Une proposition pour en sortir: la règle des trois tiers.....
La politique insensée qui a fait entrer en France plus de dix millions d'étrangers depuis 1975 nous parait illégitime, car sur un sujet aussi fondamental que la constitution physique du Peuple, c'est à celui ci qu'il appartient de décider.
Maintenant que le mal est fait, il faut sortir de cette impasse, peut être mortelle, dans laquelle le Système nous a engagé; il faut donc bien imaginer des solutions, et formuler des propositions pour en sortir.
En voici une. Pourquoi ne pas imaginer quelque chose que l'on pourrait appeler une règle des trois tiers ?
I) : D'abord, on pourrait distinguer un premier tiers d'immigrés et/ou de naturalisés récents, qui ont un comportement correct et ne posent pas de problèmes particuliers, mais qu'on pourrait appeler - si l'on faisait une comparaison avec le monde scolaire - des personnes mal orientées. Ils sont venus en Europe ou en France poussés par la pauvreté, afin d'aider la partie de leur famille restée "au pays", alors qu'en réalité il aurait bien mieux valu les aider chez eux. Et ne pas ajouter à leurs problèmes déjà si lourds le poids supplémentaire d'un déracinement traumatisant. Déplacer la misère, ce n'est pas l'éradiquer, et la solution la plus raisonnable est de la traiter sur place...
Notons d'ailleurs que ces immigrés, travailleurs et sérieux, sont bien mal traités, mal reçus, mal logés, mal payés... par un Pays Légal, qui se gargarise d'un anti racisme de mots mais qui laisse allègrement se pratiquer un odieux racisme de fait... Ces travailleurs honnêtes pourraient très bien, au final, préférer "rentrer au pays", si la France et l'Europe lançaient un vaste programme de co-développement de l'Afrique : une coopération sur un strict plan d'égalité, profitant également aux deux parties, permettant à la France (et à l'Europe) d'être la chance de l'Afrique, et à l'Afrique d'être la chance de la France (et de l'Europe), pour reprendre la forte et juste image de Léopold Senghor....
II) : Ensuite, on pourrait distinguer un deuxième tiers d'immigrés et/ou de naturalisés récents, beaucoup moins sympathiques ceux-là, et posant de réels problèmes en terme de délinquance et de criminalité. Tous ces tristes sires dont les journaux relatent régulièrement les tristes exploits. Ceux qui, à 20 ans et sans travail, roulent en BMW (c'est à dire vivent du trafic de drogue, et sont donc pour nous des assassins, car bien sûr la drogue tue...). Ceux qui jettent des boules de pétanque depuis les toits sur les policiers ou les pompiers (et qui sont donc eux aussi des assassins, car une boule de pétanque jetée depuis un toit cela tue aussi...). Ceux qui sont impliqués dans les multiples trafics d'une économie souterraine et parallèle ( armes, extorsion, prostitution, fraudes en tous genres et surtout "en gros"... ). Les violents, qui brûlent une fille qui les repousse, qui attaquent au couteau un professeur ( femme de préférence ! ), qui mettent le feu à un bus, qui torturent à mort un jeune sous prétexte qu'il est juif...
Bref, de Youssef Fofana à la tribu Ka ( liste non limitative !... ), ils sont très nombreux, trop nombreux, tous ces gens à qui l'on a fait un beau cadeau en les laissant venir ici ou en leur octroyant une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent à l'évidence qu'ils ne sont pas dignes. Ce sont tous des délinquants, dont nous ne voulons pas chez nous, tout simplement parce que la France n'est pas une poubelle ! Il ne faut pas les mettre en prison: il faut les déchoir de la nationalité française, que le Pays légal leur a follement -et très imprudemment- octroyée, sans que le Peuple Français ne l'ait autorisé. Puis il faut les expulser, sans délai et pour toujours, du territoire national ! Autrefois, on employait le terme bannir....
III) : Enfin, on pourrait distinguer un troisième tiers d'immigrés et/ou de naturalisés récents, qui eux pourraient effectivement être intégrés et/ou assimilés. Car, en plus d'avoir un comportement correct, ils sont venus en France avec de bonnes intentions, poussés par des motivations positives et une réelle estime pour notre pays. Bien sûr, comme tout immigrant, ils doivent accepter les moeurs et les lois de leur nouveau pays; reprendre à leur compte l'héritage national et les Valeurs qui le fondent. Mais ceci est le lot commun de tout immigrant, n'importe où dans le monde.
Il ne faut pas se le cacher : ceux qui éprouveront le plus de difficultés seront ceux qui viennent de l'Islam, qu'ils soient originaires d'un pays d'Afrique du Nord ou d'Afrique noire; car ils devront renoncer explicitement à un certain nombre d'us et coutumes ( polygamie, excision, mariages forcés, "crimes d'honneur"... ); ils devront accepter l'égalité de la femme par rapport à l'homme, accepter la distinction du temporel et du spirituel, renoncer à la charia, accepter qu'un musulman puisse changer de religion etc....
Mais remarquons, au passsage, que ces personnes de bonne volonté seront puissamment aidées dans leur entreprise d'intégration et/ou d'assimilation si l'on ramène le niveau de la délinquance à son minimum incompressible. En effet, aujourd'hui, elle atteint des taux records et se développe de façon exponentielle, mais on sait très bien qu'il y a une sur-délinquance liée à l'immigration (nous l'évoquions plus haut, dans notre paragraphe II); et que cette sur-délinquance atteint par endroits des niveaux extrêmement importants. D'où une généralisation et un amalgame toujours possible, dans une opinion publique saturée et fatiguée de ces violences, entre -pour faire court- ceux qui se tiennent mal et tous les autres qui, eux, se tiennent bien. Alors que si l'on expulsait les délinquants, celles et ceux qui justement font tout ce qu'ils peuvent pour s'intégrer ne verraient plus leurs efforts risquer d'être remis en cause par la faute de ces délinquants, et de la mauvaise image qu'ils projettent, à tort et injustement, sur l'ensemble des immigrés, qui ne méritent pas cela.....