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  • (I/II) L'outrecuidologue J.P.H.D au grand Barnum du Congrès du PS : prenons-le avec le sourire, mais être condamné semble manifestement en rendre certains virulents...

     ps,harlem désir,lienemann 

    C'est ce qui ressort, manifestement, et dans la forme et dans le fond, du discours prononcé par Jean-Philippe Harlem Désir, nouveau Premier secrétaire - condamné - du Parti Socialiste. Il y a un siècle, l'un des tous premiers films était "l'arroseur arrosé"; là, il nous a joué un truc beaucoup plus évolué, mais en inversé, qu'on pourrait intituler quelque chose comme "le condamné condamneur" :

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  • Parti Socialiste : Double scandale, mais logique respectée : celui qui "préside" la France, la condamne (pour le 17 Octobre 61, aujourd'hui, pour la Rafle du Vel' d'Hiv', hier); et celui qui est condamné préside le PS...

  • Recyclage et ré-insertion : Harlem Désir à la tête du PS...

    harlem désir,psPeu importe à quoi, quand et pourquoi il a été condamné.

    L'important c'est qu'il a été condamné, qu'il a perçu un salaire pour un emploi fictif pendant un an, et qu'on avait cru comprendre que "Moi, président" il n'y aurait pas de condamnés à des postes importants. Ni à aucun poste tout court.

    Mais, ça, c'était "avant"...

    Il faut donc croire - puisqu'on le voit... - que "moi, normal" et "moi, président", ça fait deux !

    Maintenant, c'est vrai aussi que, au PS, si on vire tous les condamnés, ce ne sera plus un parti mais un "Emmenthal" (vrai nom du fromage que certains appellent "Gruyère"...)

    (Illustration : par René Le Honzec, "Un tramway nommé désir...)

  • C'est "Dallas à l'Elysée : hier, c'était "François contre François"; aujourd'hui, c'est "Christiane contre François"...

            1. Est-ce encore un PS ?

            2. Est-ce encore un gouvernement ?

    1. Le plus élémentaire respect des gens et des électeurs obligera bien, un jour ou l'autre, le PS a dire lequel des deux François a raison, puisque François le normal a dit et fait exactement le contraire de François Mitterand, sur un sujet "politique" majeur (la repentance de la France ...) : lequel a dit vrai ? Lequel le PS "garde"-t-il, et lequel "exclut"-il ?...

    2. Aujourd'hui, c'est le Garde des Sceaux qui contredit publiquement le Chef de l'Etat : le doublement des centres fermés d'éducation - promis par le candidat Hollande -  n'est pas une priorité pour Madame Taubira. En son temps, Chevènement avait dit qu'un ministre "ça fermait sa gueule ou ça démissionnait". Christiane Taubira ni ne la ferme, ni ne démissionne : ce n'est plus un gouvernement, c'est le bateau ivre.

    Avec, à sa tête, pour affronter cette tempête et les autres, un Président affaibli, "monsieur tiers", soutenu par une majorité à l'Assemblée qui a raflé 52% des sièges, mais avec à peine 16,5 des inscrits, soit 29% des suffrages exprimés pour le PS au premier tour...

  • Après son "Dôme" à Marseille : le "programme" Hollande ? Recherche économies, désespérement....

     Au fond, l'un des principaux sujets de François Hollande, à Marseille, a été les banlieues, les Cités, les zones sensibles, les "jeunes"; et, cela, d'une drôle de façon : en substance, il n'y a qu'à supprimer ces appellations de "jeunes", de "zones sensibles" etc..., afin de ne pas "stigmatiser" : le mot est archi à la mode en ce moment, mais surtout archi-bateau : un vocabulaire pas étonnant, d'ailleurs, pour celui que Mélenchon qualifie de "capitaine de pédalo..." ! 

    hollande,ps

     Ses partisans n'ont pas hésité à dire et à écrire un "Je vous salue, Marseillle", de très mauvais goût, et il ne les a pas désavoués..; il a enchaîné : "mettre un terme au zonage, qui est une stigmatisation. Finies les ZRU, les ZUS, les ZRR !..." Ben, voyons !....

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  • François Hollande, la rose ou l'épine, par Hilaire de Crémiers

    (Voici l'analyse politique d'Hilaire de Crémiers, parue dans le numéro 104 de Politique magazine, février 2012)

     

    Jamais le système politique français n’a paru plus extravagant que dans ces temps d’échéances électorales. François Hollande peint l’avenir au couleur de sa rose, mais ce qui s’annonce, c’est un paquet d’épines.

            François Hollande s’est déclaré à la nation française : il veut l’épouser. Il l’a dit solennellement au Bourget, le dimanche 22 janvier, devant un parterre socialiste savamment rassemblé. Il a affirmé vigoureusement qu’il se montrerait apte à remplir sa fonction. Il a décliné son pédigree ; il a affiché son passé ; il a su convaincre qu’en dépit de l’envie, dans la conduite de sa vie, se lisait clairement la ligne de son destin : oui, son destin ! 

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  • Quand Claude Allègre condamne le programme du PS, au nom de l’intérêt national

            Voici quelques extraits significatifs des déclarations de Claude ALLEGRE au Figaro Magazine de samedi dernier. C’est très intéressant : nous pouvons être d’accord avec presque tout. En tous cas, il faut que les Français sachent …

     

    allegre,nucleaire

    Claude Allègre publie « Faut-il avoir peur du nucléaire ? », aux Editions Plon, en collaboration avec Dominique de Montvalon, 164 pages, 9,90 €.

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  • Deux "prix orange", ex-aequo, et sans "citron", cette fois-ci.....

              ...pour deux articles parus dans le même jour, dans la même Page Idées du Figaro (samedi 3 / dimanche 4 septembre ), n° 20.866.

           Le premier - intitulé Ce qui ne peut plus durer au PS - est du Philosophe Yves Roucaute, qui s'interroge sur "notre" PS des vieilles lunes; le second - L'avenir des humanités - est du philosophe Jean-François Pradeau, qui veut sortir les langues anciennes du "giron confiné des options de second rang" (on notera, au passage, qu'il ne parle évidemment pas de langues mortes, comme certains ignares, mais bien de langues anciennes, ce qui est tout à fait autre chose...)

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  • "Affaire DSK" : au moment où les rats quittent le navire, il est temps de faire un peu le point.....

            Il y a eu, cet été, la grave accusation d’accointance avec « le grand banditisme », lancée par Arnaud Montebourg, parlant de Guérini. Et le soutien d'Harlem Désir à Montebourg, le-dit Désir demandant à Guérini de démissionner : réponse du berger à la bergère, Guérini rappela alors à Désir que lui-même, Désir, ayant été condamné aurait dû - et devrait encore... - en toute logique, démissoner...

            Il y a eu aussi le tragi comique des Primaires : sur I Télé, le lundi 18 juillet, le journaliste ne s’y est pas trompé : en rendant compte du dimanche passé par Aubry, Valls et Hollande à Avignon, où François et Martine, ont soigneusement évité de se rencontrer, le journaliste a malicieusement déclaré qu’à ce moment-là le théâtre et la comédie se jouaient dans la rue, et que c’étaient François et Martine les acteurs ! Bien vu de la part du journaliste, pitoyable pour la politique, pour « le » politique…..

            Pourtant, malgré ces joyeusetés, pour le PS l'essentiel n'est pas là, ou plus là.

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  • Vices, tares et malfaisance du Système : 2012 ? Mais il y en a déjà qui préparent... 2017 !

             Copé, au moins a été franc. C'est lui qui a déclaré en substance, et il y a déjà pas mal de temps, qu'il n'était pas dans la course pour 2012, parce qu'il préparait 2017 !...

             En face, Manuel Valls, mais il n'est pas le seul, et de très loin, a été promu candidat par France info, il y a plusieurs semaines déjà. France info dont, d'ailleurs, le titre d'une des rubriques créée pour la circonstance est éloquent : Tous candidats ! On ne saurait être plus clair....

            Cet étalage de rivalités personnelles, cette compétition indécente entre ambitions contradictoires mais exacerbées par l'importance de l'enjeu peut nous servir, d'une certaine façon, puisqu'elle peut nous permettre de faire toucher du doigt à nos concitoyens l'un des avantages majeurs de la Royauté.

            Ou l'une des faiblesses majeures de notre Sytème, comme l'on voudra : en effet....

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  • Et la cohérence, monsieur Cambadélis ?...

    L’avertissement de Cambadélis. Ou : un Parti qui dit blanc mais qui fait noir (ou l’inverse…)

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  • Intéressant, et à suivre : Ces socialistes qui prônent la mise en place d’une “TVA sociale” …..

                Estimant qu’il ne faut “s’interdire aucun tabou”, les députés socialistes, Manuel Valls et Jean-Marie Le Guen appellent à augmenter la TVA tout en baissant les charges sociales. C’est-à-dire - et même s’ils n’utilisent pas formellement ces mots - à mettre en place une “TVA sociale” ou “TVA anti-délocalisations”, une idée relancée par le président du groupe UMP à l’Assemblée nationale, Jean-François Copé, le 4 octobre dans un entretien au Figaro.

                Les deux élus socialistes, dans la contribution qu’ils ont écrite - et qui est publiée par Le Monde dans son édition datée du 14 octobre - n’emploient formellement ni l’un ni l’autre de ces deux mots, mais le résultat est le même....

                Ils soulignent toutefois qu’“avec cette caractéristique très sociale”, la TVA “pourrait correspondre au nouveau visage d’une gauche ouverte au monde, qui ne prône pas le repli ou la guerre tarifaire, qui assume de défendre les intrérêts économiques et industriels de la France et de ses salariés”.

                “Ce basculement de cotisations vers la TVA pourrait sensiblement améliorer la compétitivité de certains secteurs industriels exposés à la concurrence”, “dissuader les délocalisations”, et “enrayer la destruction des emplois industriels”, estiment-ils ,

                Le débat sur la “TVA sociale” avait été ouvert par la droite en 2007, mais vite refermé : la majorité avait estimé avoir payé cher cette idée aux élections législatives (50 sièges en moins, selon elle) après que le parti socialiste avait fait du caractère “non social” de ce surcroît de taxation le slogan de sa campagne de second tour.

                A noter la frilosité de l'appareil PS face à la hardiesse de ces deux chevau-legérs que sont  - sur ce sujet - Valls et Le Guen : le parti, dans son ébauche de programme économique, social et fiscal pour 2012, publié en avril de cette année, n’évoque pas cette question...

  • Expulsions de Roms : Prix orange et prix citron…..

                L'affaire des expulsions de Roms, avec les remous qu'elle a provoqués, n'est pas terminée, contrairement à ce que pensent certains. Ni en France, à l'intérieur, ni en Europe, à l'extérieur, où elle aura, dans les deux cas, permis de libérer les langues et de briser des tabous.

                Elle aura, à l'intérieur, eu un autre mérite : celui de faire apparaître un vrai clivage, non entre la droite et la gauche, mais entre les gestionnaires réalistes (fussent-ils de gauche...) et les personnalités carrément démagogues.

                En voici deux exemples, parmi les plus représentatifs, l'un (ou plutôt l'une) qui mérite amplement le prix citron, pour ses contorsions, qui ont porté un sérieux coup à son image; l'autre, de gauche également, mais qui a eu le mérite de parler clair et vrai sur ce sujet, et qui s'est ainsi démarque totalement de sa consoeur en PS....

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  • Faiblesse du Système : il manque quelqu'un pour porter le tout.....

                Sous le double titre LE TOUT A L'EGO - POURRONT-ILS SURMONTER LEURS DEMONS D'ICI 2012 ? le fil AOL a récemment publié la photo suivante:
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                Il s'agit en fait d'illustrer la présentation du livre PS, la bataille des ego, par François-Xavier Bourmaud (Éditions l'Archipel - 16,95 euros): Ils se voyaient déjà installés à l.pdf
                Dans ces misérables calculs politiques de bas étage du Pays légal, où le mesquin le dispute au sordide, on est évidemment bien loin du Bien commun. Pourtant, il serait trop facile de se contenter de taper sur le-dit Pays légal. Nous l'avons dit souvent, et peut-être est-il bon de le répeter une fois encore: ce qui est choquant ce n'est pas le jeu des partis en soi. Après tout, les partis sont aussi l'une des façons de représenter l'opinion. Ce qui est choquant -et sur ce point le Système est faible...-  c'est qu'il n'y ait que les partis pour représenter l'opinion; qu'ils accaparent donc la totalité de la représentation nationale, et qu'ils concentrent donc en leurs mains la totalité des pouvoirs.
                C'est sur ce point précis que la Royauté représente un plus par rapport au déjà ancien régime actuel: avoir, à la tête de l'Etat, un espace a-démocratique permettrait, à côté des majorités naturellement changeantes et fluctuantes, reflétant les légitimes évolutions de l'opinion, de manifester la non moins légitime permanence de la Nation, de ce qui ne change pas en elle.
                Et, grâce au temps long dont dispose la royauté, d'assurer sa pérennité. Un temps long dont, évidemment, le Système actuel est singulièrement dépourvu, et qui lui fait si cruellement défaut .....
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    "C'est la grande vertu des monarchies héréditaires de porter leur renouvellement dans leur propre principe, de suivre le mouvement du temps et, à chaque génération d'hommes, de se régénérer elles-mêmes". Jacques Bainville

  • Sourions un peu, d'eux : dans la famille "faux-derche", Moscovici, champion toutes catégories !...

                Alain Moscovici veut bien qu'on exclue Frèche, mais pas ceux qui le soutiennent: allez comprendre ! On avait entendu le PS claironner, suite au dépôt d'une liste contre lui en Languedoc-Roussillon, qu'il avait enfin retrouvé son âme ! Le PS, pas Frêche, qui, probablement, pour ses ex-amis du PS, n'en a pas, ou plus, d'âme...

                Ces retrouvailles avec leur âme dussent-elles se payer - pour les socialistes - par la perte d'une Région.

                Le seul hic, c'est qu'à ce stade d'imbroglio -et surtout de ridicule- pour Mosco et le PS, l'heure n'est plus au problème "d'âme" ou de "pas d'âme", mais, plus prosaïquement de crédibilité et de sérieux.

                De lisibilité, comme on dit aujourd'hui dans le jargon: car comment fait-il pour garder son calme et son sérieux, Moscovivi, en prétendant exclure l'un mais pas les autres, alors que l'interaction est totale entre tout ce petit monde, et que, sur le terrain, il est strictement impossible de les séparer ?...