Éphéméride du 9 juillet
2019 : la Ville d'Orange inaugure son Mémorial de la Terreur
1665 : Établissement définitif des Français sur l'Île Bourbon
L'île avait déjà été découverte depuis longtemps (par les Arabes, les Portugais...), mais elle était restée inhabitée, et des marins de passage, de diverses nationalités, n'y avaient fait que des séjours temporaires, sans y laisser aucun établissement durable.
Des navigateurs français avaient déjà pris possession de cette île - inhabitée, donc - au nom du Roi de France, en 1642. Ils lui avaient alors donné le nom de la dynastie régnante : Île Bourbon.
Vingt-trois ans plus tard, c'est à bord du navire Le Taureau que vingt premiers colons débarquent sur l'île, pour y rester et pour s'y installer : "...Ils amènent avec eux des semences, des plantes et des outils".
L'histoire de l'île - comme celle de l'Île Maurice - est, alors, inséparable de celle de la Compagnie Française des Indes Orientales, créée par Colbert en 1664 (voir l'Éphéméride du 27 août). Il est décidé en effet, dés 1665, d'entreprendre le peuplement de l'île, son défrichement et sa mise en valeur afin de fournir aux navires croisant vers les Indes, les vivres nécessaires à leurs périples ainsi qu'un lieu d'escale et de réparation.
Son histoire sera fortement marquée par la personnalité du Gouverneur général Mahé de la Bourdonnais, qui entreprendra d'importants chantiers tant à l'île Bourbon qu'à l'Île de France (Maurice) pour en faire de véritables bases navales sur la route des Indes (voir l'Éphéméride du 10 novembre, jour de sa mort).
La Convention changera son nom par un décret du 19 mars 1793.


Il est souvent appelé Crillon le brave ou le brave des braves.
chance pour la France, qui s'enrichit de la "diversité". On peut, à l'inverse, estimer que cet afflux de populations extra-européennes fait courir un danger à nos principes, notre culture et notre mode de vie. Mais comment prétendre qu'un phénomène aussi massif ne changerait rien à notre identité ?..."
Ce n'est évidemment pas la première fois que Martine Aubry se fait le chantre de cette manipulation idéologique, qui vise à bourrer le crâne des gens, en leur inoculant quotidiennement (et cela va de l’explicite au subliminal…) l’idée selon laquelle le fin du fin, c’est le métissage et que, de toutes façons, le métissage est l’avenir de l’Humanité. Surfant sur l'imprécision des termes, et le flou des idées qui en découle, elle feint de ne pas savoir qu'en réalité il n’est pas toujours facile d’être métis. S’il y a bien évidemment des métis heureux, on a aussi des tas d’exemples de personnes prises entre deux cultures, souffrant de ne pas trop savoir qui elles sont, et finalement rejetées -ou non intégrées...- des deux côtés.