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Actualité France - Page 440

  • Neuf députés contre Yazid Sabeg

                Nous nous sommes déjà élevés ici même contre les propos scandaleux de Yazid Sabeg, 58 ans, d’origine algérienne, qui a été nommé au gouvernement en tant que commissaire à la diversité et à l'égalité des chances, pour mettre en oeuvre un plan de promotion sociale des minorités.

                Du genre "La France est sur la voie de "l'apartheid", ou "Il suffit de regarder la couleur de nos assemblées et de nos entreprises pour voir l'ampleur du problème: c'est d'une pâleur, d'une blancheur et c'est pas très frais d'ailleurs !"

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  • Simplement scandaleux, Duhamel ?

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    Le jour où les sots voleront, c'est sûr: il sera chef d'escadrille, ou même ministre de l'Air !...

    Variante : quand on mettra les sots sur orbite, il ne s'arrêtera pas de tourner !...

               Ce lundi 21 décembre, Patrice de Plunkett ouvre son blog sur un coup de gueule -justifié- contre la stupéfiante énormité qu'a osé proférer Alain Duhamel. Celui-ci, en effet, vient de se disqualifier lui-même en rapprochant et comparant, d'une façon évidemment outrancière, Benoît XVI et... Papon ! Qu'il ne vienne pas s'étonner après, Duhamel, si l'outrance de son propos suscite des réactions à la hauteur du scandale qu'il provoque... :

                "Scandaleuse affirmation d'Alain Duhamel sur Pie XII - Le journaliste montre son ignorance de l'état de la question. Personne ne s'est autant trompé que le libéral Alain Duhamel, célèbre pour avoir déclaré "absurde" de redouter l'impact de la financiarisation sur l'économie réelle. Au lieu de se retirer de la vie publique en 2008 sous la honte (devant la crise financière qui sape effectivement l'économie réelle), M. Duhamel reste. Et parle. Sans cesse. Ce qui nous vaut cette chose démente proférée par lui à France 2 aujourd'hui : "Si Benoît XVI, effectivement, va jusqu'au bout de sa démarche, c'est à dire commencer à béatifier Pie XII, moi je lui suggère de ne pas oublier Papon [...] parce que c'est la même logique." M. Duhamel est donc aussi pertinent en histoire contemporaine qu'en analyse économique...."

                On ne peut que partager l'indignation de Plunkett, et le sentiment de révolte et d'écoeurement que provoquent ces propos effectivement scandaleux, chez toute personne un tant soit peu honnête et un tant soit peu au courant de l'Histoire vraie. Une Histoire vraie que monsieur Duhamel, du haut de sa superbe, ignore superbement, parce que c'est un inculte, un ignare et un sot. Qui plus est, un sot qui est bas de plafond, mais vraiment très bas, très, très bas..

                Plunkett a bien choisi ses deux adjectifs pour qualifier ce pitoyable et nullissime personnage: à côté de "dément" il emploie "ignorant". "Ignorantus, ignoranta, ignorantum" - disait ce cher Molière : ignorantum, qu'il faut évidemment bien prononcer, ici, ignorant-t-homme !... 

  • Les terreurs de Marianne à propos de l'affaire (!) des minarets, et le bon sens de Chantal Delsol sur la même "affaire"...

                "Terribles", vraiment, les conséquences du vote suisse ? A quels sommets de cinglerie ne ménera pas la schyzophrénie en vase clos de certains, Marianne en l'occurrence !

                Perdant tout sens de la mesure, et tout sens du ridicule, Marianne donne ainsi ce ton apocalyptique à sa Une. Tous aux abris !

                Face à cette déferlante de niaiseries en tous genres, il est bon que certains aient pris leur plume pour recadrer le débat...

    Chantal Delsol nous offre ainsi dans Le Figaro du 3 décembre ce texte pertinent, qui est une sorte de réponse au(x) délire(s) et aux peurs (feintes ?) de Marianne; et qui est aussi une savoureuse remise des pendules à l'heure :

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  • Aux Mercredis de la Nar, ce 16 décembre, L'antisémitisme à gauche...

                Directeur de recherches au CNRS, Michel DREYFUS est historien du mouvement ouvrier, auteur d’ouvrages sur le syndicalisme, les Assurances sociales et le communisme. Il viendra présenter mercredi (1) le dernier ouvrage qu’il a publié, sur l' « Antisémitisme à gauche » qui n’est pas le fait de quelques déviants mais qui est d’ordinaire peu évoqué.

                Michel Dreyfus y montre que toutes les composantes de la gauche ont tenu des discours antisémites – soit pour dénoncer le « capitalisme juif », soit pour fustiger sur un mode raciste des ennemis de la nation. Aussi violent que celui des nationalistes, l’antisémitisme de gauche s’estompe après l’affaire Dreyfus mais on le retrouve dans le pacifisme de l’entre-deux-guerres puis à l’ultra-gauche à la fin du siècle dernier...

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  • Idéologue, tricheur et, maintenant, menteur...

                Même en sport, l'idéologie ça ne marche pas, et ça produit des fruits pourris...
     
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    Équipe de France ?
    Idéologie, triche, sur fond de beaucoup de fric pour les compères
    (entraîneur compris, évidemment).
    On est bien loin du sport, du vrai...

                On connait le mot si cruel et si juste de Talleyrand "il ne lui manquait plus que ce vice-là"....

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  • Pourquoi il est vain de croire à une véritable reprise, par Jean-Michel Quatrepoint

                Journaliste, Jean-Michel QUATREPOINT a travaillé au Monde pendant onze ans, puis dirigé les rédactions de l’Agefi, de La Tribune et du Nouvel Économiste avant d’animer, quinze années durant, la Lettre A. Il a donc observé et commenté la vie économique à des postes de premier plan et sa longue expérience lui a permis de publier un premier livre qui annonçait en 2008 la Crise globale - ce qui lui a valu le Prix de l’excellence économique.

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  • Au coeur de l'actualité la plus immédiate, "Démocratie directe", le site d'Yvan Blot

                Il n'a pas encore eu le temps d'écrire sur les minarets, mais son site vaut d'ores et déjà le détour :

                www.democratiedirecte.fr

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                Voici un court extrait de l'éditorial du 23 septembre d'Yvan Blot: Editorial : L’heure de la démocratie directe a sonné !

                "...D’après une étude suisse récente, « les effets de la démocratie directe : que dit la science économique moderne » des professeurs Lars Feld  et Gebhard Kirchgässner, reproduite sur le présent site, les pays qui connaissent le référendum d’initiative populaire ont des impôts 30%  plus faibles, des dépenses publiques 30%  plus faibles et un endettement 50%  plus faible que les pays à démocratie purement représentative. Le tissu économique des petites et moyennes entreprises y est particulièrement vigoureux, comme on le voit en Suisse, en Allemagne ou en Italie du Nord.

                La démocratie directe comporte un frein et un moteur. Le frein, c’est le référendum déclenché par une pétition de citoyens contre une loi que vient de voter le parlement. C’est un instrument efficace contre les augmentations abusives d’impôts ou de dépenses publiques. En effet, dans les régimes parlementaires modernes, le parlement adopte toujours les projets du gouvernement, conçus essentiellement par les technocrates de l’administration. Il faut donc un autre moyen de contrôle pour les citoyens, c’est le référendum veto ! Le moteur, c’est l’initiative populaire : une pétition déclenche, si elle atteint suffisamment de signatures (100 000 en Suisse au niveau fédéral), un référendum sur un sujet que le gouvernement et le parlement n’osent pas aborder ! En Suisse, l’immigration, la lutte contre la drogue, la durée du travail sont des sujets fréquents (le peuple a refusé la semaine de 35h !)...

  • Il a choisi son camp...

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    On le savait, mais il doit vouloir que ce soit encore plus officiel...
    Ou : quand les rats quittent le navire...
     
     
     
     
                Qui expliquera à Franck Ribery qu'un terrain de football n'est pas une mosquée ? Lui qui s’affiche devant des dizaines de milliers de personnes en faisant ses prières sur les terrains de Foot. On appellerait cela  "provocation" pour n'importe quelle religion, sauf - comme par hasard… - pour la musulmane...

                Voici -pour accompagner en quelque sorte cette photo- l'excellent article de Pierre Cassen, publié sur le site de Riposte Laïque :
     
     

  • Domenech règle ses comptes ? Ou, il "fait" ses comptes ?...

                Le fil AOL du vendredi 27 novembre publie la photo suivante de Domenech, legendée: Domenech règle ses comptes.

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                Il règle ses comptes, ou il les fait ? Car, dans l'article accompagnant la photo et le titre, AOL nous confirme qu'il a empoché 862.000 euros (source : France Football), grâce à la qualification frauduleuse et pitoyable de "son" équipe de France (?), qualification minable dûe à la triche de Thierry Henry. Une triche assumée et par le joueur (joueur, vraiment ?) et par l'entraîneur: pensez, c'est la faute de l'arbitre, il avait qu'à voir !

                A la réflexion, on comprend que Domenech défende son joueur, et qu'il attaque hargneusement ceux qui l'ont critiqué. En faisant cela, il défend son portefeuille ! 

                C’est plus Touche pas à Henry, c’est Touche pas à mon steak !

  • Dites-le franchement, Kouchner, que vous n'êtes pas - ou plus - démocrate !...

                Oui, Kouchner, faites donc votre coming out comme on dit chez Act'Up, et vous verrez que vous vous sentirez mieux !

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                   Ainsi donc, dès lundi matin, vous avez tenu à faire savoir urbi et orbi que vous étiez "un peu scandalisé" par le libre choix démocratique d'une majorité très franche de Suisses (57,5 % !).
     
                   Il n'y avait donc rien de plus pressé, et vous n'aviez donc rien de plus urgent à faire que de juger -et condamner sans appel- nos amis et voisins suisses ?
     

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  • Prix orange et prix citron...

    le prix orange: à Eric Nolleau, pour la volée de bois vert qu'il a envoyé à BHL, lequel ne l'a pas volée !

                "La monnaie était jadis indexée sur l’or. Quel est l’étalon d’or pour les oeuvres de culture ? Les médias, la présence médiatieric-naulleau.jpgque ! Prenez Bernard-Henri Lévy, toute polémique mise à part. Son oeuvre ne m’inspire aucun respect. Voilà quelqu’un qui, depuis trente ans, est appelé philosophe sans avoir produit une seule ligne de philosophie, au sens strict du mot. Qu’est-ce, sinon l’indexation sur autre chose ? C’est parti de la fameuse émission de Pivot sur les nouveaux philosophes. Depuis, il est le « Philosophe ». Il a un avis sur tout. Ça n’existe nulle part au monde quelqu’un qui a un avis sur tout, sauf en France. On appelle cela par chez nous un intellectuel médiatique. L’indexation se fait uniquement sur les apparitions médiatiques, avec derrière un réseau redoutable, parce quand il sort un livre, ce n’est plus de la promo, c’est une sorte de rouleau compresseur. La quinzaine BHL…

                Je ne nie à personne le droit d’écrire un livre. Je demande seulement à ce qu’on ne me le présente pas comme un chef-d’oeuvre, si cela n’en est pas un, peu importe qu’il soit signé BHL ou Francis Lalanne. Ils ont parfaitement le droit d’écrire. Je lis dans Le Nouvel Observateur la contribution de BHL sur la crise de la gauche, où il nous explique qu’être de gauche, c’est être dreyfusard et anticolonialiste. À ce compte-là, le candidat de gauche va être élu au premier tour en 2012. Apparemment, il vit dans un monde déconnecté."

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  • D'accords avec... le coup de gueule de Plunkett contre l'ignorance médiatique devenue folle...

                On va, pour une fois intervertir les choses et commencer par la fin, en finissant par ce qu'on trouvait au début...

                ( http://plunkett.hautetfort.com/ )

                Avant de retranscrire ci-après l'intégralité du billet/coup de gueule contre une journaliste aussi ignorante que désinvolte (quand on sait pas, on parle pas....), voici d'abord, dans une réponse de PP à un commentaire qui suit ce billet, cette autre petite perle :

                  De PP à PCF - A l'émission de Stéphane Paoli sur le "débat" de l'identité nationale, hier samedi matin, (samedi 14 novembre, ndlr) l'historien Nicolas Offenstadt a eu ce mot inattendu : "Définir la nation par 'les valeurs de la République', ça voudrait dire que les monarchistes ne seraient plus considérés comme des Français." Il a raison : le vice est de donner de la nation une définition idéologique. Voire une définition tout court... On ne peut pas "définir" un être vivant. Donc le débat Besson est absurde, quoi qu'en disent les zélateurs.

                  Et maintenant, place au coup de gueule, justifié...

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  • La "punition/récompense" du prof désobeisseur

                 Erwan Redon, enseignant désobéisseur (!), a finalement été muté d'office. La sanction est arrivée vendredi 25 septembre, par huissier, à l'école du quartier Belsunce à Marseille où l'enseignant avait repris du service à la rentrée.

                 On notera cependant que, même si une retenue de salaire de 32 jours lui a été infligée, l'enseignant (?) a été muté dans le 9ème arrondissement, nettement plus chic, plus vert, plus sympa -quoi, il faut bien parler français !- que son très populaire 1er arrondissement, à la population très largement plus difficile. Il quitte un environnement type ZEP pour la proximité immédiate de Luminy et des calanques. Combien de jeunes professeurs, après leur succès au Capes ou à l'Agrégation, auraient rêvé à une "punition" pareille, eux qui ont été envoyés à l'autre bout de la France, et arrachés, sans ménagement ni compensation(s), à leur cadre de vie habituel ? 

     

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  • Même affublée d’un Goncourt, un(e) insignifiant(e) reste un(e) insignifiant(e)…

                On ne compte plus les talents privés d’honneur et de reconnaissance officielle -que ce soit l’Académie française ou les prix littéraires- alors qu’à l’inverse, de nombreux fantômes ont été reconnus, soit par leur élection à l’Académie soit par tel ou tel prix, avant de (re)devenir ce qu’ils ou elles sont, pour l’éternité : d’illustres inconnu(e)s.

                Aujourd’hui, les radios et les journaux (du moins certaines et certains) bruissent des déclarations venimeuses d’une certaine Marie Ndiaye, qui trouve « monstrueuse » la France de Sarkozy et qui a donc préféré partir vivre à Berlin (1).

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    Peut-on savoir pourquoi cette dame se croit autorisée à tenir des propos xénophobes ?
    Pense-t-elle qu'elle a plus de droits que les autres ?

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  • Prix orange et prix citron...

    Le prix orange : à Roman Bernard, qui a posé "la" bonne question ("les" bonnes questions...) dans le toujours excellent blog Sos éducation ( http://www.soseducation.com/ ), à propos du succès d'Acadomia, fruit et conséquence directe du désastre de l'Education:

            roman bernard.jpg                                           Bachelier ou remboursé » d’Acadomia : un symptôme de la crise de l’école

              Le ministre de l’Éducation nationale, Luc Chatel, s’est dit choqué que la société de soutien scolaire Acadomia propose désormais une formule « satisfait ou remboursé » aux candidats au baccalauréat. En chœur, pour une fois, avec le ministre, les syndicats d’enseignants ont également dénoncé cette offre d’Acadomia, y fustigeant avec emphase une « marchandisation » insidieuse de l’éducation.

               Le leader français du soutien scolaire à domicile s’engage en effet à rembourser les 1770 euros de sa préparation au baccalauréat si l’élève ne l’obtient pas. À condition qu’il respecte ses engagements, comme celui, évidemment, de participer aux épreuves. Pour le reste, les conditions sont vagues…

                Acadomia prend de toute façon peu de risques : le taux de réussite au baccalauréat est désormais de 86 %, ce qui fait 14 % de chances de devoir rembourser la formation, rentabilisée par les autres. Sur les 100 000 élèves ayant chaque année recours au soutien d’Acadomia, 20 000 sont candidats au baccalauréat.

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