Le dossier du Point sur les Reines de France
Après l'intéressant dossier sur Les Rois de France, il y a quelques mois, Le Point en publie un second, consacré cette fois-ci aux Reines...
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Après l'intéressant dossier sur Les Rois de France, il y a quelques mois, Le Point en publie un second, consacré cette fois-ci aux Reines...
Youssef Fofana était dans le Littré, et on ne le savait pas ! Si, si, il y est. Regardez à l'article "ilote" :
"Ilote" : Celui qui est réduit, dans une société, au dernier état d'abjection ou d'ignorance."
Voilà, on sait qui est Fofana.
Merci, Littré...
On n'avait rien compris. En fait, là où, bêtement, nous pensions voir de la violence, il n'y avait que de gentils, de tendres, de tous doux rappeurs, fous d'amour pour nous.
Si, si. Qu'est-ce qu'on était stupides ! Merci à Muriel Marland-Militello, député UMP des Alpes-Maritimes et adjointe municipale à la culture d'avoir éclairé nos lanternes... et de nous avoir fait passer, comme dirait l'autre, de l'obscurité à la lumière !.....
Le commissaire à la diversité a remis 76 propositions à Nicolas Sarkozy.
Nous vous l'annoncions dans notre reportage feuilleton consacré au mariage du prince Jean et de Philoména: le Comte de Paris, Chef de la Maison de France, devait recevoir, le 18 mai 2009, la Légion d’Honneur, à titre militaire, des mains du Président Nicolas Sarkozy.
Deux reproches au père Augustin Legrand, qui semble vouloir persister à jouer au zorro, sauveur du monde.
Le premier, subjectif convenons-en: c'est quoi ces noms bizaroïdes d'associations qu'ils prennent tous maintenant, ampoulés et passablement ridicules ? Récemment, l'autre allumé de Breteau, avec sa copine non moins allumée que lui, Lellouch, appelait son organisme -qui ne faisait ni plus ni moins que de la traite des noirs...- L'Arche de Zoé. Là, Legrand appelle son truc Les enfants de Don Quichotte. Peut-être que, pour lui, la filiation est évidente avec celui qui - voyez Unamuno... - luttait pour l'Esprit. Force est de constater, cependant, que la lecture très spéciale et très réductrice qu'en fait le sieur Augustin le ramène au ras des pâquerettes (et encore, on est gentils...); et que vu sous l'angle Legrand, il ne reste pas grand-chose du héros de Cervantès, un peu comme si on avait passé à la machine un tissus très délicat genre Cachemire, programme long, 90 degrés et, pour finir, essorage 1.200 tours minute...
Le deuxième, objectif celui-là: Legrand s'affirme chrétien. Il devrait méditer le célébrissime passage de Saint Paul:
On croit rêver, mais on ne rêve pas. A quels degrés de perversion intellectuelle, de perte totale de tout sens moral faut-il être descendu pour, les uns, oser dire des choses pareilles, les autres (en l'occurence leurs avocats) les laisser dire des choses pareilles et, de fait, les y encourager ?...
Tout commence parce qu'un des accusés - un pauvre chéri qui a malgré tout, d'une façon ou d'une autre, été mêlé au massacre d'Ilan Halimi - a refusé qu'on le change de prison.
"Du point de vue le plus terrestre, du point de vue politique, ce qu'il y a d'incomparable, chez Jeanne d'Arc, c'est la justesse du coup d'oeil, le bon sens, la rectitude du jugement.
Pour sauver la France créée par ses Rois, confondue avec eux, il fallait relever la Royauté. Pour relever la Royauté, il fallait rendre confiance et prestige à l'héritier qui finissait par perdre espoir et, peut-être, douter de sa naissance même.
C'est pourquoi la première rencontre de Jeanne et de Charles VII est si émouvante. Le geste de Jeanne reconnaissant le Dauphin qui la met à l'épreuve, et tombant à ses genoux, est décisif. Le principe sauveur, la monarchie, est désigné.
A l'homme, au Roi légitime, la confiance en lui-même est rendue".
Jacques BAINVILLE, "HISTOIRE DE FRANCE".
Sous le titre Un duo funeste, voici la note de lecture qu’Yvan Blot consacre au livre de Yves-Marie Laulan sur le couple Giscard/Chirac, dans le dernier numéro (73) de Politique magazine (http://www.politiquemagazine.fr/ ).
(1) : Le couple Giscard-Chirac, deux années de plomb qui amorcent le déclin, 1974-1976, de Yves-Marie Laulan. Edition François-Xavier de Guibert, 192 pages, 18 euros.
Voici quelques lignes extraites du dernier éditorial de Politique Magazine (1), qui, à propos de la crise, revient sur le retour de ces réalités qu'on avait cru pouvoir oublier, et d'abord sur ce retour des Etats, dont certains avaient annoncé un peu vite la mort (mais c'était aux temps - déjà lointains !... - d'une euphorie aussi anésthésiante qu'insensée).
"...Ce qui va apparaître de plus en plus –et les suites du G 20 ne feront que confirmer cette tendance-, c’est que ce sont les Etats qui, confrontés aux problèmes, tentent de les résoudre, et d’abord évidemment par et pour eux-mêmes. Et même s’ils seront amenés à essayer de cordonner leurs efforts, ils ne le feront qu’au vu de leurs capacités et de leurs intérêts.
C’est tout simplement parce que c’est à ce niveau-là que se trouve la réponse appropriée, s’il en est une.
(1) : http://www.politiquemagazine.fr/ (numéro 73).
Il y avait longtemps qu'on ne l'avait plus vu: les dirigeants de la CGT, de FO et de la CFDT sont ensemble aujourd'hui. Aldo les a croqué pour vous...
Ca commence bien ! Le procès du "gang des barbares" (27 jeunes accusés...) s'est ouvert mercredi 28 avril devant la cour d'assises des mineurs de Paris, et leur chef présumé, Youssouf Fofana, a d'emblée défié les juges...
La douleur des gens, cela se respecte. Nous ne sommes pas des charognards, et ne désirons pas profiter de quoi que ce soit pour appuyer ou défendre nos thèses. Si nous citons donc, sans la commenter, une phrase de la mère d'Ilan Halimi, en réponse à la question d'un journaliste, ce n'est pas pour l'exploiter, mais parce que, à sa façon, elle fait réfléchir; et qu'il semble qu'elle devrait interpeller quelque part, comme on dit dans le jargon...
-Qu'est-ce que nous dit cette affaire de la société dans laquelle on vit ?
-Il y a vingt ans, cette histoire n'aurait pas pu avoir lieu. Il y avait une union sacrée des minorités. Ou alors elle aurait entraîné un million de gens dans la rue. C'est l'échec de la République.
Le projet Hadopi (1) traîne en longueur et tourne au mauvais feuilleton. Mais, au milieu des interminables enlisements qu'il connaît, on aura eu droit malgré tout à quelques moments réjouisssants, qui ont quelque peu dissipé l'ennui mortel qui s'attache à ce projet de loi.
On a ainsi, par exemple, joué l'arroseur arrosé, le 19 mars, à l'Assemblée Nationale, lorsque Christine Albanel a "choqué" le PS (mon Dieu !) et qu'un député -toujours du PS- s'est même déclaré "bouleversé" : le pauvre homme, comme dirait Molière.....