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segolène royal

  • Drôles de dames, drôles de drames au PS, où "l'entrisme" royaliste, d'origine immigrée, se poursuit

            En soi l'affaire ne mériterait ni qu'on la rélève ni - et encore moins - qu'on la commente : Ségolène Royal, qui peine à se remettre après ses "KO debout" à répétition, n'a rien trouvé de mieux, durant ces derneirs mois, que de dresser - dans Le Point - un portrait peu flatteur de celle qui qui fut, pourtant, l'une de ses porte-paroles en 2007 : Najat Vallaud-Belkacem (1).

            Après moult propos peu amènes, l'ex madone des sondages lance sa perfidie (in cauda venenum) : "...Elle s'appellerait Claudine Dupont, elle en serait peut-être pas là... Elle doit assumer son identité et en être fière. Elle doit accepter d'être là pour ça...". Ambiance...

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  • Ségolène Royal en campagne : le bon grain et l'ivraie...

            Il faut bien le reconnaître, et lui en donner acte : si elle reste, dans tant de domaines, prisonnière d'une idéologie vieillotte et surannée, Ségolène a su faire preuve, ce dimanche 26 juin, lors de son Meeting d'Arçais, d'un réalisme de bon aloi sur deux ou trois thèmes majeurs. On a ainsi noté avec intérêt ce qu'elle a dit sur les Banques ou l'Education, et d'autres sujets encore, mais ce qui aura peut-être le plus frappé, c'est l'aplomb avec lequel elle se démarque d'une bonne part de son camp en ce qui concerne l'immigration.

            Certes, elle n'est pas la seule, et ils sont plusieurs - à gauche en général, et au PS en particulier - à tenir sur le sujet des propos réalistes. Le dernier en date, et non des moindres, étant le député PCF du Rhône, André Gérin...

            On a bien, là, une ligne de fracture majeure à gauche, illustrée donc, hier, par une Ségolène qui a asséné, d'une traite, et sans hésitation, que l'immigration, ici et maintenant, signifiait en réalité l'exploitation d'êtres humains par des Mafias; qu'il fallait aider chez eux ceux que "on" a fait venir ici pour que les salaires baissent; et que la France ne pouvait pas supporter, comme l'avait dit Rocard en son temps, toute la misère du monde.....

            Certes, ce n'est pas pour autant qu'on voterait (ou votera...) pour elle, mais, tout de même, le propos méritait d'être signalé.... 

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    Dimanche 26 juin, en meeting à Arçay... 

  • La seconde mort de Jean Jaurés . Ou : De Jaurès à Closer et au FMI...

            (Rédigée avant "l'affaire", cette note devait être envoyée dans la semaine, jeudi ou vendredi. Nous l'envoyons donc dès aujourd'hui, sans pourtant rien y changer.....)

             Ou, encore : les livres d'Histoire diront-ils, un jour, que Jaurès est mort en 2012 ?....

            Quand on voit ce que ses héritiers ont fait, et continuent de faire, de ce qui fut, malgré tout, une grande idée, autrefois... Nous ne prendrons que deux exemples de ce grand effondrement - alors qu'il serait possible d'en prendre tant d'autres !... -, chez l'ex couple Hollande et, surtout, in fine, chez Dominique Strauss-Kahnn.....

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  • Sourions –peut-être…- un peu : Et si le « cambriolage Royal » était un inattendu - et paradoxal - « retour sur investissement » ?....

            Les occasions de se détendre un peu sont trop rares, dans notre actualité qui porte plutôt, le plus souvent à la sinistrose : ne perdons donc pas celle-la qui, si les choses se confirment, ne manquerait pas de sel...

            Selon une source policière, la jeune mineure qui était recherchée depuis le cambriolage du domicile de Ségolène Royal a été arrêtée dans la nuit du vendredi 3 au samedi 4 en flagrant délit lors d'un autre cambriolage à Neuilly-sur-Seine, en compagnie de deux majeurs. Cette adolescente de 14 ans, enceinte, a reconnu avoir participé au vol du mercredi 1er décembre chez la présidente de Région.

            Aucune nationalité n’étant mentionnée (14 ans, et enceinte, étant les seuls détails donnés) il serait piquant que cette très précoce ( !) jeune fille fut, par exemple, roumaine : on se  souvient du très hypocrite tohu-bohu entretenu par les socialistes – entre autres… - contre les démantèlements de camps et diverses expulsions ces derniers mois, ordonnées par un gouvernement tentant de faire, un tout petit peu, respecter les lois dans l'immense pétaudière-foutoir que tendent à devenir de plus en plus de zones de notre beau pays...... Expulser, renvoyer ? Vous n’y pensez pas !..... « Ils » et « elles » l’ont tous dit et répété en chœur, et en boucle dans les médias… Et, surtout, au PS....

            Alors, aujourd’hui : réponse du berger à la bergère ? Ingratitude ? Ou tout simplement, si les faits se confirment, illustration supplémentaire du vieil adage : on ne récolte jamais que ce que l’on a semé !….

            A Marseille, on dit (très familièrement...) : "fai de bèn a Bertrand, te lou rènd en..."

  • Elle veut faire encadrer les délinquants par des militaires : Ségolène remet ça....

               On se souvient que, lors de son débat télévisé avec Sarkozy, juste avant le deuxième tour de l'election présidentielle, Ségolène Royal avait fait une proposition surprenante. Une jeune femme policier venant d'être agressée quelques jours plus tôt, elle avait proposé, en direct à la télé (il faut le faire !...) que les fonctionnaires femmes soient raccompagnées chez elles à la fin de leur boulot....  

                Ce qui nous avait fait écrire aussi sec - d'une manière, certes, un peu polémique, mais elle l'avait bien cherché... - : Ségolène veut engager la moitié de la France pour surveiller l'autre moitié...

                Voilà qu'elle remet ça, en l'adaptant au problème des "jeunes" délinquants cette fois-ci. Elle a trouvé, à nouveau le remède miracle : il suffit.... de les faire encadrer par des militaires !

                Elle peaufine peut-être sa participation au Prix Presse Humour, qui l'a retenue pour son propos digne d'être couronné, en effet : "C'est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j'ai besoin de les dire".

                 Texto.

                  Si, si, elle l'a dit...

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  • Sur la prise de bec Royal/Cohn Bendit... et le désamour grandissant vis à vis du Système

                 A propos de la taxe carbone, on a pu assister à une prise de bec mi ridicule, mi indigne entre Ségolène Royal et Daniel Cohn-Bendit, lors de leur débat arbitré par Arlette Chabot. La première se moquant de cette taxe, le second -réitérant alors en quelque sorte son "dialogue" avec Bayrou d'avant les européennes- lui rétorquant, en la tutoyant, qu'elle ne serait jamais élue...

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  • Ségolène "remet ça" avec l' "immoralité" !...

                On se souvient qu’en plein débat télévisé, avant le second tour de la présidentielle, Ségolène n'avait rien trouvé de mieux que de faire un mauvais numéro, et avait accusé, en direct, Sarkozy de représenter "le summum de l’immoralité". Cette fois c’est François Fillon qu’elle a accusé, dans la torpeur de l'été, et toujours d’immoralité.

                Pour comprendre le pourquoi du comment, il faut savoir que l'État et la Région Poitou-Charentes, présidée par l'ancienne candidate socialiste, s'opposent à propos du financement d'une ligne de train à grande vitesse.

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    Ségolène a fait dire par ses lieutenant qu'elle "avait la haine". Si, si...
    La voilà qui parle comme ces "jeunes" de banlieue qui votent pour elle

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  • Djamel Debbouze, ou le grand écart...

                Voila un livre, et un sujet, qui ne nous intéressent pas. Et pourtant on va s'arrêter quelques instants, à partir de ce livre et de ce sujet, sur un personnage qui y est évoqué. Le livre s'appelle La Face cachée des people, et il est écrit par Bernard Violet, qui nous promet des révélation sur ces liens ambivalents et étonnants entre truands, vedettes et politiques.

                Le chapitre le plus important ? celui sur Jamel Debbouze ! On se propose rien moins que de mettre au jour des personnages peu recommandables et connus des services de police dans son entourage; des truands avec qui il aurait été obligé de composer...

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  • Le sourire du dimanche....

                François Hollande est dans un avion. Soudain, le moteur explose. Une seule solution pour sauver sa peau, sauter en parachute !  Malheureusement dans sa précipitation (non, personne ne l'a poussé...), François oublie le parachute, et le voilà tombant comme un caillou vers le sol à 250 km/h.

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  • Crise(s) de nerf et sac d’embrouille(s) aux Francofolies, sur fond de dé-civilisation…

                Nous nous fichons bien pas mal de monsieur (!) Orelsan, rappeur vulgaire et ordurier de son état; et nous nous fichons bien pas mal aussi des propos à son sujet de monsieur (!) Cali, autoproclamé conscience et porte parole de ceci ou cela. 

                Pourquoi donc parler de l'un et de l'autre aujourd'hui ? Tout simplement parce que, à propos du sac d'embrouilles des Francofolies, et des crises de nerf à répétition qui égayent ce début d'été, il nous semble qu'il faut aller à l'essentiel et, une fois de plus, dénoncer le processus de dé-civilisation dans lequel Orelsan et Cali sont engagés....

                Et sans s'intéresser aucunement aux deux personnes -qui n'ont strictement rien, mais alors rien du tout d'intéressant...-  présenter le problème de fond que posent les textes ignobles d'Orelsan, défendu par Cali (à qui l'on peut dédier, sur ce coup, le Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es, de Cervantès).

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    Cali, un acteur majeur du processus de dé-civilisation....

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  • Les repentances de Ségolène, ou : à quel niveau une partie de la classe politique rabaisse-t-elle « le » politique !.....

                Attitude pitoyable que celle de Ségo, présentatrice d’excuses !.....

                Elle s’était donné en spectacle (à tous les sens du terme…) au Zénith, il n'y a pas si longtemps (ci dessous), semblant être l’une des rares personnes à ne pas se rendre compte des abîmes de ridicule dans lesquels elle sombrait. Elle a, depuis, enfourché un nouveau dada....

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  • Ségolène Royal et les "jeunes incasables"...

              Dans ses efforts désespérés - et pathétiques... - pour exister, Ségolène Royal croit habile d'occuper le terrain : elle fait pour ainsi dire une déclaration par jour, sur n'importe quel sujet, et pour dire des choses dont on cherche vainement, parfois, à comprendre l'intérêt..

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  • Quand Ségolène Royal essaye de se remettre en selle... (1)

              Nous avons déjà dit ce que nous pensions de Ségolène Royal après ses déclarations de l'été 2007. Et nous ne serions pas revenus sur le sujet si elle ne donnait pas à nouveau le bâton pour se faire battre, en l'ocurrence avec son nouveau livre "Ma plus belle histoire, c'est vous", publié chez Grasset, dont elle est venue faire la pub au 20 heures de TFI, le mardi 4 novembre. Nous nous en tiendrons à cinq remarques:

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  • Requête en suspicion légitime...

              Il y a peu, Ségolène Royal affirmait qu'elle ne croyait pas a certains points -pourtant majeurs- de son programme et que, si elle avait été élue, elle ne les aurait tout simplement pas appliqué. Comme la très grande majorité de nos concitoyens, nous avions été choqués par ces propos, surtout tenus par quelqu'un qui -par ailleurs- s'était élevé contre son adversaire, dans les discours duquel elle voyait "le summum de l'immoralité" (!) Nous avions immédiatement réagi pour manifester notre étonnement, en disant que cette attitude malhonnête, frisant l'imposture, disqualifiait pour toujours madame Royal, et l'excluait définitivement à l'avenir de tout débat politique: nous disions que c'était une question d'éthique, de morale (et que, sur ce point précis, nous étions d'accord avec Laurent Fabius).

              Voici que le livre de Lionel Jospin vient relancer un "débat" que l'on pouvait croire clos. L'ancien Premier ministre accable l'ancienne candidate avec une férocité et une rage peu communes; il n'est pas le premier: Claude Allègre avait ouvert le feu, avec "La défaite en chantant" (chez Plon), suivi par Marie Noëlle Lienemann ("Au-revoir Royal", chez Perrin); les deux n'étaient pas tendre avec Ségolène, mais sans aller aussi loin cependant que Jospin, qu'on en juge: "figure secondaire de la vie politique", Ségolène Royal n'était tout simplement "pas taillée pour ce rôle"; c'était la "candidate la moins capable de gagner", à cause de ses "insuffisances réelles" et de son manque de "talent", ses "improvisations incessantes" ou ses "propos de touriste" sur la justice chinoise; elle n'a réussi à s'imposer comme candidate qu'à la faveur d'une "illusion", et "avoir commis l'erreur" de la désigner "ne justifie pas qu'on la réitère". Ouf ! N'en jetez plus ! : la toute première réaction de Ségolène étant de dénoncer "la rage", "le sexisme" de Jospin, et même son "racisme" (sic !) on voit bien que le PS, aujourd'hui, ça tourne aux jeux du Cirque, la rue de Solférino étant une sorte de Colisée où, dorénavant, les combats qui se livrent n'ont plus rien de feutré, mais sont des combats à mort; les crabes règlent leurs comptes à coup de pinces dans leur panier; les crocodiles se dévorent dans le marigot qu'ils se disputent:

              Mais ce n'est pas cela qui nous intéresse: après tout, c'est le problème du PS; à la classe politique et ses remugles, aux querelles et intérêts personnels, nous préférons la recherche du Bien Commun; et la politique politicienne ne nous intéresse pas. Ce n'est donc pas à une ex-candidate que nous réserverons nos critiques; ni même à un parti (le PS); mais bien au système républicain. En effet, peut-on, doit-on, va-t-on admettre et tolérer qu'un système se mette à présenter des candidats finalement "bidons" (confession de Jospin), avec des programmes qui ne le sont pas moins (confession de Royal) ? des candidats qui, entre autres, disposeront -une paille !- des codes permettant d'ouvrir le feu nucléaire ! Un tel régime -or, c'est ce qui vient de se passer- est-ce un régime sérieux ? est-ce un régime crédible et honnête ?

              On le voit, à partir de ce que nous avons appris "hier" de la bouche de madame Royal, puis à partir de ce que nous avons appris "aujourd'hui" de la bouche de Lionel Jospin, ce n'est plus une candidate mais un parti, puis un système que nous condamnons; ce n'est plus à ségolène Royal, mais -par gradation- au parti Socialiste puis à tout le système républicain que nous adressons notre critique: ce que nous appelons en titre "requête en suspicion légitime" c'est, tout simplement cette question, nette et franche: si ces moeurs républicaines devaient perdurer et se pérenniser, la république ne perdrait-elle pas, ipso facto, toute légitimité ?.....

     

  • Le summum de l'immoralité?...

              On se souvient de la colère feinte et forcée de Ségolène Royal lors de son débat télévisé avec Nicolas Sarkozy, juste avant le premier tour de l'élection présidentielle: dans ce qui se voulait une sorte d'éclat, mais qui était manifestement préparé à l'avance, qui sonnait faux et qui fut "sur-joué", Sarkozy se vit accusé d'être "immoral" et d'atteindre "le summum de l'immoralité": excusez du peu ! le temps d'une tirade de mauvais goût et de mauvaise foi -qui du reste, de l'avis unanime, l'a desservi...- Ségolène devint, ou du moins crut devenir, une sorte de Dieu le Père (pardon, de Déesse la mère...), faisant le Jugement Dernier le jour du "Dies Irae"; et décrétant souverainement, et bien sûr sans appel, qui était et où était le mal ("lui"...) et le bien ("elle"...bien sûr!). 

              Or voilà que, quelques semaines à peine s'étant écoulées, Madame Royal "tombe le masque", en quelque sorte, et nous asséne tout de go qu'elle a défendu au moins deux idées dans son "pacte présidentiel" qui n'étaient pas les siennes! auxquelles elle ne croyait pas! (sic!), tout simplement parce que ces idées n'étaient pas crédibles! (re-sic) (ces deux idées étant le Smic à 1.500 euros et la généralisation des 35 heures). La gauche réagit sèchement: pour Claude Bartolone (courant Fabius), Ségolène Royal est tout simplement un danger pour le PS ! Jean-Luc Mélanchon l'accuse de "duplicité" et de "provocation" et parle d'or: si réellement, dit-il, Ségolène Royal pensait que ces mesures n'étaient pas crédibles, pourquoi les a-t-elle défendues ? Le député communiste JP Brard, qui a pourtant soutenu à fond Ségolène..., a le sentiment d'avoir été trompé: bref, "ca barde" à gauche, et ce n'est probablement pas fini...

              Mais là n'est pas l'essentiel pour nous: laissons la gauche à ses lamentations et à ses convulsions d'après-défaite, et réfléchissons quelques instants à cette déclaration et à ce qu'elle signifie: les candidats ont-ils tous les droits et peuvent-ils tout se permettre ? est-il normal, est-il acceptable, qu'un(e) candidat(e) "tente le coup" et essaye de se faire élire à tout prix, fût-ce en mentant ? (car c'est bien ce qu'a fait Madame Royal, en proposant au moins deux mesures -et pas n'importe lesquelles, en importance- dont elle savait pertinemment qu'elles ne seraient pas applicables...). Et si on cherche à défendre Madame Royal à tout prix, si on ne pense pas que ce soit un mensonge, alors ce ne peut être que de la légèreté et de l'approximation, qui à ce niveau là s'appellent de l'incompétence: ce n'est guère mieux ! Ou, troisième et dernière hypothèse possible, si ce n'est ni du mensonge, ni de l'incompétence, ce ne peut plus être que de la faiblesse: ne pas arbitrer, ne pas être capable de "faire un choix", alors que précisément "gouverner c'est choisir"....

              On voit bien que, de quelque façon qu'on aborde le sujet, les conclusions sont toujours défavorables à Ségolène Royal. Et pourtant, inconscience ou mépris souverain des autres, celle-ci annonce, presque dans la foulée, qu'elle sera très probablement candidate en 2012 !: "J'ai envie de continuer !" dit-elle: mais de continuer à quoi? à mentir effrontément? à étaler au grand jour son incompétence? sa faiblesse? Tout cela par simple ambition personnelle ? Et s'il était là, en réalité; et s'il était de son fait "le summum de l'immoralité" dont elle a cru, un jour, pouvoir accuser son concurrent ?....