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brezet

  • Désigné partout, par tous : Charles Maurras, "homme de la semaine"...

    MAURRAS 12.jpg        Après la déclaration ahurissante de NKM, tout le monde en a parlé, ou presque, d'Alexis Brézet dans Le Figaro Magazine jusqu'à Patrice Bertin sur France info : l'évocation de Charles Maurras a bien mis en émoi l'ensemble de la classe politique et médiatique française pendant une bonne semaine, et c'est tant mieux.

           Non parce que tous les propos tenus à cette occasion auraient été exempts d'inexactitudes ou de simples sottises, mais parce que, à côté d'indéniables caricatures, certaines choses très correctes ont été dites; et aussi parce qu'il est bon - surtout en cette année du soixantième anniversaire de sa mort, en 1952 (1) - que Maurras soit évoqué, lui qui a eu raison, pour ne s'en tenir qu'à ces deux points majeurs, sur la Nation et l'Âge de fer que nous subissons, dû à la prise du pouvoir par l'Argent, dû à l'Argent partout.....

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  • "Monsieur Tiers" : le meilleur surnom pour le président...

    Du "Capitaine de pédalo" à "Flanby", en passant par le "Hollande président, on rêve !.." de Fabius, et d'autres encore... les surnoms peu flatteurs n'ont pas manqué à "François"...

    "Monsieur Tiers" sera, de toutes façons, plus "politique", et plus vrai : car, comme le rappelle Alexis Brézet (dans Le Figaro magazine du 22 juin) "52% des sièges, c'est beaucoup; mais quand se lève la tempête, 16,5 des inscrits (29% des suffrages exprimés pour le PS au premier tour) c'est fort peu...

    Encore Alexis Brézet ne parle-t-il pas des 9 à 10% de non-inscrits sur les listes électorales, c'est-à-dire, tout de même entre 4 millions et 4 millions et demi de Français...

    Parfaitement légales, les élections telles qu'elles se déroulent depuis longtemps maintenant confient le pouvoir à des gens qui représentent vraiment trop peu de citoyens : la "légitimité" de cette légalité décroît d'autant...

    Et voilà comment notre Président - par-delà les basses jalousies polémiques, et pour s'en tenir à du "politique"... - est "Monsieur Tiers"...

  • Prix orange et prix citron.....

    le prix orange: à Alexis Brezet, pour son édito du 13 février, dans Le Figaro Magazine. D'abord, parce qu'il y redit certaines évidences qu'on ne redira jamais assez, face à la désinformation organisée des tenants de l'immigrationnisme à tout crin: "...Depuis quarante ans, la France est confrontée à la plus forte vague de peuplement de toute son histoire. On peut fort bien soutenir que l'immigration est uneALEXIS BREZET.jpg chance pour la France, qui s'enrichit de la "diversité". On peut, à l'inverse, estimer que cet afflux de populations extra-européennes fait courir un danger à nos principes, notre culture et notre mode de vie. Mais comment prétendre qu'un phénomène aussi massif ne changerait rien à notre identité ?..." 

                           Ou: "...Et l'on nous parle d'islamophobie ! Mais, au vrai, quand Jamel Debbouze dénonce le "racisme" des antiburqa, quand des militants de SOS Racisme, béret sur la tête et baguette sous le bras, manifestent devant Matignon, de quel côté est la stigmatisation ?

                          Mais, surtout, parce que Brezet -bien plus que ces rappels d'évidences, aussi utiles soient-ils- va à l'essentiel et tire vers le haut: il cite Simone Weil : "Le remède, il n'y en a qu'un: donner aux Français quelque chose à aimer. Et leur donner d'abord à aimer la France..."

                                                     Là, tout est dit.....

    le prix citron: à Martine Aubry, pour sa déclaration sur la Réunion, où serait le bonheur du vivre ensemble, la joie de vivre dans cette France métisse, qui serait la France qu'on aime... et gna...gna....gna....

                martine aubry.jpg                                Ce n'est évidemment pas la première fois que Martine Aubry se fait le chantre de cette manipulation idéologique, qui vise à bourrer le crâne des gens, en leur inoculant quotidiennement (et cela va de l’explicite au subliminal…) l’idée selon laquelle le fin du fin, c’est le métissage et que, de toutes façons, le métissage est l’avenir de l’Humanité. Surfant sur l'imprécision des termes, et le flou des idées qui en découle, elle feint de ne pas savoir qu'en réalité il n’est pas toujours facile d’être métis. S’il y a bien évidemment des métis heureux, on a aussi des tas d’exemples de personnes prises entre deux cultures, souffrant de ne pas trop savoir qui elles sont, et finalement rejetées -ou non intégrées...- des deux côtés.

                     Mais surtout, elle va contre le bon sens le plus élémentaire, qui est de laisser les choses évoluer normalement, loin de toute idéologie et d’arrière-pensées, en l'occurrence politiques. Ce qui se passe à la Réunion -ou encore plus au Brésil- est-il exportable tel quel en France métropolitaine ? Doit-on, et peut-on, le proposer comme modèle, sans retenue aucune ? Si le métissage a réussi, dans certaines zones de l'hémisphère sud -et, encore une fois, il faudrait bien s'entendre sur les termes...- c’est parce qu’il s’est agi d’un phénomène naturel, librement souhaité et vécu par une population non conditionnée. Qu'il ne s'agissait pas d'une sorte de mode artificiellement créée. Et qu'à côté de personnes métissées, il y en a tout autant -reprenons l'exemple du Brésil...- qui ont fait le choix de ne pas être métissées.....

                          Rien à voir donc avec cette machine de guerre contre la diversité française vraie, dont Martine Aubry a fait l'un de ses chevaux de bataille.....

  • Vertus militaires...

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               Alexis Brezet a trouvé des mots très justes pour saluer la haute qualité morale du général Cuche , qui a immédiatement démissionné, après le drame de Carcassonne (1) .

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  • Quand Alexis Brezet tire les vraies leçons du mariage annulé de Lille.....

              Voici un extrait de l'éditorial lucide et très pertinent qu'Alexis Brezet a consacré à l' "affaire" du mariage annulé de Lille, dans Le Figaro Magazine du 7 juin.   

              On ne peut qu'approuver cette saine colère, guidée par une fine analyse politique. On ne peut qu'être d'accord avec l'éditiorialiste lorsqu'il appelle un chat un chat,  et lorsqu'il expose, à son tour, le mécanisme de pénétration de notre Société -en vue de son asservissement- par les tenants d'un certain Islam, "radical et conquérant". On ne peut qu'être d'accord aussi avec lui quand il signale, à son tour, l'imminence du danger et l'étendue du mal; ainsi que les alliés objectifs de ce danger.....

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