Il a choisi son camp...
Voici -pour accompagner en quelque sorte cette photo- l'excellent article de Pierre Cassen, publié sur le site de Riposte Laïque :
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le fil AOL du vendredi 27 novembre publie la photo suivante de Domenech, legendée: Domenech règle ses comptes.
Il règle ses comptes, ou il les fait ? Car, dans l'article accompagnant la photo et le titre, AOL nous confirme qu'il a empoché 862.000 euros (source : France Football), grâce à la qualification frauduleuse et pitoyable de "son" équipe de France (?), qualification minable dûe à la triche de Thierry Henry. Une triche assumée et par le joueur (joueur, vraiment ?) et par l'entraîneur: pensez, c'est la faute de l'arbitre, il avait qu'à voir !
A la réflexion, on comprend que Domenech défende son joueur, et qu'il attaque hargneusement ceux qui l'ont critiqué. En faisant cela, il défend son portefeuille !
C’est plus Touche pas à Henry, c’est Touche pas à mon steak !
Oui, Kouchner, faites donc votre coming out comme on dit chez Act'Up, et vous verrez que vous vous sentirez mieux !
le prix orange: à Eric Nolleau, pour la volée de bois vert qu'il a envoyé à BHL, lequel ne l'a pas volée !
"La monnaie était jadis indexée sur l’or. Quel est l’étalon d’or pour les oeuvres de culture ? Les médias, la présence médiatique ! Prenez Bernard-Henri Lévy, toute polémique mise à part. Son oeuvre ne m’inspire aucun respect. Voilà quelqu’un qui, depuis trente ans, est appelé philosophe sans avoir produit une seule ligne de philosophie, au sens strict du mot. Qu’est-ce, sinon l’indexation sur autre chose ? C’est parti de la fameuse émission de Pivot sur les nouveaux philosophes. Depuis, il est le « Philosophe ». Il a un avis sur tout. Ça n’existe nulle part au monde quelqu’un qui a un avis sur tout, sauf en France. On appelle cela par chez nous un intellectuel médiatique. L’indexation se fait uniquement sur les apparitions médiatiques, avec derrière un réseau redoutable, parce quand il sort un livre, ce n’est plus de la promo, c’est une sorte de rouleau compresseur. La quinzaine BHL…
Je ne nie à personne le droit d’écrire un livre. Je demande seulement à ce qu’on ne me le présente pas comme un chef-d’oeuvre, si cela n’en est pas un, peu importe qu’il soit signé BHL ou Francis Lalanne. Ils ont parfaitement le droit d’écrire. Je lis dans Le Nouvel Observateur la contribution de BHL sur la crise de la gauche, où il nous explique qu’être de gauche, c’est être dreyfusard et anticolonialiste. À ce compte-là, le candidat de gauche va être élu au premier tour en 2012. Apparemment, il vit dans un monde déconnecté."
On va, pour une fois intervertir les choses et commencer par la fin, en finissant par ce qu'on trouvait au début...
( http://plunkett.hautetfort.com/ )
Avant de retranscrire ci-après l'intégralité du billet/coup de gueule contre une journaliste aussi ignorante que désinvolte (quand on sait pas, on parle pas....), voici d'abord, dans une réponse de PP à un commentaire qui suit ce billet, cette autre petite perle :
De PP à PCF - A l'émission de Stéphane Paoli sur le "débat" de l'identité nationale, hier samedi matin, (samedi 14 novembre, ndlr) l'historien Nicolas Offenstadt a eu ce mot inattendu : "Définir la nation par 'les valeurs de la République', ça voudrait dire que les monarchistes ne seraient plus considérés comme des Français." Il a raison : le vice est de donner de la nation une définition idéologique. Voire une définition tout court... On ne peut pas "définir" un être vivant. Donc le débat Besson est absurde, quoi qu'en disent les zélateurs.
Et maintenant, place au coup de gueule, justifié...
Erwan Redon, enseignant désobéisseur (!), a finalement été muté d'office. La sanction est arrivée vendredi 25 septembre, par huissier, à l'école du quartier Belsunce à Marseille où l'enseignant avait repris du service à la rentrée.
On notera cependant que, même si une retenue de salaire de 32 jours lui a été infligée, l'enseignant (?) a été muté dans le 9ème arrondissement, nettement plus chic, plus vert, plus sympa -quoi, il faut bien parler français !- que son très populaire 1er arrondissement, à la population très largement plus difficile. Il quitte un environnement type ZEP pour la proximité immédiate de Luminy et des calanques. Combien de jeunes professeurs, après leur succès au Capes ou à l'Agrégation, auraient rêvé à une "punition" pareille, eux qui ont été envoyés à l'autre bout de la France, et arrachés, sans ménagement ni compensation(s), à leur cadre de vie habituel ?
On ne compte plus les talents privés d’honneur et de reconnaissance officielle -que ce soit l’Académie française ou les prix littéraires- alors qu’à l’inverse, de nombreux fantômes ont été reconnus, soit par leur élection à l’Académie soit par tel ou tel prix, avant de (re)devenir ce qu’ils ou elles sont, pour l’éternité : d’illustres inconnu(e)s.
Aujourd’hui, les radios et les journaux (du moins certaines et certains) bruissent des déclarations venimeuses d’une certaine Marie Ndiaye, qui trouve « monstrueuse » la France de Sarkozy et qui a donc préféré partir vivre à Berlin (1).
Le prix orange : à Roman Bernard, qui a posé "la" bonne question ("les" bonnes questions...) dans le toujours excellent blog Sos éducation ( http://www.soseducation.com/ ), à propos du succès d'Acadomia, fruit et conséquence directe du désastre de l'Education:
Bachelier ou remboursé » d’Acadomia : un symptôme de la crise de l’école
Le ministre de l’Éducation nationale, Luc Chatel, s’est dit choqué que la société de soutien scolaire Acadomia propose désormais une formule « satisfait ou remboursé » aux candidats au baccalauréat. En chœur, pour une fois, avec le ministre, les syndicats d’enseignants ont également dénoncé cette offre d’Acadomia, y fustigeant avec emphase une « marchandisation » insidieuse de l’éducation.
Le leader français du soutien scolaire à domicile s’engage en effet à rembourser les 1770 euros de sa préparation au baccalauréat si l’élève ne l’obtient pas. À condition qu’il respecte ses engagements, comme celui, évidemment, de participer aux épreuves. Pour le reste, les conditions sont vagues…
Acadomia prend de toute façon peu de risques : le taux de réussite au baccalauréat est désormais de 86 %, ce qui fait 14 % de chances de devoir rembourser la formation, rentabilisée par les autres. Sur les 100 000 élèves ayant chaque année recours au soutien d’Acadomia, 20 000 sont candidats au baccalauréat.
le prix orange: à Yvan Rioufol, pour son analyse de l' "affaire Hortefeux", sur laquelle nous nous rejoignons complètement:
"Si Hortefeux a eu tort, au-delà de son éventuelle blague pataude, c'est de n'avoir su résister aux coupeurs de tête. C'est à eux qu'il avait offert, il y a peu, celle du préfet Paul Girot de Langlade. Alors que ce dernier jurait n'avoir rien dit d'offensant à propos d'une broutille, le ministre avait voulu croire, sans preuve, la parole des accusateurs. Cette faiblesse devant des intimidations n'a pas fini de le poursuivre....
Mais une question se pose : pourquoi craindre encore cet antiracisme falsifié et instrumentalisé au profit de minorités ? Au-delà de la déplorable réflexion de bistrot prêtée au ministre, il devrait être légitime de débattre des évidentes difficultés à intégrer non plus des individus, mais des communautés qui veulent conserver leur mode de vie et leur culture. Les interdits sont tels qu'ils empêchent la droite d'aborder ces enjeux autrement qu'en récitant, avec Besson : "La France est une terre d'immigration et de métissage."
le prix citron : à Jean-François Copé, pour son interview du Monde dans laquelle il estime que "la Nation se fissure en silence parce qu'il n'y a pas de discours sur l'identité". Ce ne serait pas, plutôt, parce ce que, depuis son installation, la République idéologique qui nous gouverne mène une guerre incessante contre nos Racines historiques, et promeut inlassablement tout ce qui défait la société traditionnelle que nous avions héritée de l'Histoire ?
Impayable -et imperturbable- Copé poursuit, avec la même inconscience, ou la même inculture (on ne sait pas...): "Il faut que l'on positive le fait d'être une population aussi diverse que l'est devenue la nôtre, qu'on le vive comme une chance." Il oublie juste de dire que cette évolution est imposée au peuple français, qui ne l'a jamais demandée, et qu'elle est donc très loin d'être une évolution normale, naturelle: elle est le fruit d'un calcul idéologique visant, justement, à dissoudre ce qui persiste encore, deux siècles après la Révolution, à ne pas entrer dans le moule des nuées des grands ancêtres. Si c'est une chance, "ça" !...
Enfin, cerise sur le gâteau: "Que l'on arrête de vouloir faire croire à nos enfants que nos ancêtres étaient tous des Gaulois". Mais, à part les manuels scolaires de Jules Ferry et de la République idéologique, qui a dit une chose pareille ? Copé confond tout (volontairement, ou par ignorance ?....) et fait exprès de ne pas comprendre. Quel rapport entre un Clovis et ses Francs qui, certes étrangers au départ, viennent chez nous pour oublier leur langue, et prendre la nôtre; oublier leur religion, et prendre la nôtre; oublier leurs moeurs et coutumes et prendre les nôtres. Quel rapport, donc, entre ces "étrangers" là, et ceux d'aujourd'hui, qui viennent chez nous en branchant leurs antennes paraboliques sur Alger, ou sur n'importe quelle ville d'Afrique, en conservant langue, religion et moeurs incompatibles avec les nôtres (polygamie, excision, charia...) et professent ouvertement leur mépris et leur haine de ce que nous sommes, ainsi que leur volonté de nous assimiler à eux ?
Pauvre Copé !....
Ou : faudra-t-il proposer Julien Dray pour le Concours Lépine ? Question illusionnisme et prestidigitation, il a le chic - c'est vrai, reconnaissons-le tout de même, qu'il n'est pas le seul, et on va le voir... - pour faire surgir des subventions, du côté de la Fidl et de SOS-Racisme, aussi vite disparues qu'arrivées.
Disparues où ?
C'est ce que Manuel Aeschlimann, député UMP des Hauts-de-Seine aimerait bien savoir...
Nous avons déjà évoqué l'intéressant entretien qu'a mené Jean Sévillia avec Sylvain Gouguenheim, dans Le Figaro Magazine du 12 septembre.
Que dire de tout cela ? Sinon que les hommes politiques - Hortefeux aujourd'hui, mais n'importe qui demain... - ont bien cherché ce qui arrive là...
A la fois par faiblesse et par connivence idéologique, le Système a un peu inventé, un peu laissé faire tous ceux qui, à gauche et à l'extrême-gauche, ont vu tout le parti qu'ils pouvaient tirer de la tartufferie érigée en système, et qui s'en sont fait un fort lucratif fond de commerce. Résultat, on a maintenant, en France, une énorme usine à gaz, véritable police de la pensée, qui fait régner sa terreur intellectuelle en s'appuyant sur des lois, règlements, organismes et associations que les gouvernants - droite et gauche confondues - ont eux-même créées, subventionnées, encouragées...
Le jour où ils en auront marre de se prendre les pieds dans un tapis qu'ils ont eux même déroulé, ils savent ce qu'is auront à faire. Supprimer ces lois scélérates, cesser toutes subvention aux associations qui font régner le-dit terrorisme intellectuel, et les dissoudre.
Et méditer le dicton si juste: Poignez vilain, il vous oindra. Oignez vilain, il vous poindra !
A Yvan Rioufol, pour ce passage de son Blog ( du 28 Août ) :
"...Il faut écouter les Affreux : Bernard Debré, quand il parle de la grippe A comme d'une "grippette", ou Marc Gentilini, qui estime que le poids attribué à la pandémie est une "indécence" ; Claude Allègre, qui juge "catastrophique" la taxe carbone "inutile climatiquement, injuste socialement, nuisible économiquement "; André Gerin, qui trouve "ridicule" le chiffre de 367 burqas comptabilisées en France par l'Intérieur. Ce qu'ils disent a le mérite de laisser passer un peu d'air.
Encore une journaliste qui confond utilisation normale du micro -pour faire son métier- et utilisation abusive du micro - pour faire passer ses idées personnelles avant son métier de journaliste et avant le respect des auditeurs -.
Mélissa Theuriau a dérapé en direct sur Zone interdite, le dimanche 30 août, alors qu'elle recevait Brice Hortefeux, Ministre de l'Intérieur...