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seconde guerre mondiale

  • Éphéméride du 3 septembre

    1939 : la guerre qui aurait pu et du être évitée...

     

     

     

     

    1120 : Mort de Gérard Tenque 

     

    3 septembre,seconde guerre mondiale,independance americaine,bainville,france,allemagne,hitler,nazisme,front populaire,petain,1939,tourguenievGérard Tenque est le fondateur de l'Ordre de Malte, dont le nom complet est Ordre souverain militaire hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte.

    Natif de Martigues (où il est né en 1040) Gérard fonda son Ordre en Palestine, en 1113.

    Celui-ci devait connaître l'immense essor que l'on sait.  

    Le 11 Août 1891, Martigues, sa ville, organisa une grande fête en son honneur : ce jour-là, Frédéric Mistral et des représentants de tout le Félibrige inaugurèrent une plaque en marbre, apposée au premier étage de la Mairie, l'Hôtel Colla de Pradines, pour rendre l'hommage qu'il méritait au fondateur de l'Ordre de Malte. 

    La plaque porte ces mots :

     

    L'AN DÒU SAN CRIST MXL
    DINS NOSTO CIEUTA DOU MARTEGUE
    NASQUÈ LOUS BENUROUS
    GERARD TENQUE
    FOUNDATOUR DI MOUNGE ESPITALIÉ
    DE SAN JAN DE JERUSALEN
    E
    LOU XI D'AVOUST
    MDCCCXI
    LI CIGALIÉ MÉ LI FELIBRE
    AN OUNOURA PER AQUEST MABRE
    LA MEMÒRI
    DÒU GRAND PROUVENÇAU PIETADOUS

    L'an du saint Christ 1.040
    Dans notre ville de Martigues
    Naquit le Bienheureux Gérard Tenque
    Fondateurs des Moines Hospitaliers
    De Saint Jean de Jérusalem
    Et
    Le 11 Août
    1.891
    Les Majoraux (1) et les Félibres
    Ont honoré par ce marbre
    La mémoire
    Du grand provençal miséricordieux 

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    Charles Maurras, l'autre gloire de Martigues, a également honoré la mémoire de Gérard Tenque. Il le fit dans le jardin de sa maison du Chemin de Paradis, à Martigues, quartier de Ferrières :

    voir notre album Une visite chez Charles Maurras

     

    Sur l'Ordre de Malte :

    http://www.ordredemaltefrance.org/ 

     

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  • Éphéméride du 9 juillet

    2019 : la Ville d'Orange inaugure son Mémorial de la Terreur

     

     

     

     

    1665 : Établissement définitif des Français sur l'Île Bourbon 

     

    L'île avait déjà été découverte depuis longtemps (par les Arabes, les Portugais...), mais elle était restée inhabitée, et des marins de passage, de diverses nationalités, n'y avaient fait que des séjours temporaires, sans y laisser aucun établissement durable.

    Des navigateurs français avaient déjà pris possession de cette île - inhabitée, donc - au nom du Roi de France, en 1642. Ils lui avaient alors donné le nom de la dynastie régnante : Île Bourbon.

    Vingt-trois ans plus tard, c'est à bord du navire Le Taureau que vingt premiers colons débarquent sur l'île, pour y rester et pour s'y installer : "...Ils amènent avec eux des semences, des plantes et des outils".

    L'histoire de l'île - comme celle de l'Île Maurice - est, alors, inséparable de celle de la Compagnie Française des Indes Orientales, créée par Colbert en 1664 (voir l'Éphéméride du 27 août). Il est décidé en effet, dés 1665, d'entreprendre le peuplement de l'île, son défrichement et sa mise en valeur afin de fournir aux navires croisant vers les Indes, les vivres nécessaires à leurs périples ainsi qu'un lieu d'escale et de réparation.

    Son histoire sera fortement marquée par la personnalité du Gouverneur général Mahé de la Bourdonnais, qui entreprendra d'importants chantiers tant à l'île Bourbon qu'à l'Île de France (Maurice) pour en faire de véritables bases navales sur la route des Indes (voir l'Éphéméride du 10 novembre, jour de sa mort). 

    La Convention changera son nom par un décret du 19 mars 1793. 

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    http://www.mi-aime-a-ou.com/histoire_decouverte_de_la_reunion.php 

     

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  • Éphéméride du 16 juin

    1978 : Première Cinéscenie au Puy du Fou
     

     

     

    1817 : Épilogue d'une affaire remontant à sept siècles : les restes d'Héloïse et d'Abélard sont réunis au Père Lachaise 

     

    Après un long temps de pérégrinations diverses, les restes des deux époux sont finalement réunis par la Mairie de Paris dans la Division 7 du Cimetière du Père Lachaise, où leur monument - conçu par Alexandre Lenoir, au XIXème siècle dans le style néogothique - se visite. 

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    http://www.pierre-abelard.com/sepultures.htm

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  • Éphéméride du 7 mai

    1990 : les Gorges du Verdon déclarées Site naturel protégé

     

     

     

     

    1274 : Ouverture du deuxième concile de Lyon  

     

    Présidé par le pape Grégoire X, le Concile dura jusqu'au 17 juillet et réunit environ cinq cents évêques, soixante abbés et plus de mille prélats, mais aussi le roi Jacques 1er d'Aragon, l'ambassadeur de l'empereur Michel Paléologue et les ambassadeurs du Khan du Tatar.

    L'objectif de ce Concile était de donner une définition exacte et définitive du Purgatoire

    Le hasard fit que deux des plus grands docteurs de l'Église moururent au moment, et à l'occasion, de ce Concile :

    Saint Bonaventure (ci dessous, à droite), qui eut le temps d'assister aux quatre première sessions, mais mourut à Lyon le 7 juillet;

    et Saint Thomas d'Aquin (ci dessous, à gauche) qui, convoqué pour y participer, mourut à Fossanova, en Italie, sur le chemin qui devait le conduire à Lyon.

     

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    https://www.herodote.net/almanach-ID-3093.php 

     

    Sur Thomas d'Aquin et ses rapports avec la France voir l'Éphémeride du 7 mars et  l'Éphéméride du 28 janvier

     

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  • Sur une affirmation du Conseil d'Etat...

                Le 16 février, le Conseil d'Etat a affirmé solennellement que "la responsabilité" de l'Etat français était engagée dans les déportations pendant la seconde Guerre mondiale (mais qu'il avait depuis réparé globalement les préjudices...).

                Fort bien, mais à quand la reconnaissance officielle du fait que "la responsabilité" de la République institutionnelle était engagée dans la défaite, par impréparation due au refus idéologico-pacifiste aberrant de voter à temps les crédits militaires ? Le Front Populaire a tout de même disposé de longs mois - un temps précieux... - pour armer et préparer une guerre que beaucoup - sinon tous... - voyaient venir !

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  • Jacques Bainville intelligemment évoqué dans Pèlerin…

                En dix semaines (nous en sommes à la huitième…) Pèlerin évoque La Grande Guerre, racontée par André Larané. C’est intéressant, sympathique et bien fait ; du bon travail, de bonne vulgarisation…

              Dans la dernière livraison (n° 6569 du 23 octobre 2008), on a, pour accompagner l’évocation, un petit billet sur Jacques Bainville, très court mais très dense : on nous y rappelle que Les conséquences politiques de la paix, de Bainville, sont disponibles en poche, couplées avec Les conséquences économiques de la paix, de J.M Keynes ( Ed Tel Gallimard, 502 pages, 14,50 euros).

              Voici le texte :

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