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  • Éphéméride du 7 juillet

    2008 : Vauban inscrit au Patrimoine mondial de l'Unesco

     

     

     

     

    1274 : Mort de Saint Bonaventure, au Second Concile de Lyon  

     

    Bonaventure de Bagnorea assista aux quatre premières sessions de ce Concile oecuménique, qui s'ouvrit le 7 mai, et dont l'un des buts principaux était de donner une définition exacte du Purgatoire.

    Mais il ne vit pas la fin de ce Concile, et mourut - à Lyon - deux mois à peine après son ouverture, le 7 juillet.

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    Saint Bonaventure d'après son vrai visage, constaté lors d'une exposition de son corps demeuré intact

    http://nominis.cef.fr/contenus/saint/1513/Saint-Bonaventure.html  

     

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  • La bombe de 2017 ? Le sondage qui tue : chronique d’un désastre annoncé… L'analyse de Dominique Jamet

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    Si nous devions voter demain, Marine Le Pen arriverait en tête des intentions de vote avec 26% des suffrages exprimés.

    Excellente et perspicace analyse de Dominique Jamet, dans Boulevard Voltaire du 1er août. Elle rejoint celle de François d'Orcival qui annonce dans Valeurs actuelles que les législatives de 2017 auront lieu à la proportionnelle intégrale ... Nous doutons fort qu'une grande coalition à l'allemande, sous une présidence Sarkozy (conséquence d'une assemblée élue à la proportionnelle intégrale), donnerait, en France, des résultats bien fameux, alors que même en Allemagne cette solution est toujours un pis-aller. Quant à l'hypothèse qu'aucun observateur n'envisage, pour l'instant, l'élection de Marine Le Pen, à quoi conduirait-elle ? Les Français sont ce qu'ils sont : ils brûlent très vite ce qu'ils ont adoré, sont rapidement déçus, regardent, en un rien de temps, vers une nouvelle "alternance". La vérité - à quoi personne ne pense, ou n'ose envisager - est que, pour échapper à ce chaos mortel des luttes et des ambitions, la France doit sortir du Système et instaurer, au sommet de l'Etat, une autorité pérenne non partisanne. Une autorité qui relativise et remette les partis, les clans, les ambitions, à leur place. Leur place qui ne doit plus être la première.   

    Lafautearousseau

    Un sondage, peut-on fonder une prévision sur un sondage ? Une enquête d’opinion, faut-il le rappeler, n’est, suivant la formule consacrée, que la photographie des sentiments et des intentions d’un échantillon supposé représentatif de la population en un moment donné et n’aura jamais la valeur d’une consultation électorale en grandeur réelle. Nous n’en sommes encore, même si le temps nous paraît long, qu’à peine à la moitié du quinquennat en cours, à près de trois ans de l’élection présidentielle programmée pour avril-mai 2017. Enfin, nous ne sommes pas assurés que les candidats qui se présenteront alors seront bien ceux qu’envisage le sondage IFOP dont Marianne fait état dans son dernier numéro.

    Ces réserves faites et ces précautions prises, ce sondage n’en constitue pas moins un événement politique d’importance, et de nature, au cœur de l’été 2014, à faire frissonner de plaisir ou de peur les intéressés. Si nous devions voter demain, Marine Le Pen arriverait en tête des intentions de vote avec 26 % des suffrages exprimés, devant Nicolas Sarkozy (25 %), François Hollande (17 %), François Bayrou (13 %) et Jean-Luc Mélenchon (13 %). C’est donc un 21 avril bis qui priverait le candidat socialiste de l’accès au second tour, avec cette différence par rapport à 2002 que la candidate du Front national ne le distancerait pas d’un petit point, mais d’une dizaine.

    Si Nicolas Sarkozy hésitait encore à tenter l’aventure – ce qui est peu probable –, il ne peut que trouver un puissant encouragement dans des résultats qui semblent lui garantir d’être qualifié pour la finale et donc, selon toute vraisemblance, de l’emporter bien qu’avec une marge sensiblement inférieure à celle – miraculeuse – du miraculé Chirac, « escroc » et « Supermenteur », plébiscité par une panique moutonnière dont il ne tint par la suite aucun compte. Sarkozy, pour sa part, serait bien avisé cette fois de faire une campagne « républicaine » qui lui assurerait un bon report des voix du centre et de la gauche.

    François Hollande, quant à lui, n’a pas lieu de se réjouir. Certes, le score promis à Manuel Valls (17 %) ou à Arnaud Montebourg (10 %) dans le cas où soit l’un soit l’autre se porteraient candidats, met le président actuellement en fonction à l’abri de la concurrence, mais seulement parce qu’il faudrait être suicidaire pour lui disputer l’honneur de porter les couleurs du désastre annoncé. Maigre consolation : le candidat élu en 2012 a d’ores et déjà échoué et il entraîne dans sa chute le parti qui l’a porté au pouvoir.

    L’éternel optimiste qu’est M. Hollande peut toujours rêver d’un effondrement du Front national dont on ne voit pas ce qui pourrait le susciter aujourd’hui, ou espérer que l’UMP se divise, éclate et commette l’erreur de présenter plusieurs candidats. C’est ignorer que si Nicolas Sarkozy remet la main sur son parti, il mettra tout le monde d’accord. Il peut imaginer que, face au danger, la gauche plurielle retrouvera le chemin de l’unité, mais le fossé créé entre le Front de gauche et l’ami de la bonne finance est trop profond pour se combler et l’on ne voit pas pourquoi les dirigeants et les électeurs déçus ou écœurés par la trahison permanente dont M. Hollande est à leurs yeux le symbole voleraient au secours de la défaite. Pas plus qu’on ne voit s’inverser d’ici 2017 – à supposer que l’attelage tienne jusque-là – les courbes du chômage, de l’impopularité et du déclin.

    Le tempérament du chef de l’État le porterait sans doute, perdu pour perdu, à se contenter de voir venir et de durer. Mais ce serait sans compter sur la pression, qui devrait se faire de plus en plus lourde et insistante, de ses propres camarades et amis qui, à la lumière des catastrophes passées et dans la perspective de la catastrophe à venir, feront tout pour sauver les meubles et les acquis.

    L’équation est simple : dans le système qui est le nôtre, où les législatives ont désormais lieu dans le sillage et dans la logique de la présidentielle, si le mode de scrutin actuel est maintenu, les députés socialistes, de près de 300 qu’ils sont aujourd’hui reviendront à 70, comme en 1993, et seront pour cinq ans au moins exclus du pouvoir et de ses avantages. Si du majoritaire on passait à la proportionnelle, l’Assemblée élue en 2017 se répartirait en trois blocs à peu près équivalents : le Front national (s’il s’appelle encore ainsi), l’UMP (si elle n’a pas changé de nom) et la gauche autour du PS (s’il n’a pas été rebaptisé d’ici là comme le souhaitait Manuel Valls), disposant chacun d’environ 200 élus. Ce qui pourrait mener, sous la houlette de M. Sarkozy, à la constitution d’une grande coalition à l’allemande, qui serait chez nous le dernier avatar et l’ultime recours d’un système et d’appareils à bout de souffle dont les Français ne veulent plus. La dernière pause avant le saut dans l’inconnu.

     

  • Une politique "bernard-henry-lévienne" insensée, qui nous vaut un Afghanistan au Mali...

            Nous ne sommes évidemment pas les seuls à l'avoir dit, mais il est des occasions où il faut savoir répéter des évidences...

            Ce fut une erreur que de réintégrer le commandement unifié de l'Otan - qui n'a plus de raison d'être, depuis la chute de l'Empire marxiste-léniniste et la fin du Pacte de Varsovie; et qui n'est plus que le cache-sexe de la volonté de main-mise des États-Unis sur tout ce qui bouge, en dehors de chez eux...

             Et, si on la réintégrait, au moins un autre ministre des Affaires étrangères plus compétent (genre un Védrine...) aurait-il peut-être pu mieux négocier cette réintégration.  

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    On nous avait doctement expliqué que nous partions, au loin, combattre "la" base du terrorisme, pour ne pas l'avoir "ici". Et, coucou, qui voilà ? : un rebelle d'ANSAR DINE, à Tombouctou, à deux pays de chez nous...

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  • D'accord avec... Patrice de Plunkett : Environnement : Hollande aggrave Sarkozy

    Lu sur le Blog de Patrice de Plunkett, note du mardi 26 juin 2012 :

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    Pourquoi Nicole Bricq a été évincée :

     

    La sarkozysation de Hollande n'aura pas traîné. D'abord il y a eu l'atlantisme : « OTAN-USA, Hollande au garde-à vous » (ici note du 22/05). Ensuite il y eu le cas Twitterweiler : « le people annexe la politique » (13/06). Maintenant voilà « l'environnement ça commence à bien faire » : l'Elysée évinçant Nicole Bricq du ministère de l'Ecologie, sur injonction des pétroliers.

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  • Carte blanche à... Guillaume de Tanouarn : Si je votais pour un discours (deuxième tour)

    TANOUARN.JPG        En ce premier Mai, j'ai fait l'effort d'écouter Nicolas Sarkozy jusqu'au bout (son talent m'a rendu la chose aisée). J'ai essayé de faire la même chose pour Marine Le Pen, je vous avoue que je ne suis pas parvenu à la fin de son propos. Je n'ai pas pu...
            Dans les deux cas, je ne parlerais ici que du discours, je ne discuterais que des textes entendus, ainsi qu'on m'a appris à le faire pour les grands auteurs. Je sais bien : la différence entre un auteur et un politique, c'est que l'auteur est tout entier dans son texte, le politique non.
            Aussi bien, je ne fais pas de politique, je ne chercherais pas ici à sonder les intentions, à spéculer sur les applications futures, à prendre la main dans le sac ces prestidigitateurs du verbe que sont les politiques en démocratie. Ce n'est pas mon problème, ce n'est pas mon métier. Mais je vais essayer de dire ce qui m'a frappé dans ces deux discours bleu blanc rouge.

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  • Sarko a peut-être levé un coin de voile, lundi soir : va-t-on vers "un grand moment de télé" lors du débat traditionnel d'entre-deux tours ?...

    sarkozy,hollande,strauss kahn         Lundi soir, pour son premier meeting de campagne du second tour, Nicolas Sarkozy était à Saint Cyr, près de Tours.

            Nous ne retiendrons ici que quelques secondes de cette réunion, car elles donnent, peut-être, une indication sur ce qui va (ou peut) se passer lors du prochain duel télévisé, le 2 mai prochain. On pense ce qu'on veut de Sarkozy, et, pour ce qui est du vote, on votera ou pas pour lui, ou on s'abstiendra : nous avons suffisamment expliqué notre position là-dessus pour n'avoir pas à y revenir.

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  • Leçons du premier tour des élections présidentielles françaises. L’étonnante stabilité du corps électoral, par Yvan Blot

            Les résultats du 22 avril 2012 montrent une très grande stabilité du corps électoral français.

    La gauche reste minoritaire

            La gauche représentée par les candidats Hollande, Mélanchon, Joly, Poutou et Arthaud  atteint au total 43,50%  des voix. Elle n’est pas majoritaire et ne l’était pas non plus il y a dix ou vingt ans. C’est la rupture entre le Front National et la droite modérée qui donne ses chances à la gauche comme l’ancien président socialiste François Mitterrand l’avait bien vu et instrumentalisé en son temps (voir mon livre « Mitterrand, Le Pen, le Piège » paru en 2007.)

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  • Sarkozy ? Dupont-Aignan ? Le Pen ? un(e) autre ?.....

            Nous l'avons dit : nous ne donnerons pas de consigne de vote, préférant consacrer toute notre énergie à la tâche qui est la nôtre en propre, et que personne d'autre que nous ne fera à notre place si nous ne le faisons pas : expliquer, à temps et à contre-temps, que ce n'est pas d'un changement d'homme - ou de femme... - dont la France a besoin, mais d'un changement d'Institution : c'est beaucoup moins gratifiant, mais c'est beaucoup plus profond, et - au sens fort du terme - c'est beaucoup plus politique....

           Ceci ne veut pas dire que nous nous désintéressons de l'avenir immédiat de notre Pays et que nous nous réfugions sur Sirius. Nous suivons la campagne, analysant les programmes et les propositions de chacun, à la lumière de l'intérêt général et du Bien commun.

           Pour le reste, nous voyons bien que se dessinent, chez les royalistes, certaines tendances, et nous ne trouvons pas choquant que les royalistes débattent entre eux : nous pouvons même faire écho, ici, à leurs arguments...

           On sait, par exemple, que la NAR (Nouvelle Action Royaliste)  appelle à voter pour Nicolas Dupont Aignan. Il suffit de lire les commentaires pour voir que certains de nos lecteurs voteront, eux, Sarkozy : c'est le cas de P.H. qui nous demande si nous serions d'accord pour passer un texte, écrit par Jean Marichez, chercheur à l' École de la Paix de Grenoble, et a priori - ce que ne laisserait pas deviner ce "papier"... - "plutôt à gauche". 

            Ce Blog étant ouvert à tous nos amis, nous passons bien volontiers ce texte, en ayant pris soin de prévenir P.H. qu'il devait s'attendre à une pluie de "commentaires", et en rappelant ce par quoi nous avons commencé : pour nous, la tâche essentielle n'est pas de vivre au rythme du Système, ni d'entrer dan son jeu, ni d'y dépenser notre énergie, mais de proposer à nos compatriotes de renouer avec l'Institution royale qui a "fait" la France, et sa grandeur.....

            Voici le texte envoyé par P.H, qui, n'en doutons pas, va "faire pleuvoir"..... :

           Les_resultats_de_Sarkozy.pdf

  • Le point sur les élections présidentielles en France, par Yvan Blot

    (Une fois de plus, Yvan Blot nous a transmis un texte - cette fois-ci sur la prochaine élection présidentielle - que nous publions sitôt reçu, avec nos remerciements...http://www.democratiedirecte.fr/)

            L’évolution des sondages montre une fois de plus que la stratégie de polarisation l’emporte sur la stratégie arithmétique pour gagner une élection. Cette dernière postule que pour gagner une élection, un candidat doit mobiliser ses électeurs mais aussi essayer d’étendre son électorat au dépens de l’adversaire : un candidat de droite, comme Marine Le Pen (et avant elle Chirac ou Giscard) va donc vouloir se recentrer et emprunter des thèmes à la gauche : étatisme économique ou au moins social démocratie, laïcité militante, critique lu libéralisme économique, etc..)

     

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  • Impressionnante réunion à Villepinte : mais, que se passera-t-il "après", que l'élu soit Sarkozy ou Hollande ?.....

    L'analyse d'Hilaire de Crémiers

    (Site de Politique magazine)

     

  • La turco-cinglerie en action en France et sur le Bosphore

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            C’est le Parlement et – conjointement – le gouvernement français qui sont à l’origine de cette stupide affaire, par une initiative sans queue ni tête, éminemment critiquable, contraire au bon sens et aux intérêts de la France.

            Qu’Erdogan perde ses nerfs, qu’il dise des sottises n’est, en l’occurrence, ni le fait premier, ni le fait générateur, ni, surtout, pour la France, le fait important.

     

            C’est pourquoi, mettre l’accent sur ce point, répondre de la même encre, sur le même terrain, reviendrait à occulter l’essentiel.

     

            Il faut prendre les propos d’Erdogan pour ce qu'ils sont : de la polémique simpliste, c'est à dire à peu près rien. On passe. En revanche, que dans la situation où se trouvent la France et l’Europe, le Parlement français et les institutions compétentes de l’Etat trouvent encore le moyen, le temps et l’argent de prétendre « légiférer », d'ailleurs indûment, en matière d’Histoire et à propos d’un génocide remontant à 1915 et qui, de plus, s’est déroulé dans un pays étranger, relève de la pure inconscience.

     

            C’est cela qui est important. Cela qu’il convient, qu’il nous revient de dire. Et, même si les insultes d’ordre historique proférées par les Turcs à l’encontre de la France sont infondées, pour ne pas dire ridicules, les « autorités » françaises, qui l’ont bien cherché, n'ont eu que ce qu’elles méritaient. Mais c'est la France qui en a les conséquences.

     

            A l'incongruité de leur initiative "législative" s'ajoute, maintenant, le ridicule d'une quasi crise gouvernementale, Alain Juppé, notre ministre des Affaires Etrangères, avec qui nous serons, cette fois-ci, d’accord, ayant cru devoir exprimer publiquement son désaccord, y compris, par conséquent, avec le Chef de l’Etat, le Parlement et le Premier Ministre,  qualifiant la loi en question d'"inopportune", ce qui est bien, en effet, le moins qu’on puisse en dire.  

     

            Mais, décidément, comme il a été écrit, ici, récemment, dans les commentaires, cet épisode turc nous confirme que « la majesté de l'Etat ne se trouve plus dans les institutions républicaines ».

  • Guerres politiques sur fond de crise, par Hilaire de Crémiers

    (Voici l'Analyse politique d'Hilaire de Crémiérs, parue dans le numéro  de Politique magazine, décembre 2011)

     

    Ce que les gens ne comprennent pas encore, c’est que nous vivons la fin d’un système. Les guerres politiques n’en seront que plus féroces.

     

           Nicolas Sarkozy est entré en campagne ; il a commencé sa guerre, c’est évident. L’astuce du président sortant est de faire comme si ce n’était pas le cas. Il déclare qu’il est tout absorbé par sa charge. Soit, de fait. Ce qui ne l’empêche pas de profiter du moindre espace de parole pour livrer d’insolentes remarques et de multiplier les déplacements en province et sur les lieux de travail les plus divers, surtout ceux où brille l’excellence française. Ainsi au Cnes de Toulouse. Autant d’occasions de lancer contre l’adversaire les flèches redoutables de l’homme sérieux, en fonction de chef, qui sait les choses et qui peut et qui veut. Et de suggérer qu’il est dans la crise,  à la différence de tous les autres, y compris  dans son camp, toujours sur la brèche, et peut-être encore plus sur le plan international que sur le plan national, pour la défense des intérêts de la France et des équilibres du monde. Et d’insinuer qu’il y a par conséquent incongruité, voire inconvenance, sinon presque félonie à le cribler de critiques, d’injures, de coups. Il faut avouer que c’est très bien joué et, d’ailleurs, sa cote de popularité remonte : 32 % au jour d’aujourd’hui. 

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    Campus de l'UMP : les cadres du Parti dans la bataille électorale.... 

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  • Propos présidentiels sur la Syrie : qui peut dire : "On n'envoie pas l'armée contre une population ?"...

            Nicolas Sarkozy, Président de la République française, a déclaré qu'il ne pouvait y avoir deux poids et deux mesures dans les réactions face aux troubles du monde arabo-musulman; et qu'il trouvait la situation en Syrie aussi inadmissible que celle qui prévaut en Lybie. Ajoutant au passage, et en substance, pour faire bon poids, qu'on n'envoyait pas des chars contre la foule, et qu'on ne lui tirait pas dessus.

             Fort bien : chacun jugera du bien-fondé, ou non, de ce propos, et des suites qu'il peut impliquer...

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  • "Frapper" la Lybie ? D'accord avec... Patrice de Plunkett.....

            Lu sur son Blog, le vendredi 18 mars, sous le titre :

            Une guerre "occidentale" en Lybie : avec quels objectifs ?... et dans quels intérêts ?

            La Lybie n'est pas un "pays" : c'est une confédération de clans, soumise à leurs alliances ou à leurs ruptures. D'où la possibilité d'une scission.

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    Certes, il ne s'agirait que de frappes aériennes et pas d'une intervention terrestre, comme en Irak, dont le lamentable fiasco devrait malgré tout faire réfléchir et inciter à la plus extrême prudence : intervenir pour "quoi" ? pour mettre qui, et quoi, à la place ?...

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  • Racines chrétiennes de la France...

            On n'est évidemment pas dupes. Il n'empêche, il vaut mieux entendre cela que d'être sourd, ou que d'entendre le discours de Chirac sur "les colonnes du temple...".....

            Laissons le Pays légal à ses contradictions erratiques, à ses luttes internes, et comptons les coups, chaque fois que c'est possible, en buvant du petit lait...

            Du moment qu'on n'est pas dupes, pas manipulés....