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35 heures

  • PS : la guerre continue et fait rage entre idéologues et pragmatiques…

            Voici que Manuel Valls vient encore de faire entendre une voix discordante dans l'orchestre socialiste. Il demande, ni plus ni moins, la mise à mort des 35 heures ! Hurlements indignés des gardiens du temple, Emmanuelli étant le premier à être monté au créneau....

            (les propos de Manuel Valls résumés ici : Valls 35 heures.pdf)

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  • La fin des 35 heures imposées : bon débarras !...

                 Comme l’ont noté de nombreux observateurs, la sortie des 35 heures a été finalement assez habile, pour ne pas dire très habile, même si le feuilleton a été un peu long, et parfois un peu lassant….

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  • Les perles de Marie-Georges (1/2)...

              Le 17 mai, la numéro un du PCF, Marie-George Buffet est dans la rue à Paris pour manifester contre la réforme des retraites et la remise en cause des 35 heures.

              Expliquant pourquoi elle manifeste, elle déclare au micro du journaliste qui l'interroge que la réduction du temps de travail est "une avancée de la civilisation" !...

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  • Quand TF1 fait le point sur les 35 heures.....

               Sans a priori, et loin de tout esprit partisan, TF1 a proposé un très intéressant sujet sur les 35 heures, le dimanche 18 mai, lors du JT de 20 heures présenté par Claire Chazal. Concis, honnête, assez complet et surtout très clair: du bon travail, de bon journaliste. Propre à aider tout un chacun à se forger une opinion, ou à y voir plus clair dans le maquis des arguments avancés par les pour ou les contre....

               Non parce qu'on y apprendrait des choses qui bouleversent les connaissances sur le sujet; mais pour la présentation sans parti pris et sans arrières-pensées idéologiques de ce qu'est la réalité concrète, sur le terrain.

               Un travail utile, donc, de vulgarisation réussie....

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  • Ainsi va le monde: 35 heures et ISF.....

              La même semaine où l'on "célébrait" (!) les dix ans de l'aberration des 35 heures, on apprenait qu'une autre aberration, l'ISF, venait encore de frapper.

              Ou, plus exactement, continuait de frapper et d'exercer ses ravages.....

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  • Les prix du mardi.....

              le prix citron:à José Bové, pour sa déclaration du 10 décembre, à sa sortie du Tribunal de Grande Instance de Millau: « Nous avons pris une décision collective d'entamer à partir du 3 janvier 2008 une grève de la faim à durée indéterminée ».

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  • Quand Ségolène Royal essaye de se remettre en selle... (1)

              Nous avons déjà dit ce que nous pensions de Ségolène Royal après ses déclarations de l'été 2007. Et nous ne serions pas revenus sur le sujet si elle ne donnait pas à nouveau le bâton pour se faire battre, en l'ocurrence avec son nouveau livre "Ma plus belle histoire, c'est vous", publié chez Grasset, dont elle est venue faire la pub au 20 heures de TFI, le mardi 4 novembre. Nous nous en tiendrons à cinq remarques:

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  • Le summum de l'immoralité?...

              On se souvient de la colère feinte et forcée de Ségolène Royal lors de son débat télévisé avec Nicolas Sarkozy, juste avant le premier tour de l'élection présidentielle: dans ce qui se voulait une sorte d'éclat, mais qui était manifestement préparé à l'avance, qui sonnait faux et qui fut "sur-joué", Sarkozy se vit accusé d'être "immoral" et d'atteindre "le summum de l'immoralité": excusez du peu ! le temps d'une tirade de mauvais goût et de mauvaise foi -qui du reste, de l'avis unanime, l'a desservi...- Ségolène devint, ou du moins crut devenir, une sorte de Dieu le Père (pardon, de Déesse la mère...), faisant le Jugement Dernier le jour du "Dies Irae"; et décrétant souverainement, et bien sûr sans appel, qui était et où était le mal ("lui"...) et le bien ("elle"...bien sûr!). 

              Or voilà que, quelques semaines à peine s'étant écoulées, Madame Royal "tombe le masque", en quelque sorte, et nous asséne tout de go qu'elle a défendu au moins deux idées dans son "pacte présidentiel" qui n'étaient pas les siennes! auxquelles elle ne croyait pas! (sic!), tout simplement parce que ces idées n'étaient pas crédibles! (re-sic) (ces deux idées étant le Smic à 1.500 euros et la généralisation des 35 heures). La gauche réagit sèchement: pour Claude Bartolone (courant Fabius), Ségolène Royal est tout simplement un danger pour le PS ! Jean-Luc Mélanchon l'accuse de "duplicité" et de "provocation" et parle d'or: si réellement, dit-il, Ségolène Royal pensait que ces mesures n'étaient pas crédibles, pourquoi les a-t-elle défendues ? Le député communiste JP Brard, qui a pourtant soutenu à fond Ségolène..., a le sentiment d'avoir été trompé: bref, "ca barde" à gauche, et ce n'est probablement pas fini...

              Mais là n'est pas l'essentiel pour nous: laissons la gauche à ses lamentations et à ses convulsions d'après-défaite, et réfléchissons quelques instants à cette déclaration et à ce qu'elle signifie: les candidats ont-ils tous les droits et peuvent-ils tout se permettre ? est-il normal, est-il acceptable, qu'un(e) candidat(e) "tente le coup" et essaye de se faire élire à tout prix, fût-ce en mentant ? (car c'est bien ce qu'a fait Madame Royal, en proposant au moins deux mesures -et pas n'importe lesquelles, en importance- dont elle savait pertinemment qu'elles ne seraient pas applicables...). Et si on cherche à défendre Madame Royal à tout prix, si on ne pense pas que ce soit un mensonge, alors ce ne peut être que de la légèreté et de l'approximation, qui à ce niveau là s'appellent de l'incompétence: ce n'est guère mieux ! Ou, troisième et dernière hypothèse possible, si ce n'est ni du mensonge, ni de l'incompétence, ce ne peut plus être que de la faiblesse: ne pas arbitrer, ne pas être capable de "faire un choix", alors que précisément "gouverner c'est choisir"....

              On voit bien que, de quelque façon qu'on aborde le sujet, les conclusions sont toujours défavorables à Ségolène Royal. Et pourtant, inconscience ou mépris souverain des autres, celle-ci annonce, presque dans la foulée, qu'elle sera très probablement candidate en 2012 !: "J'ai envie de continuer !" dit-elle: mais de continuer à quoi? à mentir effrontément? à étaler au grand jour son incompétence? sa faiblesse? Tout cela par simple ambition personnelle ? Et s'il était là, en réalité; et s'il était de son fait "le summum de l'immoralité" dont elle a cru, un jour, pouvoir accuser son concurrent ?....