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expulsion

  • Expulsions de Roms : Prix orange et prix citron…..

                L'affaire des expulsions de Roms, avec les remous qu'elle a provoqués, n'est pas terminée, contrairement à ce que pensent certains. Ni en France, à l'intérieur, ni en Europe, à l'extérieur, où elle aura, dans les deux cas, permis de libérer les langues et de briser des tabous.

                Elle aura, à l'intérieur, eu un autre mérite : celui de faire apparaître un vrai clivage, non entre la droite et la gauche, mais entre les gestionnaires réalistes (fussent-ils de gauche...) et les personnalités carrément démagogues.

                En voici deux exemples, parmi les plus représentatifs, l'un (ou plutôt l'une) qui mérite amplement le prix citron, pour ses contorsions, qui ont porté un sérieux coup à son image; l'autre, de gauche également, mais qui a eu le mérite de parler clair et vrai sur ce sujet, et qui s'est ainsi démarque totalement de sa consoeur en PS....

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  • "Les expulser, oui, mais pour où ?...(5/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...

    Voyons maintenant la deuxième invasion militaire d'une partie de l'Europe par l'Islam. Il ne s'agit plus là de Berbères d'Afrique du Nord, mais de Turcs, venus d'Asie centrale; et l'attaque n'est plus par le sud-ouest, mais par le sud-est. 

    Dès 1353, la dynastie turque des Ottomans, fondée par Osman 1er, prit pied en Europe: c'est en effet cette année-là que, follement appelé à l'aide par l'usurpateur Jean Cantacuzène, et jouant pleinement des dissensions suicidaires des chrétiens de l'Empire byzantin, le successeur d'Osman fonda à Gallipoli le premier établissement turc en Europe.

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    Drapeau de la dynastie Ottomane (ci dessus) et de la flotte turque (ci dessous)
     
    empire turc en europe 2.JPG

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  • "Les expulser, oui, mais pour où ?...(4/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...

    Arrivés à ce stade de notre réflexion, il n'est peut-être pas inutile de marquer une pause, afin de permettre à d'autres lecteurs de réagir et donc de nourrir le débat; mais afin, aussi, de prendre du recul et de réfléchir à ce que sont, au fond, les rapports entre l'Islam et l'Europe (la Chrétienté, l'Occident....) depuis treize siècles.

     

    On a souvent tendance, en effet, à s'imaginer que ce que l'on vit est inédit; que c'est la première fois que le problème se pose, et que l'on est la première génération à être confrontée à tel ou tel problème...

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  • "Les expulser, oui, mais pour où ?...(2/-6) : Peut-on être déchu de la nationalité française ? Que dit la Loi actuelle ?...

    Poursuivons maintenant notre débat motivé par la question d'Ariane "Les expulser, oui, mais pour où ?"

    Et consultons les textes de Lois en vigueur: nous verrons alors que la possibilité de déchoir existe bien, dès maintenant, dans les textes. Des textes que, de toutes façons, les députés peuvent faire évoluer, dans un sens ou dans l'autre (durcissement, ou adoucissement).

    On en revient donc bien à ce que nous disions: d'abord et avant tout se pose la question de la volonté politique. La situation actuelle nous satisfait-elle ? Quelle France voulons-nous, quelles lois voulons-nous, quelles modifications éventuelles des textes en vigueur sommes-nous prêts à proposer et à appuyer ?

    Voici ce que, pour l'instant, disent les textes (source: Nathalie BRUNETTI et Carine DIEBOLT - "Droit pour Tous" - 2007) :

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  • "Les expulser, oui, mais pour où ?"...(1/6): Début de réponse à une bonne question...

    Quand nous avons créé ce blog, c’était pour tout un ensemble de raisons, que nous n’allons pas récapituler ici; mais c’était aussi avec cette intention bien précise : créer un espace de liberté, de rencontre positive et d’enrichissement mutuel, naissant de la libre confrontation des points de vue, et permettant à chacun de toujours mieux préciser sa pensée, en la frottant à celle des autres, et à leurs objections.

    Un échange amical, donc, marchant dans les deux sens. Nous n’avons pas, en effet,  la prétention d’avoir la science infuse, et de tout savoir sur tous les sujets. Et nous ne somme pas là pour asséner des vérités définitives à des gens qui seraient obligés de les accepter en bloc, et surtout de les recevoir sans les discuter….

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  • Pourquoi nous ne sommes pas racistes...

              Nous ne sommes pas racistes, et nous ne le serons jamais, tout simplement parce-que nous ne pouvons pas l'être: cela nous est strictement impossible, car les fondements même de notre Culture et de notre Héritage sont aux antipodes de ce fléau. Un fléau dont il est du reste piquant de constater que l'implantation en France a été, au contraire, largement facilité et favorisé par.... les torrents de haine, de xénophobie et de fureur hystérique libérés et exploités par la Révolution et la République ( l' "autrichienne..", "qu'un sang impur abreuve nos sillons !..." ).

               Ce sont en fait quatre Traditions majeures qui structurent à tout jamais notre pensée sur ce sujet: la première étant notre Christianisme, consubstantiel à la Royauté depuis le sacre de Clovis à Reims: depuis cet évènement fondateur, Catholicisme et Royauté ont toujours cheminé ensemble, s'appuyant l'un l'autre et guidant de conserve le Peuple Français, chacun dans son ordre, distingués mais non séparés; est-il besoin de redire en quoi - et pourquoi - le message libérateur universel de Jésus Christ contredit et exclut radicalement le racisme, et le mot et la chose ? 

              Notre deuxième tradition majeure est notre Romanité: pour notre plus grand bien, et notre plus grand bonheur, nous avons fait partie pendant 500 ans de cette merveille que fut -malgré ses parts d'ombre...- l'Empire Romain (Jacques Bainville aimait à rappeler qu'un quart de notre Histoire est romaine); or l'Empire Romain c'est la Patrie Humaine, le rêve utopique devenu réalité, réunissant sous les mêmes lois bénéfiques et la même bienheureuse Pax Romana le Gaulois et l'Egyptien, le Maure et le Grec, l'Hispanique et le Roumain; nous regrettons toujours cette "plage brillante", selon Pierre Grimal, que fut notre grand Empire Romain, et ce n'est pas à nous qu'il faut venir expliquer l'interêt de la diversité dans l'Unité...

              Notre troisième tradition majeure nous vient de notre Famille de France elle même, de la façon dont les Rois ont vécu et gouverné: la famille royale a toujours été très internationale, par les mariages qui ont été conclus avec des princesses de presque toutes les régions d'Europe, et la politiques des Rois a toujours été une politique d'accueil envers tous ceux qui souhaitaient servir la France (ministres, chefs de guerre, artistes: Lulli et Léonard de Vinci, le maréchal de Saxe, Anne d'Autriche et Blanche de Castille, Mazarin...qui oserait accuser la Royauté de frilosité ou de fermeture envers "l'autre" ?)...

              Enfin, une dernière tradition majeure, mais non la moindre, nous vient de notre passé militaire: grâce à Louis Philippe, et à sa géniale intuition qui lui a fait creer la "Légion Étrangère", la France est le seul pays au monde a accueillir une si grande quantité d'étrangers qui viennent, avec une constance qui ne se dément pas, la servir et l'aimer, au point de répandre leur sang pour elle: Louis Philippe, avec cette Légion unique au monde, récapitulait magnifiquement la grande tradition de la Royauté qui a toujours accueilli des étrangers au service de la France ("Royal Allemand", "Royal Irlandais"...); l'Armée Française ne dit-elle pas:

    "Qui sait si l'Inconnu, qui dort sous l'arche immense,

     Mêlant sa gloire épique aux orgueils du passé,

     N'est pas cet étranger devenu fils de France 

     Non par le sang reçu, mais par le sang versé ?"   

              On rappellera juste, pour conclure et pour mémoire, qu'avec pas loin de 1000 ans d'avance sur la république, la Royauté a, six fois dans son histoire, donné tout le pouvoir à des femmes (à l'occasion des Régences); et, qui plus est, quatre fois à des femmes étrangères !: Blanche de Castille (régente, deux fois, pour Saint Louis); Anne de Beaujeu (pour Charles VIII); Louise de Savoie (pour François Ier); Catherine de Médicis (pour Charles IX); Marie de Médicis (pour Louis XIII); Anne d'Autriche (pour Louis XIV).

               Anti racisme et promotion de la femme : où est la modernité ? Dans le match République/Royauté, n'y a-t-il pas quatre/zéro, six/zéro pour la Royauté ?....                                                                                                                                                       

  • Le piège du "racisme"...

              Nous disposions d'une grande liberté de parole et de pensée  sous les Rois: c'est aujourd'hui que la pensée est surveillée, que la parole n'est plus tout à fait libre, que le conformisme règne en maître et que le conformatage des esprits est devenue une triste réalité. Le meilleur exemple de cet étouffement de toute pensée libre, de tout débat, de toute parole en dehors du politiquement correct, nous est donné par l'anti racisme, promu Valeur Suprême. Le chef de l'État lui même ne cesse d'appeler à la vigilance sur ce sujet, qui est devenu "la" référence absolue, l'alpha et l'oméga universels....

             Il est bon, naturellement, que nul ne puisse impunément diffuser ou faire l'apologie de thèses racistes (1): tout le monde est d'accord là dessus et ce n'est bien sûr pas ce qui nous choque, pas plus que le fait d'avoir déclaré le racisme "délit" et non "opinion". Cest la manipulation du mot par la police de la pensée qui est dangereuse, cette police de la pensée étant exercée par une minorité trotskiste, gardienne autoproclamée du politiquement correct, dont la machiavélique machination a été parfaitement analysée par Finkielkraut (2)... 

              Le problème est autre: on voit bien qu'à tout propos, et surtout lorsqu'on évoque la déferlante migratoire et la sur-délinquance qui s'y rattache (évaluée entre 50% et 80%) certaines personnes et certaines associations n'hésitent pas à dénoncer du racisme imaginaire là ou il n'y a que rappel à la loi (par exemple, dans le cas d'expulsion d'immigrés clandestins, c'est à dire de hors la loi que certains persistent à appeler "sans papiers"). Et là, on n'est plus dans le cadre du racisme et de l'anti racisme, mais dans le cadre de la supercherie, de la tartufferie; dire : "du complot" serait peut être excessif, quoique certains fassent vraiment tout pour aboutir à accréditer cette idée...

              On cherche manifestement par là à faire taire ceux et celles qui trouvent qu'on a laissé entrer beaucoup trop d'étrangers en trop peu de temps, ce qui rend impossible toute intégration, et encore moins toute assimilation. Evoquer le sujet c'est immanquablement -au mieux- se faire suspecter de "racisme" et -au pire- se faire traiter de "raciste": une fois l'injure proférée, le cri de ralliement poussé, on voit aussitôt toute l'intelligentsia, tout l'établissement, tous les conformistes et les conformatés ne faire plus qu'un bloc pour essayer de faire taire celui ou celle...qui n'a fait que constater la montée des violences et des insécurités, et qui ose poser la question du pourquoi.

              Ce terrorisme intellectuel aboutit déjà à une auto censure certaine (voyez l'affaire Redeker...) et devient une menace mortelle pour la liberté de pensée, donc a terme pour la pensée tout court....Le Système en place s'est fait une spécialité de vivre, dans les faits de tous les jours, le contraire de ce qu'il annonce, en paroles: on écrit "Liberté" sur tous les monuments, mais l'une des plus plus fondamentales et des plus indispensables de nos libertés, celle de penser et de parler, est mise en danger et se voit limitée et surveillée. On est bien loin de l'optimisme et des belles promesses des "philosophes" du XVIII° qui, eux, vivaient dans une société policée et raffinée, ou l'esprit était roi... 

    (1) ; Voir la première partie de la Conférence "Contre la France métisse";

    (2) : Pour faire court, se rendant bien compte que leur marxisme-léninisme avait échoué, mais ne voulant ni reconnaître leur erreur, ni perdre leur situation procurée par l'agit-prop, les trotskistes ont imaginé de remplacer le marxisme par l'immigration, pour casser les vieilles Nations historiques d'Europe, et de discréditer toute tentative de réaction des peuples européens sous l'accusation infâmante de racisme. Un tel plan requiert évidemment la rencontre et l'entente au moins tacite entre le trotskisme, une fraction du monde économique (patronat attiré par une main d'oeuvre bon marché) et une autre fraction de la classe politique. On a là un cas typique de la malfaisance du Système en place, qui est bien le premier délinquant de France, et sans lequel les patrons avides ou les trotskistes révolutionnaires ne pourraient pas avoir la même influence, ni obtenir les mêmes résultats....

    ( http://www.planetenonviolence.org/Finkielkraut-et-violences-urbaines-Traduction-integrale-de-l-interview-du-Haaretz_a309.html )