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etats unis

  • Éphéméride du 30 avril

    1524 : Mort de Pierre Terrail, seigneur de Bayard (Musée de l'armée des Invalides : Salle des Armures)

     

     

     

     

     

     

    1331 : Naissance de Gaston Phoebus 

     

     

    30 avril,bayard,françois premier,pierre terrail,marignan,garigliano,invalides,musée de l'armée,etats unis,louisiane,napoléon,bonaparte,cameronePhoebus est le nom latin d'Apollon, dieu du soleil. Gaston de Foix et de Béarn - qui prit d'ailleurs le soleil comme emblème - reçut ce surnom flatteur dès sa naissance, en raison de sa grande beauté et de son éclatante chevelure blonde.

     

    Ce n'est pas pour ses qualités politiques qu'il restera dans l'Histoire, car son action fut plutôt erratique : d'abord ami et allié du roi de France Philippe VI, il se brouilla avec son successeur Jean II le Bon, se rapprochant des Anglais, au tout début de la Guerre de Cent ans, puis se réconcilia avec Charles V, et laissa même tous ses biens en héritage à Charles VI, juste avant de mourir.

     

    Ce sont plutôt ses qualités reconnues d'homme de goût, raffiné et grand amateur d'art qui font se souvenir de cet ami de Froissart, qui écrivit de lui : 

     "J'ai vu bien des chevaliers, des rois, des princes. Mais jamais je n'en vis qui fut de si magnifique stature et de si merveilleuse prestance. Son visage était très beau, coloré et rieur. Ses yeux étaient verts et amoureux. En toutes choses il était parfait. Il aimait ce qu'il devait aimer, haïssait ce qu'il devait haïr. Il était aimable et accessible à toutes gens et il leur parlait doucement et amoureusement. Mais dans son courroux nul n'avait pardon." 

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  • VIDEO - Hervé JUVIN : "Il revient aux socialistes français d'accentuer l'américanisation de la société française"

    Hervé JUVIN* mène sur les questions économiques, politiques, sociétales et géopolitiques, une réflexion d'ensemble à laquelle on aura toujours intérêt à se reporter. Il enregistre régulièrement pour realpolitiktv, des vidéos toujours remarquables : nous en avons mis deux en ligne, ici, l'une le 18 octobre 2011, l'autre le 7 septembre de cette année. On fera bien de les réécouter.   

    Hervé Juvin préside des Sociétés qui font de lui un acteur important du système économique - qu'il connaît donc bien et dont, pourtant, il fait une critique sans concession, allant bien au delà du seul débat économique. 

    Qu'on en juge par ces lignes lues sur son blog :

    "Les pires ennemis, non pas de nos peuples, mais de tous les peuples, c’est-à-dire de l’humanité, sont ceux qui entendent la réduire au rendement, au nombre et aux comptes. Il n’y a pas de place pour ceux-là dans le monde qui vient, le monde de la diversité collective, des identités et du politique retrouvé. Le plus grand combat politique, et peut-être le seul, est celui de la diversité des sociétés les unes à l’égard des autres, c’est le combat pour l’autonomie des peuples, et c’est le combat pour l’unité interne des sociétés politiques."

    "Le monde qui vient", à l'inverse du monde actuel, à l'inverse de ce que l'on croit, à l'inverse de ce que nous pouvons redouter, ce ne serait donc pas cet âge de fer globalisé, que nous refusons, mais bien plutôt "le monde de la diversité collective, des identités et du politique retrouvé" ? Mais, au fond, comment pourrait-il en être autrement ? Et qui croit encore à une absurde fin de l'Histoire ?

    Ecoutez encore cette vidéo où Hervé Juvin analyse comment - par un "spoil system" contraire à la tradition de notre haute fonction publique - "il revient aux socialistes français d'accentuer l'américanisation de la société française".  

    (Enregistré le 26 octobre 2012).

     Cette vidéo peut être regardée en plein écran 

    * Hervé Juvin est écrivain et conférencier, mais également Président d’Eurogroup Institute (filiale d’accompagnement stratégique d’Eurogroup). Auteur d’essais sur l’économie, la société et la mondialisation, il est spécialiste de la banque et des marchés financiers. Grand arpenteur du monde, il a publié plusieurs centaines d’articles, notamment dans Le Débat (Gallimard), L’Expansion, Agir, et préside par ailleurs une société de conseil aux gouvernements, aux institutions et aux entreprises.

    Bibliographie (principales publications)

  • Lire Jacques Bainville (XXXVI) : De la puissance des États-Unis : "Être libre, c'est être fort..."

     (Comme tous les textes publiés dans cette catégorie, celui-ci, aussitôt paru, est incorporé à notre album Maîtres et témoins...(II) : Jacques Bainville. - 132 photos)

     

    Du Journal, Tome III (1927/1935); Note du 18 janvier 1928, pages 34/35/36)

    etats unis,coolidgeOn ne peut manquer d'être frappé de l'assurance avec laquelle le président Coolidge s'est exprimé dans son discours d'ouverture du congrès panaméricain. Cette assurance paisible est celle que donnent la puissance et la richesse. De loin, une vue superficielle des choses laissait croire que les États-Unis, à l'assemblée de La Havane, seraient jugés par les Républiques latines, qu'ils auraient des comptes à rendre ou des excuses à fournir pour leur politique d'intervention au Nicaragua, en Haïti et ailleurs. La grande République de l'Amérique du Nord a tout de suite paré le coup. Tout au moins, en présence du président Coolidge, la question ne sera pas posée.

    La grande République des États-Unis a la majesté de la république romaine. M. Coolidge s'est rendu à La Havane avec un déploiement de force, un appareil de luxe qui font penser au voyage d'un proconsul. Il a derrière lui le Sénat de Washington, qui rappelle le Sénat romain. Et il parle aussi de paix, comme en parlait Rome, qui a, en effet, pendant plusieurs siècles, donné la paix au monde d'alors, mais en intervenant partout où cette "paix romaine" était troublée. 

    (Illustration : John Calvin COOLIDGE (1872-1933), 30ème Président des États-Unis).

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  • L'UE à l'agonie ? Si Charles Kupchan a raison.....

                Oui, si Kupchan a raison, tant mieux, car « cette » Europe là ne vaut pas grand’chose ; elle est même néfaste dans la plupart des cas…

                Dans un article - que vous trouverez reproduit sur le site Média France Libre - ce professeur de relations internationales à l'université de Georgetown (Washington) pense que "L'Union européenne est à l'agonie - pas une mort spectaculaire ni soudaine, non, mais une agonie si lente et si progressive qu'un jour prochain, nous Américains, en portant nos regards de l'autre côté de l'Atlantique, découvrirons peut-être que ce projet d'intégration européenne qui allait de soi depuis un demi-siècle a cessé d'être...."

                Vu ce que les technocrates ont fait de l'Europe, et s'il ne s'agit que de ce monstre bruxellois, qui s'en plaindrait ?

               Il ne faut cependant pas jeter le bébé avec l'eau du bain ! Il reste évidemment d'autres pistes à explorer, d'autres Europes possibles et souhaitables....

                Pour lire l'article dans son intégralité :

    http://www.medias-france-libre.fr/index.php/chroniques/8-infomations-diverses/753-lerosion-de-lideal-europeen-est-preoccupante-meme-pour-les-etats-unis-.html

    CharlesKupchanL.jpg

  • Retour sur la descente d'un Mirage 2000 en Bosnie, ou : nos excellents amis, les Etatsuniens.....

                Sur France info, ce mercredi 18 août, dans leur rubrique Le vrai du faux, Matthieu Aron et Franck Cognard livrent une excellente chronique de ce qui s'est réellement passé en Serbie, lors des bombardements de ce pays par l'Otan, en 1995.

                Notre gouvernement nous avait embringué dans cette affaire, nous mettant ainsi à la solde des États-Unis, dans un conflit qui ne nous concernait pas directement. et pour bombarder un peuple européen, qui avait été plusieurs fois notre allié.

                On va voir, avec cette chronique de France info, que les Etats-Unis nous ont - commercialement - récompensés d'une drôle de façon. Amis militaires, mais ennemis commerciaux; loyaux au combats, mais déloyaux aux contrats, ils étaient, en fait, en coo-pétition avec nous pour les ventes d'armes (en l'occurrence, Mirage 2000 contre F16)

                Le bilan de leur coup tordu se lit dans les chiffres: vente de Mirage 2000 : 601 appareils; de F16 : 4300 ! une illustration du dicton : fai de bèn a Bertrand, te lou rènd en... 

                Mais, écoutez plutôt... :

    Mirage-2000-1.jpg
    Le Mirage 2000 de Dassault Aviation (vendu à 601 exemplaires).....

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  • Débat avec nos lecteurs, ou de nos lecteurs entre eux : un courrier sur le Kososvo....

                Le samedi 24 juillet, Sébastien nous a envoyé un message pour nous demander de "...réagir à la décison de la cour de justice internationale sur la proclamation d'indépendance unilatérale du Kosovo. En effet, contre le Droit, celle ci a déclarée cette semaine, que cette indépendance n'avait violée en aucun cas le Droit international...!!! Ce qui se joue au Kosovo est gravissime pour notre avenir, pour notre culture; l'objectif de l'Europe à la solde des grands groupes côtés en bourse est la disparition des peuples traditionnels d'Europe centrale (serbes surtout) ancrés dans la chrétienté.

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  • D'accords avec... le coup de gueule de Renouvin sur la guerre en Afghanistan.....

                Le numéro 959 de "Royaliste" est paru. On y trouve -entre autres...- en pages 6/7, Un entretien avec le Prince Jean, duc de Vendôme à l'occasion de la sortie de son livre Un Prince français.

                Et aussi l'éditorial de Bertrand Renouvin, intitulé Non à la guerre d'Obama, dans lequel il écrit ceci :

                "Le président des États-Unis a décidé d’envoyer trente mille hommes supplémentaires en Afghanistan. Il s’agit de finir le travail. L’expression favorite de George W. Bush est abjecte : la guerre n’est pas un « job » comme un autre. Elle signifie que Barack Obama est dans la logique de son prédécesseur - celle de l’imbécillité meurtrière, couronnée de surcroît par l’attribution d’un prix Nobel de la Paix.

              La guerre des Américains en Afghanistan est perdue. Le constat est vieux de trois ans....Cette stratégie absurde trouve son origine dans une absurdité...

                .....La France, l’Armée française, le peuple français sont pris dans ce piège sanglant. Il ne fallait pas s’engager militairement dans ce conflit mais agir en vue d’une solution politique.

                Pour lire l'intégralité de l'édito, cliquez ici: renouvin.pdf

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  • Le curieux mélange de réalisme et d'idéologie dans les propos du Président Obama.....

                 Barak Obama a prononcé plusieurs discours ou allocutions, lors de la cérémonie de remise de son prix Nobel de la Paix, et il a également répondu à plusieurs questions de journalistes. Ce qui frappe, si l'on considère l'ensemble de ses propos, c'est un curieux mélange entre bon sens ou réalisme, d'un côté, et rêveries, utopies, nuées, idéologie(s), de l'autre....

                 Qu'a-t-il dit, en effet, à Oslo ? Il a habilement déclaré que d'autres que lui auraient été plus qualifiés pour recevoir ce prix... surprenant (opinion partagée par un très grand nombre...); et surtout que le-dit Prix venait couronner quelqu'un qui fait la guerre, et dans deux pays à la fois !

     

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  • Un point de vue sur l'Afghanistan.

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                Vous avez eu, à mon avis, mille fois raison de soulever, à partir d’un article de Libération, la question de notre engagement en Afghanistan.

                Pour moi, sans prétendre que mon point de vue doive être celui des royalistes ni même de lafautearopusseau, la réponse est claire : la bataille d’Afghanistan est perdue (elle l’était d’avance) ; elle est une aventure de plus où les Américains se sont engagés et ont inconsidérément engagé l’Occident (si ce mot a encore un sens) ; elle est, une fois de plus, une erreur politique, idéologique, militaire, et stratégique, de première ampleur. Il faut s’en dégager au plus tôt. 

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  • Intégration de la Turquie : Le sophisme de Baylet...

                En réponse aux propos de Nicolas Sarkozy, réitérant son opposition à l'entrée de la Turquie dans l'Union Européenne, Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche, a réitéré à son tour sa vieille idée (?) : l'intégration de la Turquie dans l'Union européenne est "une priorité si on souhaite que la démocratie se fortifie dans ce grand pays musulman et moderne".

     

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  • L'éditorial de Politique Magazine : Si "la crise" pouvait faire "réagir" !...

                Voici quelques lignes extraites du dernier éditorial de Politique Magazine (1), qui, à propos de la crise, revient sur le retour de ces réalités qu'on avait cru pouvoir oublier, et d'abord sur ce retour des Etats, dont certains avaient annoncé un peu vite la mort (mais c'était aux temps - déjà lointains !... - d'une euphorie aussi anésthésiante qu'insensée).

                "...Ce qui va apparaître de plus en plus –et les suites du G 20 ne feront que confirmer cette tendance-, c’est que ce sont les Etats qui, confrontés aux problèmes, tentent de les résoudre, et d’abord évidemment par et pour eux-mêmes. Et même s’ils seront amenés à essayer de cordonner leurs efforts, ils ne le feront qu’au vu de leurs capacités et de leurs intérêts.

                C’est tout simplement parce que c’est à ce niveau-là que se trouve la réponse appropriée, s’il en est une.

    (1) : http://www.politiquemagazine.fr/  (numéro 73).

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  • Barack Obama n’est pas le président du monde...

                Ouf, un peu de bon sens, dans le déluge d’hystérie collective ça fait du bien…

                Voici, dédié à ceux qui se font de douces illusions, préludes à d'amères déceptions, le salutaire rappel que l'on trouve sur le blog de Patrice de Plunkett ( http://plunkett.hautetfort.com/ ) :

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  • Obama : premiers grincement de dents chez les naïfs

                On se souvient sans peine l'hystérie grotesque et ridicule qui a saisi toute une partie de la classe politique et des commentateurs lors de l'élection d'Obama. Que n'a-t-on entendu comme inepties, jusques et y compris chez des personnes habituellement plus raisonnables.

                Président des Etats-Unis, élus par le peuple des Etats-Unis pour défendre les intérêts des Etats-Unis, où donc sont-ils tous allé chercher les niaiseries dont ils nous ont abreuvées pendant si longtemps ? Or, voilà que déjà certains commencent à déchanter, en découvrant l'eau tiède...

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  • Les naïfs, Obama et les intérêts états-uniens…

                Les naïfs ( ou les niais ? ) qui avaient chaviré dans l’hyperbole, après l’élection d’Obama vont vite déchanter. Elu pour défendre les seuls intérêts de son pays, les Etats-Unis (1), on aura très vite un aperçu de son action en suivant les développements d'une "l'affaire" très sensible : l'attribution du contrat géant des avions ravitailleurs de l'US Air Force... qui oppose Boeing et EADS.

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  • Les dirigeants de l'Union européenne vivent-ils dans une "bulle" ?...

                     Commentant des commentaires émis à propos de l'élection du président des Etats-Unis, Patrice de Plunkett livre sur son blog cette réflexion, qui nous paraît fort juste :

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