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mohamed vi

  • Lu, vu, entendu.... : Djamel Debbouze est vraiment un grand humoriste.....

            (parlant de Léon Blum) "...par mon parcours, par mon éducation, je suis un homme de gauche. Alors, effectivement, j'ai envie de quelqu'un qui incarne cet idéal..."

              A-t-il trouvé cet idéal devant le roi du Maroc, devant qui il s'incline presqu'à s'en casser la figure, pour un baise-main d'anthologie ? Ce roi du Maroc, fils d'Hassan II, pour lesquels nos socialistes n'avaient pas de mots assez durs ? (voir le livre "Notre ami le roi..."). Ultra royaliste chez lui, au Maroc, ultra "de gauche" chez nous : il va le continuer jusqu'à quand, son grand écart ?...

            Les socialistes, quant à eux, diront comme d'habitude (comme pour Strauss Kahn, comme pour le Carlton de Lille, comme pour tout, qu' "ils ne savaient pas". C'est tellement facile !... 

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    Quand dit-il la vérité ? Et quand est-il "lui" ? : quand il joue à l'ultra gauche, ici (avec Ségolène, par exemple) ? Ou quand il fait l'ultra-carpette là-bas, devant "Sa Majesté le Roi" ?

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  • "Mohammed VI, premier bilan", par Bernard Cubertafond

                Voici dix ans, l'intronisation du fils d'Hassan II avait soulevé de grands espoirs dans le royaume chérifien. On dispose maintenant d'un recul suffisant pour prendre la mesure de l'œuvre accomplie et des attentes déçues, pour examiner l'évolution des institutions politiques, les transformations de la société marocaine et tout particulièrement le statut de la femme, les questions relatives au développement économique, l'état de la question religieuse, le rôle du Maroc dans les relations internationales... 

                Pour établir ce bilan, la Nar a, de nouveau, invité Bernard Cubertafond, professeur à l'université Paris-VIII -où il enseigne le droit constitutionnel- et directeur d'un séminaire sur l'évolution du Maghreb contemporain (1).

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  • Djamel Debbouze, ou le grand écart...

                Voila un livre, et un sujet, qui ne nous intéressent pas. Et pourtant on va s'arrêter quelques instants, à partir de ce livre et de ce sujet, sur un personnage qui y est évoqué. Le livre s'appelle La Face cachée des people, et il est écrit par Bernard Violet, qui nous promet des révélation sur ces liens ambivalents et étonnants entre truands, vedettes et politiques.

                Le chapitre le plus important ? celui sur Jamel Debbouze ! On se propose rien moins que de mettre au jour des personnages peu recommandables et connus des services de police dans son entourage; des truands avec qui il aurait été obligé de composer...

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  • Maroc : La leçon faite au Monde.

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    une des "Une" de Tel Quel....

    On connaît l’arrogance des journalistes et le crédit qu’il convient d’accorder à une information qu’ils contribuent autant à créer qu’à diffuser. On sait aussi en quoi consiste l’inquisition des esprits aux mains des grands prêtres de la démocratie et l’inclination de ces derniers pour l’opinion publique, celle justement que contribuent à façonner les journalistes. L’« affaire » du sondage récemment interdit de publication au Maroc vient illustrer de façon caricaturale la prétention des uns et des autres à diriger les consciences en disant le bien et le mal.

    L’édition du 4 juilllet du journal Le Monde a été interdite au Maroc, le magazine marocain Tel Quel ayant lui-même été mis au pilon. Les bonnes âmes crient au scandale. Comment ? On n’a pas le droit d’écrire ce que l’on veut ? On n’a pas le droit de publier un sondage ?  Et Mohamed VI d’être condamné pour entrave à la prétendue libre circulation de l’information. Florence Beaugé, la journaliste qui signe l’article « Maroc : le sondage interdit » ajoute ce qu’elle doit penser être le coup de pied de l’âne (de l’ânesse devrait-on dire puisqu’il faut toujours « féminiser ») : « Le plus étonnant est que le résultat de ce sondage est extraordinairement favorable à Mohamed VI ».

    Les autorités marocaines avaient pourtant, par avance, répondu à toute critique en donnant comme motif de l’interdiction que « la monarchie ne peut être mise en équation, même par la voie d’un sondage ». D’ailleurs, qu’est ce qui autorise Madame Beaugé, intellectuelle « parisienne » à faire la leçon aux Marocains ? Mais sa foi en la démocratie, bien sûr. Elle y croit et a donc divisé le monde en deux : les élus et les damnés.

    Ce qu’elle feint sans doute de ne pas comprendre et qu’elle se garde bien de dire, c’est l’essentiel : quelle que soit la proportion de Marocains qui se diraient satisfaits de leur roi, celui-ci ne saurait être considéré comme une marque de yaourt ou une chaîne de télévision. Car c’est de cela qu’il s’agit : donner aujourd’hui la bénédiction démocratique à Mohamed VI pour mieux lui reprocher demain une éventuelle baisse dans les sondages. Le baiser qui tue, en quelque sorte.

    Mais madame Beaugé a oublié une chose : son idéologie se heurtera toujours au principe de réalité, lequel en l’occurrence tient en quelques mots : de par sa dimension historique et religieuse, le souverain chérifien n’a que faire de l’onction des étrangers, son pouvoir est véritablement enraciné dans la terre et la population marocaines. Alors, Madame Beaugé, on n’a pas besoin de vous au Maroc. Retournez à vos casseroles, qu’elles aient nom Ségolène ou Nicolas et sondez, sondez, sondez tant que vous pourrez.

     Louis-Joseph Delanglade 

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