens, charcutier au marché des Capucins, qui a vu tant de fois la délinquance "simplement déménager".
    Dimanche dernier, une touriste anglaise a été blessée à la tête après avoir été jetée à terre et dépouillée de son camescope;

    (1): on admirera le courage de ces "jeunes", avec un couteau ou un harpon contre "une petite vieille": rappelons-nous Chirac: "ce sont les enfants de la république...une chance pour la France...."
    (1bis): idem....

  • Simple question, de simple bon sens...

              Brice Hortefeux, ministre de l'immigration et de l'identité nationale, accorde un entretien à deux journalistes du Figaro Magazine (1): la bonne volonté du ministre est évidente; sa vision des choses est celle d'un homme pragmatique, qui souhaite mettre de l'ordre dans cette pétaudière qu'est l'immigration; et la plupart de ses propos sont frappés au coin du bon sens; on a simplement envie de demander pourquoi on n'a pas prononcé plus tôt ces paroles fortes et lucides; et quels sont les responsables de cet immense échec, qui est devenu un vrai problème de sécurité nationale, et plus seulement un problème "d'identité nationale": il suffit de voir la banalisation des batailles rangées entre bandes rivales de banlieues, des bandes composées presqu'exclusivement d'immigrés récents....; on va en être bientôt -"incessamment sous peu"- à une par jour, et les premiers coups de feu ont été tirées lors de la dernière en date; à tout observateur lucide et impartial, il apparaît clairement que la république a mis en place les conditions qui font que la France s'enfonce tout doucement, mais très sûrement, dans la violence quotidienne, ordinaire et banalisée: c'est à dire la pire.

              Mais pour lutter vraiment contre un fléau, bonne volonté et lucidité ne suffisent pas. Il faut avoir le courage de "casser la baraque"et de remonter aux sources; c'est à dire de dénoncer les causes du mal que l'on dénonce. Ainsi, lorsque Brice Hortefeux déclare tout de go: "Dans certaines banlieues, plus de 40% des étrangers sont au chômage..." on aurait aimé être à la place des deux journalistes pour lui faire remarquer ceci: "on" nous a "bassiné" (pour rester polis...) avec la sempiternelle rengaine des "immigrés-qui-viennent-faire-le-travail-que-les-français-ne-veulent-plus-faire", et avec cette sornette, on a réussi à faire taire le plus souvent les voix qui s'élevaient contre ce "processus de substitution démographique"dont parle élégamment la démographe Michèle Tribalat (2).     (à suivre.....)

              Et maintenant, un ministre vient nous dire que ces fameux immigrés, du moins "40% d'entre eux dans certaines banlieues", sont au chômage! On croit rêver! Question impertinente, à dix centimes d'euros: pourquoi donc sont-ils venus ici? si c'est pour être chômeurs?.....ne venaient-ils pas, soi-disant, pour travailler, pour remplacer ces bons à rien, ces feignants que nous sommes?.....

              Et si l'on ajoute à ce pourcentage de chômeurs (qui pour nous -c'est clair- ne devrait pas être en France...) le pourcentage des délinquants en liberté ou emprisonnés; et le pourcentage de ceux qui ont fraudé sur les "reconnaissances bidons" d'enfants qui ne sont pas les leurs (d'où, entre parenthèse, l'intérêt des tests ADN...), on voit bien que, sur ce dossier sensible de l'immigration, la république a menti sur toute la ligne, et depuis le début: c'est un gigantesque coup de balai qui s'impose! il ne faut pas seulement, comme le propose Brice Hortefeux, opérer un "rééquilibrage entre immigration familiale et économique" (ce serait un simple cautère sur une jambe de bois....): il faut renvoyer du territoire national les étrangers au chômage; les étrangers et les naturalisés qui sont délinquants (3), ou qui ont fraudé dans leur déclarations de paternité, en faisant passer pour des membres de leur familles des enfants qui n'étaient pas les leurs; c'est à dire ceux qui sont venus chez nous exclusivement pour des allocs, pour du fric, pour vivre à nos crochets (4): le fric qu'ils nous pompent depuis 1975 (chômeurs ou délinquants) c'est de l'argent qui serait mieux employé ailleurs: dans la Recherche par exemple, créatrice d'emplois, dont notre économie a bien besoin....

     

    (1): "Le Figaro Magazine", samedi 15 septembre 2007; propos recueillis par Arnauld Dingreville et Dominique Rizet.

    (2): ce qui veut dire, en clair: les étrangers viennent nous remplacer, et la république change le peuple! Voir les 5 notes "Erreur ou mensonge?..." dans la Catégorie "Immigration et Identité Nationale"; et les 2 notes "Qui constitue le Peuple ?" et "La république change le Peuple." dans la Catégorie "Immigration et Désintégration Nationale."

    (3): et qui sont venus chez nous sans que le Peuple -pourtant réputé souverain...- ait jamais été consulté, ce qui fait de cette présence une présence illégitime à nos yeux; et de la politique menée par Chirac et ses successeurs depuis 1975 une politique également illégitime, que le Peuple sera fondé à remettre en cause à tout moment; et ce qui fait des papiers qu'on a donné à ces immigrés, de la nationalité française qu'on leur a bradé, des papiers et une nationalité illégitimes....que le Peuple souverain sera fondé à annuler et à retirer si bon lui semble (par exemple en cas de délinquance: voir les notes de la catégorie "L'insécurité partout : Déchoir et expulser"....)

    (4): cette fraude est évaluée à trente pour cent par le porte-parole du gouvernement Laurent Wauquiez: derrière le débat sur les test ADN, a-t-il souligné, "il y a un vrai sujet: celui de la fraude...; ...30 % la fraude sur le regroupement familial, ce n'est pas tout à fait négligeable" ! on ne saurait mieux dire !

  • La république danse sur un volcan...

              Lu dans "La Provence" du lundi 16 juillet (1): "Des voitures retournées en flammes, en guise de remparts. Des grappes d'individus, le visage sous une cagoule ou une capuche, armés de cocktails Molotov dans une main et de pierres dans l'autre. Des barrages de poubelles incendiées....Dans plusieurs quartiers marseillais, samedi soir, la Fête nationale avait des allures de "révolution urbaine" avec un goût amer de déjà vu...En milieu de nuit, vers 3 heures du matin, une quarantaine de véhicules et quelques 150 poubelles avaient été incendiées. Les marins-pompiers ont en outre traité 200 feux d'herbe et 13 feux de détritus..." L'article évoque les 602 appels et 585 interventions concernant les pompiers, victimes d'une trentaine de "caillassage", les cinq feux urbains, les 12 arrestations opérées par les 200 policiers, appuyés par 96 "municipaux", tandis que les CRS, pour la troisième année consécutive, ont dû intervenir à la Cité Air Bel "pour calmer et refroidir les esprits" (sic!). Voilà pour Marseille...

              En France, on n'a recensé "que" la bagatelle de 199 véhicules incendiées et 76 arrestations, autant dire rien, puisque la république nous a donné l'habitude de vivre habituellement avec des choses que nos ancêtres n'auraient pas admis à leur époque, et nous non plus il y a une vingtaine ou une trentaine d'années: mais on s'habitue à tout, n'est-ce pas? surtout lorsque l'opinion, à qui l'on ne dit pas tout -quand on ne lui ment pas carrément- est quotidiennement anesthésiée par les mensonges de la "vérité officielle" et le bourrage de crâne opéré par le parti immigrationniste...Et pendant ce temps là, l'arbre des délinquances et des Mafias pousse ses racines, silencieusement mais inexorablement; il prend toute sa place et s'installe confortablement et efficacement; il prospère, et la république accepte l'inacceptable; elle tolère l'intolérable; elle "gère la délinquance", elle n'y répond absolument pas: comment le pourrait-elle, d'ailleurs, puisque c'est elle qui, en trente ans, a opéré ce prodigieux transfert de population qui est directement à l'origine de l'apparition de ces cités, dangereuses aujourd'hui, explosives demain....

    (1): page 4: "Le 14 juillet, prétexte pour mettre le feu dans les cités."

  • Contre la France métisse....

    Si vous souhaitez lire cette conférence (Café Politique, Marseille le 7 mars 2007), cliquez sur le lien ci-dessous

    Conférence: "Contre la France Métisse..."pdf 

     

  • Disons-le clairement...

              Des élèves assez jeunes, peu au fait de la politique, ont lu la note: "Une Halde au service de la dilution nationale". Ils ont la franchise réjouissante de cet âge là, dont il faut les remercier car elle nous oblige à revenir sans cesse à l'essentiel et à être toujours plus clairs et plus précis; et ils me demandent carrément: "Ca veut dire quoi  ?" à propos de l'expression "français légaux à défaut d'être des français légitimes".

              Voici: depuis 1975, Chirac -appuyé et suivi ensuite par la gauche- à fait le choix d'implanter et de greffer en France un grand nombre d'étrangers, par le biais du "regroupement familial"; cette décision est "légale" mais non "légitime" pour nous, car ni Chirac ni ses successeurs n'ont demandé son avis au peuple souverain, et cette politique a été menée en quelque sorte en cachette, en catimini: la meilleure preuve en est l'interdiction formelle de communiquer quelque chiffre que ce soit à ce sujet. Nous sommes donc dans le paradoxe suivant: sur un sujet fondamental: "Qui constitue le Peuple ?", la République ne demande pas son avis au peuple souverain et ne le tient même pas informé de la réalité des chiffres; comment une démocratie pourrait-elle fonctionner de la sorte puisque, si c'est le peuple qui décide, encore faut-il qu'il ait les éléments pour juger...

              On voit donc bien qu'il y a une escroquerie, et plus encore une forfaiture: Chirac a comme donné la France à une masse d'étrangers, que l'on peut évaluer à 10 millions voire plus. Ces personne, du moins pour les naturalisés, sont bien des français "légalement", c'est à dire qu'ils ont une Carte d'Identité en poche et qu'ils disposent des mêmes droits que nous, et peuvent donc orienter la politique du pays par leurs choix aux élections; mais comme nous n'avons jamais été consultés sur la présence de ces personnes, ni sur l'octroi de la nationalité à un aussi grand nombre de gens  en aussi peu de temps, nous estimons qu'il s'agit là d'un fait non "légitime" car un Président n'est pas un tyran ou un dictateur, il n'a pas tous les pouvoirs, il ne peut pas faire tout ce qui  lui passe par la tête; il doit avoir l'accord de l'opinion pour tout ce qui engage fondamentalement la vie ou la survie de la Nation: or l'Immigration récente, dans les proportions qui sont les siennes, déséquilibre gravement la société française et peut représenter un vrai danger (comme on l'a vu dans l'explosion des banlieues en automne 2005).

              Aucun pays au monde n'a subi un tel choc en si peu de temps; il ne s'agit plus de "regroupement familial" mais d'un processus de désappropriation: les français de souche sont dépossédés de leur pays par 10 millions de nouveaux venus qui disent carrément -parce qu'on le leur a fait croire et qu'ils ont bien voulu le croire- que la France est à eux autant qu'à nous; alors que c'est faux, car nous avons des droits historiques sur notre Terre, liés aux services rendus par les générations précédentes, qui l'ont fertilisée et défendue; les nouveaux venus n'auront ces mêmes droits historiques que dans plusieurs générations, quand ils auront à leur tour travaillé et donné leur vie pour ce pays; aujourd'hui, et pour l'instant, ils n'ont que le petit rectangle de plastique que la république leur a -très imprudemment- donné; et nous, nous remettons en cause la politique menée en ce domaine depuis 1975, car elle est "illégitime".....

  • De Mougins à la Banlieue....

              Ségolène et son compagnon François Hollande "n'aiment pas les riches": c'est ce qu'ils ont dit au début de la campagne pour la présidentielle, juste avant qu'on n'apprenne qu'ils avaient -entre autre...- une villa à Mougins, lieu défavorisé de la très pauvre Côte d'Azur, bien connu pour abriter des déshérités, des romanichels misérables et d'autres damnés de la terre...

              Vont-ils être logiques avec eux-mêmes et, puisqu'ils "n'aiment pas les riches", vont-ils saisir la main qui leur a été tendue par les jeunes des banlieues, en transférant leur résidence secondaire dans une des-dites banlieues ?

              C'est en effet un véritable message d'amour que l'immigration a envoyé à Ségolène à travers les scores qu'elle a réalisé dans les Cités:

              Vaulx en Velin: 63%; La Paillade: 65%; Le Mirail à Toulouse: 70%; les quartiers nord de Marseille: 70%; Aubervilliers: 61%; Saint Denis: 67%; Bobigny: 66%; Trappes: 70%...

              Pour Ségolène et François, l'embarras du choix !...

    France-Vaulx-en-Velin-1.jpg
    Partir ! Tout quitter, pour cette douce France, là où Momo vote Ségo (ici: Vaulx-en-Velin)....
  • Une proposition pour en sortir: la règle des trois tiers.....

              La politique insensée qui a fait entrer en France plus de dix millions d'étrangers depuis 1975 nous parait illégitime, car sur un sujet aussi fondamental que la constitution physique du Peuple, c'est à celui ci qu'il appartient de décider. 

              Maintenant que le mal est fait, il faut sortir de cette impasse, peut être mortelle, dans laquelle le Système nous a engagé; il faut donc bien imaginer des solutions, et formuler des propositions pour en sortir.

              En voici une. Pourquoi ne pas imaginer quelque chose que l'on pourrait appeler une règle des trois tiers ?

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  • Des bretons sympas ? Ou une solidarité dévoyée ?

              Dans une petite ville, près de Rennes, il existe un abattoir, et dans cet abattoir, six Maliens travaillent depuis plusieurs mois, voire plusieurs années; or on vient de s'apercevoir qu'il s'agit en fait de hors la loi, qu'une partie de la gauche persiste à appeler sans-papiers.

              Devant la perspective d'une expulsion du territoire national, certains ont carrément manifesté leur soutien à ces Maliens: est ce bien raisonnable ? il ne faut pas laisser la solidarité être dévoyée par l'idéologie et l'aveuglement; il vaut mieux en revenir au simple bon sens et cesser de marcher sur la tête: quand on connaît les problèmes d'emploi en France, le nombre de chômeurs, il est aberrant de penser que la saine organisation de l'économie consiste à laisser des habitants de notre pays au chômage alors que l'on offre du travail à des hors la loi.          

              On ne peut organiser ni le monde, ni la France ainsi; un monde raisonnable, c'est un monde ou les Français trouvent du travail dans leur pays, et les Maliens dans le leur. "Optima corruptio pessima" disait-on à Rome, c'est à dire "la corruption des meilleurs est la pire"...

              Il est désolant de voir des gens probablement généreux se tromper à ce point et confondre générosité et idéologie: on sait depuis bien longtemps que les bons sentiments ne font pas forcément les bons films, et que l'enfer est pavé de bonnes intentions; cette attitude est suicidaire, elle ne peut que générer de l'inefficacité et  desservir la cause que l'on prétend justement favoriser; au lieu de faire reculer la pauvreté, une telle attitude, généralisée, affaiblirait l'économie de la France sans développer pour autant ni le Mali, ni aucun autre pays....