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Appelé pour animer la tranche culturelle de fin d’après-midi à la place de Nicolas Demorand parti sur Europe 1, François Busnel, à partir du 30 août, recevra sur France Inter chaque jour en direct, à 17h10, une personnalité du monde culturel.
A la manière de Radioscopie de Jacques Chancel, qui fit les riches heures de la station pendant plus de deux décennies, l’émission, qui durera quarante minutes, sera l’occasion pour l’invité d’évoquer en direct à l’antenne sa vie, son œuvre, une rencontre marquante et déterminante, ses préférences littéraires, cinématographiques, musicales…
L’invité choisira en outre le livre et les trois titres musicaux qu’il souhaitera faire découvrir aux auditeurs.
Après Fabrice Luchini attendu pour la première émission, François Busnel, également directeur de la rédaction de la revue Lire, a invité Jean d’Ormesson (le 6 septembre), Jim Harrison (le 9) ou encore Elie Wiesel (non programmé).
Elie Wiesel (le 2 septembre) et Jean d’Ormesson (le 9 septembre) seront par ailleurs présents sur le plateau de La grande librairie, l’émission littéraire de François Busnel sur France 5.
Sur France inter, ce matin, Bernard Guetta a expliqué, avec réalisme, pourquoi "les marchés" sont inquiets, nerveux, au point de conduire -ou paraître conduire- l'Europe et le monde, au fond des différentes impasses de la crise que nous vivons.
Mais ses propres propos s'appliquent certainement plus à lui - Patrice Bertin - qu'à la personne objet de son ire et de sa vindicte : le pape Benoît XVI.
Patrice Bertin, plus tout jeune lui non plus, a sans doute cru malin d'ironiser sur le vieux pape. Cette attaque ad hominem, sur l'âge de quelqu'un, c'est tout simplement vil et bas.. :
"Idem pour Benoit XVI , le chemin de Croix du vieux Pape incapable de trouver des mots justes ou simplement humains pour parler des scandales de la pédophilie dans l'Église est plus consternant qu’autre chose".
Manifestement, Patrice Bertin ne connaît pas le dossier. On ne lui en ferait pas le reproche, s'il ne se mêlait de transgresser le vieil adage du solide et robuste bon sens populaire: "Quand on sait pas, on parle pas..."
Que Patrice Bertin n'aime pas le pape, c'est son problème et c'est même son droit. Mais qu'il soit - pour reprendre ses propres termes - "incapable de trouver les mots justes" pour parler de lui, là c''est un signe d'incompétence notoire.
Et, comme il le dit lui-même, c'est "plus consternant qu'autre chose...".
Très intéressante chronique, le vendredi 12 octobre, de Philippe Val sur France Inter, à propos des test ADN.
Vous pouvez l'écouter en cliquant sur le lien ci-dessous:
Nous sommes bien sûr, et à 100%, en désaccord avec le directeur de "Charlie Hebdo", et cela n'étonnera personne. Et pourtant nous nous réjouissons que cette chronique ait été prononcée, car elle a l'immense mérite de clarifier le débat et de bien cerner les enjeux.
On le sait, Nicolas Sarkozy avait axé une partie de sa campagne sur le thème de la Rupture.
Force est de constater, avec la nomination de Philipe Val à France inter, qu'il vient de rater une belle occasion de mettre son slogan en application.....
Le vendredi 12, jours de l’arrivée du Pape, on parle de Benoit XVI sur presque toutes les radios. Sur France Info, on décoche quelques petits coups de griffe, mais qui relèvent plutôt de la méconnaissance crasse des "problèmes" que l’on croit déceler chez ce Pape ; dans l’ensemble, le ton est positif; même parfois on sent poindre un intérêt certain pour ce visiteur extra-ordinaire, et le message qu’il vient délivrer....
Sur France Inter, le jeudi 10 janvier , Alain Finkielkraut est "l'invité d'Inter" de Nicolas Demorand. Il explique que nous sommes engagés dans un processus de "dé-civilisation" et en prend comme exemple, pour le dénoncer, une abjection: Chez Ardisson, au cours de l'émission de rentrée de "Salut les Terriens!" sur "Canal +" on doit choisir le mort le moins important de l'année.
Très intéressante chronique, le vendredi 12 octobre, de Philippe Val sur France Inter, à propos des test ADN.
Nous sommes bien sûr, et à 100%, en désaccord avec le directeur de"Charlie Hebdo", et cela n'étonnera personne. Et pourtant nous nous réjouissons que cette chronique ait été prononcée, car elle a l'immense mérite de clarifier le débat et de bien cerner les enjeux.
En trois minutes et vingt quatre secondes (dont quatre d'un mémorable bafouillement...) Philippe Val nous dit en somme que les pays en royauté sont ceux qui conservent leurs traditions, leurs moeurs et leurs coutumes, fondées sur la transmission biologique du pouvoir (incarnée par la Famille Royale), car ils n'ont pas connu de rupture radicale avec leur passé; alors qu'en France la république, après la coupure révolutionnaire, à décidé de "mettre un point final à la transmission génétique du pouvoir"
On va voir la conséquence ("énorme"...) de cette révolution: les transmissions - qui se faisaient "naturellement" en France, avant la Révolution, sur une base biologique, donc charnelle, enracinée, comme c'est toujours le cas dans les pays en royauté - se font maintenant sur une base abstraite et idéologique: ce n'est plus la filiation qui crée un droit à un héritage, c'est une idée, une théorie désincarnée.
En clair, les Français ne sont plus les maîtres de la France; ils ne peuvent plus se transmettre de père en fils, "naturellement", leur Nation, leur Patrie. Celle-ci est à tout le monde, à la terre entière, à n'importe qui. La France est un hall de gare aux dimensions de l'univers; vient qui veut; elle est aux autres autant qu'à nous ! Nous sommes ainsi dépossédés de notre héritage, de notre bien le plus précieux, et tout simplement parce que nous sommes en république !
CQFD ! Vous cherchez à mieux comprendre ? écoutez Philippe Val :
"La république, et c'est sa force (1), et c'est son identité, affirme qu'en son sein l'élection et le rôle d'un individu dans la société ne seront plus jamais liés à une quelconque hérédité. Et ce qui est vrai pour les dirigeants, qui seront désormais élus selon leurs mérites par les suffrages de leurs égaux, est aussi vrai pour les citoyens dont le statut ne peut, en aucune façon, être lié à l'hérédité biologique. Voilà pourquoi l'instauration d'un test ADN pour décider du sort d'un individu est une violation de la Loi républicaine et un scandale constitutionnel..."
Oui, vous avez bien lu : Philippe Val "crache le morceau". C'est clair, cela a le mérite de la franchise et, disons-le tout net, pour nous c'est pain bénit ! Avec la république, on n'est plus français parce que ses parents sont français; parce que depuis des siècles ses ancêtres ont bâti à la sueur de leur front ce patrimoine, transmis de génération en génération; non : n'importe quel Kurde, Kosovar, Malien, Comorien....est chez lui ici; c'est à lui ici... : ainsi en a décidé la république !
Pour nous, le choix est fait depuis longtemps. Mais pour nos compatriotes qui, de bonne foi, ont pu être abusés par les mensonges de la propagande officielle, il faut choisir : ou la France maintenue, mais alors il faut en finir avec la république; ou la république, mais alors c'est la France qui est finie..... Camus, mort trop tôt, hélas! ( il nous aurait peut-être réservé quelque surprise... ) a dit un jour qu'entre Marx et Maurras il n'y avait rien. Au fond, Philippe VAL ne dit pas autre chose : entre la conception révolutionnaire et la conception royale, il n'y a rien.....
Le diable porte pierre: merci à Philippe Val d'avoir contribué à éclaircir le débat!....
(1): nous dirons évidemment "sa faiblesse", mais laissons parler le chroniqueur....
PS: nos lecteurs pourront écouter la chronique de Philippe VAL du 12 octobre en cliquant sur le lien ci-dessous: