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Voila un livre, et un sujet, qui ne nous intéressent pas. Et pourtant on va s'arrêter quelques instants, à partir de ce livre et de ce sujet, sur un personnage qui y est évoqué. Le livre s'appelle La Face cachée des people, et il est écrit par Bernard Violet, qui nous promet des révélation sur ces liens ambivalents et étonnants entre truands, vedettes et politiques.
Le chapitre le plus important ? celui sur JamelDebbouze ! On se propose rien moins que de mettre au jour des personnages peu recommandables et connus des services de police dans son entourage; des truands avec qui il aurait été obligé de composer...
On nous demande -sur maisaquilafaute- pourquoi nous sommes « contre le métissage ». Résumons-nous donc.
Et commençons par dire qu’il n’y a pas lieu, ni pour nous ni pour personne, d’être « pour » ou « contre » le métissage. Chaque personne, sur terre, vit comme elle l’entend et gère selon sa conscience sa vie privée et ses choix de vie personnels. La question ne nous semble donc pas correctement posée. Nul n’a à être « pour » ou « contre » le choix strictement personnel d’une personne qui veut vivre avec quelqu’un qui a ou qui n’a pas la même couleur de peau.
Cette sorte de préambule une fois posé, passons à l’essentiel.
Le camarade Schockert remet ça ! (1). A peine avait-on vu partir Mgr de Berranger, et croyait-on Mgr Schockert orphelin, qu'il faut se rendre à l'évidence. Le camarade n'a rien perdu de sa virulence politique, mise au service de ses chersfrères, les hors la loi.....
Il le montre en utilisant d enouveau un procédé largement utilisé par tous les révolutionnaires, et pendant toutes les révolutions : quelques personnes rédigent un texte et prétendent le faire passer pour l'opinion générale. Ici, en l’occurrence, trois évêques, qui se proclament « les évêques ».
Mais il y a environ 110 évêques en France, et l’on n’est pas sûr du tout que ces trois évêques représentent la totalité, ni même la majorité, de leurs confrères.....
Qui est vraiment Julien Coupat, nous avouons très humblement ne pas savoir très exactement répondre à cette question. De qui est-il l'ennemi ? Là, par contre, on commence à avoir une petite idée...
"...Quant à l'extrême gauche à-la-Besancenot, quels que soient ses scores électoraux, et même sortie de l'état groupusculaire où elle végète depuis toujours, elle n'a pas de perspective plus désirable à offrir que la grisaille soviétique à peine retouchée sur Photoshop. Son destin est de décevoir..." (article du Monde...).
Une semaine, un ouvrier le traite de "Kéké des caméras", l'autre, Coupat (ce qui est très bien vu...) le renvoie à sa "grisaille soviétique" : nous posions la question il y a quelques jours, Besancenot a-t-il mangé son pain blanc ?...
Et la claque des Européennes n'a évidemment rien arrangé pour lui...
Besancenot a-t-il mangé son pain blanc ? Il faut le souhaiter, et certains indices récents permettent de l'espérer vraiment.
Son foirage avec Rouillan, qui a été finalement mal perçu, voire très mal, par presque tout le monde, y compris dans son propre camp; le fait que son NPA peine (et c'est peu dire...) à dépasser les 7.000 adhérents, chiffre très nettement en-deçà des espérances affichées lors de sa création; les finalement assez maigres 5% que lui promettent les sondages pour les prochaines européennes....
Et maintenant, avec un début de critique intéressant -quoiqu'incomplet...- venant de la base ouvrière, ce sobriquet, qui risque de lui rester, de kéké des caméras....
Le retour de manivelle est dur pour Julien Dray (1). Le grand manipulateur d'hier se dit victime de manipulation, aujourd'hui (le pauvre...); le grand lyncheur d'hier se dit victime de lynchage, aujourd'hui (le pauvre...)…. Mais n'est-ce pas, au fond, un juste retour des choses ? Nous avons tous été lynchés par lui et son arme diabolique et scélérate de SOS Racisme lorsque, à chaque fois que nous mettions en garde contre les méfaits de « leur » immigration, "on" nous traitait, entre autres, de nazis.
Aujourd’hui le grand prêtre du lynchage permanent se retrouve lynché (dit-il, le pauvre...). N'est-ce pas savoureux ? Les enfants, dans les cours de récré, diraient Bien fait ! Il nous a tous manipulé, et il se retrouve lui-même victime (dit-il, le pauvre...) ? Oui, vraiment, c'est Bien fait !
Il ne saurait être question, cependant, de se contenter de boire du petit lait, en savourant.... Il faut, sans cesse et toujours, même si c'est lassant, revenir pour celles et ceux qui l'ignoreraient encore aux racines et aux données politiques, si l'on peut dire du problème, du personnage et de son action.
Une fois de plus Eric Zemmour va nous y aider.....
Très intéressante chronique, le vendredi 12 octobre, de Philippe Val sur France Inter, à propos des test ADN.
Vous pouvez l'écouter en cliquant sur le lien ci-dessous:
Nous sommes bien sûr, et à 100%, en désaccord avec le directeur de "Charlie Hebdo", et cela n'étonnera personne. Et pourtant nous nous réjouissons que cette chronique ait été prononcée, car elle a l'immense mérite de clarifier le débat et de bien cerner les enjeux.
On le sait, Nicolas Sarkozy avait axé une partie de sa campagne sur le thème de la Rupture.
Force est de constater, avec la nomination de Philipe Val à France inter, qu'il vient de rater une belle occasion de mettre son slogan en application.....
Abondance de l'actualité oblige, nous n'avons pas encore eu le temps d'évoquer les turbulences (doux euphémisme !...) qui agitent nos excellents adversaires de Charlie Hebdo... On connaît notre ligne de conduite, qui est de ne pas chercher à re-dire ce que d'autres ont dit tout aussi bien, et peut-être mieux, ailleurs.
Et de ne pas hésiter à piller, pour la bonne cause s'entend..., tel ou tel site, ou tel ou tel blog, pourvu bien sûr que ce qui s'y exprime rejoigne notre analyse.
Patrice de Plunkett (http://plunkett.hautetfort.com ) nous pardonnera donc, nous l'espérons, de faire à nouveau totalement nôtre son excellente analyse, fort pertinente, de la crise qui secoue Charlie Hebdo.....
Très intéressante chronique, le vendredi 12 octobre, de Philippe Val sur France Inter, à propos des test ADN.
Nous sommes bien sûr, et à 100%, en désaccord avec le directeur de"Charlie Hebdo", et cela n'étonnera personne. Et pourtant nous nous réjouissons que cette chronique ait été prononcée, car elle a l'immense mérite de clarifier le débat et de bien cerner les enjeux.
En trois minutes et vingt quatre secondes (dont quatre d'un mémorable bafouillement...) Philippe Val nous dit en somme que les pays en royauté sont ceux qui conservent leurs traditions, leurs moeurs et leurs coutumes, fondées sur la transmission biologique du pouvoir (incarnée par la Famille Royale), car ils n'ont pas connu de rupture radicale avec leur passé; alors qu'en France la république, après la coupure révolutionnaire, à décidé de "mettre un point final à la transmission génétique du pouvoir"
On va voir la conséquence ("énorme"...) de cette révolution: les transmissions - qui se faisaient "naturellement" en France, avant la Révolution, sur une base biologique, donc charnelle, enracinée, comme c'est toujours le cas dans les pays en royauté - se font maintenant sur une base abstraite et idéologique: ce n'est plus la filiation qui crée un droit à un héritage, c'est une idée, une théorie désincarnée.
En clair, les Français ne sont plus les maîtres de la France; ils ne peuvent plus se transmettre de père en fils, "naturellement", leur Nation, leur Patrie. Celle-ci est à tout le monde, à la terre entière, à n'importe qui. La France est un hall de gare aux dimensions de l'univers; vient qui veut; elle est aux autres autant qu'à nous ! Nous sommes ainsi dépossédés de notre héritage, de notre bien le plus précieux, et tout simplement parce que nous sommes en république !
CQFD ! Vous cherchez à mieux comprendre ? écoutez Philippe Val :
"La république, et c'est sa force (1), et c'est son identité, affirme qu'en son sein l'élection et le rôle d'un individu dans la société ne seront plus jamais liés à une quelconque hérédité. Et ce qui est vrai pour les dirigeants, qui seront désormais élus selon leurs mérites par les suffrages de leurs égaux, est aussi vrai pour les citoyens dont le statut ne peut, en aucune façon, être lié à l'hérédité biologique. Voilà pourquoi l'instauration d'un test ADN pour décider du sort d'un individu est une violation de la Loi républicaine et un scandale constitutionnel..."
Oui, vous avez bien lu : Philippe Val "crache le morceau". C'est clair, cela a le mérite de la franchise et, disons-le tout net, pour nous c'est pain bénit ! Avec la république, on n'est plus français parce que ses parents sont français; parce que depuis des siècles ses ancêtres ont bâti à la sueur de leur front ce patrimoine, transmis de génération en génération; non : n'importe quel Kurde, Kosovar, Malien, Comorien....est chez lui ici; c'est à lui ici... : ainsi en a décidé la république !
Pour nous, le choix est fait depuis longtemps. Mais pour nos compatriotes qui, de bonne foi, ont pu être abusés par les mensonges de la propagande officielle, il faut choisir : ou la France maintenue, mais alors il faut en finir avec la république; ou la république, mais alors c'est la France qui est finie..... Camus, mort trop tôt, hélas! ( il nous aurait peut-être réservé quelque surprise... ) a dit un jour qu'entre Marx et Maurras il n'y avait rien. Au fond, Philippe VAL ne dit pas autre chose : entre la conception révolutionnaire et la conception royale, il n'y a rien.....
Le diable porte pierre: merci à Philippe Val d'avoir contribué à éclaircir le débat!....
(1): nous dirons évidemment "sa faiblesse", mais laissons parler le chroniqueur....
PS: nos lecteurs pourront écouter la chronique de Philippe VAL du 12 octobre en cliquant sur le lien ci-dessous:
Nous disposions d'une grande liberté de parole et de pensée sous les Rois: c'est aujourd'hui que la pensée est surveillée, que la parole n'est plus tout à fait libre, que le conformisme règne en maître et que le conformatage des esprits est devenue une triste réalité. Le meilleur exemple de cet étouffement de toute pensée libre, de tout débat, de toute parole en dehors du politiquement correct, nous est donné par l'anti racisme, promu Valeur Suprême. Le chef de l'État lui même ne cesse d'appeler à la vigilance sur ce sujet, qui est devenu "la" référence absolue, l'alpha et l'oméga universels....
Il est bon, naturellement, que nul ne puisse impunément diffuser ou faire l'apologie de thèses racistes (1): tout le monde est d'accord là dessus et ce n'est bien sûr pas ce qui nous choque, pas plus que le fait d'avoir déclaré le racisme "délit" et non "opinion". Cest la manipulation du mot par la police de la pensée qui est dangereuse, cette police de la pensée étant exercée par une minorité trotskiste, gardienne autoproclamée du politiquement correct, dont la machiavélique machination a été parfaitement analysée par Finkielkraut (2)...
Le problème est autre: on voit bien qu'à tout propos, et surtout lorsqu'on évoque la déferlante migratoire et la sur-délinquance qui s'y rattache (évaluée entre 50% et 80%) certaines personnes et certaines associations n'hésitent pas à dénoncer du racisme imaginaire là ou il n'y a que rappel à la loi (par exemple, dans le cas d'expulsion d'immigrés clandestins, c'est à dire de hors la loi que certains persistent à appeler "sans papiers"). Et là, on n'est plus dans le cadre du racisme et de l'anti racisme, mais dans le cadre de la supercherie, de la tartufferie; dire : "du complot" serait peut être excessif, quoique certains fassent vraiment tout pour aboutir à accréditer cette idée...
On cherche manifestement par là à faire taire ceux et celles qui trouvent qu'on a laissé entrer beaucoup trop d'étrangers en trop peu de temps, ce qui rend impossible toute intégration, et encore moins toute assimilation. Evoquer le sujet c'est immanquablement -au mieux- se faire suspecter de "racisme" et -au pire- se faire traiter de "raciste": une fois l'injure proférée, le cri de ralliement poussé, on voit aussitôt toute l'intelligentsia, tout l'établissement, tous les conformistes et les conformatés ne faire plus qu'un bloc pour essayer de faire taire celui ou celle...qui n'a fait que constater la montée des violences et des insécurités, et qui ose poser la question du pourquoi.
Ce terrorisme intellectuel aboutit déjà à une auto censure certaine (voyez l'affaire Redeker...) et devient une menace mortelle pour la liberté de pensée, donc a terme pour la pensée tout court....Le Système en place s'est fait une spécialité de vivre, dans les faits de tous les jours, le contraire de ce qu'il annonce, en paroles: on écrit "Liberté" sur tous les monuments, mais l'une des plus plus fondamentales et des plus indispensables de nos libertés, celle de penser et de parler, est mise en danger et se voit limitée et surveillée. On est bien loin de l'optimisme et des belles promesses des "philosophes" du XVIII° qui, eux, vivaient dans une société policée et raffinée, ou l'esprit était roi...
(1) ; Voir la première partie de la Conférence "Contre la France métisse";
(2) : Pour faire court, se rendant bien compte que leur marxisme-léninisme avait échoué, mais ne voulant ni reconnaître leur erreur, ni perdre leur situation procurée par l'agit-prop, les trotskistes ont imaginé de remplacer le marxisme par l'immigration, pour casser les vieilles Nations historiques d'Europe, et de discréditer toute tentative de réaction des peuples européens sous l'accusation infâmante de racisme. Un tel plan requiert évidemment la rencontre et l'entente au moins tacite entre le trotskisme, une fraction du monde économique (patronat attiré par une main d'oeuvre bon marché) et une autre fraction de la classe politique. On a là un cas typique de la malfaisance du Système en place, qui est bien le premier délinquant de France, et sans lequel les patrons avides ou les trotskistes révolutionnaires ne pourraient pas avoir la même influence, ni obtenir les mêmes résultats....
Dans une petite ville, près de Rennes, il existe un abattoir, et dans cet abattoir, six Maliens travaillent depuis plusieurs mois, voire plusieurs années; or on vient de s'apercevoir qu'il s'agit en fait de hors la loi, qu'une partie de la gauche persiste à appeler sans-papiers.
Devant la perspective d'une expulsion du territoire national, certains ont carrément manifesté leur soutien à ces Maliens: est ce bien raisonnable ? il ne faut pas laisser la solidarité être dévoyée par l'idéologie et l'aveuglement; il vaut mieux en revenir au simple bon sens et cesser de marcher sur la tête: quand on connaît les problèmes d'emploi en France, le nombre de chômeurs, il est aberrant de penser que la saine organisation de l'économie consiste à laisser des habitants de notre pays au chômage alors que l'on offre du travail à des hors la loi.
On ne peut organiser ni le monde, ni la France ainsi; un monde raisonnable, c'est un monde ou les Français trouvent du travail dans leur pays, et les Maliens dans le leur. "Optima corruptio pessima" disait-on à Rome, c'est à dire "la corruption des meilleurs est la pire"...
Il est désolant de voir des gens probablement généreux se tromper à ce point et confondre générosité et idéologie: on sait depuis bien longtemps que les bons sentiments ne font pas forcément les bons films, et que l'enfer est pavé de bonnes intentions; cette attitude est suicidaire, elle ne peut que générer de l'inefficacité et desservir la cause que l'on prétend justement favoriser; au lieu de faire reculer la pauvreté, une telle attitude, généralisée, affaiblirait l'économie de la France sans développer pour autant ni le Mali, ni aucun autre pays....
Ca n'existe pas "les sans papiers": il y a des lois et des règlements, sans lesquels toute vie en société est impossible.
Or certains s'affranchissent de ces règlements et, dans le cas de l'immigration, font un véritable coup de force: au lieu de suivre la procédure normale, ils entrent en France clandestinement, ou y restent illégalement, après l'expiration, par exemple, d'un visa touristique; ensuite, soutenus par des agitateurs aux motivations douteuses, ils manifestent et exigent une régularisation, des papiers et la scolarisation de leurs enfants, prélude évident à leur naturalisation.
Cette perversion doit être combattue avec la plus grande fermeté, et ceux qui s'en rendent coupables devraient ne recevoir rien d'autre que l'application stricte, et sans états d'âme, du vieil adage intangible: "Dura lex, sed lex". Est-ce la cas, et notre Pays légal fait-il appliquer la loi ?....
Les soi disant "sans papiers" ne sont en fait que de simples hors la loi, et doivent être traités comme tels...